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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre

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La compil Delamarche - ils l'ont fait !  =D

67 mn avec toutes ses meilleures anecdotes et prévisions de cata :

Redite : moi j'attends une spécial mots croisés ou autre émission relativement longue avec Delamarche et des traders/contradicteurs, là ça vaudrait son pesant de cacahuètes ...  :happy:

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J'ai fait un écart en ajoutant un commentaire un peu perso et provocateur à mon post, donc je ne vais pas te répondre pour coller à la charte du fil. Si tu veux on peut en débattre par MP.

Une précision au cas où je n'aurais pas été assez clair : mon commentaire était complètement ironique. Je pense que la socialisation des pertes des acteurs financiers privés est un très grave problème, à la fois un scandale moral et un risque très sérieux de pousser à des faillites d'Etat souverain. En revanche, je soupçonne une forte dose de cynisme chez beaucoup de financiers puisqu'il leur est si facile de jouer à "pile je gagne face tu perds"...

A partir de là il me semble que nous sommes plus ou moins d'accord ?

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A partir de là il me semble que nous sommes plus ou moins d'accord ?

<J'ai bloqué l'autre fil qui contient trop de HS. Celui ci est pour la crise financière à l'echelon mondial et uniquement pour les infos/articles de presse/analyses/extraits d'interview etc....

Prière de laisser les commentaires au vestiaire

Je ferais comme sur d'autres fils, les contrevenants seront expulsés sans alerte puisque ce post en fait office et leurs posts irrémédiablement effacés>

Il va falloir le répéter à chaque page ...  :-[

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La compil Delamarche - ils l'ont fait !  =D

67 mn avec toutes ses meilleures anecdotes et prévisions de cata :

Redite : moi j'attends une spécial mots croisés ou autre émission relativement longue avec Delamarche et des traders/contradicteurs, là ça vaudrait son pesant de cacahuètes ...  :happy:

Pas mal en effet la pensée de delamarche résumé en 67 min.

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DOZE soulève la question taboue:"comment démanteler une banque dite "too big to fail"

Démantèlement à froid en entités plus petites afin d'étiver le too big to fail.

ça ressemble à ceci :

http://en.wikipedia.org/wiki/Glass%E2%80%93Steagall_Act

Il me semble que Delamarche, entre deux pétages de plombs avait aussi donné ce début de réponse, de proposition de solution aux problèmes après les dénonciations. Qu'il faudrait, sous une forme ou autre autre, revenir à un Glass-Steagall.

(complément d'information, ni commentaire ni avis, je sais que c'est interdit)

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Démantèlement à froid en entités plus petites afin d'étiver le too big to fail.

ça ressemble à ceci :

http://en.wikipedia.org/wiki/Glass%E2%80%93Steagall_Act

Démantèlement à froid en entités plus petites afin d'étiver le too big to fail.

ça ressemble à ceci :

http://en.wikipedia.org/wiki/Glass%E2%80%93Steagall_Act

C'était le but affirmé de la réforme bancaire, mais comme le dit DOZE seulement 2% des activités a été cantonnée par cette loi (pas encore votée)

Pourquoi les banquiers ont-ils gagné?

L’argument clef, étant de préserver des entités de taille suffisante pour ne pas en faire des proies faciles pour des prédateurs (banques étrangères, sous entendu) qui ne seraient pas soumis à la même réglementation dans un contexte de libre circulation des flux financiers...mondialisation de la finance.

Là je vous renvoie au podcast des experts posté par perry plus haut, GAVE dans une réflexion sur la parité des monnaies évoque la fin de la mondialisation => les monnaies, la dérégulation financière, tout ceci est lié. La chute de l'un entraînera la fin l'autre.

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Les meilleurs d'entre nous!

Le salaire du patron de Morgan Stanley doublé

C'est la base fixe qui double, il y a également des primes diverses.

La rémunération de James Gorman passe de 800.000 dollars en 2012 à 1,5 million cette année.

Aligner la rémunération du directeur général de Morgan Stanley sur celle d'autres dirigeants de grandes banques: voilà la motivation de la décision prise chez Morgan Stanley pour faire passer le salaire de James Gorman de 800.000 dollars en 2012 à 1,5 million cette année. La banque américaine en a informé la Bourse de New York jeudi.

