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Il y a 1 heure, OysterCultist a dit :

4e producteur mondial d'uranium!

Il me semble que des lois et surtout emplacements de certains gisements en terre Autochtone sont interdits d’exploitations bien que les US lorgnent dessus et semble devenir très insistant depuis la prise de fonction de potus II.

 

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il y a 57 minutes, OysterCultist a dit :

4e producteur mondial d'uranium!

Je sais, on leur en achète toujours d'ailleurs.

Le truc c'est qu'ils n'ont aucun réacteur commercial malgré leur statut d'exportateur.

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  • 2 weeks later...
Le 12/03/2025 à 13:07, Picdelamirand-oil a dit :

Selon ce document, le taux de construction navale post-pandémique aux États-Unis est si anémique qu'il ne permet pas de répondre aux besoins de la seule marine américaine, sans parler de la construction de sous-marins pour la marine d'un autre pays.

https://responsiblestatecraft.org/us-navy/ (2 avril 2025)

La Navy [américaine] a dépensé 2,3 milliards de dollars entre 2018 et 2023 pour augmenter la capacité des chantiers navals de sous-marins. Malgré cet investissement, le taux de production des sous-marins d'attaque de classe Virginia est passé d'environ deux bateaux par an à 1,2.

Dix ans seulement après la fin de la guerre froide, le nombre de travailleurs qualifiés dans les chantiers navals est passé de 62 000 à 21 000. Le nombre de travailleurs a augmenté depuis 2001, mais la pénurie persiste. Lors d'un symposium organisé en 2024, le directeur du programme de la base industrielle des sous-marins de la marine a déclaré que les États-Unis devraient embaucher 140 000 travailleurs rien que pour répondre aux besoins du programme actuel de construction de sous-marins.

La pratique insidieuse de la concomitance, qui consiste à commencer la construction d'un navire avant que la conception ne soit terminée, entraîne des retards supplémentaires. Lorsque des défauts de conception sont découverts au cours de la construction, les ouvriers doivent revenir en arrière et refaire le travail déjà effectué.

Les dirigeants de la Navy pourraient soulager les chantiers navals en difficulté en simplifiant la conception des navires. La simplicité devrait toujours être un paramètre clé de la conception de tout programme d'armement. Les conceptions basées sur des technologies éprouvées peuvent être développées et construites plus rapidement.

L'octroi de licences aux constructeurs de navires commerciaux (...) permettrait d'accroître à la fois la taille de la flotte et la base industrielle.

Il est peu probable qu'une nouvelle injection d'argent du contribuable permette de résoudre les problèmes de capacité de l'industrie de la construction navale.

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Le 03/04/2025 à 08:08, pascal a dit :

La Navy disposera le 46 SNA en 2030 là où elle en réclame 66.

Pour parvenir à rééquilibrer la flotte sous-marine les chantiers (Electric Boat à Groton et Ingalls à Newports News) doivent sortir 2.33 Virginia par an on en est très loin ... La question du Shipbuilding est actuellement au centre des préoccupations de la Navy.

Autre conséquence de cette situation, dans ces conditions le calendrier de l'accord de partenariat stratégique AUKUS qui prévoyait la livraison de 3Virginia en 2032/35/38 semble intenable alors que cet accord stipulait que les Australiens injectent 3 milliards de $ dans les chantiers américains ...

Cerise sur le pudding la législation américaine prévoit que toute cession ou exportation de matériel est impossible dès lors que cette cession ou cette vente altère les capacités de la Marine, or actuellement ce serait le cas vu les soucis capacitaires des chantiers.

Dernier souci et non des moindre, il va falloir des années pour rétablir la situation, on ne construit pas un SNA ou un Constellation comme on construisait un Liberty ou un "Kaiser Coffin"

On pourrait proposer aux Américains de leur vendre des Barracuda puis de leur fournir une licence de production avec ToT et prise en charge de la formation des quelques milliers de personnels nécessaires...

Non je plaisante.

Pas envie que les plans et la signature finissent en russie.

Et puis les pauses déjeuner seraient vraiment trop longues, pffff...

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Il y a 2 heures, Patrick a dit :

On pourrait proposer aux Américains de leur vendre des Barracuda puis de leur fournir une licence de production avec ToT et prise en charge de la formation des quelques milliers de personnels nécessaires...

