maminos Posté(e) le 19 novembre 2012 Share Posté(e) le 19 novembre 2012 Debonneguerre si je pouvais trouver la "snipeuse" qui te sert d'avatar. Trop craquante... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 19 novembre 2012 Share Posté(e) le 19 novembre 2012 Debonneguerre si je pouvais trouver la "snipeuse" qui te sert d'avatar. Trop craquante... C'est ma muse.... Un brin lassive, mais elle ne manque jamais sa cible Si tu cherches dans les fils qui vont bien, tu vas la trouver, dans une bien meilleure résolution! ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
khairou Posté(e) le 15 janvier 2014 Share Posté(e) le 15 janvier 2014 La détection et la localisation des tireurs embusqués sont devenus des enjeux de taille sur les théâtres d'opérations contemporains, une réalité bien comprise par les industriels qui proposent leurs solutions techniques. Le développement des systèmes de détection anti-snipers a connu une accélération avec le retour des snipers sur la scène médiatique, au cours du conflit yougoslave. Les prototypes des années 90 (Lifeguard, Viper) exploitaient les signatures acoustiques et infrarouges des tirs, grâce à plusieurs capteurs (microphones, senseurs EO/IR) qui permettaient, une fois les données analysées par des processeurs intégrés, de définir, en quelques millisecondes, l'origine du tir. Les systèmes de détection de snipers actuellement mis en oeuvre en Irak et en Afghanistan exploitent les signatures acoustiques, infrarouges et visuelles des tirs. D'autres systèmes permettent une détection précoce des tireurs grâce à un "radar optique" effectuant un balayage laser visant à révéler les optiques de visée. Le système Boomerang, issu d'un programme de recherche du DARPA et développé par BBN Technologies, permet la détection acoustique de l'origine du tir grâce à plusieurs microphones, qui peuvent être montés sur un véhicule. La conception de ce système a notamment permis d'affiner les algorithmes de détection des ondes sonores issues du tir d'un projectile supersonique (shockwave), réduisant ainsi l'apparition de faux-positifs. D'autres systèmes de détection acoustique permettent la discrimination des tirs alliés. Le système Shotspotter est basé sur le maillage d'une zone par plusieurs capteurs acoustiques permettant la détection et la triangulation des tirs d'armes légères. Il est déjà employé par des forces de police aux USA et pourrait équiper à terme les drones ScanEagle de Boeing. Le Pentagone s'intéresse également au déploiement de multiples capteurs acoustiques en réseau pour la détection et la triangulation des tirs, à travers les programmes WAAPS et ATLS. Des systèmes de détection acoustiques portatifs (SWATS, Boomerang Warrior) sont également en cours d'expérimentation par l'US Army et devraient entrer en dotation en Afghanistan et en Irak cette année. La France a initié en 2003 son propre programme de détection anti-snipers, baptisé DAOTE (Détection Acousto-Optronique de Tireurs Embusqués). La DGA a sélectionné dans ce cadre deux matériels français, le système de détection acoustique PILAR de Metravib et le système de détection EO/Laser SLD 500 de CILAS. Le système PILAR a été déployé sur plusieurs théâtres depuis les années 90 et a équipé des unités américaines avant l'arrivée du Boomerang. Le SLD 500 permet pour sa part la détection des optiques pointées, en repérant les reflets des lunettes de visée et autres jumelles au cours d'un balayage laser. La détection laser des optiques est une des pistes privilégiées par les armées pour la détection des snipers. Cette technologie permet de repérer un tireur embusqué avant le premier tir et l'amélioration des algorithmes de détection limite les faux positifs, liés aux reflets parasites. Le programme BOSS (Battlefield Optical Surveillance System) de l'US Air Force (AFRL), visait à la détection des optiques de visée grâce à un système laser-optronique, ayant également la capacité de désigner une cible grâce à un pointeur laser. Plusieurs solutions commerciales sont apparues aux USA exploitant ce système détection, comme les jumelles à balayage laser Mirage 1200 ou le kit de détection RedOwl monté sur le robot Packbot. EADS travaille actuellement sur un projet similaire au BOSS américain, dénommé Ellipse, un