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Actualité ,principales commandes et MCO du navaliste Naval Group Ex DCNS/Thales/Piriou/CMN/


Philippe Top-Force

Messages recommandés

http://www.latribune.fr/entreprises/industrie/aeronautique-defense/20090720trib000401535/exclusif-dcns-se-renforce-en-inde-.html

Exclusif - DCNS se renforce en Inde  La Tribune.fr - 21/07/2009 

Avec un chantier naval indien GRSE et la société d'ingénierie indienne Vision Comptech, le groupe naval a créé une co-entreprise pour répondre aux futurs appels d'offre de la Marine indienne. DCNS détiendra 26 % de Grand-Vision Design.

Alors que l’Inde et les Etats-Unis ont conclu lundi un accord de défense pour doper les ventes d’armement américain à New Delhi, la France avance ses pions plus modestement en Inde. Ainsi DCNS est en train de mettre en musique ses ambitions à l’international. Dans ce cadre, le groupe naval vient de prendre, après l’autorisation des ministères de l’Economie et celui de la Défense, une participation de 26 % dans la société indienne Grand-Vision Design PLTD pour un montant de 17,57 millions de roupies indiennes (256.422 euros). Les partenaires pourraient signer la création de leur société commune d’ici à la fin du mois, selon nos informations.

Les deux autres actionnaires de cette co-entreprise est le chantier naval indien étatique GRSE (environ 200 millions d’euros de chiffre d’affaires pour 5.000 salariés), qui détiendra 38 % de Grand-Vision Design, et une société indienne privée d’ingénierie Vision Comptech, qui aura 36 %. DCNS, qui devrait avoir deux membres au conseil d’administration, disposerait d’un droit de veto.

Selon des sources concordantes, cette entreprise commune vise à répondre aux appels d’offre de la Marine indienne dans les bâtiments de surface. Elle viserait notamment le futur appel d’offre de New Delhi portant sur deux bâtiments de protection et de commandement (BPC), dont trois exemplaires ont déjà été commandés par la Marine française. En mai, selon nos informations, DCNS avait déjà pris une participation de 40 % dans le capital de la société malaisienne Boustead DCNS Naval Corporation (BDNC), qui est appelé à monter en puissance une fois remporté le contrat sur la maintenance des sous-marins Scorpène.

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Et aussi en Inde

http://www.latribune.fr/entreprises/industrie/aeronautique-defense/20090720trib000401516/dcns-s-implante-au-bresil.html

DCNS s'implante au Brésil La Tribune.fr - 20/07/2009

Le groupe naval met en place une structure brésilienne pour appuyer le mégacontrat (4 milliards d'euros) portant sur la vente de quatre sous-marin de type Scorpène au Brésil.

DCNS prépare activement la signature du contrat portant sur l’acquisition par le Brésil de quatre sous-marins conventionnel de type Scorpène pour un montant de plus de 4 milliards d’euros. Ainsi, le groupe naval vient de prendre des participations dans deux sociétés brésiliennes, qui monteront en puissance une fois le contrat mis en vigueur. DCNS a pris une participation de 41 % dans le capital de la société Itaguai Construcoès Navais SA pour un montant de 4,1 millions de réals brésiliens (1,5 million d’euros) et de 99,99 % dans le capital de DCNS Do Brasil Serviços Navais LTDA pour un montant de 99.999 réals brésiliens (36.857 euros).

Le chef de l’Etat Nicolas Sarkozy doit se rendre au Brésil le 7 septembre pour formaliser un certain nombre de contrats, dont la vente des quatre sous-marins Scorpène. Avec son homologue brésilien Lula, il devrait également faire une annonce sur une vente de Rafale. Début juillet, Nicolas Sarkozy a proposé à Lula de passage à Paris de "développer leur aviation militaire ensemble avec des transferts de technologies". Le Brésil, qui a lancé un appel d'offres portant sur l'achat de 36 avions de combat d'un montant estimé entre 2 et 3 milliards de dollars, pourrait faire coïncider sa décision à l’occasion de la venue de Nicolas Sarkozy.

Brasilia avait fait savoir que son choix serait fonction du prix et, surtout, du transfert de technologies proposé par les constructeurs. À ce jour, trois appareils - Rafale, Gripen (Saab) avec un radar à antenne active développé par l’Italien Selex (groupe Finmeccanica) et F-18 Super Hornet (Boeing) - restent en compétition. Les industriels français, pour une fois optimistes, accordaient du crédit à une annonce pour le Rafale en septembre

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ndia's Scorpene Subs Delayed

By vivek raghuvanshi, NEW DELHI

Published: 21 Jul 2009 17:50

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Technical problems are delaying India's Scorpene submarine program, Defence Minister A. K Antony told Parliament July 20.

"On account of some teething problems, absorption of technology and delays in augmentation of industrial infrastructure and procurement of Mazagon Docks Limited (MDL) purchased materials (MPM), slippage in the delivery schedule is expected. Delay in scheduled delivery of submarines is likely to have an impact on the envisaged submarine force levels," Antony said.