Non je plaisante.

Pas envie que les plans et la signature finissent en russie.

Et puis les pauses déjeuner seraient vraiment trop longues, pffff...

Le problème est qu'en annulant le contrat avec NG les aussies ont pris dix ans dans les gencives aucun chantier ne peut aujourd'hui garantir pouvoir leur livrer des bâtiments avant la mise à la retraite des Collins sauf à prolonger ceux ci au delà de 2045...

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il y a 8 minutes, pascal a dit :

Le problème est qu'en annulant le contrat avec NG les aussies ont pris deux dans les gencives aucun chantier ne peut aujourd'hui garantir pouvoir leur livrer des bâtiments avant la mise à la retraite des Collins sauf à prolonger ceux ci au delà de 2045...

Et oui. Et certainement pas nous non plus sauf à relancer la production des SNA Barracudas avant, où établir un nouveau plan autour des Orka. Sauf que, comme déjà dit maintes fois, dans le premier cas ça va mettre le dawa avec les échéances de production des SNLE3G, ce qui est inacceptable en soi, et que dans le second, c'est un produit inférieur au Shortfin qui donc ne correspond plus aux demandes Australiennes!

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Il y a 3 heures, pascal a dit :

Le problème est qu'en annulant le contrat avec NG les aussies ont pris dix ans dans les gencives aucun chantier ne peut aujourd'hui garantir pouvoir leur livrer des bâtiments avant la mise à la retraite des Collins sauf à prolonger ceux ci au delà de 2045...

Tu oublies les chantiers chinois... :bloblaugh:

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Il y a 2 heures, rendbo a dit :

Tu oublies les chantiers chinois... :bloblaugh:

Ah,ah,ah ce serait la claque AUKUS et les doigts dans les  fives Eyes dont le maitre en a énuclée au moins trois, ils vont peut être finir borgne ! 

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Il y a 2 heures, rendbo a dit :

Tu oublies les chantiers chinois... :bloblaugh:

Avec Trump il faut s'attendre à tout : il arrivera peut être à pousser les australien dans les bras des chinois. 

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Puisqu'on parle de la Chine, le port de Darwin est actuellement un sujet de campagne en Australie.
En 2015 le gouvernement Australien (Liberal) a eu l'immense clairvoyance de louer ce port stratégique a une entreprise chinoise pour une durée de 99 ans.

https://www.scmp.com/news/asia/australasia/article/3305321/australia-reclaim-strategic-darwin-port-chinese-ownership-amid-rising-security-fears

Problème, le port est situé près d'une base de la RAAF (qui héberge des Marines US).
Les deux candidats favoris ont promis de racheter le port à l'entreprise chinoise. 

Modifié par OysterCultist
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https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/housing-affordability-problem-australian-foreign-policy (9 avril 2025)

Mesurées en termes de multiples du revenu médian des ménages nécessaires pour acheter un logement au prix médian, trois des capitales australiennes - Sydney, Melbourne et Adélaïde - figurent parmi les dix villes les moins abordables du monde. Brisbane et Perth sont dans le top 20.

Paul Schroder, directeur général d'AustralianSuper - le plus grand fonds d'épargne retraite du pays - a diagnostiqué les conséquences économiques et sociales du problème de l'accessibilité au logement en Australie lors du sommet des affaires de l'AFR le mois dernier. Cela vaut la peine de le citer longuement :

Si vous ne pouvez pas trouver un logement sûr et sécurisé, vous ne pouvez pas être optimiste, positif et énergique.

Aux États-Unis, la valeur totale des logements est de 50 000 milliards de dollars (81 000 milliards de dollars australiens) pour une économie de 29 000 milliards de dollars. En Australie, parce que nous avons tant investi dans nos maisons [...] elles valent 11 000 milliards de dollars pour un PIB de 3 000 milliards de dollars.

Nous avons investi tout cet argent dans des maisons - c'est très bien, nous avons peint la façade et nous l'avons revendue - ce qui a privé l'économie d'un grand nombre de capitaux productifs. Nous avons tout cet argent dans nos maisons et nous ne soutenons pas les entreprises.

Nous ne créons pas de nouvelles choses et nous ne stimulons pas la productivité.

