Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Il y a 15 heures, Scarabé a dit : La Perle quitte Cherbourg A l'AIS il n'a toujours pas bougé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iborg Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Le 24/10/2021 à 05:27, Fusilier a dit : Réglementaire Marine, H&K USP Compact, off course. Dans mon souvenir, il y avait aussi des armes accrochées dans les hauts de la coursive avant, j'ai l'image de l'AA 52 imprimée dans la rétine Il y a aussi un RPG-7, non? (pas taper, pas taper !) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 il y a 1 minute, iborg a dit : Il y a aussi un RPG-7, non? (pas taper, pas taper !) Mat 49 et FSA 49 /56; Il s'agissait de la coursive d'un sous-marins classe Narval, le "corps de débarquement" (nom de l'époque) devait être assez folklorique... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 (modifié) Il y a une armurerie dans les sous-marins non ? cf le marin du SNA Émeraude équipé d'un FAMAS lors de son arrivée à Guam en 2020 Modifié le 25 octobre 2021 par Banzinou Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 (modifié) Il y a 10 heures, Fusilier a dit : A l'AIS il n'a toujours pas bougé. Pour tromper l'ennemi Modifié le 25 octobre 2021 par Scarabé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Il y a 2 heures, Banzinou a dit : Il y a une armurerie dans les sous-marins non ? Je suppose; Mais mon expérience sous-marine date des années 70 sur un Narval, comme j'ai écrit, les armes étaient au plafond de la coursive entre le poste des maîtres à tribord et le poste d'équipage à babord et la douche- entrepôt, juste avant le poste torpilles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Il y a 2 heures, Banzinou a dit : Il y a une armurerie dans les sous-marins non ? Oui comme tout les navires de la marine nationale. Sur les SNA SNLE il doivent avoir au moins 2 fusiliers + le Bidel . Mais ils ne sont pas en treillis. En armement il doit y avoir au moins 6 Famas 2 fusils à pompe et une Mag 58 + quelque USP . En surface ils sortent toujours 1/2 Famas. Les sous marin peuvent toujours mettre à l'eau 1 Zodiacs à un moteur HB qu'ils stockent à bord. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 (modifié) il y a 17 minutes, Scarabé a dit : Pour tromper l'ennemi j'ai pensé, c'est possible. Mais c'est un bateau civil, sais pas s'il peut faire ça, même affrété. Je pense aussi qu'ils attendent un créneau météo; Ils ont eu la grosse tempête et actuellement il y a des creux de 3 / 4 m en Manche et Gascogne (vent 15 / 20 noeuds, dans le nez en Manche ) et il y a une grosse dépression qui approche avec des vents à 40 noeuds... Modifié le 25 octobre 2021 par Fusilier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 (modifié) A noter une amlioration des Suffren par rapport à la class Rubis Sur les Rubis les hommes dans la cuve perdent de la visibilitée à cause des mats periscopique lors des maneuvres d'accostage ou de veille. Sur le SUFFREN les hommes ont une vue dégagé avec un 1 poste de veille amenagé juste au dessus. il y a 21 minutes, Fusilier a dit : j'ai pensé, c'est possible. Mais c'est un bateau civil, sais pas s'il peut faire ça, même affrété. Je pense aussi qu'ils attendent un créneau météo; Ils ont eu la grosse tempête et actuellement il y a des creux de 3 / 4 m en Manche et Gascogne (vent 15 / 20 noeuds, dans le nez en Manche ) et il y a une grosse dépression qui approche avec des vents à 40 noeuds... Oui je deconnais L' ETD était pour aujourd'hui avec attente de marée puis autorisation de la capitainerie et zone blanchi par PSP . Modifié le 25 octobre 2021 par Scarabé 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 On 10/24/2021 at 10:50 AM, mudrets said: C'est curieux, je n'en ai pas souvenance ... C'est vrai qu'à l'époque c'était encore le Mac 50 Sur les bâtiments de surface également. L'arme est au coffre, sous la responsabilité de l'officier de garde lorsque le bâtiment est à quai. (et à mon époque c'était effectivement un MAC 50) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Oui, officier de garde je me souviens. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 (modifié) il y a 10 minutes, mudrets a dit : Oui, officier de garde je me souviens. il y a 12 minutes, Rivelo a dit : Sur les bâtiments de surface également. L'arme est au coffre, sous la responsabilité de l'officier de garde lorsque le bâtiment est à quai. (et à mon époque c'était effectivement un MAC 50) Il m semble pourtant que l'OM à la coupée portait un pistolet et le matelot en bas de la coupée au moins une matraque. C'était en fonction des escales? Modifié le 25 octobre 2021 par Fusilier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 A Djib, Mac 50 pour l'OM et MAS-36 pour le factionnaire au début des années 80 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 il y a 1 minute, mudrets a dit : A Djib, Mac 50 pour l'OM et MAS-36 pour le factionnaire au début des années 80 C'est bien ce qui me semblait; Sur les soum, au moins pour le factionnaire de nuit, Mat 49. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 12 minutes ago, Fusilier said: C'est bien ce qui me semblait; Sur les soum, au moins pour le factionnaire de nuit, Mat 49. Et ces armes-là sont gérés par le Bidel et stockées dans l'armurerie du bord. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 il y a 28 minutes, mudrets a dit : A Djib, Mac 50 pour l'OM et MAS-36 pour le factionnaire au début des années 80 C'est quoi MAS 36? le truc de la guerre de 40 dans les années 80 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 il y a 2 minutes, Scarabé a dit : C'est quoi MAS 36? le truc de la guerre de 40 dans les années 80 ? Cette arme est restée longtemps en service, on la donnait encore aux conscrits dans les années 80 (ou sa version mas 49/56) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Erreur de ma part, MAS-49-56 Le MAS-36/51 c'était à Hourtin, à la pyrotechnie du Vergeroux ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 Qui pourrait nous donner ces infos en clair ? Merci d'avance ! https://www.varmatin.com/securite/10-choses-qui-vont-vous-surprendre-sur-le-nouveau-sous-marin-nucleaire-base-a-toulon-720859 "10 choses qui vont vous surprendre sur le nouveau sous-marin nucléaire basé à Toulon Si un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) n’est jamais un bateau militaire comme les autres, le Suffren, premier né du programme Barracuda, est en tout point exceptionnel. Découverte." .... Frustré ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 25 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 octobre 2021 5 minutes ago, Bechar06 said: Qui pourrait nous donner ces infos en clair ? Merci d'avance ! https://www.varmatin.com/securite/10-choses-qui-vont-vous-surprendre-sur-le-nouveau-sous-marin-nucleaire-base-a-toulon-720859 "10 choses qui vont vous surprendre sur le nouveau sous-marin nucléaire basé à Toulon Si un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) n’est jamais un bateau militaire comme les autres, le Suffren, premier né du programme Barracuda, est en tout point exceptionnel. Découverte." .... Frustré ! Quote 10 choses qui vont vous surprendre sur le nouveau sous-marin nucléaire basé à Toulon 1. Plus gros, plus long... mais moins de marins à bord Des armes capables de détruire une cible à 1.000km, mais pas que. "C’est un bateau mieux armé mais aussi plus discret, plus rapide et plus endurant que ses prédécesseurs", assure Jérôme Colonna d’Istria, commandant de l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) basée à Toulon. Premier né des Barracuda, programme qui remplacera les six SNA de la classe Rubis à l’horizon 2030, le Suffren est une véritable machine de guerre, plus performant que son prédécesseur dans tous les domaines. Deux fois plus lourd (5.000 