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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI

Messages recommandés

Beaucoup comptent sur le "vert" pour relancer l'économie et créer des emplois mais est-ce que c'est viable ? En Allemagne le rêve s'est déjà écroulé : tout est délocalisé vers la Chine ou la Malaisie. Pourtant ça semblait intéressant.

Il y a une part c'est de l'aménagement des logements qui est assez peu délocalisable. Réduire la consommation énergétique résidentiel c'est déjà énorme. Meme si' l'éclairage est facilement délocalisable, une partie de la VA reste chez les developpeur occidentaux, par contre pour l'isolation, le chauffage, l'ECS, le traitement de l'air le gros de la VA est européenne.

La seconde part c'est le transport. On le voit avec les bonus d"émission de CO2 et les norme anti-pollution, ca donne pas mal de boulot au constructeur et motoriste pour inventer des moyen de déplacement économe en énergie.

La troisieme c'est l'industrie, ici il y de la grosse valeur ajoutée en remplaçant les équipements très gourmand en énergie par des beaucoup moins gourmands.

Toutes ces économie d'énergie ce sont des importations en moins et du travail essentiellement local en plus - batiment, automobile, machine industrielle -.

La production d'énergie elle meme n'est qu'un "bout" du développement plus durable, la maniere dont on la consomme c'est le gros morceau.

La solution de trubinage pompage par exemple est tres complémentaire de l'énergie nucléaire. Le nulcéaire produit tout le temps la meme chose ou presque ... la consommation elle fluctue. Stocker une partie de l'énergie nucléaire en heure creuse, pour la restituer en pointe c'est intéressant, ca évite de trop taper dans les barrages haute chute pour les pointe "prévisible" et de rallumer les thermique fossile. Et ca aussi ca se délocalise pas.

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Ok, merci de l'explication. Je ne savais pas que l'on pratiquait cela à l’échelle de grands réseaux électriques.

Même avec les centrales conventionnelles, les installations de pompage-turbinage sont importantes.

Car une centrale nucléaire, qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige, qu'il fasse une canicule (ou pas car il va y avoir des problèmes de refroidissement), elle a une puissance constante.

De ce fait, la nuit, la Suisse (notamment) achète beaucoup d'électricité nucléaire à la France, et la revend (bien plus cher) aux heures de pointe.

(et le truc marrant, c'est qu'ensuite, on doit vendre l'énergie produite par les barrages comme électricité verte, alors qu'elle provient en fait de centrales atomiques. Y a pas à dire, en Suisse on blanchi tout, même l'électricité  :lol: :lol: :lol: )

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C'est comme l'Espagne qui il a quelques années, lors d'une tempête, avait 50% de son électricité qui était d'origine éolien.

En cas de fort vents, les eoliennes classiques sont mises en drapeau sinon sont detruites  :O
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En cas de fort vents, les eoliennes classiques sont mises en drapeau sinon sont detruites  :O

La tempete devait souffler ailleurs qu'en Espagne et envoyer suffisament de vent la bas pour faire tourner tout le parc. Pour peu que ca se produise au printemps ou le chauffage et la clim sont majoritairement a l'arret il est pas impossible qu'on arrive a 50% d'éolien dans la conso.

En cas de grand vent les hélices tournent trop vite - malgré les réglage de pas - et la mécanique interne n'aime pas du tout - boite de transfert et alternateur, même le moyeu qui peut se mettre a vibrer - et effectivement pour éviter une usure ou carrément des pannes - on les met en drapeau. C'est moins sensible plus l'éolienne est grande et donc conçue pour tourner dans des vent plus fort que les petites.

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Image IPB

Voici le réfrigérateur-congélateur le plus écolo au monde.

Il utilise un échangeur thermique avec l'air extérieur (le cylindre blanc entre les 2 fenêtres).

Résultat , en hiver, la consommation diminue de 70%.

Seul 10 exemplaires ont été fabriqués dans les années 80.

Sachant que en France,dans une maison, l'ensemble réfrigérateur-congélateur représente 32% de la consommation d'électricité (hors chauffage), cela donne une idée du potentiel.