Morgan Stanley est la sixième banque américaine et les PDG à la tête de ses cinq concurrentes plus importantes touchent un fixe compris entre 950.000 et 2,8 millions de dollars. Si l'on inclut les primes diverses, la rémunération de James Gorman a atteint 9,75 millions de dollars en 2012, un chiffre en baisse de 7% par rapport à 2011.

En comparaison, le patron de Renault-Nissan Carlos Ghosn aurait touché 13,3 millions d'euros en 2011 (soit environ 18,2 millions de dollars). Il est réputé comme étant un poids lourd du Cac 40 en termes de rémunération des PDG.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/20130201trib000746330/le-salaire-du-patron-de-morgan-stanley-double.html

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Loi bancaire: l'incroyable aveu de Frédéric Oudéa

Après des exposés lénifiants des trois banquiers, Karine Berger prend la parole: "je suis un peu étonnée, j’ai l’impression que vous n’êtes pas spécialement gênés par cette loi." Elle n’en reste pas là et demande notamment aux trois banquiers de bien vouloir lui dire quelle part ces activités spéculatives représentent dans les revenus de la BFI (abréviation de "banque de financement et d'investissement", à savoir les activités dédiées aux entreprises souhaitant avoir accès aux marchés financiers ainsi que le conseil en fusion et acquisition) et dans ceux totaux de la banque. Un brin agacée, car elle a demandé ces chiffres à la Fédération bancaire française (FBF), qui ne lui a toujours par répondu.

A quoi sert une loi qui ne concerne que 1% de l'activité des banques ?

C’est Frédéric Oudéa qui répond, les autres, courageux mais pas téméraires, préférant se taire. "Cela représente entre 3 et 5% de nos activités de BFI, qui représentent elles-mêmes 15% des revenus totaux de la banque." Agitation dans la salle. Pas besoin de calculette pour trouver que cela fait 0,75% (5% de 15%) des revenus totaux de la banque. Emoi: "alors cela veut dire que 99% de vos activités ne seront pas concernées par la loi?" Réponse d'Oudéa: "ce sera au superviseur d’en décider, moi je n’en sais rien."

La suite :

http://www.challenges.fr/finance-et-marche/20130130.CHA5665/loi-bancaire-frederic-oudea-le-patron-de-la-societe-generale-met-les-pieds-dans-le-plat.html

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Démantèlement à froid en entités plus petites afin d'étiver le too big to fail.

ça ressemble à ceci :

http://en.wikipedia.org/wiki/Glass%E2%80%93Steagall_Act

Toujours à titre de complément d'information (merci à Fatac pour son rappel sans frais, j'avais effectivement quelque peu débordé de la règle de ce fil), dans le cas où ce genre de démantèlement à froid ne serait pas réalisé (et c'est bien ce qui se profile), resterait la "méthode Dinkic", qui est plutôt du genre "opération commando sur le fil du rasoir"

Voir http://www.abcbourse.com/analyses/chronique-gerer_des_grandes_faillites_bancaires_en_bon_ordre_la_methode_dinkic-738.aspx

Je parle d'une réaction possible dans les quelques jours, voire les quelques heures où le système bancaire est en train de s'effondrer et où il faut réagir rapidement, brutalement et efficacement.

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Une présentation de la cause de la crise des subprimes par Acrithene:

http://theoreme-du-bien-etre.net/2012/09/05/subprime-comment-la-politique-monetaire-a-encourage-la-speculation/

Pour ceux qui défendent l'idée que l'état américain n'a jamais poussé à favoriser l'emprunt des foyers insolvables, un extrait:

[...]

L’objet de ce billet est de vulgariser un article académique écrit par Augustin Landier (TSE), David Sraer (Princeton) et David Thesmar (HEC)* sur l’origine de la crise des subprimes, que j’ai trouvé particulièrement intéressant et qui bouscule, ou du moins complète, la thèse traditionnelle sur le sujet.

LA THÈSE TRADITIONNELLE

L’explication la plus courante de la bulle immobilière américaine repose sur le chemin emprunté par un crédit immobilier, de l’agence de crédit d’une petite ville jusqu’au portefeuille intoxiqué d’un investisseur londonien.

