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Opérations au Mali


Messages recommandés

Les derniers militaires espagnols pour la mission EUTM Mali, sont arrivés aujourd’hui au Mali.

http://www.bruxelles2.eu/breves/les-formateurs-espagnols.html

Visite à l’équipe européenne de formateurs de l’armée malienne (EUTM Mali) qui vient tout juste de commencer les formations de son premier bataillon malien, dénommé Warraba, “Les Lions” en bambara :

http://www.bruxelles2.eu/zones/sahel/a-la-decouverte-deutm-mali.html

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Intervention qui ne sert à rien:

Image IPB

On se croirait au Tchad dans les années 60, dans un Tanguy et Laverdure, regardez le visage et même la coupe du soldat... Magnifique!!!

"Il sentait bon le sable chaud... Mon colonio..."  =)

StRaph

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Intervention qui ne sert à rien:

Image IPB

On se croirait au Tchad dans les années 60, dans un Tanguy et Laverdure, regardez le visage et même la coupe du soldat... Magnifique!!!

"Il sentait bon le sable chaud... Mon colonio..."  =)

StRaph

Et penses un peu au public féminin.  ;)

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urgent: les forces françaises chassent les islamistes d'inais

www.cridem.org/C_Info.php?article=641869

13-04-2013 15:28 - Dans le Nord du Mali, le Mujao a fui l'armada française

Dans le Nord du Mali, le Mujao a fui l'armada française

Face à l'armada française de l'opération Gustav au nord de Gao, les jihadistes du Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) dans la vallée d'Inaïs ont choisi la fuite, abandonnant des tonnes d'armes mais ne subissant aucune perte.

Cette vallée perdue et désertique au nord-est du Mali, à l'écart de la piste trans-saharienne, avait depuis des semaines été repérée par les services de renseignements comme une importante base logistique des insurgés islamistes.

"On les voyait venir, rester un peu, charger, repartir" explique, dans son QG de Gao, le général Bernard Barrera, chef de la brigade Serval, qui a commandé l'offensive. "On s'attendait peut-être à des accrochages, mais le but était avant tout de vider la soute, d'anéantir leur logistique".

Le 7 avril à l'aube, l'armée française s'est déployée en force: 800 hommes, 150 blindés, une couverture aérienne totale. Mais quand ils ont fermé la nasse, elle était vide d'ennemis qui, prévenus ou prudents, avaient quitté les lieux plusieurs jours auparavant. La force française était prête à l'affrontement, dotée d'une puissance de feu impressionnante, terrestre et aérienne, qu'elle n'a pas utilisé.

"Nous avions laissé ouvert un étroit échappatoire" précise, dans la vallée d'Inaïs, au quatrième jour de l'opération, un officier supérieur. "Si vous fermez une boîte et appliquez une pression de tous côté, elle vous explose au visage. Il faut laisser une issue. Il y avait une sortie que les hélicoptères de l'Alat" (Aviation légère de l'armée de terre) "surveillaient de près. Le moindre pick-up rempli d'hommes en armes aurait été détruit".

Un vent de sable "leur a peut-être permis de s'exfiltrer, mais de toutes façons nous pensons qu'ils étaient partis quelques jours auparavant", ajoute le général Barrera.

18 tonnes de munitions

"Ils sont peut-être renseignés, ou ils se méfient... Ils ont compris qu'ils ne peuvent plus rester groupés sur le terrain. Dès qu'ils voient ou qu'ils savent que des unités françaises ou même maliennes vont bouger, ils se dispersent, nous évitent", selon lui. Les insurgés ont compris qu'avec l'extraordinaire capacité d'observation aérienne de leur ennemi, il ne leur est plus permis d'aligner plus de deux pick-up, sous peine de devenir une cible détruite par une foudre invisible tombée du ciel.

L'état-major de l'opération française Serval est tout de même satisfait: le ratissage de la vallée a permis la découverte de 18 tonnes de munitions, dont 700 obus, 51 roquettes, 16 bombes d'avion, 17 caisses de munitions. Peu d'armes légères (une vingtaine de fusils d'assaut): les jihadistes les ont soit emportées avec eux, soit enterrés dans des lieux que les sapeurs français n'ont pas découvert.

Ils semblent avoir abandonné sur place les caisses les plus encombrantes, des munitions pour armes lourdes qu'ils utilisent peu. Trois 4x4 ont été découverts, à moitié enterrés et cachés par des bâches: deux ont été détruits, un emporté pour être remis à l'armée malienne. Dans les recoins les plus boisés du fond de l'oued, des traces de campements, des preuves de bivouacs par dizaines.

