Asgard Posté(e) lundi à 07:47 Share Posté(e) lundi à 07:47 8 minutes ago, Ciders said: c'est que tout le monde s'est gargarisé des qualités immenses de la FDI Ah non, j'ai toujours eu le même discours depuis qu'on a su que les FDI ne remplacerait pas les FLF 2nd rang Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) lundi à 08:14 Share Posté(e) lundi à 08:14 (modifié) il y a une heure, Asgard a dit : Se rappeler que la MN n'en voulait pas. On lui avait promis plus de FREMM. La FDI est une compensation à NG et un pansement pour la MN. Faut pas l'oublier non plus :) FREMM qui aurait été meilleure concurrente ici Meilleurs en quoi ? Est-ce que une seule personne ici est capable de me donner le cahier des charges du client ? Je ne comprends pas comment on peut trouver des défauts en ne connaissait pas la demande Modifié lundi à 08:43 par clem200 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. CANDIDE Posté(e) lundi à 08:33 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 08:33 (modifié) Il y a 2 heures, Glenans29 a dit : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/norvege-pourquoi-la-competition-etait-impossible-a-gagner-pour-naval-group-1031707.html En gros, mon interprétation de ce que dit Cabirol (compétition impossible à gagner), c'est qu'en raison des liens presque séculaires avec la RN, la marine Norvégienne est une sorte de mini Royal Navy bis. L'offre de Naval Group et des autres concurrents, même dans l'hypothèse d'une supériorité technique, c'était un saut dans l'inconnu, et la Norvège n'a pas oser briser le lien "quasi conjugal" avec la RN, même au prix de délais et de factures bien plus élevés. Modifié lundi à 08:35 par CANDIDE 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pakal Posté(e) lundi à 08:40 Share Posté(e) lundi à 08:40 Je n'y connais pas grand chose en architecture navale mais je n'oublie pas que les Norvégiens ont été les premiers à annuler leur contrat NH90. Il est effectivement fort probable que la capacité 2*EH101 a joué par rapport à la capacité mono NH90 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MoX Posté(e) lundi à 08:55 Share Posté(e) lundi à 08:55 Après tout, n'est-ce pas le 2eme meilleur choix, vu depuis la France ? Un tiers va claquer des pétrodollars pour aider les brittons à se remettre en selle sur la construction navale. Nos voisins restant parmi nos alliés les plus robustes dans la conduite politique de leurs armées, si ce n'est pas pour la France, alors autant que le contrat serve à une bitd capable de contribuer à notre sécurité. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) lundi à 09:13 Share Posté(e) lundi à 09:13 il y a 20 minutes, Pakal a dit : Je n'y connais pas grand chose en architecture navale mais je n'oublie pas que les Norvégiens ont été les premiers à annuler leur contrat NH90. Il est effectivement fort probable que la capacité 2*EH101 a joué par rapport à la capacité mono NH90 Les FDI étaient clairement présentées comme pouvant mettre en oeuvre le MH60 que les Norvégiens ont acheté à la place de leurs NH90. Et rappelons que le MH60 par rapport au NH90 Norvégien, c'est, pour faire une métaphore vestimentaire, du prêt-à-porter comparé à du sur-mesure. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) lundi à 09:30 Share Posté(e) lundi à 09:30 (modifié) Il y a 1 heure, Asgard a dit : Se rappeler que la MN n'en voulait pas. On lui avait promis plus de FREMM. La FDI est une compensation à NG et un pansement pour la MN. Faut pas l'oublier non plus :) FREMM qui aurait été meilleure concurrente ici En plus de la consanguinité de la marine norvégienne avec la RN, son choix s'est porté sur un navire largement plus lourd que la FREMM, alors que la FDI est de taille comparable avec les Navantia qui doivent être remplacées. Difficile de penser que la FREMM, plus chère et plus construite, aurait emporter le marché. Je me contentais de noter que beaucoup de marines s'orientent vers des frégates, voire des destroyers, beaucoup plus lourds que nous. 2 marchés différents... Modifié lundi à 09:32 par Alberas 