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Guerre civile en Syrie


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je vais soutenir alex WF sur ce coup, il faudrait arreté de tout minimisé...

c'est une bonne performance pour l'armée syrienne, et les ukrainiens non par exemple jamais pus faire aussi bien, je ne sais même pas si c'est a la porté d'autre nations du secteur...

 

les performance de l'armée syrienne reste tout de même honnorable pour 3 années de guerre.

 

On peut au contraire mettre en parallèle les deux cas... Le camps soutenu par la Russie n'est pas a court d’équipement.

Les Ukrainiens rencontrent une opposition un peu plus solide niveau sol-air que les Syriens, faudrait rester dans des comparaisons réalistes ;)

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On peut au contraire mettre en parallèle les deux cas... Le camps soutenu par la Russie n'est pas a court d’équipement.

Les Ukrainiens rencontrent une opposition un peu plus solide niveau sol-air que les Syriens, faudrait rester dans des comparaisons réalistes ;)

 

Autant les ukrainiens n'ont probablement pas reçu d'aide matériel massive, autant pour la Syrie chaque royaume du golfe soutenait son poulain !

 

Par contre, pour le AA, au vu du potentiel "terroriste" de tels arme, j'imagine que l'on s'est +/- assurés que cela ne se trouverait pas dans la hotte du père de l'Emir Noël (ils ont déjà du mettre la main sur des stocks syrien, plus éventuellement des stocks irakien).

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De manière générale, cette guerre est une ode à la fiabilité du matériel soviétique.

 

en quoi? tout le monde utilise du matos soviétique dans ce conflit , ce qui ne permet pas tellement de faire des comparaisons et personne n'a encore gagner.   c'est une guerre de position, les armement donne plus l'impression de pas faire la difference qu'autre chose, a oui si ça terrorise les civils mais j'imagine pas que ton ode au matos soviétique viennent de la, parceque pour ça des machettes peuvent faire l'affaire.

 

 

 

Autant les ukrainiens n'ont probablement pas reçu d'aide matériel massive, autant pour la Syrie chaque royaume du golfe soutenait son poulain !

 

faut oser balancer un truc pareil, les unités pro russe en ukraine sont équipé de manpad et de missile sol air sans aucun rapport niveau efficacité avec les armements de dca et les quelques manpads qu'on pu se procurer les rebelles ou daesh.

l'aviation syrienne agit quasiment librement dans le ciel, les plus grande menaces qu'elle rencontre sont lié au contrôle des  bases elle mème.

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Article de L'orient le Jour sur les Chrétiens de Syrie. Notez que dans la région de Homs les Chrétiens sont menacés par Al nosra et ASL, comme toujours mains dans la mains. Et dire qu'il n'y a pas un journaliste en France pour dire la vérité.

Il y a quelques semaines, Karim* était à Homs. Régulièrement, il fait l'aller-retour entre le Liban, où il travaille, et son village natal, Aaliyat, près de la grande ville syrienne. Aaliyat est un village chrétien, et pour le défendre, certains habitants ont pris les armes.

« Nous sommes un groupe de 88 personnes, toutes chrétiennes de rite grec-catholique, qui gardons notre village », explique le jeune homme de 24 ans à L'Orient-Le Jour. « Cela fait huit mois que nous sommes armés, plus précisément depuis que nous avons reçu des menaces des villages sunnites voisins, du Front al-Nosra et de l'Armée syrienne libre (ASL). À Pâques, l'année dernière, poursuit le jeune Syrien, le Front al-Nosra et l'ASL ont attaqué Dibeh, un village voisin qui aurait, depuis, été repris par les forces gouvernementales. Les rebelles « voulaient passer par notre village dans la foulée, mais après un échange de tirs, ils ont changé de route », assure-t-il.


Selon Karim, les armes, légères, ont été fournies par le régime de Bachar el-Assad. « Nous avons un accord avec le gouvernement : il nous donne armes et permis, nous limitons notre mission au périmètre du village », dit-il. Quatre check-points ont été installés dans le village. Chaque soir, des hommes y montent la garde. Parmi eux, le prêtre, « le premier à monter au front », rit Karim. « Lui aussi est armé, il est très politisé et a des liens avec Bachar el-Assad », poursuit-il plus sérieusement.