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Vu qu'apparemment on est plutôt bien renseigné ici, est-ce quelqu'un sait ce que représente le cout d'approvisionnement en charbon ou en gaz d'une centrale thermique pendant un an par rapport à l'investissement initial pour la conception/construction et par rapport aux autres charges d'exploitation?

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Il y a une part c'est de l'aménagement des logements qui est assez peu délocalisable. Réduire la consommation énergétique résidentiel c'est déjà énorme. Meme si' l'éclairage est facilement délocalisable, une partie de la VA reste chez les developpeur occidentaux, par contre pour l'isolation, le chauffage, l'ECS, le traitement de l'air le gros de la VA est européenne.

La seconde part c'est le transport. On le voit avec les bonus d"émission de CO2 et les norme anti-pollution, ca donne pas mal de boulot au constructeur et motoriste pour inventer des moyen de déplacement économe en énergie.

La troisieme c'est l'industrie, ici il y de la grosse valeur ajoutée en remplaçant les équipements très gourmand en énergie par des beaucoup moins gourmands.

Toutes ces économie d'énergie ce sont des importations en moins et du travail essentiellement local en plus - batiment, automobile, machine industrielle -.

La production d'énergie elle meme n'est qu'un "bout" du développement plus durable, la maniere dont on la consomme c'est le gros morceau.

La solution de trubinage pompage par exemple est tres complémentaire de l'énergie nucléaire. Le nulcéaire produit tout le temps la meme chose ou presque ... la consommation elle fluctue. Stocker une partie de l'énergie nucléaire en heure creuse, pour la restituer en pointe c'est intéressant, ca évite de trop taper dans les barrages haute chute pour les pointe "prévisible" et de rallumer les thermique fossile. Et ca aussi ca se délocalise pas.

Ceci dit même pour les moyens de produire l'électricité rien n'empêche de favoriser le développement d'une industrie locale : c'est d'ailleurs ce qui se fait chez nous avec l'émergence d'une filière de production d'éolienne géante à St-Nazaire. Maintenant c'est vrai que pour le photovoltaïque les panneaux produits en Asie sont vraiment moins cher que ceux fait chez nous.

Mais peut-être peut-on inclure une règle juridique dans les marchés publics liés aux ENR interdisant aux collectivités et à l'Etat de donner la priorité au critère du "moins disant" dans le choix des entreprises dont on retient l'offre ? 

Dans d'autres domaines par contre, comme les centrales à Biomasse, dites moi si je me trompe mais il me semble que l'industrie européenne sait très bien faire, non ?     

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Dans d'autres domaines par contre, comme les centrales à Biomasse, dites moi si je me trompe mais il me semble que l'industrie européenne sait très bien faire, non?

Comme le reste les projets de méthanisation ont été sacrifié sur l'autel nucléaire ... Sinon c'est une voie intéressante pour produire du gaz "naturel", qui peut moyennant quelques petit truchement chimique etre utilisé dans n'importe qu'elle installation.

Il y a aussi les projet de chauffage collectif en cogénération, mais la aussi ça fait trop communiste. En gros on produit du chauffage collectif pour un petit village. Pour ca on utilise un moyen thermique classique pour produire de l'électricité, et l'exces de chaleur non récupéré alimente le chauffage central, on obtient des rendement de plus de 90%, l'électricité doit etre dimensionné au besoin du village, et comme elle est consommé sur place évite les perte en ligne. C'est tres utilisé pour les villages un peu perdu du nord de l'europe, ca leur donne une tolérance au panne du réseau électrique tres importante, les réserves de combustible étant stocké localement - bois, gaz, méthanisation du bois/déchet etc. -. En plus du chauffage le systeme peu produire du froid ... en utilisant l'énergie thermique pour faire marcher un compresseur a vepeur plutot qu'a chauffer l'eau, on peu ainis l'été injecté de l'eau fraiche dans le circuit de chauffage et fournir une "clim".

