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debonneguerre

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Le ressenti est-elle qu'elle.

Non, en fait c'est un des effets pervers de cette mesure. L'objectif de base est que ces personnes retrouvent rapidement un travail par les voies normales pas qu'ils fassent les 6 mois complets.

 

Le problème c'est qi'ils se plaisent dans ces mesures vu que ces emplois sont intéressants, qu'il y a parfois un horaire libre et que l'ambiance est souvent bonne. La conséquence est qu'ils se donnent moins de peine dans les recherches d'emploi et se donnent à fond dans cette mesure en espérant être engagés (et c'est compréhensible).

Beaucoup disent à leurs amis qu'ils ne sont plus au chômage et qu'ils travaillent en CDD pour l'Etat. Un des dangers de cette mesure, c'est que le chômeur n'a plus vraiment l'impression d'être au chômage.

Malheureusement, le délai cadre d'indemnistation continue à courir et après ces 6 mois, il peut ne pas rester énormément de temps avant l'extinction du droit.

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Malheureusement, le délai cadre d'indemnistation continue à courir et après ces 6 mois, il peut ne pas rester énormément de temps avant l'extinction du droit.

Cela reste un filet de sécurité supplémentaire. C'est appréciable et à apprécier à sa juste valeur. Si il ne se sent plus au chomage, il sait tout de même que ce n'est pas éternel. C'est donc à lui de se bouger le cul ensuite.

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Un des dangers de cette mesure, c'est que le chômeur n'a plus vraiment l'impression d'être au chômage.

 

Le problème étant que s'ils travaillent en horaire quasi complet ils ne sont de facto plus vraiment des chômeur alors que d'un point de vue administratif c'est toujours le cas. C'est le problème de ces plans "d'aide à l'emploi" : on crée des catégories dans des catégories et on ne s'y retrouve que très difficilement.

 

 

Le chômeur profite de cette occasion pour occuper le poste et avec un peu de chance il pourrait obtenir cette place par la suite.

 

Les employeurs qui recourent à ces travailleurs (administrations désargentées, petits patrons margoulins ou sans le sous) n'ont généralement pas l’intention d'engager qui que ce soit de façon "normale" vu l'avantage financier de recourir à cette main d’œuvre.

 

En fait l'idée de ces plans de réinsertion est souvent bonne et part parfois d'un bon sentiment. Toutefois, dans les faits, ça donne autre chose...

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On ne peut pas supprimer une politique parce qu'il est possible que certains abusent, sinon on ne fait plus rien. La situation actuelle, payer des gens à ne rien faire, est totalement illogique et ruineuse.  

 

Le seul moyen de lutter contre le chômage est de supprimer le chômage en conditionnant un salaire minimum contre une disponibilité pour les entreprises. Sans contrainte pour l'un comme pour l'autre, ainsi un employeur qui souhaite garder un bon élément sera contraint de l'embaucher et d'augmenter son salaire et un salarié ne se plaisant pas à son travail ou voulant gagner plus pourra changer d'employeur facilement. A défaut ce dernier ne peut que gagner en expérience tout en ayant une assureur de revenu minimum.  

 

L'avantage est d'augmenter la productivité des entreprises (donc ses bénéficies et donc plus impôts à l'état), apporter une certaine flexibilité dans l'emploi, sans que cela ne coûte plus cher à l'état qui actuellement paye sans rien en échange. 

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L'avantage est d'augmenter la productivité des entreprises (donc ses bénéficies et donc plus impôts à l'état), apporter une certaine flexibilité dans l'emploi, sans que cela ne coûte plus cher à l'état qui actuellement paye sans rien en échange. 

 

C'est aussi l'un des gros problème. On crée de puissante distorsion de concurrence avec des employeur n'employant que des emploi aidé et d'autre jouant le jeu du salariat classique.

 

En France les abus d'emploi aidé sont déjà légion. Qui n'a pas connu des supermarché ou la moitié du personnel était en contrat de qualif! Qui n'a pas connu des commerces ou tous le personnel et en contrat d'apprentissage ...

 

C'est d'ailleurs une parti du drame de ces contrat aidé, c'est qu'en baissant artificiellement le cout du travail, ils sabotent aussi tout une partie du marché des contrat non aidé. Si tu ajoutes a ça les exonération pour les emplois a temps partiel ... tu te retrouves dans certains secteurs avec déjà de l'emploi massivement aidé. Certes c'est pas un cout ramené a zero mais on arrive rapidement a moitié prix.

