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Stratolaunch Systems


alexandreVBCI

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Lorsque les gars qui ont développé SpaceShipOne se lancent dans un nouveau projet complètement fou, il vaut mieux les prendre au sérieux. Pour rappel SpaceShipOne est l’engin capable d’effectuer des vols suborbitaux sans lequel Virgin Galactic n’existerait pas. Oui ces gars ont ouvert le tourisme spatial au grand public. Ces hommes se lancent aujourd’hui dans un nouveau projet complètement fou : construire le plus gros avion du monde !

Le milliardaire américain Paul G. Allen, cofondateur de Microsoft, et Burt Rutan, l’ingénieur de SpaceShip One veulent créer un avion géant construit avec un double fuselage de Boeing 747, d’une envergure de 125 mètres, d’un poids de 550 tonnes et propulsé par 6 réacteurs de Jumbo Jet.

Il s’agit du Stratolaunch Systems, un avion porteur capable de grimper à 10.000 mètres. Arrivée à cette altitude, il larguera une fusée qui prendra le relais pour atteindre l’espace. Sa fonction principale dans un premier temps sera de ravitailler la Station spatiale internationale ou de mettre des satellites en orbite. Puis dans 5 ans, il pourra transporter des passagers.

Vidéo du projet :

http://www.gizmodo.fr/2011/12/29/le-plus-gros-avion-du-monde-sera-enorme.html

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Des 747, c'est facile à se procurer.

Alors que l'An-225 reste un appareil prototype (en fait de mémoire il n'y en a que 2, dont un seul en état de vol actuellement, l'autre en (re)construction), et vu que la chaine An-124, appareil sur lequel il est basé, semble être fermée, en construire d'autre risque d'être compliqué.

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Vues les images, a l'exception du cockpit, ces fuselages ne ressemblent pas trop a du 747...

et d'ailleurs sur le site de Stratolaunch on ne parle jamais de 747, je pense que c'est une deduction rapide de l'auteur pas tres serieux de l'article.

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Vues les images, a l'exception du cockpit, ces fuselages ne ressemblent pas trop a du 747...

et d'ailleurs sur le site de Stratolaunch on ne parle jamais de 747, je pense que c'est une deduction rapide de l'auteur pas tres serieux de l'article.

C'est effectivement une approximation d'un  jounaliste/traducteur ignorant qui a fait dans l'approximation.  Ou qui se contenté de passer un article dans un logiciel de traduction automatique... :O

La société Stratolaunch a présenté son appareil et a expliqué que les fuselages et l'aile seront nouveaux et en composites. Les seul éléments qui viennent du 747 sont les moteurs, les commandes de vols et certains autre systèmes

La société Stratolaunch a déjà acheté deux vieux 747 d'occasion pas cher et réfléchit à la possibilité d'en acheter un troisième pour avoir plus de pièces détachées en réserve.

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  • 7 months later...

Je découvre ce sympathique projet.

mais est-ce que le lancement à partir d'un avion de part la vitesse supplémentaire impulsé par celui-ci et l’altitude du largage apporte un gain si significatif en terme de performance ne serais-ce que vis à vis de l'indice de structure de la fusée ou son ISP?

j'ai lu des choses contradictoires sur le sujet ; les uns disent que c'est un saut décisif d'autres que les avantages qu'apporte cette solution sont marginales. Quelqu'un pour m'éclairer?

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  • 1 year later...

Le journal Aviation Week nous rapporte qu’Orbital Science vient de révéler  des informations détaillées sur la fusée qui sera lancée par le système  d’avion porteur Stratolaunch.

http://www.aviationweek.com/Blogs.aspx?plckBlogId=Blog:04ce340e-4b63-4d23-9695-d49ab661f385&plckPostId=Blog%3a04ce340e-4b63-4d23-9695-d49ab661f385Post%3add366625-ca5e-4215-8af1-5f83237def46

 

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La fusée devrait faire 211 tonnes et 39 mètres de long. Elle lancera 6000 kg en orbite basse et 4500 kg en orbite polaire. La coiffe fait 5 m de diamètre.

Au vu de ces caractéristiques, ce devrait être un concurrent pour le lanceur Soyouz.
 

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orbital science c'est ceux qui fabriquent la fusée antarès?

