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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre

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En 2008, il avait fui la Suisse avec les noms de plusieurs milliers d'évadés fiscaux français. Cinq ans plus tard, alors que la lutte contre la fraude se retrouve au premier plan, Hervé Falciani raconte et accuse.

http://www.liberation.fr/economie/2013/07/11/tout-a-ete-fait-pour-etouffer-l-affaire-des-evades-fiscaux-hsbc_917355?google_editors_picks=true

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Face à la crise, le gouvernement français vient d'annoncer un plan d'investissements publiques pour favoriser la croissance. Est-ce utile? Un cas concret: la suisse.

Conclusion:

La Suisse devrait continuer de se passer d’une politique industrielle active et la politique devrait plutôt œuvrer à organiser notre place économique de manière à ce que, demain encore, les entreprises et industries puissent y réussir. Cela implique de créer des conditions favorables en investissant dans la formation et la recherche dans les universités ou de conserver le modèle de la formation duale. Ces éléments sont un fondement important pour les prestations d’inno- vation de l’économie suisse. À cela s’ajoute une fiscalité modérée, des in- frastructures performantes et financées durablement, la liberté d’entreprise garantie par une réglementation allégée ainsi qu’un système juridique, poli- tique et social fiable – autant de piliers sur lesquels la Suisse pose, et maintient, son statut de nation industrielle. Tout aussi important, le financement à long terme des administrations publiques, à juste titre déjà presque une évidence en Suisse.

Le soutien ciblé de technologies ou l’incitation des entreprises par des subven- tions font en revanche fausse route. La Suisse doit accepter qu’elle est un petit pays, avec un petit marché et donc des possibilités limitées. Les dépenses pour la recherche et le développement ne sont élevées qu’en pourcentage relatif du PIB, tandis que la part mondiale absolue reste modeste. Une politique indus- trielle recèle en outre le danger d’une politique de maintien des structures, avec des conséquences logiquement négatives pour la capacité d’innovation de notre économie nationale. Tout bien considéré, une politique industrielle active est donc vouée à l’échec en Suisse.

L'article complet:

http://www.economiesuisse.ch/fr/PDF%20Download%20Files/2013-05-06_DP_Politique-industrielle.pdf

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Le "low cost" est-il l'avenir de l'automobile ?  La Tribune: http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/20130708trib000774579/le-low-cost-est-il-l-avenir-de-l-automobile-.html

La fameuse gamme "Entry" à bas coût de Renault, inaugurée en 2004 par la Dacia Logan, génère 40 % des ventes du groupe tricolore... Avec de fortes marges. Modèle le plus vendu du constructeur, le 4x4 Duster bat même des records en la matière. Renault prépare, avec son allié Nissan, la voiture à 5.000 puis à 3.000 euros. Face à cette réussite, ses concurrents, qui se moquaient naguère de sa stratégie, développent aussi leurs propres véhicules à bas prix.

Ca rapporte. Les marges tourneraient en moyenne autour de 10 %. Mieux: sur le 4x4  de la gamme, elles dépasseraient carrément les 15%! S'agit-il de BMW, Audi, Porsche, spécialistes allemands du haut de gamme? Pas du tout. C'est la rentabilité de la fameuse gamme "Entry" de Renault, commercialisée en Europe et en Afrique du nord sous le label roumain Dacia, ailleurs sous la  marque au losange elle-même. Eh oui! A propos, quelle est la  Renault la plus vendue dans le monde, la Clio, la Mégane, le Scénic ? Non. Le véhicule le plus populaire du constructeur français est le... Duster. Tout un symbole. Le fameux 4x4 à bas coût (155.729 unités vendues sur cinq mois, + 59 %) devance les Clio IV et autres Mégane. Le Duster illustre le formidable succès de cette fameuse gamme Entry à bas prix, inaugurée en 2004 par la fameuse Dacia Logan et qui génère aujourd'hui 40 % des ventes du groupe français. Cette année, Renault va carrément dépasser le million de ventes pour la gamme "Entry" (953.000 l'an dernier).

Cette réussite, bien des concurrents la jalousent ! Fiat avait bien tenté, dans les années 1990, de faire une « world car » (voiture mondiale) d'entrée de gamme. Ce fut la Palio, sortie en 1997 et suivie de ses dérivés Siena ou Strada (pick-up). Mais cette gamme n'a vraiment remporté de succès qu'en Amérique du Sud, avec une production au Brésil (470.000 unités l'an dernier). On est donc très loin du concept d'une gamme universelle comme l'"Entry" de Renault.