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Comme le reste les projets de méthanisation ont été sacrifié sur l'autel nucléaire ... Sinon c'est une voie intéressante pour produire du gaz "naturel", qui peut moyennant quelques petit truchement chimique etre utilisé dans n'importe qu'elle installation.

Il y a aussi les projet de chauffage collectif en cogénération, mais la aussi ça fait trop communiste. En gros on produit du chauffage collectif pour un petit village. Pour ca on utilise un moyen thermique classique pour produire de l'électricité, et l'exces de chaleur non récupéré alimente le chauffage central, on obtient des rendement de plus de 90%, l'électricité doit etre dimensionné au besoin du village, et comme elle est consommé sur place évite les perte en ligne. C'est tres utilisé pour les villages un peu perdu du nord de l'europe, ca leur donne une tolérance au panne du réseau électrique tres importante, les réserves de combustible étant stocké localement - bois, gaz, méthanisation du bois/déchet etc. -. En plus du chauffage le systeme peu produire du froid ... en utilisant l'énergie thermique pour faire marcher un compresseur a vepeur plutot qu'a chauffer l'eau, on peu ainis l'été injecté de l'eau fraiche dans le circuit de chauffage et fournir une "clim".

Marrant aux USA ils en sont a juger comme de dangereux communistes ceux qui pronent train et transports collectifs au nom de l'efficacité énergétique ...

De la même manière qu'un enfant obèse de 130 kg insulterait sa mère d'adolf hitler et dangereuse faschiste, qui l'aurait mis au régime et lui aurait sucré les pépitos et les chocos BN ... (on en est a peu prêt la)

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FRANCE : D'après la Commission de Régulation de l'Energie (CRE), les demandes de raccordements d'installations photovoltaïques aux réseaux d'électricité sont toujours aussi nombreuses depuis 3 trimestres, et cela malgré une baisse sensible des tarifs de rachat.

(...) Cette évolution pourrait en partie refléter l'influence d'une chute du coût des cellules photovoltaïques en 2011, qui a été encore plus rapide que celle des tarifs de rachat.

http://www.enerzine.com/1/13994+photovoltaique---les-demandes-de-raccordement-nont-pas-ralenti+.html

Les autres news : http://www.enerzine.com/toutes-les-breves.html

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Houlà, mais y serait pas un peu coco, ce post?  :P

Rouge ou vert j'hésite encore ;)

Le plus amusant sur les transport aux USA c'est que le temps passé et le cout des transports domicile travail est un vrai préoccupation, c'est un des plus gros  facteur limitant d'une augmentation de productivité des travailleurs américains.

L'automobilie impose au conducteur de conduire. Sauf que passer 2h a conduire par jour pour des trajets domicile travail c'est trop. Donc soit le conducteur bosse au volant - ce qui explique l'accidentologie US -, soit il n'est plus assez productif par jour travaillé.

Dans les années 80 il y a eu tout un tas de projet destiné a rendre ce temps de transport aux transportés.

- en automatisant la conduite des voiture, la voiture devenant un robot qui suit tout seule la route. Ca avait donné d'assez bon résultat avec les techno basique de l'époque, mais ca faisait trop "train" pour que ca soit vendable. L'autoroute en question pour etre efficiente devait etre emprunté exclusivement en mode automatique, de maniere a optimiser le débit de véhicule, en modulant la vitesse et distance en fonction de la charge.

- en modifiant l'urbanisme pour rapprocher domicile et travail. Ca n'est pas allé plus loin que les bonne parole ...

Résultat 30 ans plus tard le temps de trajet domicile travail ne cesse d'augmenter, comme le bide des américains, ce temps est toujours aussi improductif - meme pas moyen de faire une sieste, ou de matter un DVD - ... et tout va bien :lol:

La bonne nouvelle c'est qu'avec l'augmentation du pétrole les américains commencent enfin a délaisser leur moteur et voiture ultra gourmand - aussi bien en énergie qu'en espace public - pour des voiture un peu plus économique. Comme quoi y a encore un peu d'espoir.