 

La société Orbital Science construit effectivement le lanceur Antares. Ils construisent  aussi  le lanceur aéroporté Pegasus.

Curieusement, Antares et Stratolaunch  ont des caractéristiques proches pour la masse mise en orbite :  5000 kg contre 6000 kg.

A l’origine du projet, la fusée devait être construite par la société SpaceX.  Cela aurait ressemble à une version raccourcie  du lanceur Falcon 9 avec seulement 5 moteurs. Mais ce constructeur a préféré renoncer. Ces ingénieurs ont déclarés que le calcul économique n’était pas convaincant.

 

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  • 1 year later...

Stratolaunch, l’avion gigantesque de Paul Allen prêt à être testé
 

Grand comme deux Boeing 747, ce sera le plus grand aéronef du monde. Il sera testé dès l'année prochaine afin de pouvoir lancer plus tard des satellites et des roquettes.

 

http://www.01net.com/editorial/661509/stratolaunch-l-avion-gigantesque-de-paul-allen-pret-a-etre-teste/?ref=yfp

Modifié par zx
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Paul Allen, le nouvel Howard Hughes ? (joke inside)

 

La masse est tout de même impressionnante.

Si effectivement la fusée fera 211 tonnes comme l'indiquait Marcus, je me demande si l'avion est prévu pour revenir se poser avec sa charge (en cas de lancement avorté) ou bien s'ils devront la larguer quoiqu'il se passe.

 

Comme Shorr Kan, je me demande également quel est le gain réellement attendu (par exemple si c'est juste de l'économie de comburant et d'ergol, ou d'un pas de tir, ou bien les apports sont nettement plus significatifs, y compris sur les coûts de conception de la fusée elle-même)

Modifié par TarpTent
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  La grande question, c'est pourquoi un concept qui a l'air d'aller si bien sur le papier n'a jamais vraiment été proposé ni soutenu par les grands groupes aéronautiques qui eux sont justement en mesure de pouvoir réaliser cet appareil ...

 

    Il y a forcément eu des bureaux d'études impliqués auparavant sur ces concepts tant chez Boieng que les concurrents ...

Modifié par alpacks
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  La grande question, c'est pourquoi un concept qui a l'air d'aller si bien sur le papier n'a jamais vraiment été proposé ni soutenu par les grands groupes aéronautiques qui eux sont justement en mesure de pouvoir réaliser cet appareil ...

 

    Il y a forcément eu des bureaux d'études impliqués auparavant sur ces concepts tant chez Boieng que les concurrents ...

Parce que ce sont des concepts à risque qui plaisent rarement aux grosses boites et qui sont en général coûteux. A contrario ils sont plus facilement faisable par une entreprise type startup qui peut se permettre de prendre des risques.

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Moi j'aurais bien vu un dirigeable mésosphérique à pression variable en forme de tore géant (un dognut en gros) qui t'emmène ta fusée (petite donc) jusqu'à la mésosphère (~50/80km) après quoi elle démarre en ton dirigeable revient à la base.

Modifié par Conan le Barbare
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(...)

Comme Shorr Kan, je me demande également quel est le gain réellement attendu (par exemple si c'est juste de l'économie de comburant et d'ergol, ou d'un pas de tir, ou bien les apports sont nettement plus significatifs, y compris sur les coûts de conception de la fusée elle-même)

Une fusée qui décolle ne peut pas trop accélérer, à cause de la densité de l'atmosphère. Si elle va trop vite, le frottement de l'air dissipe une part importante de l'énergie dégagée par les moteurs. En fait, le premier étage ne sert qu'à amener l'ensemble à une altitude où l'air s'avère suffisamment raréfié. C'est le 2ème étage qui se charge d'augmenter fortement la vitesse du vaisseau.

Dans le cas de Stratolaunch, ou de tout "lancement aérien" ( https://en.m.wikipedia.org/wiki/Air_launch_to_orbit ), un avion remplace le premier étage. On peut parler dans ce cas de fusée partiellement réutilisable.

Ce système présente des avantages secondaires:

• possibilité de décoller depuis un aéroport classique, sans avoir à construire une aire de lancement dédiée ;

• relative indépendance aux conditions météo. En fonction de son autonomie, l'avion peut, par exemple, décoller bien avant un orage et effectuer le lancement. Ensuite, il n'a qu'à se poser sur un autre aérodrome, offrant de meilleures conditions.