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) lundi à 10:13 Share Posté(e) lundi à 10:13 (modifié) La FDI est un saut en avant qualitativement par rapport aux FREMM. Se pose juste la question du gabarit et du nombre de lanceurs. Sachant que la version française est amputée de la moitié de ses lanceurs par rapport à la version grecque. Modifié lundi à 10:47 par Brian Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) lundi à 11:07 Share Posté(e) lundi à 11:07 Frégates : la Norvège choisit la T-26 britannique https://www.meretmarine.com/fr/defense/fregates-la-norvege-choisit-la-t-26-britannique ... Avis dissidents Dans la presse et certains cercles politiques norvégiens, ce choix suscite aussi des critiques. Certains experts considèrent que la frégate française FDI aurait mieux convenu aux spécificités géographiques et opérationnelles norvégiennes, notamment en raison de son gabarit plus adapté à la navigation dans les fjords et ses capacités anti-sous-marines éprouvées. D’autres craignent que des composants stratégiques des frégates britanniques proviennent de pays tiers comme Israël, soulevant des questions politiques et techniques. Ces critiques regrettent également que le choix ne favorise pas autant l’industrie norvégienne que prévu. ... Naval Group prend acte et mise sur d'autres marchés scandinaves Dans un communiqué, Naval Group a dit prendre acte du choix de la Norvège de ne pas avoir sélectionné la FDI pour son futur programme de frégates, à l’issue d’une compétition présentée comme « intense ». L’industriel français partait en position de challenger, en particulier face au Royaume-Uni qui a des liens stratégiques historiques avec le royaume scandinave et faisait donc depuis longtemps office de favori. Cela, même si la T26 répond clairement moins bien aux besoins opérationnels norvégiens et que cette frégate, contrairement à son homologue tricolore, n’a toujours pas pris la mer. « C'est un choix souverain que nous respectons, et qui ne remet aucunement en cause les capacités de la frégate FDI qui a déjà été sélectionnée par deux marines européennes membres de l’OTAN. Nous sommes convaincus que la FDI est un navire parfaitement adapté aux missions dans le Grand Nord. La FDI répond et dépasse les besoins capacitaires exprimés, et est prête à être livrée dans des délais rapides pour relever les défis croissants du combat naval. Naval Group poursuit le développement international de la FDI au service de pays qui souhaitent bénéficier d’une flotte de premier rang avec un navire conçu pour le combat de haute intensité sur toutes les mers du globe », a déclaré le groupe français. Ce dernier va désormais concentrer ses forces sur d’autres marchés, avec notamment, en plus de la commande attendue prochainement d’une quatrième FDI pour la Grèce, les compétitions pour les nouvelles frégates danoises, suédoises ou encore indonésiennes. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) lundi à 11:11 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 11:11 il y a une heure, Alberas a dit : En plus de la consanguinité de la marine norvégienne avec la RN, son choix s'est porté sur un navire largement plus lourd que la FREMM, alors que la FDI est de taille comparable avec les Navantia qui doivent être remplacées. Difficile de penser que la FREMM, plus chère et plus construite, aurait emporter le marché. Je me contentais de noter que beaucoup de marines s'orientent vers des frégates, voire des destroyers, beaucoup plus lourds que nous. 2 marchés différents... C'est d'ailleurs assez surprenant de mobiliser beaucoup d’œuf dans le meme panier, à une époque ou les navires n'ont jamais été aussi vulnérables. On a l'impression à assister à une hysteresis, ou les marine achètent les navires dont elle rêvait il y a 30 ans ... parce qu'enfin aujourd'hui elle le peuvent. Et pas du tout les navires dont elle auront besoin de 10 ans. --- D'un coté je peux comprendre le besoin de navire arsenal pour envoyer de tres gros missile ... mais ca peut se faire depuis des navire relativement simple en fait qui viendrait en "Remote Carrier" de la flotte couteuse. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) lundi à 11:26 Share Posté(e) lundi à 11:26 il y a 12 minutes, g4lly a dit : C'est d'ailleurs assez surprenant de mobiliser beaucoup d’œuf dans le meme panier, à une époque ou les navires n'ont jamais été aussi vulnérables. On a l'impression à assister à une hysteresis, ou les marine achètent les navires dont elle rêvait il y a 30 ans ... parce qu'enfin aujourd'hui elle le peuvent. Et pas du tout les navires dont elle auront besoin de 10 ans. --- D'un coté je peux comprendre le besoin de navire arsenal pour envoyer de tres gros missile ... mais ca peut se faire depuis des navire relativement simple en fait qui viendrait en "Remote Carrier" de la flotte couteuse. Question directe : cette considération s’applique-t-elle également aux navires capitaux ? Car de ce point de vue, il est difficile de comprendre la réduction de la taille des navires d’escorte d’un futur porte-avion, dont la taille est considérablement supérieure à celle du navire qu’il remplacera. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) lundi à 11:26 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 11:26 (modifié) En tout cas beaucoup d'articles en Norvège continuent de louer les mérites techniques de la FDI, Pour la Norvège c'est trop tard, mais à mon avis ca ne pourra qu'aider la campagne export en Suède, eux qui regardent de près cet appel d'offre en Norvège. – Pas le meilleur choix https://www.forsvaretsforum.no/fregatt-innenriks-langtidsplanen/ikke-det-beste-valget/453955 Un système de défense aérienne insuffisant et un mauvais partenaire stratégique : c’est ainsi que des experts jugent la décision de la Norvège d’acheter des frégates britanniques. « La Type 26 n’est pas le meilleur choix », affirme Tor Ivar Strømmen, chercheur et professeur principal à l’École navale. « C’est un navire à rôle unique. Il est conçu principalement pour la chasse aux sous-marins. Ce ne sont donc pas des frégates multirôles. » Dimanche, le Premier ministre Jonas Gahr Støre (Ap), le ministre de la Défense Tore O. Sandvik (Ap) et le chef des forces armées Eirik Kristoffersen ont annoncé que la Norvège allait acheter des frégates britanniques de type 26. Støre a souligné que le partenariat stratégique avec le Royaume-Uni était une raison importante de cette décision. « C’est justement là une partie du problème. Je comprends l’argument, mais il y a plusieurs critiques possibles à l’égard de la frégate britannique », déclare Amund Nørstrud Lundesgaard, maître de conférences à l’École d’état-major. Une défense aérienne insuffisante « Les frégates françaises et allemandes disposent d’une meilleure défense aérienne. La britannique est conçue pour opérer au sein d’une unité plus large. Ce sont alors les destroyers qui l’accompagnent qui assurent la défense aérienne », explique Lundesgaard. « Cela peut poser problème, notamment face aux drones dans l’espace aérien. Il sera intéressant de voir ce que le gouvernement dira à ce sujet », poursuit-il. Strømmen partage cette critique : selon lui, la défense aérienne embarquée est insuffisante. « La Type 26 ne dispose que d’un système de défense aérienne de proximité et a une capacité très limitée à protéger autre chose qu’elle-même. Elle n’a aucune aptitude à défendre une zone étendue ni à s’intégrer efficacement dans un système moderne de défense aérienne coordonnée. Or, la Norvège manque cruellement de défense aérienne », déclare Strømmen. « Dans presque toutes les opérations en temps de guerre, l’absence de défense de zone et de capacité à contrer les missiles balistiques ou hypersoniques est un facteur critique. Une frégate qui en est dépourvue doit soit opérer au sein d’une flotte disposant de telles capacités, soit rester confinée à des zones où la menace aérienne est limitée », ajoute-t-il. « La défense aérienne de la Type 26 a une capacité limitée de détection des missiles balistiques et aucune capacité de les intercepter. En réalité, elle est nettement plus faible que celle dont dispose