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  • 2 weeks later...
Le 12/03/2025 à 13:07, Picdelamirand-oil a dit :

Peter Briggs, contre-amiral à la retraite et ancien président du Submarine Institute of Australia, affirme que le refus des États-Unis de vendre des sous-marins de classe Virginia à l'Australie était « presque inévitable », car le programme de construction de navires des États-Unis prenait trop de retard.

« Il s'agit d'un plan défectueux qui va dans la mauvaise direction », explique-t-il au Guardian.

Avant qu'un bateau puisse être vendu à l'Australie, le commandant en chef des États-Unis - le président en exercice - doit certifier que l'abandon d'un sous-marin par l'Amérique ne diminuera pas la capacité sous-marine de la marine américaine.

« Les chances que cette condition soit remplie sont infimes », affirme M. Briggs.

Il faut aujourd'hui plus de cinq ans aux États-Unis pour construire un seul sous-marin (il fallait entre trois et trois ans et demi avant que la pandémie ne dévaste la main-d'œuvre). D'ici 2031, date à laquelle les États-Unis devraient vendre leur premier sous-marin à l'Australie, il pourrait manquer jusqu'à 40 % de la taille de la flotte prévue, selon M. Briggs.

Selon lui, l'Australie n'aura plus de sous-marins pour couvrir le retrait du service de la flotte actuelle de la classe Collins, affaiblie par une dépendance inconsidérée à l'égard des États-Unis.

Les sous-marins à propulsion nucléaire que l'Australie veut acheter puis construire « sont à la fois trop grands, trop chers à posséder et nous ne pouvons pas nous permettre d'en avoir suffisamment pour faire la différence ».

Il affirme que l'Australie doit être lucide sur les défis systémiques auxquels est confronté Aukus et qu'elle doit regarder ailleurs. Il propose de retourner en France pour envisager de commander des bateaux de la classe Suffren - un modèle actuellement en production, plus petit et nécessitant moins d'équipage, « mieux adapté aux besoins de l'Australie ».

« Nous aurions dû faire tout cela il y a dix ans. Bien sûr, il est trop tard, mais l'alternative est de ne pas avoir de sous-marins du tout... ce n'est pas une bonne idée. Ils nous donnent une capacité que rien d'autre ne peut offrir.

« Cela vaut la peine d'être chassé ».

https://www.aspistrategist.org.au/virginia-we-have-a-problem/ (14 janvier 2025)

Peter Briggs

Le projet de l'Australie d'acquérir des sous-marins de classe Virginia auprès des États-Unis semble de plus en plus improbable. Le programme de construction américain prend trop de retard.

L'Australie doit donc commencer à envisager d'autres options, notamment l'acquisition de sous-marins nucléaires d'attaque (SSN) de classe Suffren auprès de la France.

La pandémie de Covid-19 a considérablement perturbé le travail dans les deux chantiers navals qui construisent les Virginias, General Dynamics Electric Boat à Groton (Connecticut) et Huntington Ingalls Industries à Newport News (Virginie). La production de nombreuses entreprises de la chaîne d'approvisionnement s'en est également trouvée fortement ralentie. En raison du manque de main-d'œuvre, l'industrie a accumulé des retards et les chantiers navals se remplissent de sous-marins incomplets.

L'industrie n'a mis en chantier qu'un seul SSN en 2021. Elle n'en a livré aucun entre avril 2020 et mai 2022. L'USN a demandé le financement d'un seul Virginia pour l'année fiscale 2025, rompant ainsi avec le rythme de deux par an, « en raison des limites de la ligne budgétaire de la marine et du retard croissant dans la production de la classe Virginia ».

Le délai de construction entre la mise en chantier et la livraison est passé de 3 à 3,5 ans avant la pandémie à plus de 5 ans. Le rythme continue de ralentir : le prochain Virginia, l'USS Iowa, devrait être livré le 5 avril 2025, soit 5,8 ans après sa mise en chantier.

Pour les chantiers navals, le problème est d'autant plus grave que les sous-marins Block V sont 30 % plus grands et plus complexes à construire, ce qui rend peu probable un retour à des délais de construction plus courts.

En outre, Electric Boat a réaffecté ses travailleurs les plus expérimentés afin d'éviter tout nouveau dérapage dans la construction des deux premiers sous-marins lanceurs de missiles balistiques de la classe Columbia, le programme de construction navale le plus prioritaire de l'USN, auquel participe également le chantier de Newport News.

