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Guerre civile en Syrie


Messages recommandés

 

 

Certains avions ont survécu aux campagnes de bombardements israéliens. Mais des mig 23 et su22 ne constituent pas une grosse menace envers Israël.

Enfin ce type d'avion est il entretenable pour les nouvelles autorités ? Il aurait mieux fallu pour eux que ce soit des albatross avec possibilité d'avoir des Zuni qui survivent (facile d'entretien, facile d'apprentissage et armement simple) pour le cas dans un pays comme la bas ça suffit sachant que de toute façon il ne constituent plus une menace et que ce sont des milices leurs principaux opposant.

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Il y a 2 heures, Connorfra a dit :

Certains avions ont survécu aux campagnes de bombardements israéliens. Mais des mig 23 et su22 ne constituent pas une grosse menace envers Israël.

Enfin ce type d'avion est il entretenable pour les nouvelles autorités ? Il aurait mieux fallu pour eux que ce soit des albatross avec possibilité d'avoir des Zuni qui survivent (facile d'entretien, facile d'apprentissage et armement simple) pour le cas dans un pays comme la bas ça suffit sachant que de toute façon il ne constituent plus une menace et que ce sont des milices leurs principaux opposant.

Attention ceci dit. De loin, certains avions ont l'air en bon état mais quand on a des images plus proches des cellules, ce n'est as toujours le cas.

De ce qu'on sait, et en admettant que ces avions n'aient pas été détruits à Hama et Homs, le gros de la flotte encore en état de vol se constitue justement d'Aero L-39. Quelques MiG-21 et MiG-23. Les Su-22 et Su-24 paraissent nettement plus rares (et on peut penser que les Israéliens ont tout particulièrement traqué les 24).

Pour le reste, il faudra avant toute chose établir un état des lieux des équipages, des bases et des soutiens possibles.

Modifié par Ciders
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Il y a 2 heures, Connorfra a dit :

Ça bouche devant le port de Tartous les nouvelles autorités refuseraient  aux navires d'évacuation russes l'accès au port.

La situation doit pas être jolie jolie dans ce port encerclé.

Ils essayent probablement de faire monter les enchéres.

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il y a 44 minutes, nemo a dit :

Ils essayent probablement de faire monter les enchéres.

Absolument maintenant on a toute les ressources humaines russes du pays rassemblé et encerclé avec des armes lourdes braquées sur eux en permanence sans plein de civils comme à Kaboul ou Saigon autour sans itinéraires de fuite, sans les infrastructures suffisantes sans ravitaillement.

C'est donne ce que je te demande ou ce sera pas jolie à voir...

 

mais les russes accepterons t'ils quoi que ce soit ? Après tout vu le bordel en Ukraine on voit bien que quelques milliers de bonhommes c'est quelques jours de pertes sur le front.

 

Mais les soldats hors ex-wagner qui sont en Syrie sont un peu tout ce qui reste d'armée professionnelle et de corp expéditionnaire à la Russie ce sont des pertes plus difficiles à supporter Que le z trooper de 50 pige alcoolique depuis 20 ans attiré par l'apat du gain.

 

Et ce serait bien mediatiquement diffusé et désastreux 

La seule réponse russe en cas de fort Alamo au vue de l'état actuel de la Russie ce serait de la wunderwaffen.

Modifié par Connorfra
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Il y a 2 heures, Connorfra a dit :

Absolument maintenant on a toute les ressources humaines russes du pays rassemblé et encerclé avec des armes lourdes braquées sur eux en permanence sans plein de civils comme à Kaboul ou Saigon autour sans itinéraires de fuite, sans les infrastructures suffisantes sans ravitaillement.

C'est donne ce que je te demande ou ce sera pas jolie à voir...

 

mais les russes accepterons t'ils quoi que ce soit ? Après tout vu le bordel en Ukraine on voit bien que quelques milliers de bonhommes c'est quelques jours de pertes sur le front.

 

Mais les soldats hors ex-wagner qui sont en Syrie sont un peu tout ce qui reste d'armée professionnelle et de corp expéditionnaire à la Russie ce sont des pertes plus difficiles à supporter Que le z trooper de 50 pige alcoolique depuis 20 ans attiré par l'apat du gain.

 

Et ce serait bien mediatiquement diffusé et désastreux 

La seule réponse russe en cas de fort Alamo au vue de l'état actuel de la Russie ce serait de la wunderwaffen.

TU dramatise un peu on en est pas encore là. Pressurer un peu les russes pour gagner des sous ou des armes c'est une choses faire un massacre et se retrouver avec un ennemi qui risque de vous faire chier pendant des décennies et qui en a les moyens une autre. Après tout dépend du niveau de contrôle qu'on les "autorités" sur les troupes locales.

