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Guerre civile en Syrie


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Sauf que c'est la partie de la ville contrôlée par le régime qui est visée exclusivement, pas celle kurde : http://www.agathocledesyracuse.com/wp-content/uploads/2015/06/Hasakah-25-June-2015.jpg

D'ailleurs comme lors de la dernière offensive les kurdes ont pas l'air de bouger de leurs positions.
Après c'était peut être qu'une frappe d'opportunité mais comme dans le nord d'Alep cela avait commencé un peu de la même manière avec une frappe, ensuite une autre, ensuite deux etc...
Tant mieux de toute façon, pour lutter contre l'EI efficacement faut pas leur laisser des "fronts tranquilles".

 

 

Oui, mais si la partie tenue par l'armée syrienne est prise, ce seront alors les kurdes qui seront exposés.

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Dans le registre "on avait des soupçons"

 

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/israel-soutient-il-le-front-al-nosra_1692573.html

 

Seule certitude: depuis début 2013, l'État juif a soigné quelque 1600 blessés syriens dans des hôpitaux israéliens, en Galilée et dans le Golan. Officiellement, il s'agit d'aide humanitaire. Mais la plupart de ces blessés sont de jeunes combattants.  

 

Deux raisons principales justifient l'ambigüité de la position israélienne: d'abord le principe selon lequel 'l'ennemi de mon ennemi serait sinon un ami, au moins un moindre mal' : "Il ne fait aucun doute que le Hezbollah et l'Iran sont les principales menaces pour Israël, beaucoup plus que les radicaux islamistes sunnites, qui sont aussi un ennemi", a déclaré au Wall Street Journal un ancien chef du renseignement militaire d'Israël. Autre explication: l'idée que 'tant qu'ils se battent entre eux, nous sommes épargnés'. Les groupes djihadistes "sont totalement absorbés par la guerre en Syrie et pas axés sur nous, alors que le Hezbollah et l'Iran, eux, lorsqu'ils ont progressé vers le sud, nous avaient en ligne de mire", argue ainsi un autre ex-militaire contacté par le quotidien américain. 

Les contacts de l'armée israélienne avec des groupes rebelles de l'autre côté de la frontière,ont été observés par les observateurs de l'ONU présents dans le Golan. Jusqu'où va ce soutien? Les casques bleus ont été témoins de chargements de sacs dans les véhicules rebelles. Selon Tsahal, il s'agissait de nourriture et de couvertures, relève Newsweek.

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pour kobane les terroristes se sont infilter dans la ville depuis la turquie, des kamikaze et aussi des commandos habiller avec les tenues des YPG, ces derniers seraient en ce moment encerler dans l'hopital de mechta nour au sud ouest de la ville, et pour hassake c'est la meme choses des commandos se sont infiltrer deguiser en militaire syriens, des renfort ont ete ramener depuis qamishli et la situation est en cours de controle avec l'aide des kurdes, ce qui m'ennerve c'est les medias qui font carrement la propagande de daesh en lui imputant des victoire fictive, et fallait voir la propagande d'al jazeera, ils applaudissaient ces attaques, et cela prouve encore une fois la nature terroriste du regime d'erdogan

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Il semblerait que l'armée syrienne soit en train de s'écrouler à Hassaké :

 

#Hasakah situation map update /#IS lauch offensive in the East /Click on http://t.co/Ee6v2iMZqK pic.twitter.com/sOnyl6API2

— Agathocle deSyracuse (@deSyracuse)

June 26, 2015

 

#Hasakah : #IS reportedly took over the prison and some areas in south Gweiran. Collapse of loyalists on Khabur southern bank

— Agathocle deSyracuse (@deSyracuse)

June 26, 2015

 

#BREAKING IS suicide attack in northeast Syria kills 20 regime troops: monitor

— Agence France-Presse (@AFP)

June 26, 2015
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Syrie : 40 membres des forces pro-gouvernementales tués par l'EI dans le centre

 

 

Au moins 40 membres des forces pro-gouvernementales syriennes ont été tués dans une série d'attaques du groupe jihadiste Etat islamique (EI) contre des points de contrôle dans le centre du pays, a indiqué samedi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). 

En l'espace de moins de deux heures vendredi, les jihadistes ont pris le contrôle de trois points de contrôle près de Cheikh Hilal, un village dans la province de Hama, selon cette ONG.

"Quarante loyalistes ont été tués dans les affrontements, dont des soldats et des membres des Forces de défense nationales", une milice pro-régime locale, a indiqué à l'AFP le président de l'OSDH Rami Abdel Rahmane. 