tonnes), d’une longueur de 99mètres - contre 70m pour les Rubis - le nouveau sous-marin compte pourtant "seulement" 63 hommes d’équipage (le Suffren comprend deux équipages). Soit 7 marins de moins que dans les "vieux" SNA. "Il bénéficie d’une technologie de rupture: on est passé à l’ère du numérique", explique le commandant, brandissant les exemples de la table tactique tactile ou du mat "optronique" qui remplace le périscope "à l’ancienne". Côté armement, donc, ça ne rigole pas plus. Un missile de croisière naval lui autorise désormais des "frappes contre terre". De nouvelles torpilles F-21 viennent aussi compléter un arsenal deux fois plus fourni. Autre trouvaille: le Suffren accueille "un sas de mise en œuvre de nageurs de combat". Des commandos marine peuvent y prendre place, avant de plonger en toute discrétion dans l’univers liquide qui entoure le sous-marin à propulsion nucléaire. "Avant ils passaient par les tubes lance-torpilles. C’était un peu artisanal…" 2. Un seul homme à bord possède sa propre cabine On ne fera pas l’offense au commandant du Suffren de lui dire que sa cabine ressemble vaguement à l’espace vide qu’on a toujours rêvé d’aménager sous notre escalier. Et pour cause: le pacha est un chanceux. Il est le seul qui bénéficie de sa propre "chambre". Autres "privilégiés": le commandant en second et le chef machine qui se partagent quelques précieux mètres cubes. Pour le reste, les marins sont regroupés par postes standardisés de six, où - on le devine - les grands doivent avoir mal aux genoux et les ronfleurs ne pas se faire que des amis. "Ce sont des sous-marins bien conçus et confortables" ont pourtant coutume d’énoncer ceux qui y vivent. Il faut dire que sur les Rubis, il n’y avait pas moins de 18 couchettes par poste d’équipage. Et toujours pas le moindre hublot. 3. Il n'y a pas (encore) de femmes dans son équipage Photo Marine nationale. C’est peu dire qu’à bord du Suffren, ça sent la testostérone. Et pourtant, avec 15% de femmes dans ses effectifs, la Marine fait une place de plus en plus importante à la mixité. En 2018, une nouvelle barrière a même été franchie avec, pour la toute première fois, l’embarquement de femmes sous-mariniers à bord des Sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE). Mais toujours pas sur le nouveau Sous-marin nucléaire d’attaque (SNA)… "Il a aussi été conçu pour accueillir des femmes", assure pourtant Laurent Coggia, commandant de l’équipage bleu. Et d’évoquer les "commodités de vie" - en gros les quatre douches et trois toilettes - agencées de manière à ce que le minimum d’intimité qui n’existait pas jusqu’alors soit désormais garanti. Tout cela ne serait finalement "qu’une question de temps", comme l’explique le pacha: "En fait, pour ce premier de série, nous avons constitué les équipages sur la base d’un vivier de marins expérimentés. Et comme il n’y avait que des hommes sur les Rubis…". 4. Il n'est toujours pas à la Marine nationale Construit à Cherbourg, où il a été mis à l’eau en août 2019, le bateau noir a rejoint Toulon, son port d’attache, en juillet 2020. Pour autant, le Suffren n’est toujours pas admis au service actif de la Marine nationale. "Ce sera le cas dans les mois qui viennent", a assuré Hervé Grandjean, porte-parole du ministère des Armées. Les essais à la mer se succèdent. Il a ainsi récemment franchi l’Équateur pour éprouver son fonctionnement dans les eaux chaudes. Depuis l’été, des tirs de la torpille lourde F-21 ont aussi été réalisés pour accompagner le développement de cette arme de nouvelle génération. En 2021, il a passé 120 jours à la mer pour un total de 3.000 heures de plongée. Son endurance est éprouvée au maximum. "On est dans une phase complexe et dense de validation des caractéristiques militaires du bateau", explique Jérôme Colonna d’Istria, commandant de l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque. "C’est un processus long mais tout à fait normal, surtout dans le cas d’un premier de série. On ne souhaite pas faire les choses à moitié. Tous les domaines de lutte doivent être maîtrisés sans incertitude." 