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Guerre civile en Syrie


Messages recommandés

6 hours ago, collectionneur said:

Il y a déjà le cas d'une famille semblable il y a quelques semaines au mains des irakiens, la liste ne peut que s'allongé pour tout les pays européens, casse tête juridique en vue, les bébés ont ils la nationalité française ? peut on les mettre en famille d’accueil ?... :destabilisec:

Parents français nationalité française ... évidement un juge des enfants ou un procureur pourrait prendre une ordonnance de placement en foyer, mais malheureusement c'est tres tres tres loin d’être la norme pour les "non sédentarisé" en France.

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Il y a 10 heures, Joaquim a dit :

Les (premières) négociations entre le PYD et le gouvernement syrien auraient échoué après le refus des FDS de remettre les territoires arabes au gouvernement en échange d'une sorte d'autonomie pour les territoires kurdes du nord du pays. Ça reste compréhensible sachant que les kurdes perdraient une grande partie de ses champs gaziers/pétroliers et que ses cantons ne seraient plus reliés mais c'est une bonne chose de voir que la diplomatie pourrait permettre de régler ce problème qui va se poser à la fin de la guerre.

Remplacer kurdes par américains et syriens par russes c'est plus juste pour comprendre le véritable problème, ça se joue entre ces 2 puissances pour les champs Gaz/Pétr. !

 

Vers la fin ça raconte la même cassette "Propagande, régime, réécriture de l'histoire,  main de fer sur une grande ville", l'autre camp c'est veritas absolute !

 

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Syrie: «Le régime pourrait perdre le contrôle de son économie au profit de la Russie et de l’Iran»

http://www.lopinion.fr/edition/international/syrie-regime-pourrait-perdre-controle-economie-profit-russie-l-iran-136620

 

Révélation

« Moscou exige de percevoir 25 % des ressources que les autorités syriennes tirent de la remise en état de leurs puits de pétrole, d’abord autour de Homs puis de Deir Ez-Zor »

 

Sauvé au plan militaire et politique, le régime de Bachar al-Assad va devoir en payer le prix auprès de ses alliés, alors que la reconstruction économique du pays pourrait désormais s’engager. Soumis à un embargo international décrété par l’Europe et les Etats-Unis, le régime syrien de Bachar al-Assad doit s’en remettre à ses soutiens militaires, iraniens et russes, pour tenter de sauver ce qui peut l’être de l’économie nationale. Cela, alors que quelque 13 millions de Syriens, exilés ou pas, sont en situation de détresse humanitaire, selon l’ONU.

Dans les faits, le pouvoir va ainsi perdre le contrôle sur des pans entiers des activités industrielles qui prévalaient avant la guerre civile. Bien sûr, il tente de réorganiser un semblant d’activités dans la capitale, comme cet incertain séminaire régional de cardiologie qui vient tout juste de se tenir. Mais les autorités gèrent surtout une pénurie généralisée. La production électrique est par exemple réduite de moitié, avec à peine 7 000 mégawatts tirés des centrales thermiques de Damas, Tartous, Homs et Hama. C’està-dire le minimum pour, la nuit tombée, éclairer un peu les villes sous contrôle, et honorer des contrats de vente d’électricité au Liban voisin qui assurent un flux régulier de devises. En réalité, cette industrie est désormais de facto entre les mains des alliés iraniens.

Un protocole signé avec Téhéran le 12 septembre sur un projet d’investissement de 2 milliards de dollars prévoit la construction d’une centrale électrique à Lattaquié, l’évaluation de l’état de la centrale thermique d’Alep et la remise en état de deux unités au gaz naturel. Figurent aussi la réhabilitation des centrales de Homs et Deir Ez-Zor, et celle du centre de pilotage du réseau électrique syrien. Ce projet incluant la maintenance des installations assurera aux sociétés contractantes comme Sunir et Mabna, liées aux Gardiens de la révolution, un contrôle de fait sur le secteur stratégique. Une façon de commencer à récupérer les 3,6 milliards de dollars de prêts consentis en août 2013 par Téhéran…