 

Quand on compare a l'Allemagne on oublie deux choses

- la démographie allemande qui fait naturellement baisser le volume des actif, et donc le chômage.

- les habitude allemande a garder bobonne a la maison, qui elles aussi limitent les inscriptions au chômage.

- le cout de l'immobilier d'netreprise, ridiculement bas, qui permet de dégager des marge notament dans le commerce.

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Pour le placement dans le privé il y a une autre mesure nommée AIT (allocation d'initiation au travail).

 

Durant les 6 premiers mois, l'employeur ne paie "que" le 50% (sans rentrer dans les détails) du salaire mais, en contrepartie, il a l'obligation de garder cette personne durant 1 année au minimum. Les 6 derniers mois seront payés à 100% par l'employeur.

 

Evidemment il y a eu des abus, surtout parce que lorsque cette mesure était mise en place elle était sous le nom du chômeur et non pas de l'entreprise =(

Un patron de PME malin pouvait engager 2-3 employés en AIT en s'adressant à des offices de placement ne se trouvant pas dans la même région. Un office établissait un contrat AIT sans savoir qu'un autre avait fait de même.

 

L'avantage de cette mesure, est qu'elle force tout de même l'employeur à garder l'employé durant une année complète, il n'est pas forcément rentable de licencier ces personnes dans les domaines qui demandent des connaissances autres que basiques. Par contre dans la vente dans certaines grandes-surfaces... :'(

Modifié par Cadia
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Le seul moyen de lutter contre le chômage est de supprimer le chômage en conditionnant un salaire minimum contre une disponibilité pour les entreprises. Sans contrainte pour l'un comme pour l'autre, ainsi un employeur qui souhaite garder un bon élément sera contraint de l'embaucher et d'augmenter son salaire et un salarié ne se plaisant pas à son travail ou voulant gagner plus pourra changer d'employeur facilement. A défaut ce dernier ne peut que gagner en expérience tout en ayant une assureur de revenu minimum.  

 

L'avantage est d'augmenter la productivité des entreprises (donc ses bénéficies et donc plus impôts à l'état), apporter une certaine flexibilité dans l'emploi, sans que cela ne coûte plus cher à l'état qui actuellement paye sans rien en échange. 

Pour ceci, il suffit d'avoir un marché de l'emploi souple et un code du travail qui permet de licencier/démissionner de manière simple et rapide.

 

Une société peut licencier un employé sans donner la moindre justification. Sa seule obligation est de respecter les délais de congé (ici pour les CDI).

- 1 mois pendant la première année de service (pour la fin d’un mois)

- 2 mois de la deuxième à la neuvième année de service (pour la fin d’un mois) 

- 3 mois dès la dixième année de service (pour la fin d’un mois)

 

Seul un licenciement pour faute grave (licenciement avec effet immédiat et fin du droit au salaire) doit être justifié. Mais, les prud'homme ainsi que les caisses de chômage examineront toujours de près ce type de situation afin d'éviter les abus.

Modifié par Cadia
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En fait les travailleurs-aidés font concurrence aux travailleurs "normaux", tout simplement.

 

D'un coté c'est aussi le but, baisser artificiellement le coup du travail des emploi aidé c'est aussi faire pression sur le salaires des non aidé. Un peu comme l'immigration de travail a servi a faire stagner les salaires et réduire les contestation ouvrière après guerre.

 

Apres tout dépend du but recherché.

 

Si on pensent - peut etre a raison - qu'on doit tout faire - y compris sponsoriser massivement le travail et le travailleur - pour que celui travaille quoiqu'il se passe, c'est une solution pertinente. On peut alors soit sponsorisé le salarié lui meme de maniere a lever les frein a la prise de poste.

 - prise en charge des trajet domicile travail.

 - prise en charge de la garde d'enfant.

 - prise en charge d'un différentiel bas salaire, salaire "moyen", genre prime a l'emploi.

 - facilité de mobilité géographique ... déménagement droit de mutation etc.

