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AIR-DEFENSE.NET

SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française


Philippe Top-Force

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Ceci résulterait d'un choix, celui de ne pas avoir à bord du soum un système de treuil de rétraction.

En clair sur les SNA (je ne sais pas ce qu'il en est sur les SNLE) on clipse la queue sonar en début de mission et on la déclipse au retour de la patrouille. Le soucis c'est qu'a priori le SNA ne doit pas pouvoir aller à sa VMax avec la queue dans l'eau et donc à l'inverse pour certaines missions genre traque d'escadre à la mer on se demande s'il l'emporte. Çà reste assez confidentiel !

 

L'argument officiel avancé concernant le choix de ne pas avoir de treuil de rétraction est que ce n'est pas fiable et sujet aux pannes ... certes mais je crois aussi que vu la taille de nos SNA l'emport d'une telle machinerie ne devait vraiment pas être évident ...

 

tu met le tout dans un caisson étanche sur la plage arrière et le tour est joué...

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Pour ne parler que des  treuils CAPTAS faut voir  la place que çà prend sur les plages arrières ,des frégates ....un caisson sur plage arrière de soum  c'est  un appendice en plus avec les bruits d'écoulement qui vont avec , de plus s'il est étanche il devrait  faire partie de la coque épaisse avec toutes les difficultés de raccordement ....etc non ?

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Ok donc caisson encastré ……

« Le système est composé de : - d'une antenne composée d'un câble et amplificateur. - le treuil motorisé externe pour enroulage et déroulage de l'antenne. - d'un système motorisé de guidage du câble pour enroulement sur le treuil - d'une armoire de control commande de l'ensemble.

Le système est installé entre la coque épaisse et la coque externe, il est donc soumis aux conditions externes du sous marin : la pression d'immersion et l'eau de mer »

Un nid à rouille probable….

http://bugaled-breizh.skyrock.com/3107184851-groupe-eca-systeme-tracter-sur-sous-marins.html

Sur BS on a de la place pour la maintenance…..au sec.

mini_973516CAPTAS2.jpg

mini_659210CAPTAS3.jpg

sinon une petite remarque sur le concept câble de traine sonar ou antenne qui parfois peut être exposé au phénomène vibratoire « strumming » ..

http://www.odimspectrum.com/pdfs/tufnosefairinginfo.pdf.

http://en.wikipedia.org/wiki/Cable_fairing

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  • 2 weeks later...

La sous-marinade accueillera, expérimentalement, des sous-marinières en 2017 http://t.co/XD4PyxDk74

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 15, 2014

 

RT @nathalieguibert Les femmes vont être autorisées à embarquer à bord des SNLE dès 2017 http://t.co/Ipjw07oEM6 pic.twitter.com/gREwsR0ZXs

— Marquis de Seignelay (@FauteuilColbert)

April 15, 2014

 

Des femmes vont embarquer à bord des SNLE dès 2017 http://t.co/bys1lEKxA3 via @Lopinion_fr

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 15, 2014
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http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/04/15/armee-francaise-les-femmes-autorisees-a-bord-des-sous-marins_4401351_3224.html

Les pionnières entreront en formation en 2015, pour partir en patrouille dès 2017. Seuls les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE, ceux qui portent la bombe) sont concernés, dont l'habitacle, plus vaste, s'y prête.

VIVIER FRANÇAIS TRÈS RESTREINT

Des métiers ont été ciblés, dans lesquels existe un vivier : la médecine, l'énergie nucléaire, le commandement adjoint des opérations. « Il y a vingt ans, on n'imaginait pas que le commandant puisse être une femme. Aujourd'hui, cela se passe très bien », rassure la direction de la communication de la marine.

Mais un SNLE, « c'est deux mois et demi sous l'eau, deux fois par an, dans la promiscuité, sans escale », souligne un connaisseur pour qui l'affaire sera un défi. Superstition, relations avec les épouses restées à terre, risques physiques invoqués pour les femmes (elles seraient plus sensibles au taux élevé de dioxyde de carbone) : les traditionnels arguments avancés contre la féminisation ne sont pas à balayer, dans ces univers clos.