Aaliyat n'est pas le seul village chrétien syrien à avoir pris des mesures d'autodéfense. Selon Karim, les syriaques, grecs-catholiques et grecs-orthodoxes à Fayrouzeh ont, eux aussi, pris les armes. Et dans la région de Wadi el-Nasara, à l'ouest de Homs, un homme qui a de bonnes relations avec le gouvernement a armé les chrétiens. Cette région abrite de nombreux couvents, dont ceux de Mar Gerios et de Mar Élias.

« Dès 2011 (le début de la révolte contre Assad), se sont constituées des forces d'autodéfense dans certaines régions chrétiennes de Syrie, à Wadi el-Nasara, dans le Qalamoun et à Qamichli. Le régime les a encouragées », explique à L'Orient-Le Jour Frédéric Pichon, chercheur associé à l'Université de Tours et spécialiste de la Syrie. L'auteur de Syrie : pourquoi l'Occident s'est trompé précise qu'il « s'agit de milices constituées de chrétiens et non de milices chrétiennes au sens où elles auraient reçu un
quelconque appui ou soutien de la hiérarchie ecclésiastique ». Ponctuellement, poursuit-il, des chrétiens armés se sont joints à l'armée syrienne pour la défense de certains villages, comme Saadnaya, ou la reconquête d'autres, comme Maaloula, à l'automne dernier.


« Les milices chrétiennes et les dynamiques politiques en Syrie ne peuvent être réduites à des notions selon lesquelles tous les chrétiens sont avec le régime ou le considèrent comme leur protecteur. La secte et la géographie comptent, et les divisions et affiliations sont particulièrement marquées dans le nord-est de la Syrie », note, pour sa part, Aymenn Jawad al-Tamimi, doctorant à l'Université d'Oxford et spécialiste de la Syrie.

Dans cette région frontalière de la Turquie, et qui comprend les grandes villes de Hassakeh et Qamichli, plusieurs groupes d'autodéfense chrétiens ont été établis, aux allégeances différentes.
Dans cette région, et plus globalement dans la mosaïque des groupes d'autodéfense chrétiens, les syriaques sortent du lot, notamment parce qu'ils médiatisent leurs actions. « Dans la région de Qamichli, on a vu apparaître des groupes de chrétiens syriaques qui ont médiatisé leur présence, note Frédéric Pichon. Cela reflète surtout le fort sentiment identitaire des syriaques qui se considèrent comme un quasi-peuple. »

Sutoro

En 2012, le Parti de l'union syriaque (Sup) crée sa propre police, baptisée Sutoro. Cette milice, qui compte « des centaines de personnes », selon un de ses membres (voir par ailleurs), est formée de jeunes volontaires.


Le SUP est « très critique vis-à-vis du régime de Bachar el-Assad, plusieurs de ses responsables ont été enlevés et peut-être tués par le régime d'Assad au cours de la guerre », explique Carl Drott, un journaliste suédois ayant enquêté sur les formations d'autodéfense chrétiennes en Syrie.
Le Sup est financé par la diaspora syriaque en Suède et en Allemagne, surtout, mais aussi en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique et dans d'autres pays européens. Sutoro a commencé à opérer à Qahtaniya après le retrait des forces du régime. Et il s'est ensuite propagé à Malikiya et Qamichli au printemps 2013.
Sutoro opère en coordination avec les Kurdes de l'YPG, le bras armé du Parti de l'union démocratique (PYD) kurde, aile syrienne du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), et avec Asayish, la police de l'administration autonome régionale du nord de la Syrie, dirigée par le PYD, souligne Aymenn Jawad al-Tamimi. Mais il se limite à un rôle défensif.

Sootoro à Qamichli

À Qamichli, dans le gouvernorat de Hassakeh (nord-est de la Syrie) où le régime est toujours présent, les choses ont pris un cours différent, souligne Aymenn Jawad al-Tamimi.
« C'est la population qui veille à la sécurité » de cette ville proche de l'Irak et de la frontière turque habitée par des Kurdes, des Arabes et des chrétiens syriaques, assure Mohammad*, un Syrien de Hassakeh. « Le gouvernement syrien a dit aux chrétiens : sécurisez cette région et nous vous donnerons ce que vous voulez », poursuit Mohammad, qui vit désormais au Liban, mais se rendait toujours à intervalles réguliers, jusqu'au début de l'année du moins, à Hassakeh.