Influence des Pasdarans. Ces prises de positions accompagnent l’influence grandissante des Pasdarans ( Gardiens de la Révolution iraniens) au sein des structures militaires, conséquence directe de leur implication dans les combats au côté de quelque 10 000 miliciens chiites. Actuellement, ceux-ci pèsent lourd dans les débats en cours à propos de la réorganisation des forces syriennes – qu’ils voudraient calquer sur leur modèle avec des paramilitaires en position de force. Pour l’instant, les alliés russes s’y opposent, préférant une formule plus conventionnelle marquée par un renforcement de l’armée de terre et de ses unités spéciales. Ces divergences de vues s’ajoutent bien évidemment aux rivalités, inexprimées mais bien réelles, dont l’enjeu est le partage du marché syrien. Car Moscou a pareillement l’intention de rentabiliser son intervention dans le pays. A sa manière.

En l’occurrence, les Russes exigent de percevoir 25 % des ressources que les autorités syriennes commencent à tirer de la remise en état de leurs puits de pétrole, d’abord autour de Homs puis de Deir Ez-Zor. Une revendication non négociable qui agace beaucoup à Damas. Il y va d’une souveraineté proclamée haute et fort alors que l’essentiel des richesses du pays est mobilisé pour l’effort de guerre et qu’il faut aussi commencer à penser à la reconstruction dans un contexte particulièrement tendu. La production de brut qui était de 385 000 barils par jour avantguerre est tombée aux alentours de 8 000 b/j, l’extraction de gaz passant de 21 millions à 9 millions de m3 par jour.

Pour l’année en cours, le président de la Société Syro-Britannique Fawaz al-Akhrass, beaupère de Bachar al-Assad, évoque une légère augmentation d’ici la fin 2017, avec 12 000 b/j pour le pétrole et 11,5 millions de m3/jour pour le gaz. Avec les ponctions financières réclamées par les gardiens des puits, les rentrées d’argent ne progresseront donc pas au même rythme. Dans le même temps, les majors russes (Lukoil, Rosneft, déjà présentes en Egypte) sont à la manoeuvre sur les sites, dans la droite ligne des initiatives du groupe SoyuzNefteGaz présidé par Yuri Shafranik qui, en 2015, a préempté l’exploitation offshore de blocs situés au large du port de Tartous.

Autre objectif : les réserves de gaz que détiendrait le sous-sol dans la région de Homs. Cette présence protéiforme se manifeste sans la moindre concession. Dans les bureaux défraîchis et poussiéreux de l’administration du pétrole et des ressources minières, on s’étrangle chaque fois que le ministre Ali Ghanem est obligé, selon des sources dignes de foi, d’obtenir le feu vert des Russes quand il veut se déplacer sur « ses » champs pétrolifères.

Aucun hasard, dès lors, si le lieutenant général Valery Asapov, tué près de Deir Ez-Zor à la fin du mois de septembre par un obus de mortier, n’a pas vraiment été pleuré dans cette administration ! Le défunt, âgé de 51 ans, n’était pas seulement le patron des fantassins projetés en septembre 2015 pour inverser le rapport des forces contre les djihadistes, avant de commander le 5e corps de volontaires syriens. Il supervisait aussi des sociétés militaires privées russes requises pour épauler le corps expéditionnaire et concourir à la sécurité des champs pétroliers et gaziers repris à Daech. Une mission qui s’est amplifiée, ces derniers mois. Les premières initiatives n’avaient guère été couronnées de succès. Les 250 hommes du Slavonic Corps, bizarrement basée à Hong-Kong, mal équipés, mal adaptés au terrain, avaient rapidement plié armes et bagages. Le groupe « Wagner » a eu plus de réussite. Ses 1 500 personnels, constitués comme une unité d’élite, s’activent aujourd’hui en véritable relais de la politique russe. Leur patron, Dmitri Outkine, a d’ailleurs longtemps commandé une brigade des forces spéciales du GRU, le renseignement militaire.

Richesses pétrolières. Si la relance de l’extraction des richesses pétrolières constitue l’enjeu principal de ce drôle de jeu, d’autres secteurs vont également devoir apprendre à composer avec les invités russes. Les infrastructures portuaires de Lattaquié et de Tartous sont directement concernées. Autre exemple dans les télécoms. Bien sûr SyriaTel et MNT Syria resteront contrôlés par des membres de la famille présidentielle. Mais le troisième opérateur qui s’installera à terme sur le marché local pourrait bien être un proche de Poutine.