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il y a une heure, nemo a dit :

TU dramatise un peu on en est pas encore là. Pressurer un peu les russes pour gagner des sous ou des armes c'est une choses faire un massacre et se retrouver avec un ennemi qui risque de vous faire chier pendant des décennies et qui en a les moyens une autre. Après tout dépend du niveau de contrôle qu'on les "autorités" sur les troupes locales.

Je suis sur la même longueur d'onde. Je grossi juste le trait... l'épaisseur du trait c'est important. :laugh:

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Il y a 3 heures, Connorfra a dit :

Absolument maintenant on a toute les ressources humaines russes du pays rassemblé et encerclé avec des armes lourdes braquées sur eux en permanence sans plein de civils comme à Kaboul ou Saigon autour sans itinéraires de fuite, sans les infrastructures suffisantes sans ravitaillement.

C'est donne ce que je te demande ou ce sera pas jolie à voir...

 

mais les russes accepterons t'ils quoi que ce soit ? Après tout vu le bordel en Ukraine on voit bien que quelques milliers de bonhommes c'est quelques jours de pertes sur le front.

 

Mais les soldats hors ex-wagner qui sont en Syrie sont un peu tout ce qui reste d'armée professionnelle et de corp expéditionnaire à la Russie ce sont des pertes plus difficiles à supporter Que le z trooper de 50 pige alcoolique depuis 20 ans attiré par l'apat du gain.

 

Et ce serait bien mediatiquement diffusé et désastreux 

La seule réponse russe en cas de fort Alamo au vue de l'état actuel de la Russie ce serait de la wunderwaffen.

Ou de menacer nucléairement les locaux.

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Pendant se temps la, la Turquie étend son emprise sur la Syrie. L'aviation turques ne cessent de bombarder les YPG/SDF autour de Kobane, Qarah Qwazak, Tishrin et Tall Tamr.

A priori le gouvernement intérimaire accuse les YPG/SDF de terrorisme concernant de soit disant VBIED destiné à mettre le chaos à Alep.

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  • 2 weeks later...

le nouveau gouvernement a officiellement révoqué le Baille pour la gestion du port de Tartous.

Ce qui veut dire que le personnel du port ne répond plus aux ordres des russes mais du gouvernement de Damas.

Ce qui signifie qu'en plus de rendre le départ difficile en empêchant les navire Russe d'évacuer à leur guise; rien ne peu être chargé ou décharger sans accord préalable. 

Ça veut dire les hommes. Mais je pense surtout au matériel dans la tête des dirigeants.

L'équipement militaire non évacuer représenterait une mine d'or pour le nouveau gouvernement et son armée.

Surtout suite à la destruction du plus gros du matériel lourd par les frappe Israëlienne.

C'est une interprétation personnelle Personnellement j'aimerais pas être un russe coincé entre la mer et des barbus revanchards.

(Au moins ils sont pas sur le front en Ukraine)

 

 

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il y a 47 minutes, Connorfra a dit :

le nouveau gouvernement a officiellement révoqué le Baille pour la gestion du port de Tartous.Ce qui veut dire que le personnel du port ne répond plus aux ordres des russes mais du gouvernement de Damas.

le personnel répondra a celui qui paie le salaire. Il ne faut pas oublier de le verser.....et en avoir la capacité.

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Il y a 2 heures, Connorfra a dit :

le nouveau gouvernement a officiellement révoqué le Baille pour la gestion du port de Tartous.

Ce qui veut dire que le personnel du port ne répond plus aux ordres des russes mais du gouvernement de Damas.

Ce qui signifie qu'en plus de rendre le départ difficile en empêchant les navire Russe d'évacuer à leur guise; rien ne peu être chargé ou décharger sans accord préalable. 

Ça veut dire les hommes. Mais je pense surtout au matériel dans la tête des dirigeants.

L'équipement militaire non évacuer représenterait une mine d'or pour le nouveau gouvernement et son armée.

Surtout suite à la destruction du plus gros du matériel lourd par les frappe Israëlienne.

C'est une interprétation personnelle Personnellement j'aimerais pas être un russe coincé entre la mer et des barbus revanchards.

(Au moins ils sont pas sur le front en Ukraine)

 

 

C'est dommage, le Sparta 2 vient de rentrer dans le port de Tartous justement :laugh:

Donc les Russes arrivent encore à négocier avec le gouvernement Syrien 

 

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il y a 6 minutes, Vince88370 a dit :

C'est dommage, le Sparta 2 vient de rentrer dans le port de Tartous justement :laugh:

Donc les Russes arrivent encore à négocier avec le gouvernement Syrien 

 

D'où ma tournure de phrase une  fois de plus........