Selon lui, ce sont les groupes de défense qui ont empêché l'État islamique d'entrer à Qamichli.
« Au cours de l'été et de l'automne derniers, la branche Qamichli de la milice Sutoro a évolué pour devenir Sootoro, repris par des loyalistes du régime affiliés au Comité de la paix civile pour les syriaques-orthodoxes à Qamichli. Ce Sootoro, également connu sous le nom "Office de la protection syriaque", a un rôle strictement défensif comme Sutoro », explique Aymenn Jawad al-Tamimi. Mais les relations entre Sutoro et Sootoro, également financé par des campagnes de collecte à l'étranger, ne sont pas
bonnes.
Le groupe Sootoro « fait pleinement partie de l'appareil sécuritaire du régime ». D'ailleurs, lorsque Bachar el-Assad a été réélu en juin 2014, le groupe lui a adressé ses félicitations sur sa page Facebook, note Aymenn Jawad al-Tamimi.

Conseil militaire syriaque

La dernière organisation militaire chrétienne importante dans le nord-est de la Syrie est le Conseil militaire syriaque, note Aymenn Jawad al-Tamimi. En janvier 2014, soit un an après sa formation, le Conseil revendiquait une centaine de membres, indique Carl Drott. Ce Conseil opère sous le commandement de l'YPG, même s'il a le statut d'unité séparée.

À sa création, le Conseil militaire syriaque déclarait son opposition au régime Assad et appelait à la « libération de la Syrie, à la chute du régime baassiste despotique et à la lutte pour une société juste, pluraliste, démocratique et un État laïque ». Le Conseil militaire ne revendique aucune affiliation partisane et souligne la nécessité de défendre « (son) peuple avec ses droits culturels et historiques ».

(Pour mémoire : Chrétiens d'Orient, un état des lieux)

Cependant, note Jawad al-Tamimi, avec la montée en puissance de l'État islamique et d'autres groupes jihadistes dans la province de Hassakeh, il est clair que l'objectif du Conseil militaire syriaque a changé vers la lutte contre les jihadistes.
De fait, « en sommeil pendant une grande partie de 2013 », le groupe est devenu plus actif en 2014, annonçant notamment avoir rejoint les rangs de l'YPG. Depuis lors, le Conseil militaire syriaque a non seulement joué un rôle dans la défense des zones chrétiennes, mais a également soutenu l'YPG dans ses offensives pour reprendre le territoire des jihadistes.

Comme les habitants de Wadi el-Nasara, les chrétiens de la province de Hassakeh doivent affronter la réalité selon laquelle les rebelles menant des offensives dans la province contre les territoires tenus par le régime et les Kurdes ont principalement une orientation jihadiste. Le plus important de ces groupes est l'EI, qui a récemment consolidé son emprise dans la plupart du territoire tenu par les rebelles dans la province de Hassakeh, après avoir dominé ses deux principaux rivaux : le Front al-Nosra et Ahrar ech-Cham dans les régions du Nord et du centre.
En fin de compte, note Carl, la question pour les chrétiens et leurs milices se résume à ceci : qui, du régime d'Assad et de l'administration dirigée par le Parti de l'union démocratique (PYD) kurde, est le plus à même de protéger les minorités chrétiennes ? Car, en fin de compte, il s'agit de tout faire pour protéger la communauté.

http://www.lorientlejour.com/article/890809/quand-les-chretiens-de-syrie-organisent-leur-protection.html

Modifié par alexWF
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Le livre "les chemins de Damas" écrit par Georges Malbrunot et Christian Chesnot devrait faire du bruit. Le journal la Montagne est le premier à faire un article dessus. d'autres extraits devraient sortir prochainement

 

Pourquoi la France s’est-elle fourvoyée en vaines querelles, en faux combats sur le dossier syrien ? Elle dont tout le monde s’accorde à dire qu’elle avait le « meilleur accès » à ce pouvoir dictatorial et contesté. Les raisons sont à découvrir dans Les Chemins de Damas, un livre de Christian Chesnot et Georges Malbrunot.

 

Journalistes, fins connaisseurs du Proche-Orient, ils l’ont conçu comme un Dossier noir de la relation franco-syrienne. Un livre sérieux, nourri de nombreux témoignages, exigeant, à même d’éclairer sur ce qui se joue dans cette région secouée de guerres et d’incompréhensions.