déjà la classe Nansen », poursuit le chercheur. Selon Strømmen, la protection contre les drones est actuellement limitée, mais cela pourrait évoluer en fonction des négociations entre la Norvège et le Royaume-Uni concernant les spécifications finales. Écarter le Danemark et la Suède Strømmen estime également que le Royaume-Uni n’est pas le meilleur partenaire stratégique pour la Norvège. « Nous choisissons un partenaire stratégique extérieur à l’UE. Nous nous écartons donc du principal cadre de coopération sécuritaire européen pour les décennies à venir. Cela nous exclut du développement industriel et militaire de la défense européenne », dit-il. Il souligne que ce choix signifie aussi renoncer à un rapprochement naval avec le Danemark et la Suède. « Nous n’aurons pas de coopération navale renforcée avec nos voisins les plus proches, qui doivent eux aussi acquérir de nouvelles frégates – la FDI française étant un candidat sérieux pour la Suède, et la F127 allemande ou la FDI pour le Danemark. Aucun d’eux n’opterait pour la Type 26. » Strømmen n’est pas non plus impressionné par les capacités maritimes britanniques récentes. « Le Royaume-Uni n’a pas réussi à rendre sa marine véritablement opérationnelle depuis 20 ans. Leurs navires passent plus de temps en cale sèche qu’en mer, et cela vaut pour presque toutes leurs classes. Il y a un risque sérieux que nous achetions des problèmes », juge-t-il. Le choix français aurait été préférable Selon Strømmen, les capacités actuelles de la marine britannique sont insuffisantes pour soutenir la Norvège. « Maintenant que les Britanniques déploient un porte-avions en Asie, ils n’ont presque plus de capacités disponibles en Europe », dit-il. À ses yeux, la meilleure option pour la Norvège, en termes de capacités, aurait été la frégate allemande F127, suivie de près par la frégate française FDI. Mais comme l’Allemagne ne peut livrer assez rapidement, il estime que la Norvège aurait dû acheter la FDI du groupe Naval français. « La marine française affiche en outre une disponibilité opérationnelle de 80 %. Pour un petit pays avec peu de navires mais de grands besoins, cette disponibilité est absolument cruciale », souligne-t-il. Concrètement, sur cinq frégates, quatre seraient toujours opérationnelles, tandis qu’une seule serait immobilisée pour maintenance. « Pour les frégates britanniques, seules deux ou trois seraient disponibles à la fois, à moins que les Britanniques ne réussissent à transformer radicalement leurs systèmes de maintenance et de modernisation », conclut Strømmen. Soulagement Lundesgaard se dit satisfait que la Norvège n’ait pas choisi de frégates américaines. « Je suis soulagé que l’on n’ait pas opté pour des frégates américaines. Techniquement, elles sont bonnes, mais leur chaîne de production a des difficultés et elles sont très en retard sur le calendrier », explique-t-il. Il met aussi en avant la situation politique aux États-Unis : « Je suis très sceptique quant à la fiabilité des États-Unis, du moins avec le gouvernement actuel, mais aussi avec un éventuel gouvernement démocrate. Le centre de gravité de la politique américaine s’oriente désormais dans une autre direction qu’auparavant. » Modifié lundi à 11:27 par Titus K 3 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) lundi à 11:30 Share Posté(e) lundi à 11:30 (modifié) il y a 35 minutes, gianks a dit : Question directe : cette considération s’applique-t-elle également aux navires capitaux ? Car de ce point de vue, il est difficile de comprendre la réduction de la taille des navires d’escorte d’un futur porte-avion, dont la taille est considérablement supérieure à celle du navire qu’il remplacera. La différence c'est qu'une petite frégate c'est possible, ça peut rester fortement armée si tu le veux. Glisser des tubes verticaux dans une coque c'est pas dur. Un petit porte avion, c'est forcément beaucoup plus faible. Un avion de 10 tonnes ça se case moins bien Modifié lundi à 12:01 par clem200 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) lundi à 11:43 Share Posté(e) lundi