Empêchant à leur guise ce qui entend sans accord...

 

Bref

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Ceci étant dit, si c'est un roll on/roll off, pas besoin d'avoir fait le Saint-Cyr des dockers pour y faire entrer des véhicules. Des millions de touristes le font chaque année sur des ferries, rien qu'en Méditerranée. :dry:

Reste que cette nouvelle, si confirmée, est un début de reprise des actifs cédés (pas spontanément) par l'ancien gouvernement syrien aux Russes, en compensation de leur intervention. Surveillez les mines de phosphate.

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Il y a 7 heures, Connorfra a dit :

le nouveau gouvernement a officiellement révoqué le Baille pour la gestion du port de Tartous.

Ce qui veut dire que le personnel du port ne répond plus aux ordres des russes mais du gouvernement de Damas.

Ce qui signifie qu'en plus de rendre le départ difficile en empêchant les navire Russe d'évacuer à leur guise; rien ne peu être chargé ou décharger sans accord préalable. 

Ça veut dire les hommes. Mais je pense surtout au matériel dans la tête des dirigeants.

L'équipement militaire non évacuer représenterait une mine d'or pour le nouveau gouvernement et son armée.

Surtout suite à la destruction du plus gros du matériel lourd par les frappe Israëlienne.

C'est une interprétation personnelle Personnellement j'aimerais pas être un russe coincé entre la mer et des barbus revanchards.

(Au moins ils sont pas sur le front en Ukraine)

 

 

Dans la même veine, un long papier très documenté du 20 janvier de RFI sur les difficultés de la flotte russe en Méditerannée :

Que reste-t-il de la flotte russe en mer Méditerranée?

Avec le départ de la base navale de Tartous en Syrie, momentanément liée à la chute du régime Assad, la flotte russe de Méditerranée doit faire face à une multitude de difficultés. Une partie de cette flotte demeure bloquée dans le « canal de Syrie ». De la côte espagnole jusqu’en Méditerranée centrale, l’ensemble du dispositif naval semble affecté par d’importantes carences logistiques et opérationnelles.

[...]

Où il est question de grues portuaires susceptibles de remplacer celles de Tartous mais ailleurs, ayant sombré avec l'Ursa Major, de sous-marins contraints à naviguer en surface, de tirs de semonce faisant déguerpir un navire espion, de soucis logistiques de tous ordre...

En caché pour mémoire (mais allez donc le lire sur leur site).

Révélation

À l’ouest, le convoi formé par le cargo Ursa Major et le cargo Sparta a subi un grave revers dès la fin décembre, lorsque l’Ursa Major a sombré au large de l’Espagne le 25 décembre, compromettant l’acheminement d’équipements militaires  au profit de la marine russe.

Le Yantar à la manœuvre 

En Méditerranée centrale, le « navire océanographique » collecteur de renseignement Yantar (dépendant du GUGI russe : unité conduisant des missions d’espionnage et de sabotage, notamment des câbles sous-marins) paraît poursuivre  ses  missions de ciblage des câbles sous-marins sensibles, comme en témoignent son déploiement prolongé et ses mouvements erratiques, notamment repérés au sud de la Sardaigne et dans le canal de Sicile.

Le Yantar a également été repéré ces derniers jours à l’aplomb de la position où l’Ursa Major a sombré. Le navire avait à son bord une cargaison hors norme : des grues de 370 tonnes, peut-être destinées à équiper un nouveau port d’attache russe dans la région. Il s’agit donc d’une perte importante, d’autant plus que ces grues ont visiblement été achetées à un constructeur originaire d’Europe de l’Ouest.

À lire aussiCe que l’on sait du cargo russe qui a coulé en mer Méditerranée

À ce stade, il n’est possible d’émettre que des hypothèses. L’équipage du Yantar a-t-il cherché à récupérer des matériels sensibles sur l’épave ? A-t-il procédé à des investigations pour déterminer les raisons du naufrage ? 

Le Yantar dispose d’équipements sophistiqués (drones et robots sous-marins) lui permettant de conduire un large spectre d’opérations sous-marines. À plusieurs reprises, il a ainsi été signalé à proximité d’installations sensibles dans le canal de Sicile, avant d’effectuer un trajet vers la Méditerranée orientale pour finalement revenir en Méditerranée centrale au début du mois de janvier 2025.

Son mode opératoire suit un schéma récurrent, consistant à adopter une position stationnaire à faible distance de câbles sous-marins pour mener ce qui semble être des activités de cartographie.

Tir de semonce ? 