1. Dans un premier temps, le crédit est accordé par une agence de crédit ou une banque de détail.

2. Ensuite, il est revendu à un établissement financier spécialisé, dont les deux plus grands étaient Fannie Mae et Freddy Mac, deux entreprises parapubliques (« government sponsored ») issues du New Deal de Roosevelt. Ces établissements agrégeaient les crédits immobiliers en titres financiers, pour en mutualiser les risques (d’où la notation AAA), pour ensuite les revendre à des investisseurs. Une activité aussi pratiquée par les grandes banques d’investissement. C’est la fameuse titrisation.

[...]

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NOf45OxAa0o

Comme une question d'importance est posée dès le début du débat et reste sans réponse, voici des éléments avec des liens:

L’expérience de la crise économique actuelle montre que non content de créer du chômage structurel en période d’expansion, la protection de l’emploi est impuissante à empêcher la hausse du chômage induite par une récession.

Dans un précédent billet, je vous avais exposé quelques raisonnements théoriques sur la protection de l’emploi qui montraient :

- Que la protection de l’emploi conduisait à une augmentation du chômage structurel ;

- Qu’elle dégradait la productivité des emplois existants ;

- Et que son effet sur le chômage conjoncturel était équivoque.

Je ne reviens pas sur les raisons de la perversité de la protection, vous renvoyant aux détails de mon billet sur le sujet. En revanche, je vous propose aujourd’hui quelques graphiques avec des données plus récentes afin de tester ces conclusions.

[...]

Le reste de la démonstration:

http://theoreme-du-bien-etre.net/2013/01/24/protection-de-lemploi-des-effets-nefastes-sans-contrepartie/

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Pour ceux qui aiment les math, et les autres aussi car cela nous concerne tous :

PONZI DE LA RÉPARTITION : UNE PREUVE MATHÉMATIQUE

Cet article propose une preuve mathématique que le système de retraite par répartition est une chaîne de ponzi, c’est-à-dire qu’il relève du même procédé financier que l’arnarque de B. Madoff.

A quelques occasions, je vous ai indiqué que la retraite par répartition était une chaîne de Ponzi, et que ce fait relevait des mathématiques et donc dépassait toute analyse sur la conjoncture ou la démographie. C’est-à-dire qu’un mathématicien dans sa tour d’ivoire, ne connaissant strictement rien au monde extérieur, pouvait dès le début montrer que ce système était impossible, et ce hors de toute considération concrète. Et d’ailleurs, les économistes le savaient.

J’imagine que certains de mes lecteurs sont déjà sceptiques quant à l’usage des mathématiques en économie sans considérations pour le concret. Je leur répondrais que quelque chose qui respecte les mathématiques n’est pas nécessairement réel (et donc ni digne d’intérêt). En revanche, quelque chose qui ne respecte pas les mathématiques ne peut tout simplement pas être réel.

[...]

http://theoreme-du-bien-etre.net/2012/12/10/ponzi-de-la-repartition-une-preuve-mathematique/
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Pour ceux qui aiment les math ...

Ceux qui aime les math et encore plus l'économie vont avoir les cheveux qui se dresse droit sur la tête :lol:

on avait pas besoin de ca, c'est  pas une bonne nouvelle pour nous. L'envolée de l'euro se confirme grâce aux déboires américains http://www.latribune.fr/bourse/devises-forex/20130201trib000746532/l-envolee-de-l-euro-se-confirme-grace-aux-deboires-americains.html

En meme temps piour ceux qui l'ont pas compris - comme a la BCE - on est en pleine guerre des monnaies ... chacun fait sont petit, ou sont gros QE a répétition, les japonais ont expliqué qu'il emmerdaient tout le monde, et les américains ne s'emmerde meme pas a expliquer. Noyer la dette dans "l'inflation" c'est a priori la seul porte de sorti a moyen terme, reste juste a faire passer cela en douceur, et a réussir a pas être le dernier a réaliser. De toute facon qu'on le paye comme ca ou en abandonnant les créanciers c'est kif kif, et probablement bien plus doux.

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T'as une source?