"Il y a des combats presque tous les jours dans cette région, mais d'habitude le bilan c'est deux à trois morts. Quarante, c'est très élevé", a-t-il ajouté.

Selon M. Abdel Rahmane, les jihadistes se sont retirés des points de contrôle dont ils s'étaient emparés, une fois qu'ils ont réalisé que les forces pro-gouvernementales avaient appelé des renforts.

Les lieux visés se situent le long d'une route utilisée par les forces gouvernementales pour envoyer des renforts à Alep, plus au nord, où le régime combat des groupes rebelles depuis 2012. 

"S'ils (les jihadistes) prennent le contrôle de cette route, ils isoleront les forces gouvernementales à Alep, dans la mesure où le gouvernement ne pourra pas envoyer de renforts ou d'approvisionnement là-bas", a indiqué M. Abdel Rahmane. 

Le groupe EI a lancé plusieurs attaques meurtrières contre le régime ces derniers mois dans la province de Hama. En mars, l'EI avait tué 63 soldats lors de deux jours de raids sur des positions du gouvernement dans la ville de Hama et avait exécuté au moins 37 civils dans un village de cette province.

http://www.lorientlejour.com/article/931841/syrie-40-membres-des-forces-pro-gouvernementales-tues-par-lei-dans-le-centre.html

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Le ministre israélien de la défense, Moshé Yaalon a déclaré qu'Israël a fixé deux conditions à la rébellion syrienne en échange des traitements médicaux, la première est qu'ils empêchent le Hezbollah et l'état islamique d'opérer près de la frontière du Golan, la deuxième est qu'ils ne s'attaquent pas à la communauté druze. Il semblerait que la deuxième condition ne soit pas respectée ces temps ci.

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Turkey Plans to Invade Syria, But to Stop the Kurds, Not ISIS

 

Thomas Seibert

06.28.151:18 PM ET

 

The Turkish military is not enthusiastic and Washington may have its doubts, but President Erdogan appears determined to set up a buffer zone.

 

ISTANBUL—Turkey’s President Recep Tayyip Erdogan is planning a military intervention into northern Syria to prevent Syrian Kurds from forming their own state there, despite concerns among his own generals and possible criticism from Washington and other NATO allies, according to reports in both pro- and anti-government media.

 

In a speech last Friday, Erdogan vowed that Turkey would not accept a move by Syrian Kurds to set up their own state in Syria following gains by Kurdish fighters against the so-called Islamic State, or ISIS, in recent weeks. “I am saying this to the whole world: We will never allow the establishment of a state on our southern border in the north of Syria,” Erdogan said. “We will continue our fight in that respect whatever the cost may be.” He accused Syrian Kurds of ethnic cleansing in Syrian areas under their control.

 

Following the speech, several news outlets reported that the president and Prime Minister Ahmet Davutoglu had decided to send the Turkish army into Syria, a hugely significant move by NATO’s second biggest fighting force after the U.S. military.  Both the daily Yeni Safak, a mouthpiece of the government, and the newspaper Sozcu, which is among Erdogan’s fiercest critics, ran stories saying the Turkish Army had received orders to send soldiers over the border. Several other media had similar stories, all quoting unnamed sources in Ankara. There has been no official confirmation or denial by the government.

 

The government refused to comment on the reports. Foreign Minister Mevlut Cavusoglu said “the necessary statement” would be issued after a regular meeting of the National Security Council, which comprises the president, the government and military leaders, this Tuesday.

 

The reports said up to 18,000 soldiers would be deployed to take over and hold a strip of territory up to 30 kilometers deep and 100 kilometers long that currently is held by ISIS. It stretches from close to the Kurdish-controlled city of Kobani in the east to an area further west held by the pro-Western Free Syrian Army (FSA) and other rebel groups, beginning around the town of Mare. This “Mare Line,” as the press calls it, is to be secured with ground troops, artillery and air cover, the reports said. Yeni Safak reported preparations were due to be finalized by next Friday.

 

There has been speculation about a Turkish military intervention ever since the Syrian conflict began in 2011. Ankara has asked the United Nations and its Western allies to give the green light to create a buffer zone and a no-fly area inside Syria in order to prevent chaos along the Turkish border and to help refugees on Syrian soil before they cross over into Turkey. But the Turkish request has fallen on deaf ears.

 

The latest reports fit Erdogan’s statement on Friday and the government position regarding recent gains by Syrian Kurds against the Islamic State. The Syrian Kurdish party PYD and its armed wing YPG, affiliates of the Turkish-Kurdish rebel group PKK, have secured a long band of territory in northern Syria from the Syrian-Iraqi border in the east to Kobani.