Dans le détail de cet écheveau, notons que les nouveaux billets, notamment ceux de 1 000 et 2 000 livres utilisés pour les achats quotidiens, proviennent tout droit d’imprimeries russes. Officiellement, en réponse à un besoin urgent de la Banque centrale syrienne qui tentait de bloquer la mise en circulation de fausses coupures. Cet élan est supervisé par un rude négociateur : le vice-président du gouvernement de Russie Dmitri Rogozine, par ailleurs en charge du suivi du secteur militaro-industriel.

Inutile toutefois d’imaginer une ruée d’hommes d’affaires russes. Ceux-ci demeurant prudemment à Lattaquié où est basé l’essentiel du corps expéditionnaire délégué par Poutine, les voitures de luxe immatriculées à Moscou qui circulent dans les rues de la capitale syrienne se comptent sur les doigts d’une main. Un facteur contribue tout de même à freiner le « business » : la Syrie n’a pas une bonne réputation commerciale depuis la fin de l’URSS, du fait de la médiocre qualité des produits locaux qui étaient alors importés par la Russie.

Le régime syrien n’a, en tout cas, pas d’échappatoire. Sans soutien militaire iranien et russe, la rébellion islamiste pourrait encore tenir longtemps ses positions même si les proches de Bachar al-Assad assurent que la victoire est désormais « à portée de mains ». Y compris dans la banlieue de Damas, malgré quelques accords de réconciliation déjà conclus. L’explosion d’une voiture piégée et plusieurs opérations de kamikazes près du siège de la police syrienne, les 2 et 11 octobre, ont montré que la capitale était encore loin d’être pacifiée. Ces opérations suicides entraînent immanquablement, les nuits suivantes, une riposte d’artillerie contre les trois secteurs où les islamistes de Jaich al-Islam (l’Armée de l’Islam) sont encore présents à l’est de la capitale, entre le quartier en ruine de Jobar et Aïn Tarama à l’entrée de la plaine de la Ghouta. L’extrémité de ce front n’est d’ailleurs éloignée que de deux ou trois kilomètres du Vieux Damas.

Autre preuve d’une menace bien présente : la circulation reste entravée par d’innombrables contrôles d’hommes en armes au hasard des rues et des carrefours. Les rassemblements sont également prescrits. Seul, le récent match de foot Australie-Syrie a été l’occasion d’une entorse à des règles de sécurité drastiques…

 

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La Russie investit actuellement surtout en Syrie pour y conserver sa base navale à Tartous et montrer qu'elle a encore une influence significative sur les affaires du monde. Sans cette base, impossible de faire sortir sa flotte de la mer noire car personne ne voudra les ravitailler à cause des pressions américaines.

L'Iran investit pour des raisons religieuses en partie mais surtout dans le but d'avoir un pipeline vers la méditerranée lui évitant de faire passer ses hydrocarbure par le golfe qui peut être fermé à tout instant comme on l'a vu lrs des guerres du golfe persique.

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Partie rejoindre Daesh en Syrie, elle demande le rapatriement de ses enfants

Ce sont des Français qui ont rallié la Syrie pour combattre aux côtés du groupe État islamique. Certains de leurs proches ont écrit à Emmanuel Macron pour lui demander d’organiser leur rapatriement afin que les femmes, notamment, soient jugées en France plutôt qu’en Syrie. Arnaud Comte, envoyé spécial en Syrie, a rencontré l’une d’entre elles. 

http://www.francetvinfo.fr/monde/revolte-en-syrie/partie-rejoindre-daesh-en-syrie-elle-demande-le-rapatriement-de-ses-enfants_2447334.html#xtor=AL-79-[article_video]-[connexe]

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L'aviation préférée des forces jihadistes en Syrie a frappé des positions gouvernementales à Homs.

https://www.lorientlejour.com/article/1081714/raid-aerien-disrael-contre-un-depot-darmes-en-syrie.html

 

Citation

L'armée de l'air israélienne a bombardé mercredi soir un dépôt d'armes en Syrie, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), alors que l'Etat hébreu a multiplié ces dernières semaines ce type d'incursion.

 

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faudrait qu'ils fassent attention, des qu'assad a un soucis, les  tapis de bombes russes arrivent, assad n'a plus vraiment la main vis à vis de son allié. 