Un livre, on le comprend, dont on ne peut donner qu’une idée et inviter à le lire. D’autant qu’il devrait faire grand bruit et susciter de vaines polémiques : les politiques des deux bords, particulièrement les Français, n’y apparaissent pas sous leur meilleur profil…

Après les indispensables rappels historiques, éthiques, etc., les deux auteurs s’intéressent aux 40 dernières années, et plus particulièrement au règne de Bachar-al-Assad et à la crise actuelle.

« Le couple franco-syrien a tout connu : tension, lune de miel, réconciliation puis divorce et, aujourd’hui, la haine », disent-ils, tout en constatant que cette relation a plus été portée par l’émotion, les questions personnelles, que par la raison diplomatique.

La faute à qui ? Aux dictateurs syriens comme aux présidents français, sourds aux conseils. « Il est assez classique que l’on ne soit pas entendu, mais que la politique prenne à ce point une position à l’opposé de nos préconisations, ça l’est moins », reconnaît ainsi un vieil expert du dossier…
Georges Malbrunot a répondu à nos questions.

Jacques Chirac ? Il prend Bachar-al-Assad sous sa protection dès qu’il arrive au pouvoir. Il n’a pas tort. Il veut l’aider, le conseiller et le contrôler, le sachant mal préparé au pouvoir, le croyant naïf.

 

Ce fut son erreur. Il a oublié le caractère psychorigide de cet homme qui se braque dès que l’on fait pression sur lui. De plus, c’est un homme fidèle à sa culture, sa famille, ses origines (*). Arrive ce qui devait arriver : la rupture, encore aggravée par l’assassinat de Rafiq Hariri, grand ami de Chirac. Le Liban a toujours été une pomme de discorde entre les deux pays.

Nicolas Sarkozy ? Très vite, il veut renouer avec Bachar, rompre son ostracisation forcée. Il va trop vite et trop loin. L’invite à participer à l’Union pour la Méditerranée, le reçoit à Paris. Lui redonne une respectabilité.

2011 ? Dès les premières révoltes des opposants syriens, la France perd sa capacité d’analyse. Cède à l’émotion pure. Portée par de fausses convictions. Deux au moins : celle que Bachar tombera rapidement, comme Ben Ali et Moubarak?; celle que tous les rebelles qui le défient sont des démocrates.Alors qu’il y avait déjà les Frères musulmans et autres djihadistes en puissance parmi eux.

 

Ces avis infondés ont été repris, amplifiés, par la « grande » presse et l’intelligentsia parisienne. Sans la moindre réserve. Sans se poser les questions essentielles en terme d’histoire, de culture, de religion… Tous ont agi en amateurs. Hélas, le monde n’est pas tel qu’on aimerait qu’il soit?!

François Hollande ? Il hérite de la situation laissée par Nicolas Sarkozy. Il n’y comprend rien. Laurent Fabius non plus. Plus familier des questions intérieures, il reste sur la ligne d’Alain Juppé. Ce que l’on pourrait appeler du néoconservatisme américain des années 2000. Toujours persuadé que Bachar chutera.

Sans parler de toutes les promesses non tenues faites aux opposants : leur ouvrir une ambassade à Paris, leur livrer des armes…

La solution ? Sur le plan diplomatique, la clé était à Moscou et à Téhéran, on le sait. La France pouvait jouer un rôle majeur. Nouer un dialogue avec les Russes, associer les Européens, comme le plaidait Claude Guéant. Résultat ? Alain Juppé les a méprisés, snobés à Genève en 2012. Et l’on révèle ce qui s’est vraiment passé. Il a fait de même avec l’Iran.

Finalement ? Comme le dit Moktar Lamani, émissaire onusien, « il n’y aura pas de solution à la guerre en Syrie sans l’Iran. Mais il peut très bien y en avoir une sans la France ».

(*) Les Alaouites, communauté des Assad, ont été tirés de la misère par la France qui jouait alors le jeu des minorités.

http://www.lamontagne.fr/france-monde/actualites/a-la-une/international/2014/10/12/france-syrie-revelations-decapantes-sur-un-rate-diplomatique_11174920.html

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L'armée de l'air syrienne a intensifié ses raids aériens lundi dans l'ouest du pays, en lançant au moins 40, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Les avions syriens ont bombardé les positions des rebelles dans les provinces d'Idleb et de Hama, a déclaré Rami Abdelrahman, qui dirige l'OSDH.

