Salverius Posté(e) le 16 avril 2019 Share Posté(e) le 16 avril 2019 Effectivement, un paire d'exocet ne ferait pas de mal... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 16 avril 2019 Share Posté(e) le 16 avril 2019 Qu'est ce qu'un navire d’escorte ferait d'Exocet ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 16 avril 2019 Share Posté(e) le 16 avril 2019 il y a 30 minutes, Salverius a dit : Qu'est ce qui protège ce type de bâtiment alors? A priori, il doit exister des phases où le navire ravitailleur doit lui-même se ravitailler et donc s'éloigner du GAN, ou tout du moins de la frégate ravitaillée. Dans ces conditions, le navire ravitailleur est d'une extrême vulnérabilité. Non? On regarde quelles sont les menaces contre lesquelles on veut se protéger, puis on prend les armements adaptés. En l’occurrence, s'il est seul c'est qu'il est en zone saine. Sinon, il est escorté sur ses aller-retour selon le besoin. La question est identique à celle du porte-avion et de ses avions : comment réparti-t-on les tâches (avion-PA c’est : qui fourni l'énergie du décollage?). Ici, la question est la gradation du niveau de menace que l'on veut combattre. L'incrément est pratiquement continu, mais je vous fait quelques exemples discrets pour mieux appréhender : le navire est-il un ravitailleur sans défense, ou un ravitailleur qui peut se défendre contre une menace asymétrique/avions à hélice, contre une meute organisée, contre des missiles supersoniques, contre un sous-marin. il y a 17 minutes, Salverius a dit : Effectivement, un paire d'exocet ne ferait pas de mal... Ben non, car pour cela il faut une capacité d'élaboration de la situation. En outre, c'est un missile anti-navire contre des navires à partir de corvettes. En dessous, certes la cible sera satellisée... mais uniquement si le missile la touche. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yamato Posté(e) le 16 avril 2019 Share Posté(e) le 16 avril 2019 il y a une heure, clem200 a dit : Qu'est ce qu'un navire d’escorte ferait d'Exocet ... C'était de la pure ironie dans mon cas donc pas taper Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 16 avril 2019 Share Posté(e) le 16 avril 2019 (modifié) 8 hours ago, Salverius said: Qu'est ce qui protège ce type de bâtiment alors? Le canon de 40mm est un choix logique: polyvalent anti-surface, anti-avion, anti-missile, anti-drone, coup de semonce etc. Bref difficile de trouver meilleur compromis pour moins cher... En anti-missile, entre le 40mm et le Simbad RC ça se discute. Quelques données techniques: les munitions 3P sont pré-programmées pour exploser à 2-3 mètres de la cible. Une salve de 10 coups (2 secondes) doit être suffisante pour traiter un missile rasant à 2,000-2,500 mètres, avec une probabilité de >50%. Avec 2 tourelles de 40mm bien positionnées, on doit pouvoir tirer 3-6 salves contre un missile subsonique avec probabilité de destruction >90%. https://ndiastorage.blob.core.usgovcloudapi.net/ndia/2003/gun/boren.pdf Le Simbad RC est probablement prioritaire d’abord pour les BPC... esperons que les BRF seront peut-etre pre-cables pour le recevoir a une date ulterieure. Modifié le 17 avril 2019 par HK 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 17 avril 2019 Share Posté(e) le 17 avril 2019 Il y a 11 heures, HK a dit : Le canon de 40mm est un choix logique: polyvalent anti-surface, anti-avion, anti-missile, anti-drone, coup de semonce etc. Et le 40CTA probablement encore plus efficace... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Scarabé Posté(e) le 17 avril 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 avril 2019 Tiens à propos du BCR SOMME (ASA en 1991) dont tout le monde avait critiqué sont état déplorable fin 2018 en faite de gros travaux avait était prévu afin de le maintenir en service jusqu'en 2028. Ce pétrolier ravitailleur est en IPER depuis décembre sa sortie du Bassin est prévu fin Mai. Il y a plus de 15 entreprises qui travail dessus - De gros travaux sont en cours sur la structure du bâtiment sur les ballasts la tôlerie la peinture et bien sur l' entretiens des surfaces - La propulsion sera remise à niveau avec visite de l'ensemble des moteurs et installation de nouveaux GE _ Numérisation du PC ravitaillement - Changement des câbles et nouveaux Systems de tensionnement sur les 4 portiques. - Installation d'un nouveau système de communication et modernisation du système de navigation L'ensemble de ces travaux est piloté par le SSF La Somme sera RSA en 2028 quand le 3 BRF sera ASA et que le 4 BRF sera en armement pour essais Petit rappel pour les PR NG ASA BRF 1 2023 ASA BRF 2 2025 ASA BRF 3 2027 ASA BRF 4 2029 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 17 avril 2019 Share Posté(e) le 17 avril 2019 il y a une heure, Scarabé a dit : L'ensemble de ces travaux est piloté par le SSF Une rancune particulière? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 17 avril 2019 Share Posté(e) le 17 avril 2019 il y a 40 minutes, true_cricket a dit : Une rancune particulière? Non pas du tout Plutôt du bon boulot même. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 28 avril 2019 Share Posté(e) le 28 avril 2019 (modifié) Le nouveau ravitailleur Neo Zélandais made in Corée (mais design Rolls Royce), avec un étrave "droite" Royal New Zealand Navy’s Aotearoa auxiliary ship launched in South Korea Quote At a launch ceremony this week, the Royal New Zealand Navy’s (RNZN) first purpose-built ship in 10 years, the HMNZS Aotearoa, finally found herself in her natural environment only eight months after her keel was laid in a South Korean shipyard, the RNZN press office announced on April 25. https://www.navalnews.com/naval-news/2019/04/royal-new-zealand-navys-aotearoa-auxiliary-ship-launched-in-south-korea/ Modifié le 28 avril 2019 par xav 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 (modifié) Une vue des aménagements du VULCANO dont on aperçoit la séparation des compartiments propulsifs ; probablement du règlement RINA mili ou civil incluant l’exigence SRtP ( Safe Return to Port ) . Lors de l’incendie dont départ en machine ( c’est ce qu’on avait compris ) , j’avais à tort pensé à un seul et unique compartiment propulsif d’où mon pessimisme sur sa remise en état…………. et c’est tant mieux que Finc ait pu le récupérer. Deux propulseurs ( 1 AV + 1 AR ) signifierait il du DP ( Dynamic Positioning ? ) et un pont d’envol compatible V22 Osprey ? Modifié le 3 juin 2019 par ARMEN56 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 il y a 18 minutes, ARMEN56 a dit : Deux propulseurs ( 1 AV + 1 AR ) signifierait il du DP ( Dynamic Positioning ? ) Le DP, essentiellement utilisé en offshore oil and gas (puis désormais en éolien / hydrolien), est une norme accessible à tous mais assez contraignante, notamment pour ce qui concerne les qualifications des chefs de quart (formation plutôt onéreuse) et les visites de maintien de classe. Du coup elle n’est pas très répandue hors de son « cœur de métier », alors que les paquebots modernes, par exemple, avec pods ou HPV, 3 props devant et 2 derrière, ont l’essentiel du matériel en termes de coûts, mais ne demandent pas la classification. En plus du matériel de positionnement, il faut aussi les calculateurs, les senseurs et les apparaux pour les manipuler : GPS / DGPS mais aussi bouées sonar et le transpondeur qui va bien, pour positionnement fin sur le fond autour d’une tête de puit par exemple. Tout ça connecté aux HPV et props pour commande automatisée en mode DP, avec redondances multiples (DP 1 ou 2) et possibilité de reprendre la main à l’ancienne en mode dégradé... Donc à mon avis comme ça ne lui sera pas vraiment utile, il se contentera d’être très manœuvrant ;-) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 (modifié) Il y a 2 heures, Beachcomber a dit : Le DP, essentiellement utilisé en offshore Merci ! j'ai eu l'occasion de traiter en étude cette exigence DP1 , DP2 marque classe sur programme AHTS , me semble que BOURBON a des simulateurs d'entrainement , ici je ne vois pas trop sauf réglage de cap ravitailleur/ravitaillé suivant règles ATP16 ? mais certainement en manoeuvre de port Modifié le 3 juin 2019 par ARMEN56 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 BOURBON forme ses marins sur l'école de Marseille, et peut-être que les premiers chefs de quart sur BSAOM et BSAH y feront un stage car il me semble avoir lu quelque part que ces bateaux ont une capacité DP. Concernant la Marine, comme elle n’est pas engagée dans un système de classification systématique de ses coques, c’est sans doute plus simple d’aller piocher un DP1 tout simple dans le matériel civil (voir même un système incomplet sans bouées), et de former ses marins sur le tas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 Il y a 4 heures, ARMEN56 a dit : Merci ! j'ai eu l'occasion de traiter en étude cette exigence DP1 , DP2 marque classe sur programme AHTS , me semble que BOURBON a des simulateurs d'entrainement , ici je ne vois pas trop sauf réglage de cap ravitailleur/ravitaillé suivant règles ATP16 ? mais certainement en manoeuvre de port A mon avis, ce sera utilisé pour les manœuvres portuaires. En navigation, je n'en vois pas le sens pour un pétrolier ravitailleur. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 il y a une heure, true_cricket a dit : A mon avis, ce sera utilisé pour les manœuvres portuaires. En navigation, je n'en vois pas le sens pour un pétrolier ravitailleur. Peut être lors des manœuvres de présentation au ravitaillement à la mer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) le 3 juin 2019 Share Posté(e) le 3 juin 2019 Il y a 1 heure, Scarabé a dit : Peut être lors des manœuvres de présentation au ravitaillement à la mer. Je ne pense pas. Les propulseurs transversaux deviennent quasi inefficaces au delà de 5 noeuds, et je pense que les manœuvres de ravitaillement à la mer se font à une vitesse plus importante. Pour les manœuvres portuaires, dans les rades foraines, ou pour les mises à couple, en revanche, ça sera beaucoup plus confortable... Il s’éloigne le temps où la MN faisait le bonheur des compagnies de remorquage des ports où elle escalait :-) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 Les BSAOM sont bien équipés d’un système DP1 (extrait M&M) : « Le bâtiment bénéficie d’un pilote automatique et d’un système de positionnement dynamique (DP1), qui est le bienvenu pour maintenir une position, par exemple au cours de la mise à l’eau et la récupération d’embarcations » Pour leurs cousins métropolitains, je n’ai pas l’info. Ils ont 2 propulseurs d'étrave, mais du fait de leur conception machine différente (ce sont des tugs, avec 80T de bollard pull contre 30T aux ultramarins conçus comme des supply), il ne serait pas surprenant que la mise en place d’un DP1 puisse poser problème (nature des hélices et gestion de la puissance entre autres). De plus, les bâtiments support de plongée ne manquant pas en métropole, la Marine a peut-être estimé qu’un DP1 complexifierait le canot sans plus-value évidente : avec 2 lignes d’arbres et 2 props, ça devrait bien se passer pour lui... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 Il y a 22 heures, ARMEN56 a dit : Merci ! j'ai eu l'occasion de traiter en étude cette exigence DP1 , DP2 marque classe sur programme AHTS , me semble que BOURBON a des simulateurs d'entrainement , ici je ne vois pas trop sauf réglage de cap ravitailleur/ravitaillé suivant règles ATP16 ? mais certainement en manoeuvre de port Est-ce que ces bâtiments peuvent être amenés à alimenter une force débarquée, au moyen de pipelines-installations précaires (hors d'un port) ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 Il y a 22 heures, Beachcomber a dit : BSAH Sur BSAH PPP cru 2010, nous devions intégrer des propulseurs latéraux pour tenir une exigence de DP2 pour mise à l’eau du NEWTSUIT par mer 5 ainsi que des manœuvre de port sous vent de 30 nds et courant de 4 nds. Dans ces conditions la solution technique imposait 4 propulseurs (2AV + 2 AR ) . Le modèle d’acquisition PPP ayant capoté pour les raisons que l’on sait , la DGA avait alors changé on fusil d’épaule en une solution patrimomiale à spec nettement dégradée dont DP1 ou lieu de DP2 …etc d’où qu’un seul propulseur AV sur les BSAH actuels , certes couplé aux hélices et aux safrans "becker" je crois Le DP doit répondre à ces exigences de tenue au vent , vagues et courant https://eti.pg.edu.pl/documents/176634/32506864/imcam140.pdf https://www.marinesafetyforum.org/wp-content/uploads/2019/05/IMCA-Publication-236-International-guidelines-for-the-safe-operation-of-dynamically-positioned-offshore-supply-vessels.pdf il y a 10 minutes, Fusilier a dit : Est-ce que ces bâtiments peuvent être amenés à alimenter une force débarquée, au moyen de pipelines-installations précaires (hors d'un port) ? sais pas , mais bonne question Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 il y a 21 minutes, Fusilier a dit : Est-ce que ces bâtiments peuvent être amenés à alimenter une force débarquée, au moyen de pipelines-installations précaires (hors d'un port) ? Sur les installations offshore, les stocks flottants sont très souvent des VLCC (supertankers) légèrement modifiés et ancrés au milieu du complexe, dont la principale fonction est de servir de tampon entre la production et l’expédition. Les échanges se font par pipe - le tanker d’expédition charge sur bouée avec un tug au cul. Accessoirement ils peuvent