Maintenant que les menaces ilsamistes se réduisent, tous les acteurs de la région vont commencés à  se regarder en yeux de faience, on entre dans

un moment de transition complexe. 

Modifié par zx
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il y a 18 minutes, Joab a dit :

Pour la première fois depuis le début de la guerre civile, l'armée israélienne indique qu'elle pourrait aider les forces anti Assad du village frontalier et druze de Hadar a tenir face à l'offensive d'Assad.

Si ça se confirme ça risque de donner un gros boost à la propagande du camp gouvernemental. 

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4 minutes ago, nemo said:

Si ça se confirme ça risque de donner un gros boost à la propagande du camp gouvernemental. 

Quelle propagande? Qu'Israël aide les salafistes takfiristes druzes? LOL. Par contre, ça peut aider à mobiliser contre l'ennemi de longue date.

Israël a demandé aux russes que les milices dirigées par l'Iran soient éloignée de la frontière syrienne, à mon avis, si Israël devait intervenir à la frontière syrienne, ce serait dans ce sens, pour négocier avec les russes le futur de la frontière syro-israélienne.

Modifié par Joab
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9 minutes ago, MontGros said:

Israel est deja engagé dans le conflit, à ma connaissance toutes leurs frappes aériennes ont visés des loyalistes. La moindre frappe aérienne est un acte de guerre à ne pas minimiser ou banaliser.

Israël est en guerre contre le Hezbollah qui veut profiter de la guerre civile syrienne pour acquérir des armement sophistiqués et qui essaye de s'implanter à le frontière syro israélienne, ça n'a rien à voir avec le conflit entre syriens.

Modifié par Joab
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Quand tu frappes seulement  un camp pour des raisons ou autres, l'autre camp à idéologie extrémiste terroriste sauvage doit logiquement profiter que l'on veut ou non, sur le terrain ces fameux pseudo "musulmans " mercenaires terroristes que font dans les frontières avec le Golan ? C'est quoi leur principale objective ?

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28 minutes ago, numidiadz said:

Quand tu frappes seulement  un camp pour des raisons ou autres, l'autre camp à idéologie extrémiste terroriste sauvage doit logiquement profiter que l'on veut ou non, sur le terrain ces fameux pseudo "musulmans " mercenaires terroristes que font dans les frontières avec le Golan ? C'est quoi leur principale objective ?

Ah donc si Israël se fait attaquer par le Hezbollah, elle ne devrait pas se défendre parce que le Hezbollah a des ennemis extrémistes? Elle est pas mal cette logique.

Sinon, les rebelles syriens sur la frontière israélienne ne sont pas différents des rebelles syriens dans la Ghouta, Homs, Idlib ou ailleurs.

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il y a 46 minutes, Joab a dit :

Israël est en guerre contre le Hezbollah qui veut profiter de la guerre civile syrienne pour acquérir des armement sophistiqués et qui essaye de s'implanter à le frontière syro israélienne, ça n'a rien à voir avec le conflit entre syriens.

Nul doute qu'il y aura d'ici quelques temps un gros affrontement entre Israël et le Hezbollah .

L'armée israélienne ce prépare , le hezbollah aussi , il y a eu nombre de changement au sein de l'appareil militaire israélien ( commandement , réorganisation , entraînement etc ...) après la dernière guerre au Liban .

il y a une heure, Joab a dit :

Quelle propagande? Qu'Israël aide les salafistes takfiristes druzes? LOL. Par contre, ça peut aider à mobiliser contre l'ennemi de longue date.

Israël a demandé aux russes que les milices dirigées par l'Iran soient éloignée de la frontière syrienne, à mon avis, si Israël devait intervenir à la frontière syrienne, ce serait dans ce sens, pour négocier avec les russes le futur de la frontière syro-israélienne.

Je pense que la Russie va devenir un acteur très important au Moyen-Orient  . Un acteur qui n'aura pas les casseroles aux fesses tel que l'ont les USA ...Vu le désordre qu'ils ont amené ...

La Russie a la capacité de dialoguer avec tout le monde , et ce n'est pas rien dans ce contexte compliqué .