En même temps ce n'est pas étonnant. Une Logan coute moins chère qu'une Twigo et une Duster le prix d'une Clio...

Il n'y a pas photo, tu roules mieux et bénéficie de plus de place dans une Logan/Duster qu'une Twigo/Clio. Puis le summun étant d'avoir encore accès au moteur, pas comme sur toutes les dernières voitures bourrées d’électronique et ou changer une bougie ou faire sa vidange soit même, relève de la même prouesse que de faire une opération à cœur ouvert sur sa propre personne  :P

Pour les gens qui voient leur voiture seulement comme un outil du quotidien et non comme une extension de leur propre personne, c'est juste ce qu'il faut, pas cher et fonctionnel, que demander de plus ?

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En même temps ce n'est pas étonnant. Une Logan coute moins chère qu'une Twigo et une Duster le prix d'une Clio...

Il n'y a pas photo, tu roules mieux et bénéficie de plus de place dans une Logan/Duster qu'une Twigo/Clio. Puis le summun étant d'avoir encore accès au moteur, pas comme sur toutes les dernières voitures bourrées d’électronique et ou changer une bougie ou faire sa vidange soit même, relève de la même prouesse que de faire une opération à cœur ouvert sur sa propre personne  :P

Pour les gens qui voient leur voiture seulement comme un outil du quotidien et non comme une extension de leur propre personne, c'est juste ce qu'il faut, pas cher et fonctionnel, que demander de plus ?

Ben une BMW, par exemple...  :lol: Accessible en occasion et c'est un autre monde. En prime on peut se la péter avec.  :happy:
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Ben une BMW, par exemple...  :lol: Accessible en occasion et c'est un autre monde. En prime on peut se la péter avec.  :happy:

Euh une BM même d'occase coutera plus cher qu'une Dacia neuve (acquisition, pièce, essence, etc.) à moins d'avoir un cacahuète comme la série 1 et encore neuve elle coute plus de 22000€ pour la version de base, 3 portes :O

A ce prix là je préfère acheter une 300 ou une Charger avec moins de 40.000 bornes et au moins les plus de 250/300 chevaux te permettent vraiment de te la péter.

En plus les BM c'est des voitures de dealers  :oops:

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Le "low cost" est-il l'avenir de l'automobile ?  ...

http://www.usinenouvelle.com/article/le-low-cost-lorsque-l-offre-allechante-se-transforme-en-addition-salee.N201228

Le low cost, lorsque l’offre alléchante se transforme en addition salée

TRIBUNE  Low cost : concept économique en vogue pour assoir la consommation des ménages. Cette définition, on aimerait y croire, relève pourtant du mirage. Sous l’apparence d’offres avantageuses à bas coût, se cache en réalité un bénéfice bien éphémère.

Les analystes s’attendaient à une baisse de 0,4 % du pouvoir d’achat des ménages, pourtant les chiffres publiés par l’Insee à la mi-mai démontrent que celui-ci a chuté de 0,9 % en 2012, alors même que la frénésie du low cost ne se cantonne plus seulement aux produits mais aussi aux services. Pas certain donc que le bas de gamme constitue une solution miracle.

En France, on pourrait qualifier cette offre d’épidémie, phénomène caractérisé par sa vélocité à se répandre et par ses conséquences difficilement maîtrisables. Cette comparaison, loin de vouloir agiter le chiffon rouge, semble tout à fait significatrice de l’emprise du low cost sur l’ensemble du processus de consommation et de production. Là où la contagion est l’apanage de l’épidémie, le mimétisme qui touche l’ensemble de nos secteurs est révélateur de l’illusion d’un profit à court terme qui conduit à la mort lente de notre industrie.

Le "pas cher, c’est cher !"

Le consommateur qui pensait faire des économies en achetant moins cher et ainsi investir dans d’autres biens s’est fait tromper. D’ailleurs, l’une des principales conséquences est que le consommateur final doit non seulement payer le produit élaboré hors de nos frontières, mais également le chômeur privé de son emploi.

Une répercussion qui conduit à l’augmentation des charges qui pèsent sur les entreprises et sur les salariés. A y regarder de plus près une petite ardoise suffira pour quelques opérations simples. Si 1 chômeur coûte à la société environ 50 000 euros par an ; 1 million de chômeurs à soutenir représente un effort de 50 000 millions d’euros par an. Une somme qui est elle-même répartie sur 65 millions de personnes (dont 29 millions d’actifs seulement).