5. C'est possible de le piloter à 20 ans seulement Piloter un monstre d’acier de 5.000 tonnes en eau profonde avec deux joysticks et trois ou quatre écrans peut faire frémir n’importe quel conducteur de Twingo. Pourtant, c’est bien à un matelot quartier-maître ou à un second maître qu’est susceptible de revenir cette tâche. Soit un marin d’à peine 20 ans… qui n’a pas forcément son permis de conduire. "D’une manière générale, sous-marinier est un métier de jeune", explique Jérôme Colonna d’Istria, commandant de l’escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque (SNA). L’équipage "bleu" du Suffren a ainsi 27 ans de moyenne d’âge… avec un pacha de 48 printemps. Pour autant, les sous-mariniers connaissent déjà bien la "bête" avant même de mettre un pied dans ses coursives. Une formation pointue de plusieurs mois leur est dispensée à Toulon, à l’école de navigation sous-marine, où technologies 3D et simulateurs grandeur nature font le bonheur des nouvelles générations de militaires biberonnés aux jeux vidéo. "Tout est fait pour qu’il n’y ait aucune surprise quand les marins vont découvrir "en vrai l’environnement du bateau", résume Stanislas Guillou, directeur de l’école. Au total, une trentaine de "métiers" cohabitent dans un sous-marin, de l’atomicien au mécanicien, du chimiste à l’électricien en passant par le cuisinier… et le pilote, donc. "Barreur, ce n’est pas si compliqué", relativise le commandant Laurent Coggia. "À droite, à gauche; monter, descendre. Le Suffren est extrêmement manœuvrant. Il faut juste être à l’équilibre entre le poids et la poussée d’Archimède qui évolue selon la profondeur à laquelle on se trouve…" Bref: si on ne vous demandera jamais de faire un créneau avec un SNA dans un parking de supermarché, sachez qu’une petite pointe à 25 nœuds en frôlant des monts sous-marins n’est pas tout à fait à exclure. 6. La nuit, la couleur de l'éclairage est différente Photo Marine nationale. Question à trois euros: comment un sous-marinier en plongée depuis plusieurs semaines fait-il pour savoir si, en surface, règne les ténèbres ou s’épanouit le soleil? Réponse: "Dans les coursives, il y a une lumière rouge la nuit et une blanche le jour", explique le capitaine de frégate Antoine Richebe, commandant de l’équipage rouge… qui travaille toute la journée. Reste que les horloges sont aussi très présentes à nord du Suffren, notamment parce que le rythme de quart ponctue le travail des sous-mariniers. Autres mécanismes mis en place pour la bonne santé de l’équipage: le sous-marin nucléaire d’attaque produit son oxygène et son eau potable à partir de l’eau de mer. "Sur le Suffren, nous avons une capacité de production d’eau douce supérieure à celle du Rubis", annonce fièrement Antoine Richebe. "Cela permet par exemple de ne plus être limité en nombre de douches…" 7. Les "invités" peuvent dormir dans une torpille de 600kg Si un jour - ingénieur, marin en formation, ministre, journaliste… - vous êtes amenés à profiter de l’hospitalité du Suffren, il vous faudra composer avec les particularismes locaux. Pour ceux que vivre 24h/24 à côté d’une (petite) centrale nucléaire ne dérange pas, sachez aussi que les huit couchettes disponibles pour les "invités" sont situées précisément dans la soute à armes tactiques. En gros: votre oreiller se trouve pile au-dessus des missiles de croisière navals de 1,5 tonne et autres charmantes torpilles de 6m de long. L’occasion de constater que le Suffren peut embarquer vingt armes du genre (sans oublier le missile antinavire Exocet), contre dix pour son prédécesseur. Au chaud sous leurs housses de protection, probable toutefois qu’une fois la nuit venue, ces "bombinettes" remuent bien moins que vous dans votre duvet. 