The program got underway in 2005, when India licensed the right to build six Scorpenes for $3.9 billion from France. Construction of the first, second and third submarine began in December 2006, December 2007 and August 2008 respectively. The first sub was to have been delivered in December 2012, with one more each year through 2017, said Antony.

The Navy currently operates 16 submarines, including two Foxtrots due to retire. By 2012, there will be only nine submarines left, said a senior Indian Navy official.

The official noted that China is building several nuclear submarines to add to its sub fleet of roughly 30 modern boats and a few dozen older ones.

http://www.defensenews.com/story.php?i=4199352&c=ASI&s=SEA

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Ce qu'il faut retenir, ce sont les Allemands de TKMS qui nous baisent en plaçant maintenant leurs SSK U219 aux Pakistanais. Point barre, le reste c'est de l'industrie de matériels de guerre, ce n'est pas le monde des Bisounours, des Mickey et Donald ou de dreamland utopia.  :lol:

De tels propos venant de notre "maître Yoda" du forum ! Shocking !! :lol:
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  • 1 month later...

Votre Maître Yoda a toujours la dextérité (comme dirait l'ami Pascal)  :lol: pour dénicher les bons articles/dossiers/informations/données qui stimulent les débats et ce forum.

http://www.brest.maville.com/actu/actudet_-DCNS-ne-construira-plus-de-gros-navires-a-Brest-_loc-1053765_actu.Htm

Après trois ans passés à la direction de DCNS Services Brest (2 300 salariés), Gérard Solve passe le relais.Il confirme la fin de la construction neuve sur le site.

Comment se porte l'emploi à DCNS ?

Durant ces trois dernières années, nous avons connu une baisse de l'effectif de 100 personnes par an. Aujourd'hui, le site de Brest représente 2 700 emplois, dont 2 300 à DCNS Services, les autres emplois se répartissant entre l'ingénierie et le soutien. Nous avons réussi à maintenir une activité équilibrée entre le potentiel et la charge en utilisant la possibilité de projeter du personnel sur d'autres sites. Nous avons eu jusqu'à 300 salariés à l'extérieur en 2008. Actuellement, ils sont une centaine.

Quelles sont les perspectives pour les années à venir ?

L'activité avec la Marine nationale n'ira pas en augmentant. Les derniers navires à vapeur, Jeanne d'Arc, Tourville et De Grasse, vont désarmer. Leur entretien représentait des dizaines de milliers d'heures. Avec les nouvelles frégates Fremm, nous n'aurons pas les mêmes niveaux de maintenance. La refonte des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins et leur adaptation au nouveau missile M51 commenceront fin 2010. Elle représentera une dizaine de millions d'heures de travail.

Depuis 2005, la Marine nationale ouvre à la concurrence l'entretien de ses navires. Qu'en pensez-vous à l'usage ?

L'ouverture à la concurrence fait partie de la vie normale de l'entreprise. Ça permet de se remettre en cause plus radicalement. Désormais, les contrats sont globaux. Cela a permis d'améliorer grandement le taux de disponibilité des navires qui est passé à 73 %. La Marine y trouve son compte.

Il y a tout de même un paradoxe. Plus vous êtes performants, moins vous gagnez d'argent...

Plus on est performant, plus le chiffre d'affaires avec le client France baisse, effectivement. Mais plus notre potentiel à l'export augmente. Cela correspond bien à la vision qu'avait le législateur lors du changement de statut. Soit on vous paie pour maintenir vos compétences. Soit vous trouvez du travail ailleurs. C'est ce dernier choix qui a été fait. C'est tout le sens de l'évolution de DCN vers DCNS.

On évoque la commande éventuelle d'un BPC de type Mistral par la Russie. Brest est-il toujours en mesure de construire ce type de gros navire ?

Non, nous n'avons plus l'outil industriel pour construire un BPC. Notre métier, c'est la maintenance. Nous pouvons participer à l'armement, c'est-à-dire la partie militaire, le système de combat. Mais le potentiel de construction de coque, nous ne l'avons plus. On ne peut garder un outil industriel qui ne sert que deux fois tous les 10 ans.

Pourtant, DCNS Brest participe à la construction des frégates multimissions, les Fremm...

Une frégate n'a pas la taille d'un BPC. Un outil industriel est rentable s'il travaille en continu. Sachant qu'en France nous avons un outil qui a du mal à maintenir une activité constante. Beaucoup d'entreprises ferment leurs portes avec un trou de commandes de six mois. Là, il est de 6 ans...

Où en est la diversification de l'activité ?

Nous avons fait de la maintenance de centrales nucléaires civiles au Tricastin et à Chinon. En matière d'énergies renouvelables, nous avons signé un contrat avec l'île de La Réunion pour une étude sur l'énergie thermique des mers. Nous avons aussi déposé un dossier au Pôle mer pour des hydroliennes flottantes. Là, pour l'instant, il n'y a rien de concret. Il faut savoir qui commence. Est-ce à l'industriel d'investir ou à l'État d'y aller le premier ?

À titre personnel, quel souvenir conserverez-vous de ce passage?

