castle68 Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Des infos sur un éventuel 7ème SNA ? la réactualisation prochaine de la PLM s'approche de + en + Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Il y a 4 heures, castle68 a dit : Des infos sur un éventuel 7ème SNA ? la réactualisation prochaine de la PLM s'approche de + en + Peut-être que le 14 juillet on aura un début de réponse et d'orientation. Mais ça sent la montée en capacités sur le long terme. 7 SNA et 5 SNLE semble de moins en moins improbable comme nouvelle cible 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Quel serait l'impact d'un 7ème SNA et d'un 5ème SNLE sur la présence en mer des flottes ? Comme c'est des chiffres impaires, j'ai du mal à calculer. Souvent, il est dit qu'avec tant de sous-marins ça fait tant en mer et tant en arrêt technique, mais qu'en serait-il avec cette hypothèse d'augmentation ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) Il y a 4 heures, Rouletabille a dit : Quel serait l'impact d'un 7ème SNA et d'un 5ème SNLE sur la présence en mer des flottes ? Comme c'est des chiffres impaires, j'ai du mal à calculer. Souvent, il est dit qu'avec tant de sous-marins ça fait tant en mer et tant en arrêt technique, mais qu'en serait-il avec cette hypothèse d'augmentation ? Déjà on sait que les SNA Barracuda ont une disponibilité minimale de 270 jours par an d'après Naval Group. (hors IPER) Je vais me faire corriger par la patrouille Mais j'avais imaginé qu'un format à 8 SNA pourrait ressembler a ca : Avec toujours 1 SNA en IPER Avec toujours 1 des 2 bassins MY01/MY02 disponible en cas d'urgence. Avec seulement 2 équipages supplémentaires (12 total) par rapport au format actuel de 10 équipages. Par contre pour que ca fonctionne, il faudrait que les équipages rouges changent régulièrement de SNA en fonction de ceux qui sont disponibles ... Je ne sais pas si c'est quelque chose qui se fait ? Format 8 SNA / 12 Équipages --> 7 x 270 = 1820 Disponibilité --> 7 Équipages Bleus + 5 Équipages Rouges —> maximum ~150 jours de mer par équipage SNA 1 : En entretient longue durée "IPER" --> 15 mois / 10 ans --> Bassin MY03 —>raccourcir cette durée de 3 mois (18 actuellement) SNA 2 : En entretient annuel en bassin --> 7 semaines / an --> Bassin MY01/02 --> 1 équipage (Bleu) -->raccourcir cette durée de 3 semaines (10 actuellement) SNA 3 : En entretient/maintenance à quai --> 7 semaines / an --> Quai 505/506 --> 1 équipage (Bleu) --> 14 semaines d'indisponibilité (les 270 jours annoncés par NG) SNA 4 : Dispo --> Double équipage (Bleu +Rouge) SNA 5 : Dispo --> Double équipage (Bleu + Rouge) SNA 6 : Dispo --> Double équipage (Bleu +Rouge) SNA 7 : Dispo --> Double équipage (Bleu + Rouge) SNA 8 : Dispo --> Double équipage (Bleu + Rouge) Modifié le 6 juillet par Titus K 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Intéressant, ça augmente beaucoup la présence en mer. Merci pour ce calcul ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Il y a 3 heures, Rouletabille a dit : Quel serait l'impact d'un 7ème SNA et d'un 5ème SNLE sur la présence en mer des flottes ? Comme c'est des chiffres impaires, j'ai du mal à calculer. Souvent, il est dit qu'avec tant de sous-marins ça fait tant en mer et tant en arrêt technique, mais qu'en serait-il avec cette hypothèse d'augmentation ? C'est pas tant un problème de présence en mer des flottes que de présence en mer des lots de missiles. Or si à l'heure actuelle nous avons 3 lots de 16 M51, dont au moins 2 en permanence à la mer, dont au moins 1 en permanence en capacité de tirer, je ne suis pas persuadé que monter à 5 navires permettrait de passer à 4 lots de 16 missiles dont 3 à la mer dont 2 en permanence en capacité de tirer. Tout au plus cela serait-il une assurance en cas d'avarie ou de destruction d'un de ces moyens. Idéalement il en faudrait 6 et 5 lots de 16 missiles soit 80 M51, dont 4 lots en permanence à la mer dont 2 à 3 en capacité de tirer en permanence. Là, oui, il y aurait redondance. N'oublions pas non plus que le développement des UUV va faire peser une menace nouvelle sur les SNLE: celle d'être détectés de façon fortuite par des systèmes vagabondant dans les océans et transmettant à d'autres flottes la localisation d'un SNLE en cas de détection après une remontée et une communication par satellite. On aura donc besoin non seulement de SNLE encore plus discrets, mais aussi de les faire accompagner par nos propres XLUUV chargés de blanchir leurs zones de patrouille réelles ou supposées, et ceux-là ne pourront pas être à propulsion nucléaire. Le modèle du gros SNLE est peut-être en train de se diriger vers une impasse même si nous n'en sommes pas encore là. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) il y a une heure, Patrick a dit : C'est pas tant un problème de présence en mer des flottes que de présence en mer des lots de missiles. Or si à l'heure actuelle nous avons 3 lots de 16 M51, dont au moins 2 en permanence à la mer, dont au moins 1 en permanence en capacité de tirer, je ne suis pas persuadé que monter à 5 navires permettrait de passer à 4 lots de 16 missiles dont 3 à la mer dont 2 en permanence en capacité de tirer. Tout au plus cela serait-il une assurance en cas d'avarie ou de destruction d'un de ces moyens. Idéalement il en faudrait 6 et 5 lots de 16 missiles soit 80 M51, dont 4 lots en permanence à la mer dont 2 à 3 en capacité de tirer en permanence. Là, oui, il y aurait redondance. N'oublions pas non plus que le développement des UUV va faire peser une menace nouvelle sur les SNLE: celle d'être détectés de façon fortuite par des systèmes vagabondant dans les océans et transmettant à d'autres flottes la localisation d'un SNLE en cas de détection après une remontée et une communication par satellite. On aura donc besoin non seulement de SNLE encore plus discrets, mais aussi de les faire accompagner par nos propres XLUUV chargés de blanchir leurs zones de patrouille réelles ou supposées, et ceux-là ne pourront pas être à propulsion nucléaire. Le modèle du gros SNLE est peut-être en train de se diriger vers une impasse même si nous n'en sommes pas encore là. Pour le nombre de SNLE, 5 ne serait pas forcément une bascule énorme au niveau capacitaire. Mais ça resterait un avantage et un joker à disposition de plus. Et puis un seul SNLE de plus avec tout ce qui va avec, ce sera déjà au bas mot 10 Milliards supplémentaires à mettre au pot. Quand à l'évolution des capacités de détection, justement pour être toujours plus silencieux et indétectable, cela semble demander toujours plus de volume, donc de dimensions et de masse (suspension, isolation, matériaux absorbant, ...). Les SNLE US classe Colombia dépasseront les 20kT, les classe Dreadnought UK les 18KT, et nos SNLE 3G, ce sera autour des 15/16KT. Et c'est la même pour les SNA. Les drones vont forcément pouvoir amener de nouvelles contraintes mais l'immensité des océans, leur grande dureté, la complexité de leur composition ne sont pas une mince à faire. Modifié le 6 juillet par Ronfly 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FoxZz° Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Le 11/05/2025 à 09:36, ARMEN56 a dit : DGA a conçu la pompe jet il me semble , le reste de l’appareil propulsif c’est NG et TA Ca c'est original ! je ne savais pas du tout que la DGA pouvait faire de la conception ! Pourquoi pas NG ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Donc finalement, si je comprends bien, il faut un SNLE (10mds) et en plus un lot de missile pour que ça soit vraiment utile. Du coup, pas sûr que ce soit très intéressant de claquer des dizaines de milliards là-dedans... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 23 minutes, Rouletabille a dit : Donc finalement, si je comprends bien, il faut un SNLE (10mds) et en plus un lot de missile pour que ça soit vraiment utile. Du coup, pas sûr que ce soit très intéressant de claquer des dizaines de milliards là-dedans... Un sous-marin sans missiles, tout comme un fusil sans cartouches, ça ne sert en effet pas à grand chose... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 48 minutes, Rouletabille a dit : Donc finalement, si je comprends bien, il faut un SNLE (10mds) et en plus un lot de missile pour que ça soit vraiment utile. Du coup, pas sûr que ce soit très intéressant de claquer des dizaines de milliards là-dedans... Je dirais pas forcément ça. La FOST est le fondement de notre outil de défense. Une puissance d'apocalypse qui doit rester crédible. Et toute augmentation de format renforce sa crédibilité. Bien entendu, tout cela doit être encadré par de la RH, l'entretien, les infra, les missiles et les ogives. C'est pas évident mais ça s'organise sur du long terme. Au niveau du coût, un SNLE seul doit tourner autour de 5 Mds, s'y rajoute un lot supplémentaire de 16 missiles qui pourrait atteindre les 3 Mds. Enfin il faudra augmenter le nombre d'ogives (+100?) et cela pourrait demander une paire de milliards en plus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 7 minutes, Ronfly a dit : Je dirais pas forcément ça. La FOST est le fondement de notre outil de défense. Une puissance d'apocalypse qui doit rester crédible. Et toute augmentation de format renforce sa crédibilité. Bien entendu, tout cela doit être encadré par de la RH, l'entretien, les infra, les missiles et les ogives. C'est pas évident mais ça s'organise sur du long terme. Au niveau du coût, un SNLE seul doit tourner autour de 5 Mds, s'y rajoute un lot supplémentaire de 16 missiles qui pourrait atteindre les 3 Mds. Enfin il faudra augmenter le nombre d'ogives (+100?) et cela pourrait demander une paire de milliards en plus. Je suis d'accord sur la nécessité de disposer d'une dissuasion crédible. Mais je me demande à partir de quel seuil des investissements supplémentaires ne mèneraient pas à une augmentation nette de notre capacité à dissuader. Par exemple, entre 1000 ogives et 1050, sommes-nous plus protégés avec 1050 ? À partir de quel seuil le retour sur investissement est négatif ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 1 minute, Rouletabille a dit : Je suis d'accord sur la nécessité de disposer d'une dissuasion crédible. Mais je me demande à partir de quel seuil des investissements supplémentaires ne mèneraient pas à une augmentation nette de notre capacité à dissuader. Par exemple, entre 1000 ogives et 1050, sommes-nous plus protégés avec 1050 ? À partir de quel seuil le retour sur investissement est négatif ? C'est pas anodin malgré tout le passage à 5 SNLE et ses missiles. Quand aux ogives, si c'est 100 de plus, on augmente de plus d'un tiers le nombre de vecteurs. Ca reste donc un investissement valable. De plus ces 10 milliards vont s'étaler sur au moins 3 LPM, soit une vingtaine d'années qui ne représenteront 0,2 ou 0,3% de cet ensemble de budget. Ça resterait me semble t'il un investissement correctement placé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 4 minutes, Ronfly a dit : C'est pas anodin malgré tout le passage à 5 SNLE et ses missiles. Quand aux ogives, si c'est 100 de plus, on augmente de plus d'un tiers le nombre de vecteurs. Ca reste donc un investissement valable. De plus ces 10 milliards vont s'étaler sur au moins 3 LPM, soit une vingtaine d'années qui ne représenteront 0,2 ou 0,3% de cet ensemble de budget. Ça resterait me semble t'il un investissement correctement placé. Effectivement l'étalement des programmes de dissuasion est à prendre en compte par qui veut les juger. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Il y a 7 heures, Rouletabille a dit : Quel serait l'impact d'un 7ème SNA et d'un 5ème SNLE sur la présence en mer des flottes ? Comme c'est des chiffres impaires, j'ai du mal à calculer. Souvent, il est dit qu'avec tant de sous-marins ça fait tant en mer et tant en arrêt technique, mais qu'en serait-il avec cette hypothèse d'augmentation ? Faut pas vous faire d'ilusion il n'y aura ni SNA ni SNLE supplementaire La dissuasion fonctionne trés bien avec 4 SNLE depuis des années la marine à un calendrier bien precis pour les ATM Quand au SNA ça fait 10 ans que l'on tourne à 5 SNA et la marine sera prete en 2029 avec la RH pour tourner avec 6 SNA. L'Améthyste va être desarmer en 2026 avec l'arrivée du de Grasse SNA 4 NG Il restera plus que la Perle de la classe Rubis qui avec ça modernisation suite à l'incendie doit tenir jusqu'en 2030 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet Il y a 4 heures, Scarabé a dit : Faut pas vous faire d'ilusion il n'y aura ni SNA ni SNLE supplementaire La dissuasion fonctionne trés bien avec 4 SNLE depuis des années la marine à un calendrier bien precis pour les ATM Quand au SNA ça fait 10 ans que l'on tourne à 5 SNA et la marine sera prete en 2029 avec la RH pour tourner avec 6 SNA. L'Améthyste va être desarmer en 2026 avec l'arrivée du de Grasse SNA 4 NG Il restera plus que la Perle de la classe Rubis qui avec ça modernisation suite à l'incendie doit tenir