Ce qui signifie, ramené à un habitant, que celui-ci doit financer 800 euros. Allons plus loin et reprenons cet effrayant calcul avec nos 3 millions de chômeurs pour lesquels nos 65 millions d’habitants contribuent chaque jour. On arrive donc à un système de redistribution très performant puisque pour subventionner les 150 000 millions d’euros d’allocations chômages, un habitant paie 2 308 euros !

Des processus de fabrication avec une forte empreinte carbone

Le résultat ? Une société vouée à soutenir une part importante de chômeurs, à l’obligation d’augmenter les recettes de l’Etat qui sont bien évidemment réparties sur la population... Il faut donc être riche pour acheter "low cost", car il faut également accepter de financer le chômeur en bas de chez soi !

Au-delà de ce cadeau empoisonné que nous offrent les effets à long terme du concept, il faut également ajouter l’impact environnemental : une pollution suscitée à chaque échelon du circuit de production du produit low cost avec une empreinte carbone qui trouve son origine dans l’intensivité du processus de fabrication en passant par le transport dû à l’importation jusqu’à la gestion des déchets émis.

Au final, le consommateur qui croyait faire une très bonne affaire ressortira son portefeuille à plusieurs reprises, après son achat.

Pierre Millet, PDG de la Société d’Innovation et de Technologie de Lyon (SITL)

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C'est le summum du n'importe quoi cette article.

Où démontre-t-il le lien entre produit à bas coût et chômage? Il n'y en a pas. Voilà comment on culpabilise les gens avec des mensonges.

Merci pour le lien, je vais faire tourner histoire de rire.

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Ce raisonnement est peut être plus facile à comprendre dans les commandes de l'Etat. L'achat de fournitures au Bangladesh ou au Maroc, ou des voitures de police en Allemagne, prive l'Etat et la securité sociale, d'une grande partie des recettes liée a leur production. Je ne peux pas faire le calcul mais probablement ceci peut annuler la bête economie du prix d'achat ou rendre le produit etranger plus cher pour l'Etat. Sans compter l'emploi maintenu qui baisse les depenses publiques et de secu etc...

Comment des hauts fonctionnaires, ou des politiciens qui prétendent tout savoir mieux que tout le monde, peuvent avoir des raisonnements aussi primaires que "c'est moins cher a l'achat donc c'est moins cher pour l'Etat" ?

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Où sont passés les 35 milliards du grand emprunt ?

Le gouvernement veut prolonger les investissements d'avenir de Sarkozy avec une rallonge de 12 milliards. Encore faut-il que l'argent arrive sur le terrain !

http://www.lepoint.fr/economie/investissement-d-avenir-ou-sont-passes-les-35-milliards-du-grand-emprunt-09-07-2013-1702299_28.php

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«La reprise est là», a déclaré le chef de l'État lors de son interview du 14 Juillet sur France 2 et TF1.

La reprise est-elle vraiment là ?

Alors que la France traverse l’une des crises les plus longues de son histoire, la déclaration a de quoi surprendre. « La reprise, elle est là », a assuré François Hollande dimanche à la télévision . Comment le président de la République peut-il afficher un tel optimisme ?

Il s’appuie d’abord sur la production industrielle, « qui repart ». C’est vrai : après deux trimestres de repli, elle a nettement progressé en avril (+2,2%). Et en dépit d’un contrecoup en mai (–1,1%), l’Insee prévoit une hausse de 0,9% pour l’ensemble du 2e trimestre. La production manufacturière est surtout tirée par les exportations, dont presque tous les secteurs ont profité, y compris l’automobile. La demande intérieure, elle, manque franchement de ressort. Certes, la consommation des ménages « connaît une petite reprise », a souligné le président de la République. Elle a progressé de 0,5% en mai. Mais elle avait reculé en avril.

Les choses vont « un peu s’améliorer au second semestre »

Au total, l’économie française est probablement sortie de la récession. Après six mois de baisse (d’octobre 2012 à mars 2013), l’Insee table sur un PIB en croissance de 0,2% au 2e trimestre. Les choses vont « un peu s’améliorer au second semestre », a donc pu dire le chef de l’Etat. La reprise reste toutefois très fragile. L’institut de la statistique prévoit une stabilité du PIB au 3e trimestre (+ 0%) et une hausse limitée à 0,1% au 4e trimestre. La semaine dernière, le ministre de l’Economie a d’ailleurs reconnu qu’il était « encore trop tôt pour y voir le signe d’une reprise durable ». Pierre Moscovici a estimé qu’elle pourrait « se raffermir au cours des prochains mois au vu du redressement des perspectives personnelles des chefs d’entreprise ».