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http://ecologie.blog.lemonde.fr/2012/05/29/lallemagne-bat-le-record-de-production-denergie-solaire/

Le temps semble revenir au beau fixe pour le photovoltaïque. Vendredi et samedi, entre midi et deux heures, l'Allemagne a battu le record mondial de production d'énergie solaire : 22 gigawatts d'électricité, soit l'équivalent de 20 réacteurs nucléaires tournant à plein régime. Selon l'institut spécialisé dans les énergies renouvelables IWR, basé à Münster, cité par Reuters, cette production a permis de répondre à un tiers des besoins en électricité du pays vendredi, journée de travail classique, et presque la moitié de ceux du samedi, lorsque les bureaux et usines étaient fermés.

Ce record de 22 GW dépasse largement la puissance atteinte l'année précédente à la même époque, de 14 GW. Si le grand ensoleillement sur le pays ces derniers jours a précipité les choses, la performance est surtout à mettre sur le compte de l'augmentation par l'Allemagne de sa capacité photovoltaïque installée, qui s'élève cette année à 26 GW, soit 8 GW supplémentaires en un an.

Le pays compte ainsi aujourd'hui presque autant de capacité installée que le reste du monde (27 GW en 2011), et obtient 4 % de ses besoins totaux annuels d'électricité à partir du soleil. Plus largement, avec l'éolien et la biomasse, la part des énergies renouvelables dans le mix électrique allemand atteint 20 %, en hausse de 20 % sur un an depuis la sortie progressive du pays de l'atome, selon Andreas Rudinger, chercheur associé à l'Institut du développement durable et des relations internationales, que je citais dans cet article. Au final, l'objectif de l'Allemagne est de réduire ses émissions nationales de gaz à effet de serre de 40 % d'ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990.

Si ces derniers mois ont vu la banqueroute de plusieurs fabricants allemands de cellules photovoltaïques, dont le leader Q-cells, fragilisés par la concurrence chinoise, le secteur se porte malgré tout bien, comme l'indiquait Paolo Frankl, responsable de la division énergies renouvelables à l'Agence internationale de l'énergie, dans cette interview au Monde.fr en avril : "Dans tous les secteurs industriels, il y a toujours eu une phase de consolidation de l'industrie, qui signifie qu'elle devient plus mûre. C'est le cas actuellement pour le photovoltaïque. Ainsi, si certaines compagnies rencontrent des difficultés, il n'en est pas de même pour l'ensemble du secteur. Le marché a en réalité augmenté de manière exponentielle ces dernières années  : la capacité d'installation était ainsi estimée à 17 GW en 2010 et 7 GW en 2009, contre 27 GW en 2011."

Une ombre au tableau toutefois : les incitations financières au secteur données par l'Etat allemand ont entraîné une hausse du prix de l'électricité de 2 cents par kilowattheure, les consommateurs payant au final 23 cents par kWh (contre 18 cents pour la moyenne européenne, et 12 en France). Au total, les usagers allemands payent 4 milliards d'euros par an en plus de leurs factures d'électricité, uniquement pour subventionner l'énergie solaire, d'après un rapport publié en 2012 par le ministère de l'environnement, que cite Reuters.

Un coût de l'énergie qui pourrait s'accroître encore en raison des investissements nécessaires pour la modernisation et le développement des réseaux électriques. Selon les professionnels du secteur, le réseau est encore trop fragile, notamment sur l'axe nord-sud (le solaire étant concentré dans le sud du pays et l'éolien offshore dans le nord). Le président de l'Agence des réseaux allemande a ainsi déploré, dans un entretien mardi au journal berlinois Taz, le rythme "trop lent" de leur expansion : sur les 1 800 kilomètres de nouvelles lignes électriques prévues en 2009, dans un plan de moyen terme, seuls 214 km ont vu le jour, critique Jochen Homann. Selon La Tribune, les estimations vont de 250 à 4 500 kilomètres supplémentaires de réseau à construire. Le débat fait rage sur le sujet, tant sur le montant de l'investissement nécessaire que sur les responsabilités en jeu.