Mais il y a pire. De nombreux SSN qui ont rejoint la flotte américaine au cours des dernières décennies sont indisponibles, en attente d'entretien. La pandémie a également perturbé les chantiers navals qui entretiennent les SSN des classes Los Angeles et Virginia. En septembre 2022, 18 des 50 SSN en service étaient en attente de maintenance. Selon le Congressional Budget Office, le manque de dépenses pour les pièces de rechange oblige également à la cannibalisation et a un impact sur la disponibilité des SSN de la classe Virginia.

Le projet de SSN de l'Australie ne peut qu'aggraver les difficultés des États-Unis à sortir de cette situation, en ajoutant à la congestion des chantiers navals et en surchargeant les chaînes d'approvisionnement qui ont déjà du mal à livrer des SSN à l'USN.

Une décision américaine de ne pas vendre de SSN à l'Australie est inévitable et, selon les prévisions actuelles, nous ne disposerons d'aucun palliatif pour couvrir la mise hors service de nos six sous-marins diesel de la classe Collins, dont le plus ancien a déjà servi pendant 28 ans.

En définitive, la dépendance imprudente de l'Australie à l'égard des États-Unis aura affaibli la capacité combinée de l'alliance. Et la capacité de dissuasion indépendante de l'Australie sera également affaiblie.

Comme je l'ai écrit en décembre, il est temps de chercher une autre solution. L'une d'entre elles consiste à commander des SSN de la classe française Suffren. Ce modèle est en cours de production et trois des six bateaux prévus ont été livrés. Il est optimisé pour la lutte anti-sous-marine, avec de bonnes capacités anti-surface, de frappe terrestre, de forces spéciales et d'exploitation minière. Il s'agit d'un modèle plus petit, moins performant que le Virginia, mais qui devrait être moins cher et qui répond mieux aux besoins de l'Australie.

Il est important de noter qu'il ne nécessite que la moitié de l'équipage d'un Virginia, et que nous devrions être en mesure de financer et d'équiper la force minimale viable de 12 SSN.

Mettons à profit les progrès accomplis en matière de formation, d'industrie et de préparation des installations pour le soutien des SSN américains et britanniques en Australie, qui doivent tous se poursuivre, et trouvons un moyen d'accroître la capacité sous-marine globale de l'alliance, et non de la réduire.

J'ai envie de m'inspirer de ce titre de Politico pour l'Ukraine :

https://www.politico.eu/article/war-ukraine-nato-membership-nuclear-war-fight-russia-defense-75-anniversary/

« Les fausses promesses de l'OTAN [Joe Biden] encouragent les espoirs mal placés des Ukrainiens [Australiens] » (NATO’s false promises are encouraging misplaced Ukrainian hopes)

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https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/cost-aukus-afterpay (22 avril 2025)

Plutôt que de s'engager à construire à Adélaïde, l'Australie devrait explorer l'option de l'achat sur catalogue de bateaux à propulsion nucléaire britanniques ou français, en laissant en suspens la décision finale jusqu'à ce que notre environnement stratégique soit plus clair.

Une partie de cette option consisterait à poursuivre la construction actuelle de l'infrastructure de soutien. À elle seule, cette infrastructure représentera un défi suffisamment important pour la capacité industrielle et de construction de l'Australie, sans avoir à construire de sous-marins. La recherche d'une main-d'œuvre qualifiée pour mener à bien cette tâche gigantesque dans les délais impartis fournira tous les emplois souhaités par l'Australie-Méridionale, et bien plus encore. De telles installations seraient précieuses quelle que soit l'issue de la flotte sous-marine australienne. L'exploitation de ces installations fournira de nombreux emplois techniques et manuels, et le transfert de compétences sera utile ailleurs.

Le rôle de l'Amérique dans la région n'étant pas clair, il est moins logique de donner la priorité à la capacité de l'Australie de projeter de la puissance en Asie. Sans l'engagement de poids mort dans les sous-marins de la classe AUKUS, les opportunités alternatives - plus orientées vers une posture défensive de type « stratégie de l'échidné » - pourraient créer une industrie de défense substantielle avec un degré élevé d'autonomie de la capacité nationale. L'Australie dispose déjà d'une capacité locale significative en matière de véhicules sans pilote, tels que le Loyal Wingman et le Ghost Shark. Cette industrie embryonnaire est liée à une formidable capacité de recherche au sein du CSIRO et des universités. Nous disposons de la structure institutionnelle nécessaire pour soutenir l'innovation privée si des fonds sont disponibles. Les retombées techniques seraient plus importantes que dans le cas d'un sous-marin conçu et développé de manière trilatérale.