Je pense que la Russie va aussi devenir un acteur important pour l'Irak qui une fois le plus gros réglé avec l'EI amènera vers la sortie les USA ( en passant par un nouvel approvisionnement au niveau militaire avec la Russie ) , les liens avec l'Iran  , même si il restera des éléments qui feront du hit and run dans les zones sunnites .

Moi je pense que le plus ironique dans tout sa , c'est que les USA en envahissant l'Irak , en pensant avoir un point dans la région  ont au final offert l'Irak sur un plateau à l'Iran , et donc un renforcement de l'arc chiite ( Iran , Irak Syrie ) .

Moi je regarde la carte , et il n'y a nul doute que les interventions US , en Irak et en Afghanistan ont eu pour but de ce positionner autour de l'Iran .

Alors après avoir pris le prétexte d'apporter la démocratie en Irak , en oubliant que la démographie confessionnelle allez peser ... Et que les chiites irakiens avaient un litige avec les US , le fameux revoltez-vous contre saddam ... sans que les US interviennent lors de la répression en 1991 ... Puis l'embargo qui verra saddam toujours resté en place , les chiites étant à mon avis largement puni par saddam qui distribuera sûrement en priorité nourriture/ médicaments etc ... aux sunnites et aux soutiens du parti baas ...

Donc il était évident que la démocratie allez surtout permettre à la mise en place d'un gvt chiite permanent malgré l'alternance des mandats avec des élections bien démocratique .

Donc du point de vue de l'Irak , l'effet cycle de la vengeance/haine va continuer , les sunnites étant les moins nombreux , ont peu craindre que les chiites commettent l'erreur d'opter pour une répression dans la durée . Sauf si le gvt irakien arrive à gérer la suite , mais la je serais bien incapable de confirmer mon sentiment sur ce point .

En Syrie , même si les alaouites et les chiites sont les moins nombreux , il y a une partie des sunnites qui restent fidèle au régime syrien .

Donc dans ce contexte compliqué , je pense que la Russie va devenir un acteur important dans la région , et cela auprès de quasiment tout les pays du coin .

Je pense que pour Israël , il en sera de même , la présence russe est un atout non négligeable comme interlocuteur avec les pays voisins .

Enfin voilà mon sentiment sur le sujet .

Reste à voir si la France aussi pourrait-être un acteur dans la région après tout cette période ou elle a fait des choix hasardeux je dirais en ce mêlant du conflit syrien .Pour moi ne pas soutenir la rébellion ne veut pas dire soutenir le régime syrien , juste qu'on ne pouvait pas faire confiance aux alliés saoudiens and co ...

 

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Il y a 2 heures, Joab a dit :

Pour la première fois depuis le début de la guerre civile, l'armée israélienne indique qu'elle pourrait aider les forces anti Assad du village frontalier et druze de Hadar a tenir face à l'offensive d'Assad.

C'est l'inverse :)

Hader est contrôlé par les soldats de l'AAS et des miliciens locaux (druzes). Ce sont les rebelles qui ont lancé une offensive (qui a déjà été repoussée) dans l'objectif de briser le siège sur Beit Jin, un peu plus au nord.

Israël a " gentillement " fait comprendre aux rebelles de ne pas attaquer ce village druze, étant donné que les israéliens se posent en protecteurs de cette minorité.

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il y a une heure, Joab a dit :

Ah donc si Israël se fait attaquer par le Hezbollah, elle ne devrait pas se défendre parce que le Hezbollah a des ennemis extrémistes? Elle est pas mal cette logique.

Sinon, les rebelles syriens sur la frontière israélienne ne sont pas différents des rebelles syriens dans la Ghouta, Homs, Idlib ou ailleurs.

Le Hezbollah prendra-t-il le risque de mener une guerre sur plusieurs fronts ? Non, ce n'est pas une armée régulière qui est classés parmi les meilleurs armées au monde, elle n'a pas à sa disposition une arme de dissuasion massif, ni d'avions de combat de dernière génération, ni de systèmes anti-aériens, ni........etc

Peut être des missiles sol-sol  de fabrication "indigène voir iranienne "mais leur réelles capacités ? Bref on connait la stratégie de la surestimation, l'ex-armée irakienne classés 4 au monde et l'une des plus redoutables à l'époque....et son programme nucléaire....blablablablabla......!!!

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