 

Ankara is concerned that the Kurds will now turn their attention to the area west of Kobani and towards Mare to link up with the Kurdish area of Afrin, thereby connecting all Kurdish areas in Syria along the border with Turkey. Erdogan expects that the Syrian Kurds, whose advance against ISIS has been helped by airstrikes from the U.S.-led coalition, will go on to form their own state as Syria disintegrates after more than four years of war.

 

PYD leader Saleh Muslim denied that Syria’s Kurds intend to do this. 

 

But Turkey’s leaders are not convinced that is true. The daily Hurriyet reported Erdogan and Davutoglu wanted to “kill two birds with one stone” with a military intervention along the Mare Line. One aim would be to drive ISIS away from the Turkish border, depriving the jihadists of their last foothold on the frontier and thereby cutting off supply lines. Such a move would tie in with the U.S. strategy to contain and weaken ISIS.

 

A second goal of the operation would be closer to Ankara’s own interests. The English-language Hurriyet Daily News quoted one source saying there was a need to  “prevent the PYD from taking full control over the Turkish-Syrian border,” and also to create a zone on Syrian territory rather than in Turkey to take in new waves of refugees.

 

But the military is reluctant, the reports said. Generals told the government that Turkish troops could come up against ISIS, Kurds and Syrian government troops and get drawn into the Syrian quagmire. Retaliation attacks by ISIS and Kurdish militants on Turkish territory are another concern.

 

Finally, the soldiers pointed to the international dimension. The military leadership told the government that the international community might get the impression that Turkey’s intervention was directed against Syria’s Kurds, the newspaper Haberturk reported.

 

Turkey’s NATO partners, some of whom have deployed troops operating Patriot missile defense units near the Syrian border to shield member country Turkey against possible attacks from Syria, are unlikely to be happy with a Turkish intervention.

 

Turkey’s pro-government press insisted there were no tensions between civilian and military leaders in Ankara. “If the government says ‘go,’ we will go in,” the pro-Erdogan daily Aksam wrote, attempting to sum up the military’s stance in a headline.

 

On Sunday, fighting broke out between ISIS troops and FSA units near the town of Azaz, close to the Turkish border crossing of Oncupinar. News reports said ISIS was trying to bring the Syrian side of the border crossing under its control. The area of the latest clashes lies within the “Mare Line” cited as the possible location of a Turkish incursion.

 

The Daily Beast

 

 

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Et qu’entend-t-il par « rébellions », quels groupes –grosso modo – sont concernés ?

 

Le ministre n'a pas précisé. A mon avis, Al Nusra doit etre dans le lot parce que sans eux dans le sud, il n'y aurait pas grand monde et que les deux groupes "exclus" qui doivent etre maintenus loin des frontières selon lui est l'Etat Islamique et le Hezbollah.

Modifié par Joab
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Poutine promet de soutenir Damas, y compris militairement

 

 

http://www.lorientlejour.com/article/932051/poutine-promet-de-soutenir-damas-y-compris-politiquement.html

 

Selon lui, pour lutter contre le "terrorisme", "tous les pays de la région doivent joindre leurs efforts". "Tous nos contacts avec les pays de cette région montrent que lorsqu'il s'agit de combattre le soi-disant Etat islamique, chacun est prêt à combattre ce mal. Cela s'applique à la Turquie, à la Jordanie, à l'Arabie saoudite", a-t-il ajouté.

 

 
 
Sacré faux-cul.
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Poutine promet de soutenir Damas, y compris militairement

 

 

http://www.lorientlejour.com/article/932051/poutine-promet-de-soutenir-damas-y-compris-politiquement.html

 

 
 
Sacré faux-cul.

 

que son pays continuerait à aider la Syrie, y compris militairement

 

On savait que la Russie soutenait la Syrie, y compris militairement.

Rien de neuf.

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Maintenant c'est aussi la Jordanie qui pourrait aller établir sa zone tampon en Syrie : 

Jordan to set up buffer zone in southern Syria

http://www.ft.com/intl/cms/s/0/ead1961a-1e38-11e5-ab0f-6bb9974f25d0.html#axzz3eSo8Kxu1

 

Tout ce tapage médiatique avant tout mouvement fait quand même grandement douter sur le fait qu'il va y avoir une quelconque intervention.

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La coalition au pouvoir est une coalition islamistes-nationalistes donc de toute façon très très hostile au PKK.
Le grand perdant est le parti d'Erdogan qui réalisait jusqu'à présent de très bons scores chez les kurdes.

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