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J'espère dans tout ces "gigawatts" solaire installés ils ne comptent pas les Gw installés chez les particuliers en zone péri-urbaine qui ne sera en réalité JAMAIS une source de puissance qu'on peu soustraire a un besoin local de fournir pour un opérateur électrique (et escroquerie que de le croire !)

Avec le solaire chez les particuliers :

_ On peut soustraire dans les besoins estimés locale en Mw, les installations de type "autoconsommation" (qui par exemple en France ne représente même pas 5% du marché des particuliers : qui en général sont des "écologistes" qui savent vraiment ce qu'ils font, et l'ont fait par choix de vraiment consommer ce qu'ils produisent) ou l'installé a aussi prévu un investissement vers des accus ...

On peut les soustraire en tant que "demande" (leur logement est autonome) mais pas les additionner en tant que producteurs d'énergie solaire : même s'ils sont éventuellement reliés au réseau ils n'en fourniront que "peu" (quand les accus sont plein milieu d'aprem en semaine quoi)

Je ne sais pas chez les allemands ce que ce genre d'install peut bien représenter sur leur marché, mais vu que l'écologie énergétique a la limite a meilleure audience chez eux : on peu a la limite peut être parler de 10% du marché ... (+ fort pouvoir d'achat moyen, technologie écologique + répandues dans les moeurs ect) parce que faut bien se dire une chose : dans un devis d'install a autoconso : des accus = grosso modo le prix des panneaux x 2 au final (soit le double d'une install classique)

_ Mais on peu aussi soustraire les installs + ou - isolées, par exemple une maison équipée de panneaux solaire dans un lotissement péri-urbain qui n'autoconsomme pas, mais vend a 100% a son opérateur électrique (et consomme en réalité ce que l'opérateur produit lui) n'est pas une véritable puissance qu'on peut considérer comme disponible et employable pour l'opérateur électrique ... Qui lui va continuer a fournir ses Mw locaux sans la moindre incidence par rapport aux années ou personnes n'étaient installés dans le coin ! Ce n'est pas des puissances visibles sur le jeu des équilibres a tenir en Mw locaux sur les réseaux

En réalité le solaire aux particuliers qui vendent a 100% aux opérateurs : ils ne sont visibles sur un réseau que si ils sont regroupés en quartier fortement équipés (comme les quartiers et cités "très solaires" comme il existe dans certaines villes et banlieues allemandes) et la ouaip : l'opérateur électrique peut alors prendre réellement en compte cette puissance produite : pour réellement s'en servir : le quartier devient une vrai "centrale" dont on peut vraiment se servir de la puissance produite

Et ça ? C'est combien réelle en Gw installés qui a une vraie visibilité de réseau pour l'opérateur qui va vraiment pouvoir utiliser cela en tant que puissance ?

Car c'est hélas une des premières choses qu'on apprends quand on se forme dans le solaire (pour bureau d'études, dimensionnement, enquête de réseau et de locailité ect, faire une étude financière pour la clientèle ect) : équiper une maison qui va vendre 100% de son électricité a un opérateur n'est pas une puissance a soustraire en tant que besoin a fournir pour l'opérateur ... Au mieux, la seule utilité a l'opérateur que ça a ce genre de choses quand il a une installe dans un lotissement péri-urbain : fournir du 230V très propre aux voisins (car ça a un effet sur la qualité du voltage localement fourni)

C'est le vrai problème du solaire, notamment en France, en l'état, les install aux particuliers ne servent en réalité a rien : sauf a dire qu'on a telle surface crète installée dans le pays : mais après ? Si tout est réparti en install dans des lotissements et villages éparpillés ou ça n'a pas la moindre incidence de puissance pour EDF ou un autre opérateur : a quoi ça sert vraiment ?