à 11:43 il y a 28 minutes, gianks a dit : Question directe : cette considération s’applique-t-elle également aux navires capitaux ? Car de ce point de vue, il est difficile de comprendre la réduction de la taille des navires d’escorte d’un futur porte-avion, dont la taille est considérablement supérieure à celle du navire qu’il remplacera. Pourquoi il y aurait un lien entre la taille des escorteurs et la taille du ou des navires à défendre ?! Par souci esthétique ? --- Les contraintes concernant les escorteurs, sont liés à la vitesse du convoi, à l'autonomie, au moyen de combat employé ... mais c'est sans lien direct avec la taille du convoi, ou la taille du plus gros navire du convoi. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) lundi à 11:44 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 11:44 Il y a 4 heures, ARMEN56 a dit : Bon jme débranche FDI/Norvège Une dernière Quand je promène dans Caen centre un samedi matin , j’observe de belles blondes …à tomber ; QUOI !!! J’ai dis regarder . Pas de belles rousses d’ADN Irlande , non des blondes, beauté scandinave qui nous renvoie aux sources des invasions normandes viking drakkars toussa Bref quand j’entends l’argument liens fort culturo/relationnel cousinade on couche ensemble UK/Norway bla-bla ; j’me dis « why not » nous ? understand ??? D’autant que l’ibérique-Navantia géographiquement peu « vikinisé » avait réussi à placer ses Nunsen . La vérité est peut être ailleurs ; Dieu seul le sait mais il n’est pas bavard ! 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) lundi à 11:54 Share Posté(e) lundi à 11:54 il y a 37 minutes, g4lly a dit : C'est d'ailleurs assez surprenant de mobiliser beaucoup d’œuf dans le meme panier, à une époque ou les navires n'ont jamais été aussi vulnérables. On a l'impression à assister à une hysteresis, ou les marine achètent les navires dont elle rêvait il y a 30 ans ... parce qu'enfin aujourd'hui elle le peuvent. Et pas du tout les navires dont elle auront besoin de 10 ans. --- D'un coté je peux comprendre le besoin de navire arsenal pour envoyer de tres gros missile ... mais ca peut se faire depuis des navire relativement simple en fait qui viendrait en "Remote Carrier" de la flotte couteuse. Le problème c'est que plus de navires veut dire autant de radars, autant de systèmes de combat, de brouilleurs, de moteurs, lignes d'arbres etc. C'est ce qui coute le plus cher, la tôle c'est négligeable. Alors est-ce que dans le futur on aura un navire de commandement avec de l'humain dedans et deux ou trois escorteurs de la taille d'une corvette qui serviront de plate-forme de détection ou de lancement de missiles ? peut-être. Un peu dans l'idée d'un système de systèmes. Mais y a encore beaucoup de travail pour y arriver. Les frégates qu'on produit en 2030, elles ont été conçues fin des années 2010. Pour le porte-avions, la FDI sera un très bon escorteur, car très forte en AA, ce qui n'est pas le cas de la T26. Après faudra peut-être passer un peu plus souvent à la pompe. On remarque d'ailleurs que la FREMM est pas exempte de défauts, elle peut être ravitaillée en mer que d'un seul côté. Donc il n'aura jamais deux FREMM en ravito simultané. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) lundi à 11:58 Share Posté(e) lundi à 11:58 il y a 4 minutes, Brian a dit : Le problème c'est que plus de navires veut dire autant de radars, autant de systèmes de combat, de brouilleurs, de moteurs, lignes d'arbres etc. C'est ce qui coute le plus cher, la tôle c'est négligeable. Donc on a pas les moyens de dilluer la marine ... donc on va se prendre une branlée par les houthis en slapette. C'est un programme intéressant... --- Imagine un océan plein de torpilles lourdes dronisé disposant d'un peu d'endurance - aujourd'hui on sait faire, les ukrainiens ou les houthis le font facilement donc en gros tout le monde sais le faire - ... elle y survie comment ta flotte de gros navire économiquement optimisé?! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) lundi à 12:01 Share Posté(e) lundi à 12:01 il y a 3 minutes, g4lly a dit : Pourquoi il y aurait un lien entre la taille des escorteurs et la taille du ou des navires à défendre ?! Par souci esthétique ? Il n'y a pas de lien avec la taille. Les performances et l'efficacité des solutions choisies comptent (soyons sérieux). Je me demande simplement où se situe la distinction opérationnelle dans ce raisonnement, c'est-à-dire si elle s'applique à tous les types de navires ou seulement aux navires « les plus consommables » (ce qui me semble paradoxal). Et je m'interroge à propos des navires capitaux (les futurs DDX italiens, par exemple, dont la taille et le coût augmentent proportionnellement aux performances qu'ils devront garantir, et même dans ce cas, certains se demandent si un navire moins performant, mais en plus grand nombre, ne serait pas préférable compte tenu de l'évolution récente des conflits). Mais aussi à propos d'un éventuel futur CATOBAR italien (et j'imagine unique). 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) lundi à 12:03 Share Posté(e) lundi à 12:03 il y a 6 minutes, Brian a dit : Pour le porte-avions, la FDI sera un très bon escorteur, car très forte en AA, ce qui n'est pas le cas de la T26. Après faudra peut-être passer un peu plus souvent à la pompe. On remarque d'ailleurs que la FREMM est pas exempte de défauts, elle peut être ravitaillée en mer que d'un seul côté. Donc il n'aura jamais deux FREMM en ravito simultané. Concernant les Belhara ... c'est la faute de NG de ne pas vendre plus aggressivement les variantes longue avec plus de vitesse et d'endurance. Mais elles sont proposées normalement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) lundi à 12:10 Share Posté(e) lundi à 12:10 il y a 2 minutes, gianks a dit : Il n'y a pas de lien avec la taille. Les performances et l'efficacité des solutions choisies comptent (soyons sérieux). Je me demande simplement où se situe la distinction opérationnelle dans ce raisonnement, c'est-à-dire si elle s'applique à tous les types de navires ou seulement aux navires « les plus consommables » (ce qui me semble paradoxal). Et je m'interroge à propos des navires capitaux (les futurs DDX italiens, par exemple, dont la taille et le coût augmentent proportionnellement aux performances qu'ils devront garantir, et même dans ce cas, certains se demandent si un navire moins performant, mais en plus grand nombre, ne serait pas préférable compte tenu de l'évolution récente des conflits). Mais aussi à propos d'un éventuel futur CATOBAR italien (et j'imagine unique). Performance vis à vis de quoi. Un croiseur n'est pas meilleur pour l'ASW ou ASuW ... il n'a vraiment d'intéret que pour envoyer de tres gros missile et porter de tres gros senseur. Typiquement soit des gros missiles ABM, soit de missile balistique à très longue portée. Meme punition pour le radar le besoin c'est essentiellement l'ABM spatiale. Qu'on investisse sur un navire dédié à la défense ABM lourde ... ou a l'emporte de missile balistique très longue portée ... et que le navire soit gros ca a du sens. Mais qu'on investisse dans des gros navire pour de l'ASuW, de l'ASW, ou de la défense aérienne endo classique ca me semble sans grand intéret. Je ne vois pas la plus value. --- Et concernant la guerre de demain j'ai peur que les gros navires soient les victimes du champ de bataille comme le sont les tanks en Ukraine... D’où mon incompréhension de voir les marine essayer de faire avec du nouveau matériel la guerre d'avant hier. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) lundi à 12:11 Share Posté(e) lundi à 12:11 (modifié) il y a une heure, g4lly a dit : Concernant les Belhara ... c'est la faute de NG de ne pas vendre plus aggressivement les variantes longue avec plus de vitesse et d'endurance. Mais elles sont proposées normalement. Pour la Norvège spécifiquement, à mon avis ils n'auraient pas accepté que NG propose un bâtiment trop different de celui commandé par la MN. Plus de VLS, NSM et un RAM OK ... mais un plug de 9m et une propulsion différente a mon avis ca aurait été trop de modifications. Modifié lundi à 13:21 par Titus K 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) lundi à 12:12 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 12:12 il y a 6 minutes, Titus K a dit : Pour la Norvège spécifiquement, à mon avis ils n'aurait pas accepté que NG propose un bâtiment trop different de celui commandé par la MN. Plus de VLS, NSM et un RAM OK ... mais un plug de 9m et une propulsion différente a mon avis ca aurait été trop de modifications. Ce qui m’inquiète un peu commercialement c'est qu'on entend plus parlé des Belharra "longue" ... 