système de détection d'optiques pointées à balayage laser, qui permettra notamment de différencier une lunette de visée militaire, d'un téléobjectif ou d'une simple paire de jumelles. Au début des années 2000, le bureau d'étude russe Nudelman a présenté le PAPV, un prototype capable de détecter par balayage laser une lunette de visée, mais également tout autre optique de visée militaire jusqu'à 1.5km. Ce système présentait la particularité d'embarquer un puissant laser de contre-mesure visant à aveugler un sniper ou un système d'armes. Les systèmes de détection anti-snipers connaîtront sans doute un certain succès sur les théâtres d'opérations actuels, mais leurs performances face à des contre-mesures acoustiques (modérateurs de son) ou optiques (ARD - Anti-Reflective Devices) demeurent incertaines. http://zonedinteret.blogspot.fr/2009/04/detection-anti-snipers.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John-Loyf Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 Même si je ne suis pas un expert,les "nouvelles technologies" pour repérer un sniper ne sont-elles pas facilement contournable? Comme dit il suffit d'un modérateur de son pour que le repérage ne marche pas convenablement.Et dans une vallée avec l'echo,le sniper doit être sacrément difficile à retrouver non?Puis s'il est caché dans une fôret,il y a des centaines d'arbres qui redirigent le son,donc qui parasitent le repérage. Et pour le repérage par les optiques,je suis sûr que si on traite une optique d'une certaine manière on peut éviter que le soleil ou une autre lumière se reflète dedans non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 Même si je ne suis pas un expert,les "nouvelles technologies" pour repérer un sniper ne sont-elles pas facilement contournable? Comme dit il suffit d'un modérateur de son pour que le repérage ne marche pas convenablement.Et dans une vallée avec l'echo,le sniper doit être sacrément difficile à retrouver non?Puis s'il est caché dans une fôret,il y a des centaines d'arbres qui redirigent le son,donc qui parasitent le repérage. Et pour le repérage par les optiques,je suis sûr que si on traite une optique d'une certaine manière on peut éviter que le soleil ou une autre lumière se reflète dedans non? Pour le son du coup de feu, le problème c'est curatif, en effet le sniper a déjà fait son oeuvre quand on le repère. Pour le tireur il y a deux problemes. Le bruit du départ de coup, en gros les gaz supersonique qui sortent du canon. Ca sa se regle avec un réducteur de signature classique. Mais il y a un second souci, c'est le bruit de la munition en vol supersonique le bang, qui s'entend quand elle passe a la hauteur du détecteur. Ça ça se règle en utilisant des munition subsonique. Le petit souci de ces deux contre mesure c'est quel dégrade beaucoup la portée d'un munition. Et que pour compensé la faible vitesse initiale on est obligé d'utiliser du tres gros calibre et des solution de tir digne de l'artillerie ... ou de s'approcher de la cible. On réduit donc drastiquement le nombre d'ennemi capable de venir te faire chier sans prendre trop de risque. S'il leur faut un tres gros calibre entièrement silencé et beaucoup de talent pour en ressortir vivant. En l'absence de balle subsonique, le bang supersonique donne une bonne indication de la direction du départ de coup, mais pas la distance. Mais ca peut etre tres suffisant pour une riposte velue. Pour la détection d'optique pointée. En fait il s'agit de faire rentrée de la lumiere dans l'optique et quelle se reflete comme les yeux de chat. Empecher la lumiere de rentrer c'est compliqué vu que c'est grace a ca qu'on voit quelques chose dans l'optique. L'empecher de ressortir c'est envisageable mais ca coute combien?! Il faut filtrer quelle fréquence? Tu en connais beaucoup des systeme optique qui ont des refraction différente dans chaque sens? Il y a bien des solution a effet faraday mais je ne suis pas sur que ca soit applicable a une optique de sniper, c'est le genre de truc qu'on trouve dans les centrale inertielle laser ... v'la la gueule du tarif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John-Loyf Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 Vu comme ça j'y avais pas pensé,merci de m'éclairer :) Mais après pour le bruit du tir,si le sniper est assez rapide il peut prendre la fuite et on peut perdre sa trace rapidement non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 Vu comme ça j'y avais pas pensé,merci de m'éclairer :) Mais après pour le bruit du tir,si le sniper est assez rapide il peut prendre la fuite et on peut perdre sa trace rapidement non? Si ça riposte au mortier ou au canon de 25mm ... il va devoir courir plus vite que les balle ou des schrapnel. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 20 février 2014 Share Posté(e) le 20 février 2014 en parlant de repérage de sniper ,les US en Irak utilisaient le bruit des tirs pour masquer un tir de précision . pendant que sa arrosait à la 7.62 mm dans un secteur ,un sniper en 7.62 flingué discrètement . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Rob1 Posté(e) le 31 octobre 2015 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 octobre 2015 (modifié) J’ai découvert le récit d’une chasse au sniper en Tchétchénie et j’en fais une traduction-résumé parce qu’un témoignage de ce genre est, finalement, rare : Aleksandr Petrenko était membre de la 131e brigade d’infanterie motorisée « Maikop » formée peu avant l’intervention de 1994 en Tchétchénie. Sniper, Petrenko est chargé de former dans ce rôle de jeunes soldats inexpérimentés, puis sa brigade prend part à l’offensive sur Grozny le 31 décembre. Petrenko utilise l’arme standard, un SVD Dragunov avec lunette PSO-1. Citation « A six heures du matin, je rentrai d’un raid de nuit. A dix heures, alors que je dormais, le lieutenant-colonel Pika N. passa me voir. « Tu veux affronter un sniper tchétchène ? » Ce sniper ennemi n’agissait que de nuit dans la zone d’un avant-poste de l’autre côté du pont Sounja [environ […] à deux kilomètres de la banlieue de Grozny]. Les tirs de ce sniper fixaient les soldats dans un état de stress continu et […] ils étaient à la limite de craquer. Le harcèlement n’avait pas de profil régulier : un tir depuis une colline; après une heure et demie à deux heures, un autre tir d’une autre colline ; après à nouveau une heure et demie à deux heures, un troisième tir. […] Le soir, après m’être reposé, avoir ajusté mon équipement et vérifié mon arme, je partis pour le malheureux avant-poste. Le commandant, Viktor Fedovitch, fut heureux de me voir. « Sasha, mon cher, on t’attendait… et on t’en doit une ». Les soldats se dévoilèrent, me regardant comme si j’étais une merveille. Mais ils étaient aussi très énervés. Je regardai aux alentours – les défenses étaient disposées selon le manuel – un cercle de ciment entourant un BMP. […] Je consultai la carte, étudiai le terrain et repérai les champs de mines. Le commandant me montra les positions approximatives d’où le sniper tirait. J’essayais de deviner les routes des positions de tir du sniper à ses zones de repli. […] J’arrangeais mon passage à travers les champs de mines. « Ouais les gars, faites attention. Ne me tirez pas dessus. » Je ne considérai pas cet avertissement superflu. J’avais déjà fait ça avant – alors que l’ennemi rentrait d’un raid, je l’avais canardé depuis ses propres positions de tir. Je ne pouvais pas rentrer avant le matin. Je dis au revoir aux gars de l’avant-poste et quelques minutes plus tard j’étais en territoire ennemi. Je choisis un poste d’observation dans une zone boisée. Je trouvai un creux et de là je fouillai les alentours avec mes jumelles de vision nocturne. Je restais là longtemps, écoutant les bruits de la nuit. Dans ce froid, même les pas les plus légers sont faciles à percevoir. Quelque part dans le lointain je pouvais entendre des tirs. Je pouvais entendre des véhicules se déplaçant dans les faubourgs. Deux chacals passèrent juste devant moi. Alors que la nuit avançait, je gelais jusqu’aux os. Le temps passait lentement et c’était ennuyeux. Je me forçais à ignorer le froid. Il était maintenant plus de minuit et ma colère contre ce sniper fantôme s’intensifiait. C’est ainsi que la nuit passa. Visiblement le sniper avait pris un jour de congé. J’étais de mauvaise humeur. J’attendis à l’extérieur du couloir dégagé dans le champ de mines jusqu’à l’aube, m’identifiai et retournai à l’avant-poste. Je me sentais coupable en arrivant près de ces soldats que je n’avais pas aidés. Ca me