servir de base vie ou d’atelier, surtout pendant la phase de montée en puissance du champs, puis ils sont remplacés dans ces rôles par des barges (hôtel, production, atelier, stockage aussi). Les choix sont souvent dictés par les prix de marché (coques, pétrole). Les rotations sont assurées par vedettes de type « surfer » (dont certaines blindées), voir par hélicoptère (ça c’était avec un baril à 200$). Du coup un Vulcano légèrement adapté, avec une ancre de croupiat devrait faire le job sans soucis : il a les pompes, les grues, les plateformes de stockage conteneurs / bers, un atelier, une infirmerie, un hangar, etc. : pour moi c’est une base vie naturelle. C’est un peu moins adapté que les projets us spécialisés (conçus autour d’un flotteur de type tanker - ils sont pragmatiques). il y a 19 minutes, ARMEN56 a dit : Le DP doit répondre à ces exigences de tenue au vent , vagues et courant Le DP1, avant d’être une norme à part entière, regroupait tout ce qui se faisait en DP aux débuts de l’offshore. Le DP2 a été particulièrement développé par les norvégiens, par protectionnisme mais aussi parce que les conditions hiver mer du nord imposent du matériel solide et fiable. Il se banalise aujourd’hui avec l’offshore profond, la mise au rencard des vieilles coques suite à la crise qu’a connu le secteur, et la standardisation des flottes. Pour un usage « paramilitaire » je pense que le DP2 est un peu oversized. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 (modifié) il y a une heure, Beachcomber a dit : le DP2 est un peu oversized. Pour BSAH PPP c’est design norvégien qui était initialement proposé . Le DP2 spécifié initialement résultait des retours BSAD en contrat d’affrètement BOURBON tous DP1 , niveau sans doute estimé trop juste en regard exigence SNRS ( alors en cours de gestation). D’autre part le « Pourquoi Pas » rompu aux manœuvres avec du Victor 6000 et NEWSUITS était DP2 sous SST 5 voire 6 Mais bon on va pas refaire le match , aujourd’hui sont DP1 En tout cas les propulseurs latéraux se généralisent sur les nouvelles bailles Modifié le 4 juin 2019 par ARMEN56 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 il y a 35 minutes, ARMEN56 a dit : niveau sans doute estimé trop juste en regard exigence SNRS Je m’en doute bien pour avoir suivi de pas trop loin certains appels d’offres : on commence par demander aux marins ce qu’ils en pensent, alors tout le monde demande le top du top en mettant en avant les difficultés parfois rencontrées - ensuite vient le cahier des charges, et en PPP on demande au fournisseur de nous faire rêver - ensuite vient la note et on se dit que, finalement, à bien y réfléchir, la formule sans options est pas si mal :-) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 (modifié) Il y a 5 heures, Fusilier a dit : Est-ce que ces bâtiments peuvent être amenés à alimenter une force débarquée, au moyen de pipelines-installations précaires (hors d'un port) ? Non dans le cadre des opérations amphibie c'est le 503 régiment du train (avec son escadron amphibie ) qui sera en charge du ravitaillement de la force débarquer. Les EDAR ou les EADS pouvant aller s'accoster bord à bord du pétrolier ravitailleur pour faire du transbordement du carburant directement dans les camions citernes du 503 RT D'ou l'utilités des propulseurs d’étraves dans le cas d'un positionnement dynamique du pétrolier ravitailleur qui participerait à une opération amphibie à caractère humanitaire ou militaire. Je rappel que chaque régiment du train en plus du tronc commun a tous les R du Train on chacun une spécialité. Le 503 RT basé en Camargue et le régiment log qui participe à toute les manip amphibie nécessitant un train de combat. Et ses conducteurs viennent régulièrement sur Toulon s’entraîner avec la flottille amphibie. Modifié le 4 juin 2019 par Scarabé 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 4 juin 2019 Share Posté(e) le 4 juin 2019 il y a 7 minutes, Scarabé a dit : Les EDAR ou les EADS pouvant aller s'accoster bord à bord du pétrolier ravitailleur pour faire du transbordement du carburant directement dans les camions citernes du 503 RT Sur le fond c'est la même problématique, accoster le ravito, pipe, quais flottants ou autres installations temporaires.... Dans le vaste monde de l'amphibie il n'y a pas que nous et nos méthodes. Merci , pour la précision ça confirme mon intuition. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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