capmat Posté(e) le 18 juin Share Posté(e) le 18 juin Il y a 1 heure, Hirondelle a dit : Sauf ton respect, Capmat: quand ça bout tu baisses le feu. Mais si tu besse c’est super aussi Et les moules sont beaucoup moins digestes accompagnées de frittes. Ça croque plus Petite forme ?) Merci Hirondelle, allons pour Bouillabaisse Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 18 juin Share Posté(e) le 18 juin (modifié) (rhhh ces messages qui ne disparaissent pas si on n'est pas en dernière page...) Modifié le 18 juin par rendbo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 18 juin Share Posté(e) le 18 juin Le 17/06/2024 à 17:36, Asgard a dit : Oui ! Cherbourg ne me tente pas du tout climatiquement parlant C'est un peu pluvieux, mais les gens sont sympas, la bouffe est bonne, l'alcool aussi. Si y'avait le TGV, j'aurais adorer habiter par là et commuter pour aller au taf (quand on voit le temps mis par certains trains de banlieue, c'est pas beaucoup plus long... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 21 juillet Share Posté(e) le 21 juillet (modifié) Yearbook 2023-2024 Naval Group —> https://www.naval-group.com/sites/default/files/2024-05/Yearbook Naval Group 2023-2024 FR.pdf UN SOUTIEN EN CONTINU PARTOUT DANS LE MONDE Assurer la disponibilité des FREMM partout dans le monde implique d’offrir une assistance permanente aux navires en mission. Les équipes de la direction Services ont donc mis en place une organisation dédiée afin d’être en mesure d’envoyer des ressources dans tous les ports où les FREMM font escale. Naval Group est l’un des seuls industriels du secteur à disposer d’une telle capacité d’intervention rapide à l’international, grâce à son réseau de filiales et de partenaires industriels. Ainsi, fin septembre, la FREMM Languedoc quittait la base navale d’Abu Dhabi après neuf jours de travaux d’entretien et de maintenance préventive. Quelques semaines plus tôt, la FREMM Bretagne, en opération en mer du Nord, recevait des pièces pour plusieurs réparations. Au printemps dernier, c’est la FREMM Lorraine qui bénéficiait d’une intervention des équipes Services et de Naval Group Far East lors d’une escale à Singapour. Grâce à cette organisation dédiée, les FREMM bénéficient d’entretiens plus réguliers : la durée et la densité des AT réalisés en France sont donc réduites et la disponibilité des frégates est optimisée. UNE PRODUCTIVITÉ EN HAUSSE SUR LA SÉRIE L’objectif zéro papier se poursuit avec désormais près de 650 tablettes numériques utilisées sur le chantier fin 2023, pour permettre aux monteurs d’accéder aux plans numériques du navire et faire remonter la conformité en temps réel. L’augmentation du taux de pré-armement des blocs de coque ainsi que la réalisation en amont de tests sur plateformes pour les équipements et logiciels du navire constituent les deux éléments-clés générant des gains de temps sur la durée de l’assemblage en forme de construction et les phases d’essais. Le taux de pré-armement des blocs de coque augmente pour chaque unité de la série : de 25 % pour la première unité de la série, ce taux a évolué rapidement pour atteindre 70 % de la cible pour la troisième. Les 100 % sont visés pour la cinquième unité. « Cette augmentation doit permettre de lisser la charge pendant la construction de chaque navire afin de limiter la coactivité et d’améliorer la sécurité et les conditions de travail des collaborateurs ainsi que la productivité », explique Pierre-Luc Guéguen. Modifié le 21 juillet par Titus K 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 30 août Share Posté(e) le 30 août https://x.com/Tej_Intel/status/1829438060150329626/photo/1 Indian Ambassador to France visits the Naval group to see XL-UUV. Are we looking at a possible collab between MDL and NG? 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ziggy Stardust Posté(e) le 6 septembre Share Posté(e) le 6 septembre (modifié) https://www.radarint.com.ar/articulos/submarinos-para-la-armada-argentina-todo-lo-que-se-sabe-hasta-el-momento La Marine argentine est à la recherche de nouveaux sous marins, et le Scorpène serait pour l'instant privilégié Citation Concernant l'acquisition de sous-marins pour la Marine, le MinDef a souligné que de nombreuses études ont été réalisées sur la base de différentes offres pour déterminer laquelle correspond le mieux aux besoins et aux circonstances actuelles. Dans le même ordre d'idées, il a été signalé que les offres des entreprises françaises et allemandes sont en cours d'analyse et que toutes deux répondent aux exigences établies par le Plan de Capacités Militaires (PLANCAMIL). Selon les informations consultées par Radar International, la négociation la plus avancée parmi ces alternatives est avec Naval Group pour le sous-marin français Scorpène. Les détails du montant final ou des modalités de paiement n'ont pas encore été finalisés, même s'il y aura plus de 2 sous-marins. À cela s'ajoute l'information selon laquelle la marine argentine a recommandé et conseillé l'acquisition de 3 sous-marins, ce qui constitue, selon les analystes militaires, la force sous-marine minimale dont aurait besoin un pays ayant l'extension maritime de la République argentine. Modifié le 6 septembre par Ziggy Stardust 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 septembre Share Posté(e) le 6 septembre Ce serait en production locale ? Les cales françaises vont être bien remplies jusqu'en 2035 au minimum avec la fin des Suffren, les SNLE3G et les Orka. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) mardi à 12:52 Share Posté(e) mardi à 12:52 Bâtiments bases de plongeurs démineurs de nouvelle génération (BBPD NG) A l’issue d’une consultation lancée par la Direction Générale de l’Armement, les propositions remises par les chantiers candidats dépassent l’enveloppe budgétaire prévue pour ce programme, a appris Mer et Marine. https://www.meretmarine.com/fr/defense/plongeurs-demineurs-les-offres-des-chantiers-pour-les-bbpd-ng-depassent-l-enveloppe-budgetaire Comme pour les PO et les RPC 30 l'histoire continue Soit la DGA demande beaucoup trop avec un petit budget soit les industrilles chargent la mules ? Soit l'inflation plombe les devis ? @Eau tarie Un avis ? Je constate quand même que dans le civile ça se passe plutôt bien et sans surcôut. La DGA devrait peu être utiliser des cabinet privés pour les petits programmes comme le fond les compagnie civile ou tout est carré des le depart. https://www.alwenashipping.com/le-m-v-vaitere-2-est-en-route-pour-tahiti/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Eau tarie Posté(e) mardi à 13:37 C’est un message populaire. Share Posté(e) mardi à 13:37 Ma vision : En gros dans le civil t'arrive avec +/- un budget, et tu regardes ce qui existe pour ce budget avec quelques adaptations à la marge. Et en général, t'es pas forcément le seul à faire ça. Il y a un marché au moins européens, souvent mondial. Par exemple si tu fais de la pêche, les pêcheurs ont des besoins assez proches. Idem pour du supply offshore. etc. Donc il y a un genre de "prix marché", avec un pack de composant +/- convenu. Si tu vas voir les chantiers de l'atlantique, avec un paquebots avec des besoins hyper tordus, vraiment différents des autres, tu vas te faire allumer sur les prix... pour les besoins MN : la DGA essaye d'imaginer les besoins des marins pour les 30 prochaines années. Les marins font pareil de leur côté +les doléances des militaires d'active, qui exprimes leurs difficultés lors des missions, entretiens etc. Du coup ça fait des cahiers des charges qui sont parfois un peu difficile à clarifier en terme de solutions. Car quasi tout est exprimé en terme de besoin. Ce qui est logique en soit pour "ouvrir un maximum de porte". Mais c'est aussi plus piégeux. En général il y a 2 tours, pour justement faire un genre de "lissage" entres les différentes solutions des différents protagonistes. Donc admettons, tu présentes ta solution qui correspond au besoin (selon ta compréhension) pour un prix donné avec ta clarification de l'attendu. Et ton dossier est choisi. Puis après, on revient sur l'expression de besoin initiale, et on te dit que ce que tu as choisis en fait c'est insuffisant. Donc ça fait des réunions ou toi tu défends qu'en fait ta solution ça répond au besoin, et en face on te dit que non pour telle ou telle raison. Parfois tu as gain de cause, parfois non. Et tu montes du matos plus cher que prévu. Donc tu te fais avoir une fois, et le marché d'après et bien tu choisis la solution plus cher, ou tu pondères le prix par plus de risque. Et tu rajoutes à cela que la DGA est exigente en terme de justification. Donc ça fait beaucoup de rapport de justification, qui doivent être bien écrit, très détaillé etc. Et tout ce processus coute de l'argent. Donc pareil, tu le comptes dans ton prix. 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) mardi à 14:24 Share Posté(e) mardi à 14:24 il y a une heure, Scarabé a dit : Bâtiments bases de plongeurs démineurs de nouvelle génération (BBPD NG) A l’issue d’une consultation lancée par la Direction Générale de l’Armement, les propositions remises par les chantiers candidats dépassent l’enveloppe budgétaire prévue pour ce programme, a appris Mer et Marine. https://www.meretmarine.com/fr/defense/plongeurs-demineurs-les-offres-des-chantiers-pour-les-bbpd-ng-depassent-l-enveloppe-budgetaire Comme pour les PO et les RPC 30 l'histoire continue Soit la DGA demande beaucoup trop avec un petit budget soit les industrilles chargent la mules ? Soit l'inflation plombe les devis ? @Eau tarie Un avis ? Je constate quand même que dans le civile ça se passe plutôt bien et sans surcôut. La DGA devrait peu être utiliser des cabinet privés pour les petits programmes comme le fond les compagnie civile ou tout est carré des le depart. https://www.alwenashipping.com/le-m-v-vaitere-2-est-en-route-pour-tahiti/ Tu vois dans l'article, quand je lis ça : Citation Un nouveau tour de piste devrait donc être effectué avec les industriels afin de trouver des solutions permettant de réduire les coûts. Avec à la clé de nouvelles inquiétudes quant à un éventuel glissement supplémentaire du calendrier, voire une réduction de la cible de cinq à quatre bâtiments seulement. Sachant qu’il y avait déjà, ces derniers mois, des réflexions quant à l’opportunité de choisir une solution de remplacement alternative pour la Thétys, les missions du BEGM n’étant pas les mêmes que celles des BBPD NG, impliquant pour bien faire une plateforme modifiée, voire différente. J'ai tendance à penser qu'on a voulu caser tous les besoins dans un genre de "fourre tout". Perso j'appelle ça l'effet Rafale. La DGA et Dassault ont réussi ce concept d'omnirole vraiment performant et polyvalent. Et du coup, les décideurs pensent que c'est possible dans tous les cas d'avoir ce regroupement sur une plateforme qui combine toute les contraintes. Et spoiler alerte, pour que ça soit possible il faut un GROS bouleau, et beaucoup d'unités pour amortir d'énormes études et dérisquage + arriver à adapter le cahier des charges. Par exemple la Vmax du M2000 est > à celle du Rafale... Bilan des courses dans notre cas, ça revient trop cher, et on se dit, peut être c'est mieux de faire 4 et 1 (puisque sur les navires l'effet de série est quand même assez petit...) 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) mercredi à 07:19 Share Posté(e) mercredi à 07:19 L'effet de l'inflation est également bien mieux acceptée dans le civil, puisque les factures clients sont elles aussi majorées. On constate aujourd'hui globalement un surcoût de +20% sur pièces et main d'œuvre, qu'on retrouve d'ailleurs sur le tarif FDI 4 proposée à la Grèce, et qui est admis dans toutes les strates d'une entreprise même si on cherche à tailler dans les coûts (avec généralement une réduction des AT / des specs pour navires neufs pour coller à cette réalité). Les programmes publics étant pluri annuels ces modifications de budgets sont moins facilement abordés et admis. C'est la différence d'agilité public / privé qu'on constate en période d'instabilité sur les prix, avec l'avantage du public qu'on renonce moins facilement à un programme si le besoin est exprimé, alors que le privé a tendance à reporter sine die quand l'environnement économique est morose. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) mercredi à 07:34 Share Posté(e) mercredi à 07:34 (modifié) Il y a 5 heures, Beachcomber a dit : L'effet de l'inflation est également bien mieux acceptée dans le civil, puisque les factures clients sont elles aussi majorées. On constate aujourd'hui globalement un surcoût de +20% sur pièces et main d'œuvre, qu'on retrouve d'ailleurs sur le tarif FDI 4 proposée à la Grèce, et qui est admis dans toutes les strates d'une entreprise même si on cherche à tailler dans les coûts (avec généralement une réduction des AT / des specs pour navires neufs pour coller à cette réalité). Les programmes publics étant pluri annuels ces modifications de budgets sont moins facilement abordés et admis. C'est la différence d'agilité public / privé qu'on constate en période d'instabilité sur les prix, avec l'avantage du public qu'on renonce moins facilement à un programme si le besoin est exprimé, alors que le privé a tendance à reporter sine die quand l'environnement économique est morose. Tu as raison. C'est aussi à noter et j'ai oublié d'en parler. Mais la DGA est bien au courant : elle a accepté de payer des rallonges à presques tous les chantiers suite à l'augmentation parfois massive des matières premières. Genre l'acier pour les coques (qui est redescendu après). La bosse de 2021/2022 était énorme ! Et sur le coût d'un navire ça peut faire une grosse part (surtout sur des unités qui n'ont pas des tonnes de systèmes d'armes ultra couteux, et donc ça "dilue" moins le prix) Et pour les propulsions, avec beaucoup de composants en aciers, c'était la même chose. Là, on est environ quand même entre 1.5 et 2x le prix de 2020 par exemple. Donc à mon avis, DGA avait anticipé un peu l'inflation. Mais c'est aussi une partie de poker menteur stratégique. Si tu annonces que tu as un gros budget, les chantiers sont pas fous, ils vont faire un premier tour assez "haut" pour sentir le truc dans les discussions. Si tu dis qu'on a dépassé les budgets etc. ça va serrer la vis de partout....mais parfois aussi au détriment du choix des petits materiels. Pas de cupro alu, moins d'Inox 316L etc. Pour les premières années, la MCO est dans le contrat initial, donc c'est assez transparent, mais pour les 25 années derrière, ça peut augmenter les coûts de fonctionnement. C'est un équilibre très subtil. Modifié mercredi à 13:14 par Eau tarie 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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