 

La fumée de tirs de semonce pour obliger le Yantar à se dérouter ? © Document exclusif via RFI

Des militaires de haut rang ont précisé à RFI que le 9 janvier, alors qu’il opérait au sud de la Sardaigne, un incident visuellement identifiable – caractérisé par une brusque émission de fumée à quelques longueurs devant son étrave – l’a forcé à s’éloigner de la zone. La présence simultanée d’aéronefs militaires alliés à proximité du bâtiment incite à penser qu’il s’agissait d’une manœuvre d’intimidation destinée à contraindre le Yantar à cesser ses relevés.  

Toujours-est-il que le Yantar semble avoir franchi le détroit de Gibraltar, direction l’Atlantique, en fin de semaine dernière.

Des difficultés au large de la Syrie 

L’impasse la plus visible demeure celle de Tartous, où se concentrent dans le canal de Syrie plusieurs navires amphibies, dont l’Ivan Gren et l’Aleksandr Otrakovsky, ainsi que les cargos Sparta et Sparta II, le Baltic Leader et le tanker Skobelev. Les navires logistiques sont dans l’incapacité de charger les centaines de containers et de véhicules terrestres  qui ont pu rejoindre l’ancienne base navale russe après la chute de Bachar el-Assad. À ce jour, les nouvelles autorités syriennes ne se sont pas publiquement prononcées sur les conditions d'accès aux installations portuaires de Tartous. Sans l'autorisation des nouveaux maîtres de Damas, la perspective d’un désengagement militaire russe ordonné semble hors de portée.

Dans ce même secteur, les défaillances techniques s’accumulent. Le dessalinisateur de l’Aleksandr Otrakovsky serait en panne, tandis que les réservoirs de carburant de ce navire subissent des fuites. Les avaries se multiplient au fil des jours passés au mouillage, sans bénéficier des infrastructures indispensables à l’entretien de bâtiments militaires.

La perte du port de Tartous rend nécessaire les escales de ravitaillement dans différents ports de la région, notamment en Égypte et en Libye.

Cette logistique éclatée met en lumière  la fragilité de la position russe. Privée de son sanctuaire syrien, la marine russe doit désormais se disperser et composer avec plusieurs points d’appuis provisoires.

Défaillances logistiques en chaîne  

 

Réorganisation de la chaîne russe de ravitaillement en pétrole indispensable pour mener à bien le désengagement de Syrie. © Document exclusif via RFI

Les capacités maritimes russes en Méditerranée font face à des problèmes de ravitaillement. Après une escale en Égypte, le bâtiment de soutien Vyazma, qui devait approvisionner les différentes unités russes en carburant et vivres, ne disposerait plus de suffisamment de stocks pour soutenir le groupe naval, indiquent des militaires français.

Les bâtiments russes déployés en Méditerranée orientale risquent également de pâtir d’une attente prolongée. Il faut noter que la durée des rotations pour rejoindre la Russie (un aller-retour pouvant aller jusqu’à sept semaines) complique l’acheminement du ravitaillement en vivres et carburant.

Une absence de soutien sous-marin  

Depuis quelques semaines, la Russie ne dispose plus d’aucune capacité sous-marine en Méditerranée depuis le retrait du sous-marin Novorossyisk de classe Kilo, contraint de quitter Tartous le 8 décembre dernier en raison du manque de soutien technique à quai. Après un déploiement de cent seize jours, ce sous-marin s’est vu contraint de transiter en surface afin de rejoindre son port d’attache en franchissant le détroit de Gibraltar.

En raison de l’absence de navire remorqueur spécialisé dans la zone, le Novorossyisk, début janvier, a dû transiter en surface le long des côtes atlantiques françaises, sous la vigilance constante des marines occidentales,  avant de regagner la mer Baltique.

La Russie a par ailleurs tenté de déployer le Krasnodar, un autre sous-marin de classe Kilo, depuis la mer Baltique au début du mois de janvier. Mais ce dernier s’est retrouvé bloqué dans les détroits danois à la suite d’un incident technique sur son bâtiment d’escorte, le navire-atelier Sergey Balk. Malgré l’arrivée de navires de soutien et de remorqueurs dépêchés depuis Kaliningrad, le groupe naval n’a pu reprendre sa progression, et le Krasnodar a finalement fait demi-tour aux côtés de la frégate Soobrazitelniy et du remorqueur Evgeniy Churov le 8 janvier dernier.

 

. © Document exclusif via RFI

La marine russe semble donc ne plus parvenir totalement ou au prix de grandes difficultés à articuler une présence cohérente de sa flotte dans la très stratégique mer Méditerranée.

 

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