L'armée de l'air syrienne mène généralement 12 à 20 raids par jour, en prenant surtout pour cibles des groupes insurgés près des zones tenues par le régime dans l'ouest du pays.

On ignore pour quelle raison l'armée de l'air a fortement intensifié ses bombardements lundi, mais cette augmentation s'inscrit dans une tendance observée dès le mois de septembre, lorsque les appareils de la coalition conduite par les Etats-Unis ont commencé à viser les positions des jihadistes de l'Etat islamique.

De source libanaise proche de Damas, on déclare que le régime de Bachar el-Assad estime que les opérations aériennes américaines servent ses intérêts, notamment contre l'opposition dite modérée soutenue par les Etats-Unis. Le régime de Damas n'a pas l'intention d'envoyer son armée dans des zones lointaines que bombardent les avions américains, et se concentre sur des secteurs plus proches de la capitale, ajoute-t-on.

http://www.lorientlejour.com/article/890917/laviation-syrienne-intensifie-ses-raids-dans-louest-du-pays.html

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Je suis surpris par le faible nombre algérien par rapport aux autres pays maghrébins.

 

Moi, j'en suis plutot inquiet.

 

Je suis tenté de croire que le faible nombre de combattant parti en Syrie risque de cacher un nombre plus important encore de combattants préparant quelque chose sur place. J'espère que le pouvoir et la société algériens sauront s'en défendre et conserver une relative stabilité sans retomber dans les années noires d'il y a 20 ans.

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Je suis surpris par le faible nombre algérien par rapport aux autres pays maghrébins.

moi sa ne me surprend pas .

Chien échaudé ...

non peut-être pas.

simplement pourquoi aller faire le Jihad au plus loin alors que celui-ci se fait aussi au Sahel ,Lybie .

et qu'il y a possibilité de foutre le bordel dans le Maghreb et proximité.

de plus après l' assassinat du français en Algérie sa démontre bien une chose ,les islamistes Algérien montrent qu'ils veulent aussi leur califat et qu'ils ne feront pas dans la dentelle .

donc si se n'est pas en Algérie il y a de quoi faire à côté.

et je pense que les islamistes restant en Algérie ou à côté apprécie peut-être pas trop de voir l' influence des islamistes en Syrie imprégner le peu d'Algérien qui vont combattre en Syrie .

ils peuvent devenir une faction qui n'irait pas forcément dans leur sens .

enfin si vous voyez se que je veux dire .

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On peu constater qu'il y a peu d'afghan. Dans les conflits précédents, on parlait souvent d'afghans ( yougo etc...). Mais la plupart n'était en fait pas des afghans mais des ressortissants arabes ayant combattu en Afghanistan contre les russes.

Et à la fin du conflit ayant migré vers d'autres terre de djihad.

Outre la distance, et le fait qu'ils sont concentrés sur leur terre, J'ai l'impression qu'il y a un fort  nationalisme y compris chez les talibans. Hors les djihadistes étrangers  comme ceux qu'on voit en irak ont en horreur le nationalisme ( tout comme ils ont en horreur, le communisme, enfin tout ce qui se termine en isme ou en tie, sauf "l'islamisme").

D'ailleurs, les étrangers parti faire le djihad au coté des talibans afghans ou des talibans pakistanais étaient pas toujours forcément bien accueilli, surtout si le djihadiste avait le tein un peu trop coloré. Je me rappelle des déclarations de djihadiste originaires d'afrique noire, disant avoir été très mal accueilli la bas, car pour les locaux, ça restait un "noir".

ça semble moins le cas en irak.

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La grande quantité de tunisiens ca me rappelle le tout debut de la révolution ant bachar qui a coincidé plus ou moins avec la chute de Kadaffi, ainsi des combattants tunisiens ont voulu "aider" les syriens, pas forcément des djiahistes forcenés.

Pour l'Algérie je suis convaincu que les 20 ans de guerre civile ont du ramener pas mal de monde a la raison...

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Après seulement 400 français, alors qu'on parlait plutôt de 700 fourchette basse.

Donc à relativiser les chiffres de cette map.

 

Les chiffres sont toujours à relativiser selon la thèse qu'ils entendent soutenir.

 

Je ne saurais dire lequel, de 400 ou 700 est le chiffre le plus proche de la réalité. Il faudrait, pour cela, savoir exactement ce qui est décompté : la nationalité des combattants (comptabilisée de quelle manière pour les binationaux) ou bien leur origine géographique ?

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