Le moral des chefs d’entreprise mesuré par les enquêtes de l’Insee a enregistré en juin sa troisième hausse d’affilée. Mais là encore, l’amélioration paraît bien timide. A 86 points, l’indicateur du climat des affaires se situe toujours nettement en dessous de sa moyenne sur longue période (100). Et s’il progresse dans l’industrie et le commerce, il reste stable dans les services et recule même dans le bâtiment.

L’opposition fustige l’optimisme de François Hollande

Bref, rien ne laisse entrevoir un retour franc de la croissance, et François Hollande ne l’a d’ailleurs pas laissé entendre. C’est pourquoi sa déclaration de dimanche sur « les embauches » qui « commencent à progresser » peut sembler, elle aussi, optimiste. Les Urssaf ont certes constaté une nette progression des embauches en mai (+ 6,4%), mais il ne s’agit que d’un mois, après trois mois consécutifs de recul.

L’opposition n’a pas manqué de fustiger l’optimisme de François Hollande. Geoffroy Didier (UMP) l’a qualifié d’ « indécent ». Valérie Debord (UMP) estime que le président s’est « transformé en oracle », et « nie  la réalité économique ». « Non, la reprise n’est pas là », a réagi de son côté Marine Le Pen.

http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202895630815-la-reprise-est-elle-vraiment-la-585982.php

Hollande "fait peur" à Gattaz

Lors de son premier déplacement depuis son élection à la tête du Medef, Pierre Gattaz s'est inquiété des propos de François Hollande évoquant la sortie de la crise et une hausse possible des prélèvements en 2014. Or, selon le nouveau dirigeant de l'organisation patronale, les carnets de commandes restent très faibles et les entreprises n'ont plus les moyens d'investir.

Suite

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130715trib000775802/hollande-fait-peur-a-gattaz.html

Il y a 2 jours :

Fitch déclasse la note de la France à AA+ avec perspective stable

http://fr.news.yahoo.com/fitch-d%C3%A9classe-la-note-la-france-%C3%A0-aa-172159988.html

La classe politique ironise sur "reprise" annoncée par François Hollande

http://fr.news.yahoo.com/video/la-classe-politique-ironise-sur-191834419.html

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Exposition inquiétante de la Deutsche Bank.

ZH via les infos du Nain.

Jim Willie (un analyste financier qui émet généralement des informations très solides) insiste sur le fait que la Deutsche Bank est sur ??le point de s’effondrer …

« Des sources très fiables indiquent que trois grandes banques occidentales sont sous la menace constante d’une faillite forçant les autorités à des mesures extraordinaires pour éviter celle-ci. Ce sont Deutsche Bank en Allemagne, Barclays à Londres, et la Citibank à New York. »

Image IPB

LA CROISSANCE CHINOISE AU PLUS BAS DEPUIS 13 ANS

C’est désormais officiel. La chine ralentit. La croissance économique chinoise a été confirmée à 7,5% au deuxième trimestre, après 7,7% au premier. Entre spéculation immobilière, coup de frein dans l’industrie et faiblesse de la consommation intérieure, les défis à relever sont de taille.

WANTED

Fabrice Tourre, dit Fab le Fabuleux. L’Ex trader chez Goldman Sachs, mathématicien de génie, comparait aujourd’hui aux Etats-Unis pour avoir fait perdre à la banque d’affaires 10 milliards de dollars à des investisseurs sur un produit financier toxique, le célèbre « Abacus » qu’il avait créé.

LA CRISE, QUELLE CRISE ?

3 000 banquiers européens touchent un bonus de plus de 1 million d’euros. Et 75% d’entre eux sont employés à la City. Si le plafonnement des bonus devait être mis en place, c’est le cœur de la finance européenne qui sera le plus touché.

Les six maux de l’économie Chinoise :

La Croissance est là ! (celle du chômage…).

Chômage : les sombres perspectives de l’OCDE pour la zone Euro.

Le rapport annuel de l’OCDE sur les perspectives de l’emploi 2013 dresse un sombre tableau pour les prochains mois dans les pays de la zone euro. Le chômage va poursuivre son ascension jusqu’au troisième trimestre 2014.

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(Reuters) - La commissaire européenne à la Justice, Viviane Reding, a souhaité que la troïka constituée de l'Union européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international soit dissoute.