Au milieu des années 90, le lanceur Pegasus ( https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pegasus_(fus%C3%A9e) ) a exploré le concept en profondeur. Il semble que les coûts augmentent sensiblement, quand il faut développer un avion dédié.

Les militaires n'ont pas manqué de s'intéresser au concept:

• Boeing étudie le recours au F-15E ( http://www.opex360.com/2014/03/31/boeing-va-utiliser-le-f-15e-pour-lancer-des-micro-satellites/ )

• la France a mené le programme Aldebaran, basé sur le Rafale ( https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Aldebaran_(micro_lanceur) )

• Israël s'intéresse aussi au sujet ( http://www.opex360.com/2010/01/28/israel-veut-lancer-des-micro-satellites-par-avion/ )

Officiellement, tous veulent lancer des petits satellites (~100 kg, max). Mais j'ai un doute, vu les liens entre fusée spatiale et vecteur balistique (Soyouz est un missile adapté par Korolev et son équipe)

La grande question, c'est pourquoi un concept qui a l'air d'aller si bien sur le papier n'a jamais vraiment été proposé ni soutenu par les grands groupes aéronautiques qui eux sont justement en mesure de pouvoir réaliser cet appareil ...(...)

L'utilisation de Pegasus semble indiquer qu'utiliser un avion dédié coûte beaucoup plus cher. Ce qui me rend réservé sur l'intérêt de Stratolaunch. Par contre, utiliser un avion de chasse pour mettre sur orbite de petites charges me paraît une méthode prometteuse.

@Conan me barbare :

Les américains ont imaginé de lancer une fusée depuis un ballon, dès la fin des années 50. Il s'agissait du projet Rockoon ( https://en.m.wikipedia.org/wiki/Rockoon ) Mais l'engin flottant dans l'air tournait sur lui même, ce qui rendait l'orientation de la fusée très aléatoire. Actuellement, une société espagnole, Zero2infinity ( https://en.m.wikipedia.org/wiki/Zero2infinity ) planche sur le concept.

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Si je te suis bien Desty-N, ça revient à dire que l'économie principale attendue, s'il y en a, est "Fabrication/assemblage du premier étage de fusée (donc surtout acquisition ou fabrication des moteurs)" + "Pas de tir (construction et entretien)" + "Comburants et ergols du 1er étage pour 1 lancement" versus "coûts de développement, mise en service et entretien de l'avion" + "coût d'un vol".

Je serais curieux de connaitre les coups de fabrication et maintenance d'un pas de tir, du coup.

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Si je te suis bien Desty-N, ça revient à dire que l'économie principale attendue, s'il y en a, est "Fabrication/assemblage du premier étage de fusée (donc surtout acquisition ou fabrication des moteurs)" + "Pas de tir (construction et entretien)" + "Comburants et ergols du 1er étage pour 1 lancement" versus "coûts de développement, mise en service et entretien de l'avion" + "coût d'un vol".

Je serais curieux de connaitre les coups de fabrication et maintenance d'un pas de tir, du coup.

- Les coûts des ergols sont en général relativement faible.

- Le coût du pas de tir ne doit pas trop se différencier d'un lanceur par avion car il faut en général des installations spécifiques. Et ça n'a pas forcément un gros impacte vu que c'est un coût fixe et ponctuelle et qu'il ne faut payer que la maintenance par la suite.

 

Ce qui coûte cher c'est qu'on crame littéralement du high tech à chaque lancement. Le problème des réutilisable c'est qu'on reste pour le moment sur des rythme de lancement très faible pour pouvoir vraiment rendre le réutilisable valable. Au final tu vas construire seulement un ou deux exemplaire de la partie réutilisable, en général ils utilisent beaucoup de technos nouvelles et sont plus de proto que des avions de ligne.

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- Les coûts des ergols sont en général relativement faible.

- Le coût du pas de tir ne doit pas trop se différencier d'un lanceur par avion car il faut en général des installations spécifiques. Et ça n'a pas forcément un gros impacte vu que c'est un coût fixe et ponctuelle et qu'il ne faut payer que la maintenance par la suite.