Le vivier français sera, de fait, très restreint. Depuis 1993, l'Ecole navale forme une dizaine d'officiers femmes par an. Depuis, seules 23 ont commandé, ou commandent. Les sujétions du métier sont telles que beaucoup d'officiers, hommes compris, renoncent aux postes opérationnels pour sauver leur vie de famille, quand ils atteignent 30-35 ans, l'âge de commander un sous-marin.

L'EXEMPLE AMÉRICAIN

Avant la France, des greffes ont été tentées en Suède et en Espagne. Mais la première marine à s'être lancée fut la Navy américaine, début 2010. Les femmes représentaient déjà 15 % des équipages des navires de combat de surface, ouverts en 1993.

Les difficultés de recrutement et de fidélisation de ces personnels de haute compétence scientifique, dans une flotte gigantesque (71 sous-marins) exigeaient d'élargir le vivier des candidats après 110 ans d'histoire sous-marine exclusivement masculine. En 2012, Barack Obama a reçu à la Maison Blanche les 24 premiers officiers qualifiées pour servir sur les SNLE : 3 femmes dans 8 équipages seulement, sur 18 bâtiments.

Dans la Royal Navy, la décision a été annoncée en décembre 2011. « Nous attachons une grande importance à notre histoire et à nos traditions, mais nous n'en serons pas esclaves », avait déclaré le secrétaire à la défense britannique, Philip Hammond. La flotte comptait alors 10 % de femmes, les droits de servir en surface étant alignés depuis 1990. Trois places ont été ouvertes pour commencer. Les premières volontaires sont en cours d'entraînement sur les nouveaux SNLE Vanguard. Les sous-officiers seront intégrés en 2015. Dans les sous-marins d'attaque, l'accueil des femmes est prévu pour 2016. Ces navires sont aménagés au fur et à mesure de leurs arrêts pour maintenance.

En France, les lieux de vie des nouveaux SNA Barracuda, livrés à partir de 2018, sont adaptés « au cas où ». Mais il faudra sûrement attendre une nouvelle génération pour que les femmes les occupent en nombre significatif.

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Le site d’entretien des sous-marins Barracuda déterminé avant la fin juin | @scoopit http://t.co/zD3LWKBG5N

— Newsletter navale (@Newsletnavale)

April 18, 2014

 

@Newsletnavale 1/Savoir si Toulon conserve la totalité du maintien en condition opérationnelle des SNA comme à l'heure actuelle?

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 18, 2014

 

@Newsletnavale 2/Ou si un transfert de tout ou partie de cet entretien à Brest, qui assure déjà celui des SNLE basés à l'Île-Longue?

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 18, 2014

 

@top_force le risque sismique...on a l'impression que c'est un chiffon rouge agité par le lobby brestois http://t.co/PppufcrymW

— Newsletter navale (@Newsletnavale)

April 18, 2014

 

@top_force voir les cartes sur ce doc http://t.co/iebconAoff

— Newsletter navale (@Newsletnavale)

April 18, 2014
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  • 3 weeks later...

La propension de certaines personnes sur ce forum à considérer le moindre tuyau comme stratégique ne cesse jamais de m'étonner (je ne parle pas pour toi Philippe). De toute façon GE se fout de tout ça et si Montebourg veut encore monter sur ses grands chevaux GE lui demandera gentillement de bien vouloir lui indiquer quelles sont les micro activités en question qu'il convient de céder à l'état.

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Pour revenir a thermodyn, c'est sous pavillon GE depuis 2001, donc les TA du CdG et TA/TP des SNLE-NG ont été conçus et fabriqué avant. Les TA/TP des Suffren sont postérieurs a l'acquisition mais toutes les infos sensibles sont gérées en conformité avec les directives de la DPSD. C'était d'ailleurs une condition non-négociable lors du rachat. Pour les turbines MESMA on s'en fout c'est pour le Pakistan ;)

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Quelles turbines sur SA!? Pour les fremms je sais pas c'est pas la même entité qui fabrique... si ça se trouve il n'y a rien de confidentiel defense sur la TAG elle-même, c'est presque de la grande série la LM2500, et niveau rayonnement acoustique/fréquences propres et raies d'émissions, c'est pas forcément sensible, quand ça tourne tu as probablement acté le fait que tu es repéré... et c'est en service sur des navires civiles donc pas un signal acoustique distinctif