 

On peut aussi sponsoriser l'employeur pour qu'il embauche a tres bas coup, en complétant le salaire par des aides lié au chômage lui meme ou a la situation social du travailleur potentiel. On a déjà ca plus ou moins en France mais c'est pas aussi massif qu'en Allemagne, et c'est autant une perversion du système qu'une vrai politique.

 


 

L'autre piste c'est la baisse pure et simple des salaires, via un salaire minimum sectoriel ... voire meme géographique. En gros le salaire minimum admissible serait variable en fonction du travail et de l'endroit ou il est. Le complément de revenu incitant a prendre se travail qui coute presque aussi cher qu'il rapporte au salarié - trajet, garde d'enfant etc. - serait abondé par une super prime a l'emploi, aide au logement etc.

 


 

Dans tous les cas l'objectif c'est la baisse importante du cout du travail peu qualifié et peu "rentable".

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Le problème est que les demandeurs d'emplois sont tellement nombreux qu'une entreprise peut tourner presque uniquement avec eux. J'ai connu une boîte ou nous avions un employé, un seul (!) qui était déclaré (un retraité qui faisait des heures pour arrondir sa pension), le reste étant constitué de stagiaires, travailleurs au black et emplois aidés.

 

 

On ne peut pas supprimer une politique parce qu'il est possible que certains abusent, sinon on ne fait plus rien.

 

Il n'y a pas de possible et de certains. C'est un système qui a été détourné de façon quasi-générale. Il est temps de s'en rendre compte.

 

 

La situation actuelle, payer des gens à ne rien faire, est totalement illogique et ruineuse.

 

Et pourquoi ?

 

Du plein emploi c'est impossible. Ça n'a jamais existé et, aujourd'hui, il faut accepter l'idée que des gens ne travailleront probablement jamais car il n'y a tout simplement plus assez de places de travail. Tout simplement. Donc le pays de cocagne où tout le monde à ses 35/38 heures semaine nous ne connaîtrons jamais (sauf miracle industriel/énergétique).

 

Des gens sont exclus du marché du travail car trop jeunes/vieux/hommes/femmes/bronzés/blancs/sur-qualifiés/sous-qualifié et il faut bien compenser cette exclusion. Le travail est un droit et ceux qui en sont privés ont droit à une compensation. 

 

J'ai l'impression que c'est sur les exclus que se fait le profit de quelques-uns. Ces laissés-pour comptes n'ont pas à être abandonnés et encore moins à servir de mains d’œuvre taillable et corvéable à merci pour mini-job. Qu'on leur trouve un vrai travail ou qu'on leur foute la paix.


Pour revenir à la proposition de Gattaz du sous-SMIC je rappelle une proposition formulée par son père (décidément !) en 1984 à découvrir ici. Le père a eu gain de cause et obtenu ce qu'il voulait mais inutile de préciser que la France n'a jamais vu la couleur de ses emplois.

Modifié par Kiriyama
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Une personne active même par le biais de différentes mesures se portera toujours mieux qu'une personne laissée à son compte. Sans compter que ces mesures permettent également au chômeur d'avoir un peu plus d'argent à la fin du mois.

Une mesure par le biais d'un emploi aidé, diminue par deux la durée de chômage pour les personnes concernées. Malheureusement ces emplois aidés sont limités en nombre.

 

A la fin des indemnités chômage, elle aura droit à l'aide sociale (sous certaines conditions) qu'on pourrait comparer à une sorte de revenu universel. :|

En théorie, ceci est moins coûteux pour la société mais, on assiste à une explosion des coûts médicaux liés aux problèmes psychiques et d'alcool. A l'aide sociale, 2/3 des dossiers nécessitent un suivi constant de la part d'assistants sociaux. Cette situation entraine une augmentation du nombre de fonctionnaire nécessaire pour traiter un dossier (un gestionnaire + un assistant social). De plus les cas étant plus lourds et sensibles que pour un chômeur, un gestionnaire travaillant à l'aide sociale traitera moins de cas par mois qu'un gestionnaire travaillant pour le chômage.