Ce qui coûte cher c'est qu'on crame littéralement du high tech à chaque lancement. Le problème des réutilisable c'est qu'on reste pour le moment sur des rythme de lancement très faible pour pouvoir vraiment rendre le réutilisable valable. Au final tu vas construire seulement un ou deux exemplaire de la partie réutilisable, en général ils utilisent beaucoup de technos nouvelles et sont plus de proto que des avions de ligne.

Je suis plutôt d'accord, même si la fabrication en série constitue(ait) un des points forts de Soyouz et le grand défi d'Ariane 6.

En ce qui concerne le coût du pas de tir pou un "lancement aérien", je pense que cela dépend de l'avion. Un F-15 ou un Rafale peut opérer depuis un aéroport classique, et s'abriter dans un hangar normal, quoique dédié et spécialement aménagé. Stratolaunch doit tenir compte d'un appareil de presque 120 m d'envergure, plus long qu'une Saturn V. Il lui faudra sans doute un bâtiment construit spécialement et une piste lui permettant d'évoluer à son aise. De plus, comme tout nouvel appareil, il nécessitera qu'on en apprenne l'usage et l'entretien. Acquérir ce savoir-faire prendra sûrement des mois, voire des années.

C'est pourquoi je trouve actuellement plus prometteur le recours à des chasseurs militaires connus et éprouvés.

Certes, les configurations envisagées ne peuvent lancer que de petites charges (100 kg max), mais il se trouve qu'il existe un marché:

"En pleine expansion, le marché des nanosatellites aiguise les appétits des fabricants de petits lanceurs. Les coûts de mise en orbite réduisent, ce qui donne naissance à une longue traîne de start-up, tant dans le secteur des lanceurs que dans celui des nanosatellites. La démocratisation de l'espace prend son envol. (...)

Autre moteur de cette démocratisation de l'espace : la création d'un standard de nanosatellite baptisé CubeSat. Déployé pour la première fois dans l'espace en 2003, ce nanosat a été inventé par les professeurs Bob Twiggs (université de Stanford) et Jordi PuigSuari (California Polytechnic State University). Ce cube, qui embarque ses panneaux solaires sur ses facettes, pèse 1 kg et mesure 10 cm d'arête (...)"

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140129trib000813009/les-nanosatellites-decollent-tous-azimuts.html

La demande semble suffisante pour que des sociétés privées s'intéressent au sujet. Personnellement, je garde un œil sur Génération Orbit Launch Services (GOLS). Ils utilisent un jet d'affaire G3 de Gulfstream comme premier étage, afin d'envoyer en orbite des charges de 40kg ( http://www.satellitetoday.com/launch/2015/06/05/generation-orbit-gains-golauncher2-commitments-plans-golauncher-3/ ) L'utilsation d'un avion civil, ayant fait ses preuves, devrait permettre le décollage depuis un terrain classique, et un coût d'entretien contrôlé.

Si au cours de la prochaine décennie, ce type de démarche prouve sa viabilité, alors il sera intéressant d'envisager des lancements plus importants, de plusieurs centaines de kg. Pour le moment, je crains que Stratolaunch ne constitue un pari risqué, voire hasardeux.

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L’efficacité sur les performances d’un système avec lancement de fusée par avion est évidente. Une fusée aéroportée de 20 tonnes a les mêmes performances qu’une fusée classique de 40 tonnes. Ces performances ont été montrées lors de la conception de la fusée Pégasus contre une autre fusée similaire.

Le tir en altitude fait un cadeau appréciable en performance. L’aile permet de transformer efficacement la vitesse en hauteur. Et pour finir, tirer à cette altitude permet d’utiliser un moteur fusée avec un divergent optimisé pour travailler dans le vide pour augmenter encore plus la charge utile.

Par contre, la réalisation pratique de l’avion porteur n’est pas simple. Au départ, la fusée était lancée quasiment gratuitement avec un bombardier B-52 pour tirer des satellites gouvernementaux. Mais quand Orbital a voulu toucher le marché civil, il a fallu trouver un avion porteur civil. Orbital a choisit de convertir des Tristars pour lancer ses fusées de 20 tonnes. Parce que l’appareil est gros mais peu cher à l’achat car actuellement destiné à la décharge.