Seules les grands surfaces "pro" (entreprises installées ect ou investisseurs local sur des surfaces urbaines non utilisées) servent réellement a quelque chose dans l'addition des Gw installés ... (que l'opérateur électrique peut vraiment s'en servir en puissance, ou qu'on peu soustraire a un besoin local d'électricité ect) et ou les groupements de logements en quartier vraiment solaire (qui reviennent a une surface pro)

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Encore un record battu :

http://inhabitat.com/sharps-concentrator-solar-cell-sets-43-5-conversion-efficiency-record/

L'augmentation des programmes de recherche dans les énergies renouvelables va pemettre d'augmenter considérablement le rendement tout en abaissant le coût de ces énergies.

Les économies d'énergie sont une priorité des militaires américains :

http://inhabitat.com/15-us-military-leaders-say-climate-change-is-a-threat-to-national-security/

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Encore un record battu :

http://inhabitat.com/sharps-concentrator-solar-cell-sets-43-5-conversion-efficiency-record/

L'augmentation des programmes de recherche dans les énergies renouvelables va pemettre d'augmenter considérablement le rendement tout en abaissant le coût de ces énergies.

Les économies d'énergie sont une priorité des militaires américains :

http://inhabitat.com/15-us-military-leaders-say-climate-change-is-a-threat-to-national-security/

Déja y a 10 ans, les labos faisaient les cakes avec des cellules solaires a 30% : ça n'a pas changé le fait que ce qui se vend et est industrialisé a grande échelle 10 ans + tard : fait a peine 20% de rendement ... Du coup ça fait vite relativiser ces jolies exploits de laboratoire qui hélas ont surement leur utilité quelque part : mais apparemment pas celle de l'énergie de grande échelle a niveau mondial ...

Pour le reste on va pas tirer la gueule devant des yankees qui ont manifestement vu la lumière et même pourquoi pas s'en réjouir ... Puis après une courte réflexion : vu la culture du gaspi qu'ils ont déja dans le civil, on ose imaginer les ogres que peuvent être les machines et engins de l'US ARMY et vu la taille de l'effectif militaire : le moindre % d'économie d'énergie a leur niveau : c'est des milliards d'oseille qui vont tomber du ciel !

Bon ils ont peut être pas vu la lumière tout compte fait : mais au moins ça sera utile quand même  :lol:

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http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-L-espoir-des-eoliennes-flottantes-de-DCNS-_29019-avd-20120601-62950691_actuLocale.Htm

Le maire de Brest place son espoir dans l'éolien flottant, « un créneau où l'on va se positionner en force ». Les éoliennes flottantes sont la future génération d'éoliennes en mer. N'étant pas posées sur le fond, elles permettront d'aller plus au large, au-delà des 40 mètres de profondeur auxquels sont aujourd'hui limités les parcs offshore. Les gisements sont plus favorables à la Bretagne et à la Méditerranée.

DCNS fait figure de leader en France avec son projet Winflo, mené aux côtés du développeur lorientais Nass & Wind et du fabricant français d'éoliennes Vergnet. Un prototype modèle réduit doit être mis à l'eau en 2013 au Croisic (Loire-Atlantique). Puis un autre grandeur nature au large de Groix en 2015.

DCNS, qui a déjà choisi Cherbourg pour sa future usine d'hydroliennes (énergie des courants) promet que la fabrication des flotteurs d'éoliennes aura bien lieu à Brest, sur le polder du port de commerce. Mais les technologies (flotteur, raccordement électrique) restent à inventer et valider. Seulement deux prototypes grandeur nature sont à l'eau aujourd'hui dans le monde, en Norvège (Hywind) et au Portugal (Windfloat). Surtout, le marché ne s'y intéressera pas tant que les sites moins profonds pour l'éolien posé, déjà opérationnel et moins coûteux, ne seront pas saturés. Donc pas avant 2020.

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Ca oui, c'est du concept a explorer absolument ! Car ça permettrait d'augmenter considérablement le nombre de jours de production réelle dans l'année des éoliennes, libres de se positionner en position optimale de production par rapport au comportement du vent au fil des jours ...

Et le double avantage aussi de faire taire les anti "tout" et "nimby" récurrents qui sont vraiment fatigants !

Ca va gacher le paysage ? Ben non, elles sont capables de vraiment disparaitre au large ...