8. Dedans, prière de ne pas claquer les portes Sur un mur, un panneau prévient: "Discrétion acoustique. Ne pas claquer les portes. 20 dB". Même à 350m sous la surface, le moindre bruit est en effet susceptible de faire repérer un bateau, et de le rendre aussitôt vulnérable. Obsession numéro 1 pour le Suffren, la discrétion est aussi l’un des points forts du nouveau sous-marin nucléaire d’attaque. Outre des technologies avancées, le SNA est conçu de manière à ce que le matériel du bord repose sur des berceaux, évite en cela de toucher la coque, et donc de créer du bruit qui pourrait être transmis à l’eau. En opération, les hommes qui s’accordent un répit devant un écran sont priés de le faire un casque sur les oreilles! 9. Il a un très, très, très grand frigo Photo Marine nationale. Dans la chambre froide du Suffren: 75 jours de vivres. Deux fois plus qu’à bord des bateaux noirs de la classe Rubis. Anecdotique? Pas vraiment. Car sur un sous-marin nucléaire à l’énergie quasi inépuisable, la nourriture est bien le facteur technique limitant la durée d’une plongée ou d’une mission. Pour arranger tout ça et assurer des services pour 63 personnes, le "chef" doit composer avec une cuisine qui n’excède pas 10m2. Respect. Mais comme le clame un slogan de la Marine: "Rares sont les cuisiniers qui préparent de la crème anglaise en océan Indien". 10. Son physique de rêve ne finira pas sur Instagram Ceux qui ont l’œil remarqueront un kiosque qui n’a pas tout à fait la même allure que sur les Rubis, et un système de barre en X qui affleure à l’arrière du bateau. Voire un drôle de "coffre de toit": en fait un hangar étanche amovible ("Dry deck shelter"), fixé au pont en cas de besoin des nageurs de combat et de leur mini-sous-marin. Mais ceux qui ont l’œil devront aussi s’armer de patience et d’un téléobjectif pour photographier la bête. Car impossible de s’approcher du Suffren, amarré à l’abri des regards dans la zone ultra-sécurisée de Missiessy. Là-bas, derrière les barbelés, toute prise de vue est interdite. Secret Défense oblige, les téléphones des personnes qui embarquent sont aussi confisqués avant la visite et la DRSD - les services de renseignements de la Défense - scanne les visiteurs pour s’assurer qu’aucun objet connecté ne rentre à bord. 2 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 25 octobre 2021 Share Posté(e) le 25 octobre 2021 il y a 26 minutes, Scarabé a dit : C'est quoi MAS 36? le truc de la guerre de 40 dans les années 80 ? A Hourtin on apprenait à tirer avec le MAS 36 ( à verrou) cela du durer un certain temps des années 70... Les unités avaient le MAS FSA 49 56 (+ MAT 49 + AA 52) jusqu'à l'arrivée des FAMAS (comme dans l'armée de terre) Il me semble que le MAS 36 à longtemps été employé comme lance amarres, bien après l'arrivée du FAMAS, 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gianks Posté(e) le 27 octobre 2021 Share Posté(e) le 27 octobre 2021 Article sur le SSN Perle https://www.navalnews.com/naval-news/2021/10/french-ssn-perle-overhaul-to-resume-following-unique-repair-work/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 27 octobre 2021 Share Posté(e) le 27 octobre 2021 Je me disais qu'avec l'accident de la perle la gestion des équipages des sous marinier ne doit pas être simple en ce moment. Surtout pour le maintient des compétences. Mais avec le surplus que cette rénovation va amener avec la fin de livraison de Suffren, les responsables RH de la marine doivent pas mal tirer la langue en ce moment Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 27 octobre 2021 Share Posté(e) le 27 octobre 2021 Et d’abord, où réside l’âme d’un sous-marin ? Est-ce celle de l’équipage, du bateau, de sa proue ou de sa poupe ? Est-ce la Perle qui a été reconstruite ou le Saphir qui a été remis en service..? Zut, c’est pas encore ‘dredi. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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