"Nous pensons qu'il pouvait y avoir dans la vallée quelques dizaines d'hommes du Mujao, tout au plus. C'était leur reliquat dans la région", précise le général Barrera. "Ils ont filé en moto, en dromadaire, en véhicule". En dépit du retour en France des premiers soldats de l'opération Serval, les offensives vont se poursuivre dans la région de Gao et le Nord du Mali, assure l'officier français.

"Les opérations vont continuer. Ce sera différent", dit-il. "On pourra faire aussi important, dans une autre vallée, ou plusieurs opérations plus restreintes, dans d'autres secteurs. Mais nous serons toujours là... Moins nombreux peut-être, mais toujours là. Et avec des moyens aériens, hélicos et avions, redoutables..."

www.cridem.org/C_Info.php?article=641869

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C'est bien une bouteille d'eau sur l'antenne du VAB?

A quel usage?

Image IPB

Mission de reconnaissance au Nord de Tombouctou (reconnaissance offensive vers Araouane).

Elles servent souvent a y mettre un cyalume la nuit
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www.cridem.org/C_Info.php?article=641931

15-04-2013 07:54 - Mali: Déby affirme que le jihadiste Belmokhtar 's'est fait exploser

Le président tchadien Idriss Déby a affirmé que le chef de guerre jihadiste au Mali Mokhtar Belmokhtar était mort en se faisant "exploser", dans un entretien TV5 Monde/RFI/Le Monde diffusé dimanche, où il évoque aussi le retrait des troupes tchadiennes du Mali.

"Nous avons les preuves de sa mort. On n'a pas pu filmer parce qu'il s'est fait exploser, après la mort d'Abou Zeïd. Il n'a pas été le seul. Trois ou quatre jihadistes en désespoir de cause se sont fait exploser", a déclaré Idris Deby lors de cette émission Internationales enregistrée samedi à N'Djamena.

A la question +êtes-vous certain qu'il est mort+, le président tchadien a répondu: "Nous (le) savons parfaitement (...), nous l'avons identifié¨.

Le Tchad avait annoncé début mars que ses militaires engagés au Mali avaient tué les jihadistes Abou Zeid, haut responsable d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et Mokhtar Belmokhtar, chef d'une branche dissidente d'Aqmi.

La France avait confirmé le 23 mars la mort d'Abou Zeid, 46 ans, mais non celle de Mokhtar Belmokhtar dit le "Borgne" à l'origine de l'attaque du site gazier d'In Amenas en Algérie fin janvier.

Paris avait annoncé que des tests ADN seraient pratiqués sur le corps des djihadistes tués au Mali.

"La guerre face à face avec les jihadistes est terminée. L'armée tchadienne n'a pas de compétence réelle pour faire face à une nébuleuse. Les soldats tchadiens vont retourner au Tchad. Ils ont accompli leur mission", a par ailleurs déclaré le président tchadien qui a envoyé un contingent de 2.000 hommes au Mali au côté de la France.

"Nous avons déjà procédé au retrait du bataillon d'appui lourd qui a déjà quitté hier (samedi) Kidal pour rentrer au pays. Le reste des éléments, progressivement, vont rentrer au pays", a ajouté le président, sans donner de date précise.

"Si l'ONU en fait la demande, le Tchad mettra à disposition de l'ONU des soldats tchadiens" au Mali, a-t-il assuré.

www.cridem.org/C_Info.php?article=641931

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Pas de "Bunkérisation" au Mali :

http://www.bruxelles2.eu/zones/sahel/le-syndrome-afghan.html

Les premiers formateurs spécialisés allemands sont arrivés au Mali ce dimanche. 17 formateurs du génie ont débarqué de l’Airbus Kurt Schumacher sur l’aéroport de la capitale Bamako-Sénou.

http://www.bruxelles2.eu/breves/les-formateurs-allemands-sont-arrives-a-bamako.html

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"Nos soldats vont rentrer au Tchad. Ils ont accompli leur mission. Nous avons déjà retiré un bataillon mécanisé. Le reste des éléments va rentrer au pays progressivement", a annoncé le président Idriss Déby à des médias français.

Cette annonce va à l'encontre de récentes mises en garde tchadiennes contre tout retrait hâtif du Mali, même si la majeure partie du pays a été repris aux rebelles islamistes. L'opposition tchadienne a aussitôt demandé un calendrier du retrait et interpellé le Premier ministre qui doit apporter des précisions.

Suite :

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/04/15/deby-menace-chez-lui-il-annonce-le-retrait-des-forces-tchadi.html

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