jusqu'en 2030 Et prolonger autant que possible le Perle pour former des sous-mariniers ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet (modifié) Il y a 15 heures, FoxZz° a dit : Ca c'est original ! je ne savais pas du tout que la DGA pouvait faire de la conception ! Pourquoi pas NG ? Je vais tenter une réponse en déviant un peu Jusque dans les années 90 , DGA avait l’étiquette d’une délégation très discrète dans le pro format des notes internes . Quand je suis rentré dans « l’usine » nommée DCAN elle assurait les études de bout en bout Basic design au STCAN , détail Design dans les ports arsenaux. On a une DGA technique dont fait partie le bassin des carènes ( BEC) du val de Reuil . Au BEC on teste et dessine des carènes et des propulseurs ; B600 , GTH ,PTH ) grand et petit tunnel de cavitation. - maquette PANG - Hélices du CdG conçue au BEC - Pompe hélices ou hélice SNA SNLE Côté propulseurs NG Indret doit être dans la boucle de fabrication sans que je puisse dire qui est responsable de quoi La DGA puise son personnel à l’X , à l’ENSTA …du haut niveau technique militaire . Du personnel civil aussi IEF ICT TSO …ect Du début des années 60 aux années 90 DGA et DCN( NG) faisaient partie de la DCAN dont sa direction /service technique s’appelait le STCAN . Avant années 60 la DCAN était intégrée dans le département de la MN qui spécifiait et construisait ses propres navires dans ses arsenaux de la Marine . Depuis plus de 30 ans chacun de son bord . Perso ( je préférais l’organisation d’avant . Les ingés militaires turnovaient ; tantôt dans la mine des ports ( neuves ou carénage(*) tantôt parisien spécificateurs, savaient de quoi on parlait ; idem pour les cadres technique civiles. Pis beaucoup d’ingénieurs hors grand corps bénéficiaient du même ascenseur social que les ouvriers , même petite porte qqfois même famille donc de la proximité avec de la distance nécessaire. Toussa n’existe plus hélas …de mon point de vue (*) les trigrammes DGA et MCO étaient totalement inusité en ces années 60 / 70 Modifié le 7 juillet par ARMEN56 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet 23 minutes ago, ARMEN56 said: Toussa n’existe plus hélas NG semble avoir conservé cette approche car les études de détails se font encore aux ports Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet il y a 28 minutes, Asgard a dit : NG semble avoir conservé cette approche car les études de détails se font encore aux ports Tout se fait à NG à partir d’une spec d’ensemble DGA ; basic design ET détail design . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) jeudi à 11:27 Share Posté(e) jeudi à 11:27 (modifié) https://www.naval-group.com/fr/naval-review-2 De plus, nous dialoguons en permanence avec les équipes chargées du maintien en condition opérationnelle (MCO) pour intégrer aux navires en construction le retour d’expérience lié à l’exploitation des SNA en service. Celui du Suffren a conduit à modifier légèrement les sous-marins 2 et 3. Des évolutions plus importantes sont apportées aux sous-marins 4, 5 et 6. Enfin, le programme EVOL SNA a été mis en place pour maintenir les SNA au meilleur niveau opérationnel dans un « Nous sommes à mi-chemin du calendrier des livraisons et à plus de 85 % d’avancement du programme. » Le retour d’expérience dont nous disposons désormais nous a conduits à adapter notre outillage pour optimiser la préparation des navires afin d’être capables de réaliser en dix semaines les travaux préventifs et correctifs, et les éventuelles évolutions capacitaires dont les SNA du programme Barracuda bénéficient chaque année lors de leur période d’indisponibilité pour entretien (IE). Prochain enjeu majeur pour nos équipes : être prêts pour la première indisponibilité périodique pour entretien et réparation (IPER) du Suffren, qui aura lieu en 2030. » Les phases de conception et de réalisation des chaufferies étant complètement imbriquées dans celles des navires, nos équipes sont en échange permanent depuis le démarrage du programme. Elles étaient présentes sur le site Naval Group de Nantes-Indret pour le prémontage en atelier des modules de chaque réacteur, dont les principaux composants ont été réalisés par Naval Group – cette phase est désormais terminée. --> Page 35 beaucoup d'info sur les infrastructures d'accueil de SNA à Toulon Modifié