Utiliser un avion civil converti est simple mais très limité. Le plus gros projet dont j’ai entendu parler venait des Japonais. Ils voulaient convertir un B-747 pour tirer une fusée de 40 tonnes. Utiliser un A-380 converti serait possible pour avoir encore plus lourd mais actuellement, cet avion reste trop cher. Une fusée aéroportée de 40 tonnes, cela permet tout juste de lancer deux tonnes en orbite basse. Ariane 5 fait 750 tonnes…

 Pour aller plus loin dans le concept, il faut développer des avions complètement spécialisés dans cette tache. Maintenant, la masse de la fusée est passée à 210 tonnes. Néanmoins, La masse du satellite n’est que de 6 tonnes. Pour concurrencer Ariane 5, il faut un avion porteur trois fois plus gros avec 18 moteurs de 747.

Et à chaque fois que l'on fais évoluer ta fusée pour augmenter la charge utile, il faut redévelopper chèrement un nouvel appareil porteur.

Pour terminer, les opérations sont plus compliquées avec une fusée aéroportée : compléter les réservoirs suite à l’évaporation, réagir si le moteur ne démarre pas.

En résumé, la vrai rentabilité d’une fusée aéroportée dépend de l’architecture du débit de lancement...
 

Modifié par Marcus
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  • 1 year later...

 

 

http://www.numerama.com/tech/263272-premiere-sortie-pour-le-stratolaunch-lavion-lanceur-de-fusee-du-co-fondateur-de-microsoft.html

Stratolaunch Systems, la société de Paul G. Allen, vient de présenter au public son avion géant. Avec ses fuselages jumeaux, le Stratolaunch devra permettre de transporter des fusées pour les lâcher dans la stratosphère.

                                

                           stratolaunch-rollout.jpg

 

                                      stratolaunch-systems-corp-1-680x383.jpg

 

                      7014f57f228eb61c0f680b3050331cf5c46dd049

 

 

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il y a une heure, Shorr kan a dit :

 

 

http://www.numerama.com/tech/263272-premiere-sortie-pour-le-stratolaunch-lavion-lanceur-de-fusee-du-co-fondateur-de-microsoft.html

Stratolaunch Systems, la société de Paul G. Allen, vient de présenter au public son avion géant. Avec ses fuselages jumeaux, le Stratolaunch devra permettre de transporter des fusées pour les lâcher dans la stratosphère.                          

Enfin !

Pour les jeunes qui ne connaissent pas bien l’histoire de Microsoft. Paul Allen était le technicien intelligent qui a fondé Microsoft avec Bill Gates, un commercial sans scrupule.

Ensuite, il a financé Burt Rutan pour gagner le X-Prize de 10 millions de dollars. Quand  les détails du concours X-Prize ont été connus, Burt Rutan a fait étudier par sa société Scaled Composites un concept bien différent : un ballon qui emporte en altitude une fusée à poudre emmenant une capsule étanche pour les passagers. Seule la capsule était réutilisable. Tout le reste (ballon, fusée) était perdu. C’était le concept le plus simple et le moins couteux.  Les autres  concepts risquaient de couter plus cher que 10 millions de dollars.

 Paul Allen a informé Burt Rutan qu’il allait l’aider à faire quelque chose de plus ambitieux. Le concept des deux avions réutilisables (Spaceship + WhiteKnight). On ne sait combien il a donné mais on parle de 20 millions de dollars. L’argent du X-Prize n’aurait pas suffis.

Maintenant, nous voyons le résultat final de cette collaboration avec cet avion géant.

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  • 8 months later...

Sorti du placard ou Révélation ?   http://www.air-cosmos.com/une-fusee-inconnue-dans-la-baie-de-san-francisco-107459?   

selon Air et Cosmos web :  "Le 16 février, l’hélicoptère Écureuil Sky7 de la chaîne d’information KGO-TV (relai californien du réseau ABC7 News), qui diffuse des images HD en direct depuis la région de la baie de San Francisco, a surpris une activité insolite sur la base aéronavale d’Alameda, près d’Oakland : le déchargement et les vérifications d’une petite fusée inconnue au bataillon"

Le retour ? :   du  "projet Salvo (Small Air Launch Vehicle to Orbit), un lanceur de nanosatellites aéroporté placé sous un bombardier F-15E, aujourd’hui abandonné." 

A  creuser de ce côté:  https://forum.nasaspaceflight.com/index.php?topic=36753.0

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