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Beachcomber Posté(e) lundi à 12:24 C’est un message populaire. Share Posté(e) lundi à 12:24 Le favori a gagné, tant mieux pour eux et vraiment dommage pour nous.... Après est-ce vraiment surprenant ? Les pays du Nord ont toujours été fortement atlantistes (comme ceux de l'Est), et ne font toujours confiance qu'aux USA pour protéger l'Europe, même si des voix discordantes commencent à se faire entendre. Ça reste très récent et avec l'espoir que l'épisode D. T. ne soit qu'un lointain souvenir après cet ultime mandat. En attendant, et alors que 4 sous-marins russes s'amusent entre fjords et l'Islande, et qu'un exercice majeur russe se profile pour mi septembre en mer de Barents (où le dernier champs pétrolier offshore norvégien vient d'être inauguré, avec une production estimée supérieure à tout ce qui préexistait dans la région), qui est sur place ??? La 6eme flotte US, déplacée de Méditerranée, avec l'appui de P8 anglais, canadiens, US bien sûr, et même un Atlantique qui s'est déployé sur place... pour ce qui est vérifiable (appli flight radar) puisque pour ce qui est sous l'eau personne ne communique bien entendu. Donc les pays ayant une frontière avec la Russie reviennent à des réflexes pavloviens très atlantistes, et les USA reviennent avec des postures très guerre froide... Rien de surprenant à ce que la Norvège choisisse un package Canada - UK - Norvège quand les US demandent instamment à ses partenaires de se prendre en main concernant la défense de leurs territoires et lignes logistiques. N'oublions pas que les zones maritimes qui nous sont assignés par l'OTAN sont bien plus Sud. Et que malheureusement si BAE ne livre pas dans les temps nous iront aussi au Nord car nous avons besoin du pétrole et du gaz norvégien... 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) lundi à 12:30 Share Posté(e) lundi à 12:30 (modifié) il y a 42 minutes, g4lly a dit : Donc on a pas les moyens de dilluer la marine ... donc on va se prendre une branlée par les houthis en slapette. Attention a ne pas trop diluer non plus, les houthis on quand même mis une FREMM dans une situation inconfortable Je cite la DGA en audition parlementaire "La premiere frégate qui a tiré ses missiles s'est retrouvée dans une situation ou elle n'avait plus que les missiles nécéssaires, et le nombre est classifié, pour assurer son auto protection et donc n'était plus en mesure de poursuivre sa mission." Modifié lundi à 12:40 par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) lundi à 13:10 Share Posté(e) lundi à 13:10 il y a 39 minutes, Titus K a dit : Attention a ne pas trop diluer non plus, les houthis on quand même mis une FREMM dans une situation inconfortable Je cite la DGA en audition parlementaire "La premiere frégate qui a tiré ses missiles s'est retrouvée dans une situation ou elle n'avait plus que les missiles nécéssaires, et le nombre est classifié, pour assurer son auto protection et donc n'était plus en mesure de poursuivre sa mission." C'est bien le souci ... si les Houthis arrivent à mettre un assez gros navire dans une situation inconfortable ... c'est bien qu'il serait plus robuste d'en disposer de deux plus petit, au cas ou on en perd un. C'est pas la taille du navire qui fait la capacité à ne pas être en danger. On sait très bien armer des petits navire comme des porte avion, encore plus pour de la défense aérienne classique. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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