On poura plus "pêcher" ? Ben si, puisque sans pilliers ect ça ouvrira bien des possibilités

Enfin, pour la pêche de toute façon, on peu toujours temporiser les opposants sur le fait que justement fixes ou pas, en réalité les parcs éoliens seront une bénédiction en imposant des surfaces de non-pêche qui deviennent réservoir de repeuplement efficace, de la même manière que les "parcs" en rotation sur les sites de pêche tropicaux qui se révèlent être des expériences non seulement concluentes, mais très efficace pour repeupler et garantir une pêche aux "pro" qui gueulaient a leur début ... (ceux qui ont vu, l'effet ... ne reviendront pour rien au monde en arrière)

Mais bon, d'un autre coté, de toute façon : il existe déja par exemple sur les parcs éoliens britanniques, des accords d'exploitation de pêche directement dans les zones de champ éolien, ou certains pêcheurs y sont autorisés car formés par l'exploitant du parc éolien sur les techniques de pêches qui ne rentrent pas en conflit avec la sécurité de l'infrastructure ... Du coup c'est relatif : mais ça permet toujours de rendre impossible certaines pêches et donc certaines espèces pour qui cela constitue un parc de non pêche qui y trouve réservoir de repeuplement

(dans tout les cas, de toute façon : la France est condamné a moyen terme de mettre en parc en rotation, l'intégralité de sa ZEE de la métropole pour espérer relancer des repeuplements de stock ... Le jour ou ça arrivera ça sera la guerre totale avec les pêcheurs qui n'en voudront pas, comme d'hab ... Pis constateront par le fait accompli quelques années après combien ils étaient idiots de s'y opposer ...)

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Les centrales thermiques a refroidissement hydraulique confronté au changement climatique...

http://ecologie.blog.lemonde.fr/2012/06/07/les-centrales-sous-la-menace-du-changement-climatique/

Fukushima l'a dramatiquement prouvé : les centrales électriques sont impuissantes face aux éléments naturels. De manière bien moins violente, mais tout aussi inquiétante, elles se révèlent de plus en plus vulnérables alors que le climat se réchauffe. L'augmentation de la température des eaux et la réduction du débit des fleuves, dans lesquels elles puisent d'importants volumes pour se refroidir, vont ainsi menacer à l'avenir le fonctionnement des centrales nucléaires et au charbon d'Europe et des Etats-Unis, confirme une nouvelle étude publiée lundi dans la revue Nature Climate change et citée par Reuters.

L'équipe de chercheurs européens et américains a mesuré les températures actuelles des eaux et effectué des projections jusqu'au milieu du siècle. Ils ont ainsi estimé que les jours où l'eau des lacs et des rivières atteindra des températures considérées aujourd'hui comme extrêmement élevées seront trois fois plus nombreux.

Dans ce monde plus chaud, des pénuries d'eau de refroidissement se produiront de deux manières. Tout d'abord, de nombreuses rivières verront leur débit réduit. Or, les centrales thermoélectriques, qui fournissent 91 % de l’électricité aux Etats-Unis et 78 % en Europe, représentent respectivement 40 % et 50 % de la consommation d’eau douce de ces pays, à la fois pour produire de la vapeur d'eau qui va alimenter les turbines et pour refroidir ces dernières. Le volume d'eau pompée étant strictement défini par des standards environnementaux, les centrales pourront être amenées à manquer d'eau. En France, déjà, lorsque le débit de la Loire descend sous 60 mètres cubes par seconde, en cas de forte chaleur, les quatre centrales, qui puisent à plein régime entre 3 et 10 mètres cubes par seconde, doivent se coordonner pour maintenir un niveau d'eau suffisant sur le fleuve.

Ensuite, la température de l'eau va augmenter, la rendant impropre au refroidissement des centrales électriques. Aux Etats-Unis et en Europe, les centrales ont pour obligation de ne pas dépasser une certaine température dans les rivières (située autour de 28° C en France) lorsqu'elles rejettent l'eau venant des circuits de refroidissement. Si cette température est atteinte, la centrale doit réduire voire arrêter la puissance de ses réacteurs.