rongeait. Je ne voulais pas les regarder dans les yeux. Je retournai au QG du régiment dans le premier véhicule disponible. […] Le 2e jour Après le diner, je préparais ma deuxième tentative. Je vérifiai mon arme, mes munitions, mes jumelles de vision nocturne et ajustai mon équipement. A la tombée de la nuit je partis pour l’avant-poste. C’était une répétition de la nuit précédente. Je passai le champ de mines, cherchai un abri et surveillai la zone. Le sniper ennemi apparut vers 20 heures. Il tira de quelque-part un seul coup vers l’avant-poste. Je bougeai vers un autre endroit. Je restais dans ma cache deux à trois heures sans résultat. Je conclus que le sniper était déjà parti ou se reposait dans un abri aménagé. Je décidai d’avancer plus loin en territoire ennemi vers Grozny. Il y avait une ferme et plusieurs maisons à proximité. Un tout-terrain Niva arriva phares éteints et s’arrêta à 100-150 mètres des bâtiments. Un homme descendit et commença lentement à décharger quelque-chose du coffre. Je regardais attentivement. Il déchargeait des boîtes de munitions ! A ce moment, un second homme sortit d’une maison et vint aider au déchargement. Je me préparai à tirer. Mon premier tir fut destiné au combattant le plus proche. Je l’atteignis à la tête et il s’écroula. Son camarade se jeta immédiatement derrière la voiture. J’attendis qu’il sorte sa tête au-dessus du capot et tirai à nouveau. Il y avait maintenant deux corps à côté de la voiture. Soudain, deux combattants avec des fusils d’assaut surgirent de la maison. Ils tirèrent frénétiquement, ce qui ne fit qu’aggraver leur propre panique. Notre artillerie ne les aida pas à se calmer – car elle commença un barrage furieux de la zone deux minutes après qu’ils aient ouvert le feu. J’essayais d’échapper aux tirs de notre artillerie en me déplaçant le long d’une rigole large et profonde en pleine obscurité. Je grimpai une pente et me trouvai soudainement à côté d’une position de tir ennemie. Heureusement, il n’y avait personne dans la structure de béton. Près de là il y avait des fortifications de terrain vides pour une batterie de lance-roquettes multiples BM-21 […] Deux hommes armés apparurent sur un chemin à côté d’un derrick. Ce sont les cris de pies qui m’avertirent de leur présence. Le duo avait à peine atteint le périmètre quand je pressai la détente. Je dégageai vivement vers notre avant-poste qui était encore à une bonne distance. Sur le chemin du retour Mon chemin retour suivait le fond d’un ravin. De temps en temps je grimpais les flancs pour regarder autour, mais je ne voyais rien à cause de denses fourrés. Alors que je me rapprochais de l’avant-poste, j’entendis soudainement les bruits caractéristiques d’un sniper au travail. Je courrai dans la direction de la détonation. Collé à mes jumelles, je cherchais attentivement la zone. J’entendis un cerf s’ébrouer à proximité. Un peu plus tard, l’animal effrayé passa près de moi en courant. A travers mes jumelles, je remarquai un mouvement de l’autre côté du ravin. Je regardai de près et vis un homme portant des jumelles autour de son cou. Il était à environ 70 mètres de moi. Je rangeai mes jumelles dans ma veste et soulevai mon fusil. Visant l’homme, je pouvais voir l’énorme fusil qu’il portait sur l’épaule. […] J’étais sur le point de tirer quand il disparut. Je pris en visée l’endroit où je m’attendais à ce qu’il réapparaisse, mais il ne réapparut pas. Malgré les risques, il fallait que je le poursuive. J’atteignis l’endroit où je l’avais perdu de vue et regardai aux alentours. Il s’avéra que le chemin descendait brutalement le long du relief. Il y avait une bergerie, une petite maison et une remise à l’autre extrémité du ravin, à environ 200 m. […] Ma cible était là ! L’homme marchait sans se presser vers la bergerie. Je pris la visée. Je pouvais sentir ma respiration perturber ma pression sur la détente. L’homme avait ouvert la porte de la maison et allait entrer… Je sentis le recul. Dans la lunette je pouvais clairement voir la lumière sortant de la porte ouverte et les jambes de l’homme dépassant de l’embrasure. J’attendis. Il n’y avait pas de mouvement dans la maison ni dehors. […] Prudemment je fis le tour de la bergerie. […] J’arrivai à l’entrée. Je poussai la porte à fond et