 

Les travailleurs aidés ne font pas réellement concurrence aux travailleurs normaux du fait que ceux-ci ont déjà un emploi. Et il est  plus facile de trouver d'emploi lorsqu'on a un travail que lorsqu'on est au chômage :-[

Etant donné qu'il est assez facile de changer d'emploi en Suisse, un patron qui sous-paye systématiquement ses employés risque de les perdre. Les employés dans cette situation ont de plus tendance à partir en groupe ce qui induit une perte de connaissance et des frais supplémentaires à l'employeur (recrutement, doublement des salaires du fait des personnes qui doivent être formées, engagement en urgence). :happy:

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Une personne active, même dans le cadre d'un emploi aidé, acquière de l'expérience, se forge un réseau de connaissances et établit des liens sociaux ce qui n'est pas le cas d'un chômeur. Un emploi aidé n'est pas destiné à être permanent : l'expérience est recherché par les employeurs et permet de décrocher un job mieux rémunéré.

 

Le plein emploi est totalement possible, ce n'est pas l'offre qui manque c'est les conditions (salaires, conventions, droit du travail...) qui aujourd'hui pousse les entreprises soit à ne pas embaucher soit à embaucher au noir ou prendre des stagiaires.  

 

Kiriyama, dans la société où je travaille il manque grosso modo 30 à 40 personnes lors des pics d'activité mais impossible de verser un salaire annuel plein alors que la charge de travail est ponctuelle et aléatoire. Impossible aussi de prendre en CDD ou en intérim, c'est encore trop cher, difficile à gérer et ils leur faudraient une formation préalable... du coup on fait des heures supplémentaires.  

 

Si on lui propose 40 chômeurs payés à 80% par l'état, il dirait banco sans hésiter. Tout le monde serait gagnant. Au lieu de ça on augmente les charges des entreprises pour payer des chômeurs à rester chez eux. Et plus on paye d'impôts, plus il y a de faillites et de licenciements donc plus de chômeurs à payer... donc on augmente les impôts...c'est un cercle vicieux...     

Modifié par alexandreVBCI
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Là bas, c'est le pays fondateur de la "flexisécurité". L'assurance chômage est généreuses mais limité dans le temps. Chercher de l'emploi dans ce genre de pays est considéré comme un emploi à part entière qui est rémunéré + l’existence d'une marché de travail souple où il est facile de licencier, mais aussi d'embaucher, avec un vrai droit à la formation continu pour les salariés.

 

Alors que dans les systèmes d'assurances chômage classiques il s’agit juste de limiter la casse et/ou subventionner des emplois peu qualifié/à faible valeur ajouté.

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Aux Pays-Bas ils ont un système de Smic progressif en fonction de l'âge et de l'ancienneté. Ils ont moins de chômeurs que nous.

Faut se méfier de certains chiffres, pour faire baisser le chômage aux pays bas ils ont eu par le passé la bonne habitude de passer tous les chômeur de longue durée a la cotorep genre handicapé du travail et donc plus chômeur. Meme chose en Suede, et surement dans pas mal de pays particulièrement vertueux.

C'est d'ailleurs amusant en France, avec les obligation d'emploi d'handicapé, les cotorep son pleine de demande de prise en charge ... pourquoi? parce que les employeurs, explique au postulant, qu'il leur faut leurs quotas et que s'il veulent se faire embaucher ils auront beaucoup plus de chance s'il se trouve dans la case "quota cotorep". Résultat tout le monde se trouve un truc de travers, un genou par ci, un poignée par là etc. Comme quoi les employeurs ne tardent jamais a pervertir la moindre petite faille du système d'emploi aidé.

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Compétitivité mot magique qui permet de justifier la suppression de tous les acquis sociaux et si ce n'était pas les employer le problème, mais les patrons qui sont nuls pour vendre ce qu'il produise ?

 

 

Il y a de ça. En France, "pays d’ingénieur" pour caricaturer, les entreprises utilisent des méthodes commerciales archaïques.

 

Mais le gros problème de compétitivité de la France est un Euro surévalué.

Modifié par Shorr kan
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Le plein emploi est totalement possible, ce n'est pas l'offre qui manque c'est les conditions (salaires, conventions, droit du travail...) qui aujourd'hui pousse les entreprises soit à ne pas embaucher soit à embaucher au noir ou prendre des stagiaires. 

 

Quelle connerie !

 

Du plein emploi possible alors qu'on licencie un peu partout (je ne parle pas de la Suisse mais de l'UE) ?

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Quelle connerie !

 

Du plein emploi possible alors qu'on licencie un peu partout (je ne parle pas de la Suisse mais de l'UE) ?