Conséquence : la capacité de production électrique des centrales nucléaires et au charbon devrait chuter de 4 à 16 % aux Etats-Unis et de 6 à 19 % en Europe entre 2030 et 2060. Et la probabilité d'une diminution extrême de la production électrique (- 90 %), conduisant à une fermeture totale ou partielle des infrastructures, devrait presque tripler.

"Cette étude suggère que notre dépendance au refroidissement thermique est quelque chose que nous devrons revoir, notamment au regard d'une demande d'électricité croissante", assure Dennis Lettenmaier, co-auteur du rapport et professeur d’ingénierie civile et environnementale à l’université de Washington à Seattle.

Des solutions existent néanmoins pour minimiser le problème. L'étude conseille ainsi de fabriquer des centrales électriques moins dépendantes de l'eau douce, en utilisant l'eau salée des mers - dont le réchauffement se fera plus lentement. Les  centrales au gaz naturel les plus récentes, par ailleurs, nécessitent moins d'eau que celles à charbon ou nucléaires.

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Les centrales thermiques a refroidissement hydraulique confronté au changement climatique...

http://ecologie.blog.lemonde.fr/2012/06/07/les-centrales-sous-la-menace-du-changement-climatique/

Quoi de nouveau ?

La vague de chaleur de 2003 avait pose de GROS soucis a plusieurs centrales nucleaires en France.

Par contre, pour les autres centrales que l'on disait immunise a un tel probleme, effectivement, on parlait alors plus de centrales utilsiant du gaz je pense (pour le charbon, je suis un inculte complet par contre).

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Quoi de nouveau? La vague de chaleur de 2003 avait pose de GROS soucis a plusieurs centrales nucleaires en France. Par contre, pour les autres centrales que l'on disait immunise a un tel probleme, effectivement, on parlait alors plus de centrales utilsiant du gaz je pense (pour le charbon, je suis un inculte complet par contre).

Ce qu'il y a de nouveau c'est qu'on a des chiffres prévisionnelles et qu'on a des début de solutions ;)

Reste que les début de solution posent de nouveaux problème. Rapprocher les centrale thermique de la mer pour les alimentés en eaux ca les exposera aussi a un risque de submersion, risque qui est tres modeste pour les centrales alimenté par l'eau des rivieres.

Parallèlement moins d'eau c'est moins d'hydroélectricité, aussi bien de haute chute, qu'au fil de l'eau.

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Ce qu'il y a de nouveau c'est qu'on a des chiffres prévisionnelles et qu'on a des début de solutions ;)

Reste que les début de solution posent de nouveaux problème. Rapprocher les centrale thermique de la mer pour les alimentés en eaux ca les exposera aussi a un risque de submersion, risque qui est tres modeste pour les centrales alimenté par l'eau des rivieres.

Parallèlement moins d'eau c'est moins d'hydroélectricité, aussi bien de haute chute, qu'au fil de l'eau.

La submersion est elle tant un risque que cela, quand il me parait pourtant pas impossible de trouver des sites en bord de mer a au moins 20m (naturellement) au dessus du niveau de la mer ... Bon après évidemment ça demande des solutions de pompage de l'eau + couteuses qu'un site terrassé a 1m50 au dessus du niveau de la mer, ce qui est contrainte en +

Et que ce genre de sites, est souvent sous couvert de protection littoral ect

En normandie ou en bretagne : ce ne sont pas les sites potentiels qui manquent, en prenant évidemment en compte les sites en "craie" a forte érosion qui peuvent éventuellement reculer a vitesse grand V en quelques décennies

En fait, le vrai problème c'est le choix des sites en bordure de mer, mais aussi les gaulois locaux avec l'inévitable phénomène "nimby" qui a force tendance a faire hurler les grandes gueules provinciales ... Opposés a tout, quoi qu'on fasse, quoi que se soit ! (et qui seront les mêmes a hurler contre chomage et paupérisation)

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