entrai. […] Je laissai le corps pour examiner les lieux. Il semblait que le corps était bien celui du sniper fantôme. C’était suggéré par son excellent équipement. La maison était aménagée pour servir de refuge pour le sniper. Sur les étagères il y avait d’excellentes rations de combat importées et plusieurs caisses de poulet mijoté. Il y avait une bouilloire sur la cuisinière. Il y avait un matelas au sol avec un oreiller, une hache, un couteau de marque étrangère et une pile de bois. Je pensais que ce n’était pas loin de l’avant-poste et que le ravin cachait la bergerie. J’essayais de reconstituer les tactiques du sniper mort. De nuit, il allumait le réchaud, buvait un café et partait chasser. Un ou deux tirs plus tard, il retournait à son abri. Il se reposait deux ou trois heures puis retournait harceler l’avant-poste. Il n’avait pas de papiers sur lui. Je ne pouvais pas déterminer sa nationalité en regardant son visage. Son arme attira mon attention. C’était un « Heckler & Koch » 12,7 mm à bipied avec une excellente visée nocturne. Je trouvais également un transmetteur radio Nokia. […] Quand je retournais au régiment, la majorité des unités de la brigade étaient entrées dans Grozny. […] » Le spécialiste américain qui a traduit cet article du russe vers l’anglais note que l’auteur chassait seul, sans renfort, spotter ou élément de sécurité – ni même de radio. Il n’y a visiblement pas eu de coordination du sniper avec l’artillerie, ni de procédure d’urgence pour rentrer à l’avant-poste avant l’aube. C’est un certain nombre de choix risqués pour un sniper et donne une idée de l’état de l’armée russe à l’époque. L’arme du sniper tchétchène est un mystère puisque H&K ne fait pas de tels fusils. L’auteur a pu confondre cette marque avec un autre fabricant. L’auteur ne précise pas avoir s’il a ramené l’arme, mais c’est probable pour prouver son « kill » et exploitation par le bureau de renseignement. http://fmso.leavenworth.army.mil/documents/Night-sniper.pdf Modifié le 2 avril 2016 par Rob1 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 31 octobre 2015 Share Posté(e) le 31 octobre 2015 Et c'est pas non plus un HS-50 de Steyr puisque l'arme date de 2004.Ça pourrait être une erreur de traduction de l'auteur entre un chiffre et un calibre supposé ? 12.7 >.50.Or, à noter : le nom original du G36 est "HK50".L'arme étant entrée en service en 1995 dans la Bundeswehr, et des histoires du même genre circulant sur la Tchétchénie (armes occidentales assez peu banales dans les mains de tchétchènes, notamment une sombre affaire de munitions de 7.62x54 au mercure manufacturées par une entreprise du Texas et envoyées aux insurgés) on pourrait "envisager que"...Ce pourrait-il être une piste ?http://www.whq-forum.de/cms/309.0.html Après, ça peut aussi être du bon gros bullshit des familles, après tout, ce serait pas la première fois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 3 novembre 2015 Share Posté(e) le 3 novembre 2015 Vu qu'il est dit que c'était un "énorme fusil" que le gars portait sur son épaule, je pense que c'est bien un truc de gros calibre, et que c'est la marque qui est erronée. Des .50 en 1994, il y avait déjà des MacMillan, Barrett, PGM, Gepard etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TimTR Posté(e) le 4 novembre 2015 Share Posté(e) le 4 novembre 2015 (modifié) H&H peut être ? Holland et Holland, ils font des fusils d'assez gros calibres de mémoire, peut être jusqu'à .50 . edit: ça serait bizarre en fait vu la gamme et le contexte... Modifié le 4 novembre 2015 par TimTR Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 5 novembre 2015 Auteur Share Posté(e) le 5 novembre 2015 Dans le livre Sniper : vie d'un soldat en Tchétchénie (que je conseille) l'auteur raconte souvent que les insurgés tchétchènes utilisaient du matériel occidental. Pistolets Colt et Glock, munitions américaines (dont les fameuses 7.62x54 texanes), fusils de sniper finlandais (Sako ?), moyens de transmissions occidentaux, rations de combat et trousses de secours américaines...Maintenant dur de dire où commence la vérité et ou commence le fantasme de l'ennemi équipé et financé par l'Occident. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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