Le plein emploi n'existe également pas en Suisse. Le taux de chômage n'est pas aussi bas qu'on voudrait bien le faire croire. On a aussi assisté à une explosion des CDD dans certaines professions et les agences de placement temporaire s'engraissent (que je considère comme des parasites) =(

Modifié par Cadia
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Quelle connerie !

Du plein emploi possible alors qu'on licencie un peu partout (je ne parle pas de la Suisse mais de l'UE) ?

[mode troll: on]

Si si il suffit de repasser au communisme et de fournir un travail de bureaucrate aux chômeurs. [mode troll: off]

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Le plein emploi n'existe également pas en Suisse. Le taux de chômage n'est pas aussi bas qu'on voudrait bien le faire croire. On a aussi assisté à une explosion des CDD dans certaines professions et les agences de placement temporaire s'engraissent (que je considère comme des parasites) 

C'est bien pour ça que l'agence de placement doit rester un service public. Suffit de réutiliser les agences de Pôle Emploi en agences de placement temporaire. 

 

[mode troll: on]

Si si il suffit de repasser au communisme et de fournir un travail de bureaucrate aux chômeurs. [mode troll: off]

Il ne s'agit pas de fournir des emplois fictifs dans le public mais de réserver cette possibilité qu'aux entreprises et avec une participation de leur part (par exemple 10 ou 20 % du salaire) avec la formation à leur charge.  Ce qui élimine tout risque d'emploi bidon.

 

Pour ma part je pense que l'on ne risque pas grand chose à tenter l'expérience vu que ça ne coûtera quasiment rien de plus à l'état.

 

Après si ça ne marche pas on peut revenir au merveilleux système actuel..... (c'est de l'ironie je précise !)

 

Le pire est de ne rien faire et d'attendre un miracle.  

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Après si ça ne marche pas on peut revenir au merveilleux système actuel..... (c'est de l'ironie je précise !)

On le fait déjà et depuis longtemps. Ça s’appelle contrat de qualification contrat de professionnalisation, contrat d'apprentissage, alternance etc.

Apres on peut estimer que ce n'est pas assez sponsorisé ... ou qu'il n'y a pas assez de postes ouvert soumis a subvention.

Le souci c'est comment faire pour ne pas que les entreprises tombe dans la dépendance ... ce qui arrive tres souvent. Résultat quand le sponsoring s'éteint l'entreprise n'est plus rentable ...

En Franc on a un problème plus grave ... bon nombre d'entreprise n'ont pas de modèle économique viable. Certes c'est lié aux couts, mais pas seulement. Marketing inexistant, produit pas très intéressant, volume de vente très faible, aucune adaptation a la chalandise. Ça explique d'ailleurs en grande partie la disparition des commerçant indépendant et la multiplication des franchisés.

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On le fait déjà et depuis longtemps. Ça s’appelle contrat de qualification contrat de professionnalisation, contrat d'apprentissage, alternance etc.

 

Lourd, fiscalement et juridiquement complexe avec des contraintes et des limitations dans tous les sens qui change tout le temps, un vrai merdier à devoir gérer pour une entreprise.

 

Le jour où on fera simple et souple/flexible on arrivera à diminuer grandement le chômage. Un CDD, même sur un emploi bas de gamme, reste mille fois plus valorisant que le chômage. 

 

Sinon, il faut une vraie culture de l'entrepreneuriat à instaurer dans le système éducatif (et que ce dernier s'adapte aux besoins des entreprises et non espérer l'inverse) et surtout arrêter de voir l'entreprise comme le mal absolu.    

Modifié par alexandreVBCI
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Le jour où on fera simple et souple/flexible on arrivera à diminuer grandement le chômage. Un CDD, même sur un emploi bas de gamme, reste mille fois plus valorisant que le chômage. 

 

Sinon, il faut une vraie culture de l'entrepreneuriat à instaurer dans le système éducatif (et que ce dernier s'adapte aux besoins des entreprises et non espérer l'inverse) et surtout arrêter de voir l'entreprise comme le mal absolu.    

+1. Ma fille me racontait la vision anti-entreprise privée que véhiculait son prof d'économie au Lycée à la fin des années 90. Et ce n'était pas un exemple isolé. Aujourd'hui je ne sais pas.

Modifié par Jojo67
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