Meme l'auteur lui meme a du mal a justifier les hypothèses de son raisonnement dans les commentaires en dessous ;) Quand on veut noyer son chien ... quand on veut la mort de la répartition on dit que c'est un "Ponzi Maddof", en quelques sortes le point godwin de l'économie  :happy:

Il n'y a rien de Ponziesque dans un système assurantielle telle qu'est organisé l'assurance vieillesse pour la simple raison qu'on te garantie pas grand chose comme revenue et que les cotisation sont a géométrie variable, en gros le système s'adapte - doucement certes - au couple cotisant/pensionné, en modulant l'évolution des cotisations et des pensions.

D'une certaine manière les fond de pension très agressif, qui garantissent des gros rendement au prix de destruction de l'outil de production sont bien plus néfaste que le système assurantielle par répartition.

D'ailleurs personne lui reproche grand chose au systeme par répartition, la seule chose c'est qu'il manque de souplesse et qu'on gagnerait probablement a passer des moyenne de trimestre a un système d'accumulation de point comme sur les complémentaires pour gagner en lisibilité.

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Tu devrais lui écrire ce genre de remarque sur son blog. En effet, s'il raconte n'importe quoi, il va rater ses examens. Tu te rends compte!

Diplômé d’HEC Paris (finance) et de l’Ecole d’Economie de Toulouse (économie théorique), je suis actuellement doctorant.

Sinon, j'espère que tu assumes la conséquences de tes propos car c'est assez grave. "on ne demande rien".

Mais j'oubliais: pas de commentaires.

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Xerfi canal reçoit Louis Gallois - (interview de Jean-Michel Quatrepoint).

La compétitivité, où en est on ?

[dailymotion=640,390]xx5vgd[/dailymotion]

Xerfi canal reçoit Antoine Brunet : "Les chiffres manipulés de la Chine".

[dailymotion=640,390]xx5vhw[/dailymotion]

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<effectivement je réitère, pas de commentaires...vous pouvez discuter par MP mais pour le thread on se tient aux infos. Merci>

Hem, petite question, le [info only] de ce fil autorise n'importe quelle source et n'importe quel contenu ? Tout est ok tant qu'il y a un lien et pas de commentaire ?

Parce que si oui, ce fil risque fort redevenir une tribune pour certains, avec du prosélytisme/trollage indirect à base de citations d'articles fumeux trouvés sur un quelconque blog ou site.

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Parce que si oui, ce fil risque fort redevenir une tribune pour certains, avec du prosélytisme/trollage indirect à base de citations d'articles fumeux trouvés sur un quelconque blog ou site.

<C'est le risque

A vous de repondre avec des contre-liens

Je limite deja les commentaires pour éviter les trollages, je ne vais pas non plus trier, filtrer et censurer les liens (même si des fois c'est pas l'envie que me manque quand je vois ce qui est posté  :P >

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A lire de toute urgence : Made in Germany - Le modèle allemand au-delà des mythes de Guillaume Duval.

Image IPB

Que ne lit-on et n’entend-on pas en France sur le « modèle allemand » ? On fait en particulier très régulièrement l’éloge de la rigueur budgétaire allemande, et de la capacité de nos voisins à accepter de lourds sacrifices pour restaurer la compétitivité de leur industrie. Or, explique Guillaume Duval, ce ne sont pas là les véritables raisons des succès actuels de l’économie allemande. Cette réussite est due surtout aux points forts traditionnels du pays : un système de relations sociales très structuré, un monde du travail où le diplôme ne fait pas tout, un pays où l’entreprise n’appartient pas aux actionnaires, un solide réseau de firmes de taille intermédiaire, une longue tradition de décentralisation qui permet de disposer partout d’un capital financier, culturel, social, humain suffisant pour innover et entreprendre, etc.

Au cours de la dernière décennie, le boom des pays émergents a permis à l’industrie allemande de profiter pleinement de ces atouts. Au contraire, la profonde remise en cause de l’Etat social menée au début des années 2000 par le chancelier social-démocrate Gerhard Schröder a fragilisé le modèle allemand : le développement spectaculaire de la pauvreté et des inégalités menace son avenir. On l’aura compris, ce qu’il faudrait copier ce sont plutôt les caractéristiques traditionnelles du modèle allemand que les réformes récentes qui y ont été apportées.

Il n’est cependant jamais aisé de transposer les éléments d’un modèle national lié à une histoire particulière. Une meilleure compréhension du « modèle allemand » par les Français est par contre indispensable pour réussir à imaginer ensemble un avenir pour l’Europe.

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