"La troïka doit être abolie", affirme Reding dans les colonnes du quotidien allemand Stuttgarter Zeitung à paraître mercredi.

La commissaire estime que les problèmes que rencontre l'Europe, en particulier la crise de la dette, peuvent être désormais gérés sans la participation du FMI.

Suite : http://fr.news.yahoo.com/la-commissaire-viviane-reding-pr%C3%B4ne-la-dissolution-la-190005594.html

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Follow up : "la reprise est là"

L'OCDE ne prévoit pas de baisse du chômage en France en 2014

L'organisation internationale, qui table sur un taux de chômage record de 11,2 % fin 2014 en France, appelle à des réformes structurelles et à une clarification des mesures déjà prises.

La promesse de François Hollande d'inverser la courbe du chômage d'ici à la fin de l'année, l'OCDE n'y croit pas. Dans ses nouvelles prévisions sur l'emploi, l'Organisation internationale table sur un taux de chômage de 11,2 % au dernier trimestre 2014, contre 10,9 % en mai de cette année. «La France fait face à un chômage durable et persistant. Si le taux est légèrement plus faible que dans la zone euro, tiré par la situation grecque et espagnole, il reste élevé en comparaison de l'OCDE (8 % en mai 2013)», précise la note sur l'Hexagone. Surtout, il est bien supérieur à celui de l'Allemagne, qui va connaître une embellie de 5,3 % en mai 2013 à 4,7 % fin 2014.

En cause, la mauvaise conjoncture économique. Plus de cinq ans après le début de la crise financière mondiale, la demande reste atone en France, relève l'OCDE, qui table sur une baisse du PIB de 0,3 % cette année (le gouvernement reste quant à lui accroché à un +0,1 %). La Muette relève une dégradation du taux d'emploi. La différence entre emploi effectif et emploi potentiel, qui s'est accrue de 1,2 % entre le début de la crise et fin 2012, atteindra 2,3 % en 2014. Aussi bien le chômage de longue durée que celui de courte durée continuent d'augmenter. «La situation des jeunes, comme dans le reste de la zone euro, est particulièrement préoccupante, avec un taux de chômage de 25%», s'inquiète le directeur de la division emploi et affaires sociales, Stefano Scarpetta. Pis encore, le nombre de jeunes de 15-24 ans sans emploi ni scolarisés, ni en formation touche 14 % de la classe d'âge. Les faibles qualifications sont les plus exposées. L'OCDE précise aussi que les jeunes Français, contrairement à la majorité des pays étudiés, peinent à trouver un emploi après une suppression de poste.

Un meilleur suivi

Voilà pour le constat. Sur les armes antichômage, si l'OCDE distribue quelques bons points à la France, elle met l'accent sur ses défis structurels. «La loi de 2013 sur la sécurisation de l'emploi va dans la bonne direction en créant de nouveaux outils de flexibilité qui devraient permettre une plus grande création d'emplois à moyen terme. Cependant, beaucoup reste à faire pour réellement réduire le dualisme du marché du travail», note l'organisation internationale.

Les contrats aidés peuvent être efficaces à court terme en période de crise, à condition d'être bien ciblés sur les jeunes défavorisés et assurer un suivi des bénéficiaires. «Il y a beaucoup de mesures mises en place en même temps, entre contrats aidés, de génération, allégements fiscaux. Il faut clarifier tous ces systèmes, s'assurer qu'ils soient bien connus des employeurs et surtout mettre en place un monitoring», explique Stefano Scarpetta.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/07/16/20002-20130716ARTFIG00262-l-ocde-ne-prevoit-pas-de-baisse-du-chomage-en-france-en-2014.php

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La promesse de François Hollande d'inverser la courbe du chômage d'ici à la fin de l'année, l'OCDE n'y croit pas.

Hollande n'a pas dit comment il allait faire. Il suffit de rayer des gens à Pôle emploi et voilà, le nombre de chômeurs diminue. C'est qu'il est malin.

Fenrir: Seulement des infos, pas d'analyse svp.

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@Jojo

oui en fait il explique de manière docte et didactique ce que Delamarche énonce plus rapidement.

Sa démonstration sur l'Obama care et les moyens utilisés pour le contourner est édifiante tout comme ses affirmations sur le temps de travail hebdomadaire effectif aux USA

Les deux disent la même chose concernant des faits objectifs: les chiffres présentés ne veulent pas dire grand chose

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