Au fil du temps, l'Australie pourrait développer le type de capacité autonome profonde que l'on observe en Suède et en Norvège, des petits pays qui se sont spécialisés dans des technologies de taille appropriée et sont devenus des leaders mondiaux.

Une fois les élections passées, en mai, quiconque gouvernera le pays aura l'occasion d'engager l'Australie sur une meilleure voie.

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Le problème dans le scénario de Briggs c'est que NG ne pourra pas fournir des SNA aux Australiens car à Cherbourg on prépare déjà le Snle 3G. Produire maintenant des SNA supplémentaires réclamera des installations renforcées et du monde 

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il y a 3 minutes, pascal a dit :

Le problème dans le scénario de Briggs c'est que NG ne pourra pas fournir des SNA aux Australiens car à Cherbourg on prépare déjà le Snle 3G. Produire maintenant des SNA supplémentaires réclamera des installations renforcées et du monde 

Plus précisément, il semblerait que le scénario de Briggs soit de fabriquer des sous-marins français non pas à Cherbourg mais à Adelaide :

https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/cost-aukus-afterpay

Mais la proposition de Briggs, qui consiste à construire les bateaux français à Adélaïde, est-elle la bonne solution ?

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C'était surtout la solution de 2015 pour des SSK de technologie classique !!!... Ils ont pris dix dans la vue en dénonçant le contrat plus encore 15 pour monter l'affaire en Australie avec toutes les contraintes liées au nucléaire...

On ne le dira jamais assez ce dossier est un fiasco qui risque a terme de coûter aux Australiens leur force sous marine car les Collins seront retirés d'ici-là sauf à être prolongés au delà de toute logique financière et militaire 

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il y a 22 minutes, Wallaby a dit :

Plus précisément, il semblerait que le scénario de Briggs soit de fabriquer des sous-marins français non pas à Cherbourg mais à Adelaide :

https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/cost-aukus-afterpay

Mais la proposition de Briggs, qui consiste à construire les bateaux français à Adélaïde, est-elle la bonne solution ?

C'est peut être mieux que rien, mais cela aurait été plus facile de commencer par ça.

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Il y a 4 heures, pascal a dit :

C'était surtout la solution de 2015 pour des SSK de technologie classique !!!... Ils ont pris dix dans la vue en dénonçant le contrat plus encore 15 pour monter l'affaire en Australie avec toutes les contraintes liées au nucléaire...

A supposer que la dite affaire... aboutisse à quelque chose.

Sinon, ils auront tout perdu. En plus, leur bière est vraiment passable.

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https://theconversation.com/new-research-reveals-why-the-mighty-darling-river-is-drying-up-and-its-not-just-because-were-taking-too-much-water-239923 (30 septembre 2024)

Nous avons constaté une absence frappante de courtes périodes de précipitations en avril et en mai dans la rivière Darling à partir des années 1990. La réduction des précipitations a entraîné de longues périodes de débit très faible, voire nul, dans le fleuve.

Depuis les années 1990, dans le cadre du changement climatique, les modifications de la circulation atmosphérique ont entraîné une diminution des systèmes producteurs de pluie. Cela s'est traduit par une diminution des précipitations dans l'intérieur du sud-est de l'Australie en automne.

Le réseau fluvial a particulièrement besoin de précipitations à la fin de l'automne pour reconstituer les cours d'eau après l'été.

Comme d'autres l'ont fait remarquer, le plan du bassin Murray-Darling ne prend pas correctement en compte le changement climatique lorsqu'il s'agit de déterminer les quantités d'eau pouvant être prélevées par les villes et les agriculteurs.

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Il y a 13 heures, Ciders a dit :

A supposer que la dite affaire... aboutisse à quelque chose.

Sinon, ils auront tout perdu. En plus, leur bière est vraiment passable.

je ne sais pas pour la bière mais il font du vin qui n'est pas mauvais !

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