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pour info les allures contractuelles de discrétion acoustique des Fremm ne sont pas en mode booster TAG mais en mode électrique < 16 nds

En plus les TAG ça a tendance a produire des vibration très aigües, assez facile a filtrer et qui se propagent mal dans l'eau en plus de pas vraiment faire partie de la gamme de fréquence écouté par les sonar passif. Les CMT utilise des TAG justement pour passer en mode "furtif" lors de la chasse aux mines sensible aux "battements" des diesel.

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    De toute façon le sujet étant ici nos soum' il n'est question que d'un seul type de turbine :  Les vapeurs ... Qui n'ont pas de chambre de combustion, mais qui reçoit en continu de la vapeur ... La discrétion se fait alors sur d'autres biais, car de la vapeur + une turbine bien que ça en fasse différemment qu'une TAG ça fait du bruit & des vibrations quand même :

 

  A la différence près qu'il n'y a pas les "explosions" de la combustion

 

 

      Quelle est la grande différence dans les faits pour la rendre discrète comparé a une TAG ?

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Pour rendre discrète une TAV, on évite les écoulements turbulents dans la veine vapeur, en particulier le laminage aux soupapes d'admission (hautes fréquences), et on soigne particulièrement l'équilibrage du rotor et le lignage de la ligne d'arbre (paliers, accouplement) pour les basses fréquences. Un bon lignage est particulièrement délicat car il faut compenser a froid une déformation de la turbine qu'on rencontrera une fois a température. Ensuite on suspend sur plot élastiques sur plusieurs étages entre la TAV et la coque, au moins 3. L'équilibrage du rotor de l'alternateur doit être soigné tout autant. Il faut aussi éloigner les fréquences propres des points de fonctionnement.

Modifié par penaratahiti
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Je parlais des turbines qu on utilise dans nos batiments vendus a l'export.

 

Qd on voit comment on a ramé pour vendre nos satelittes aux UAEs, je me dis que peut etre les US mettront des batons ds les roues pour ceder les technos et pieces pour nos batiments exports (soum, fregates etc).

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C'est un article de journal, quel rapport avec les membres du forum ?

 

Tu as raison Clem j'ai fait un procès d'intention. C'est juste que je me souviens de débats au sujet d'EADS/Airbus sur ce forum à l'époque où le groupe parlait de fusion avec BAe Systems.

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De gros efforts techniques ont été réalisés en discrétions acoustiques sur nos soums NG .

Pour ne parler que des installations de plateforme , dans la démarche de conception il a fallût identifier tous les chemins de transfert mécano-acoustiques , en transmissions solidiennes, fluidiques , aériennes et en traitant au cas par cas le découplage pour chaque auxiliaire ( dont la propulsion) et ce en fonction de la connaissance de son Niveau objectif de bruit rayonné . Bref un boulot colossal dans les études et la conception et dans le MCO également vu qu’il faut maintenir la silhouette acoustique du soum.

Coté NUC , ce lien donne une idée des contraintes acoustiques demandées

http://books.google.fr/books?id=L7ByHo3P-bEC&pg=PP8&lpg=PP8&dq=discr%C3%A9tion+acoustique+SNLE+NG+PROPULSION&source=bl&ots=xvJywALGx2&sig=sBFL4MKRnGrYA7qOxEfxYYMpBDw&hl=fr&sa=X&ei=5gpyU7zDMNSa0AWyioGgAQ&ved=0CDoQ6AEwAg#v=onepage&q=discr%C3%A9tion%20acoustique%20SNLE%20NG%20PROPULSION&f=false

Coté installation diverses ces liens concernant les bâtiments de surface ( problématique similaire en moins aigu toutefois ) … double suspension, crampages suspendus , flexible dog leg , compensateurs divers , pièges à son sur les différents circuits hydrauliques et aeroliques ….etc

http://www.nmfs.noaa.gov/pr/pdfs/acoustics/session2_yankaskas.pdf.

https://www.unols.org/meetings/2010/201004rvo/201004rvoap31.pdf.

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