jeudi à 11:28 par Titus K 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) jeudi à 18:24 Share Posté(e) jeudi à 18:24 Il y a 6 heures, Titus K a dit : https://www.naval-group.com/fr/naval-review-2 De plus, nous dialoguons en permanence avec les équipes chargées du maintien en condition opérationnelle (MCO) pour intégrer aux navires en construction le retour d’expérience lié à l’exploitation des SNA en service. Celui du Suffren a conduit à modifier légèrement les sous-marins 2 et 3. Des évolutions plus importantes sont apportées aux sous-marins 4, 5 et 6. Enfin, le programme EVOL SNA a été mis en place pour maintenir les SNA au meilleur niveau opérationnel dans un « Nous sommes à mi-chemin du calendrier des livraisons et à plus de 85 % d’avancement du programme. » Le retour d’expérience dont nous disposons désormais nous a conduits à adapter notre outillage pour optimiser la préparation des navires afin d’être capables de réaliser en dix semaines les travaux préventifs et correctifs, et les éventuelles évolutions capacitaires dont les SNA du programme Barracuda bénéficient chaque année lors de leur période d’indisponibilité pour entretien (IE). Prochain enjeu majeur pour nos équipes : être prêts pour la première indisponibilité périodique pour entretien et réparation (IPER) du Suffren, qui aura lieu en 2030. » Les phases de conception et de réalisation des chaufferies étant complètement imbriquées dans celles des navires, nos équipes sont en échange permanent depuis le démarrage du programme. Elles étaient présentes sur le site Naval Group de Nantes-Indret pour le prémontage en atelier des modules de chaque réacteur, dont les principaux composants ont été réalisés par Naval Group – cette phase est désormais terminée. --> Page 35 beaucoup d'info sur les infrastructures d'accueil de SNA à Toulon Il y aura rétrofit pour les 1 - 2 - 3 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) jeudi à 19:07 Share Posté(e) jeudi à 19:07 il y a 38 minutes, Rouletabille a dit : Il y aura rétrofit pour les 1 - 2 - 3 ? Pour le dispositif de ravalement d'antenne ca m'a l'air prévu puisque les barracuda 1/2/3 sont équipés du support mais pas de la gaine elle-même --> Le 28/05/2025 à 01:04, Titus K a dit : Bonne nouvelle --> J'ai l'impression que le De Grasse et donc les "Barracuda standard 2" (4/5/6) seront bel et bien équipés d'un dispositif de ravalement d'antenne ALR ! On le voit entre les deux empennages bâbord ! Sur le Barracuda 3, le Tourville, le support pour l'ALR était présent mais pas la "gaine" elle même : 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) jeudi à 20:04 Share Posté(e) jeudi à 20:04 Egalement présent sur le Duguay Trouin photo ci dessus 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures Le 3ème des 4 Cavaliers de l'Apocalypse bientôt de nouveau près à reprendre la garde... https://www.usinenouvelle.com/article/ce-sous-marin-nucleaire-de-la-marine-nationale-vient-de-sortir-de-trois-ans-de-chantier-a-brest.N2235391 "Naval Group termine les opérations de maintenance du sous-marin nucléaire lanceur d'engins le Vigilant. Ce chantier important a nécessité environ 18 mois sur la base navale de Brest et a mobilisé au plus fort des opérations près d'une cinquantaine d’entreprises et 220 métiers différents." 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 21 heures Share Posté(e) il y a 21 heures il y a 7 minutes, Ronfly a dit : Le 3ème des 4 Cavaliers de l'Apocalypse bientôt de nouveau près à reprendre la garde... D'après le Nuclear Notebook France 2025 il devrait etre le 1er SNLE équipé de M51.3 et de TNO-2 --> https://thebulletin.org/premium/2025-07/french-nuclear-weapons-2025/ Therefore, a third iteration of the missile—the M51.3, which began development in 2014—is scheduled for commissioning into service by the end of 2025 (Assemblée Nationale 2024). This missile will incorporate a new third stage for extended range and further improvement in accuracy and will carry a new “adapted oceanic warhead,” the TNO-2 (Assemblée Nationale 2023b, 2024; Parly 2017). The first submarine to receive the new M51.3 SLBM with the modified TNO-2 warhead will likely be Le Vigilant, which is scheduled to complete its IPER in 2026. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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