J'ai trouvé à Brest des gens extrêmement compétents et des équipes de direction soudées. Le dialogue social a été bon. On peut faire du travail constructif avec les partenaires sociaux et je crois qu'ils trouvent une bonne écoute. Ça ne veut pas dire qu'on dit oui à tout. Mais tout le monde a le même souci : le développement de l'entreprise sachant que les besoins de la Marine diminuent

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-20090907]http://www.lesechos.fr/info/aero/020125706133.htm?xtor=EPR-1085-[aeronautique]-20090907

PATRICK BOISSIERPDG DU CHANTIER NAVAL MILITAIRE DCNS

« Notre objectif est d'être le leader européen à l'export »

[ 07/09/09  ]

Même si une très grosse partie du travail a été faite avant son arrivée, Patrick Boissier peut savourer son plaisir : huit mois après avoir été nommé PDG de DCNS, c'est lui dont l'histoire retiendra qu'il a signé le plus gros contrat export de l'ex-Direction des constructions navales. Mais au-delà des chiffres - un peu moins de 7 milliards d'euros, dont 4,7 milliards pour la part française - ce contrat a une importance stratégique puisque le groupe naval militaire cherche à réduire sa dépendance vis-à-vis de son client historique, la marine française. Qui plus est en évinçant TKMS, le grand concurrent allemand, dont il faudra bien se rapprocher un jour.

Quel a été le facteur décisif pour remporter ce contrat dans un pays où TKMS était présent depuis plusieurs dizaines d'années ?

Quand on emporte un contrat, c'est toujours pour une conjonction de raisons. Dans le cas du Brésil, c'est parce que DCNS est capable de transférer sa technologie pour la réalisation de plusieurs sous-marins classiques et d'apporter une assistance à la réalisation d'un sous-marin à propulsion nucléaire, parce que les sous-marins de DCNS ont prouvé leurs qualités dans plusieurs pays, et encore parce que l'appui politique a été sans faille. Sans oublier le facteur prix ou la qualité de notre partenaire, Odebrecht. Ce n'est pas le premier contrat que le groupe, fournisseur historique de la marine française, remporte face à ses concurrents. Et il est par ailleurs cohérent avec notre stratégie de développement en dehors de la construction navale, par exemple dans l'ingénierie et la maintenance de base navale. Il montre le nouveau positionnement de DCNS à l'export.

Quelles seront les retombées industrielles en France ?

La majorité de nos établissements est concernée. En particulier, les bureaux d'études de Cherbourg, Lorient et Toulon seront impliqués, l'établissement industriel de Cherbourg également pour les parties construites en France des quatre sous-marins à propulsion classique dont une partie importante du premier, et plusieurs de nos établissements pour la réalisation d'équipements. En tout, le contrat va concerner quelques centaines d'emplois en France. Et au Brésil, nous allons avoir une centaine de nos personnels durablement.

Quels sont vos objectifs sur le marché de l'exportation des sous-marins classiques ?

Je ne peux pas être très précis sur nos prospects mais, évidemment, nous serons présents lors de chaque appel d'offres ouvert. Je pense que sur les cinq prochaines années, il devrait se vendre entre trois ou quatre sous-marins par an. J'ajoute que la position de DCNS à l'export s'est considérablement renforcée. Il y a douze ans, l'Espagne et le Pakistan étaient nos seuls clients étrangers dans les sous-marins. Depuis nous avons gagné l'Inde, la Malaisie, le Chili et, maintenant, le Brésil. Mon objectif à terme est de faire de DCNS le leader européen de l'exportation de navires armés.

Quel état des lieux faites-vous de DCNS, huit mois après votre arrivée ?

De par son histoire, la société dispose de compétences et de produits quasi uniques. De plus, son action s'inscrit sur le long terme. Et elle a énormément changé, même s'il reste naturellement encore à faire. Pour le reste, nous avons lancé une réflexion sur la stratégie de DCNS et les moyens de sa mise en oeuvre qui débouchera à l'automne.

Il y a un an, Nicolas Sarkozy avait souhaité qu'on étudie l'intérêt d'un rapprochement entre DCNS et Saint-Nazaire. Qu'en est-il aujourd'hui ?

DCNS et Saint-Nazaire ont déjà de nombreux échanges, comme dans le cas du bâtiment de projection et de commandement [dont un troisième exemplaire a été commandé dans le cadre du volet Défense du plan de relance, NDLR]. La réflexion stratégique que nous menons prendra en compte le paysage de la construction navale dans sa globalité. Mais, comme DCNS l'a toujours indiqué, profiter des atouts de chacun n'implique pas forcément un rapprochement capitalistique.

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  • 1 month later...

http://www.temoignages.re/spip.php?page=imprimer&id_article=39438

Deux conventions ont été signées hier entre l’Etat et le Conseil régional dans le cadre du Plan de relance. L’une concernant l’Energie Thermique des Mers (ETM), l’autre l’Énergie de la houle (technologie CETO).

En avril dernier, la Région Réunion et la DCNS (Direction des constructions navales) avaient signé une première convention pour vérifier la faisabilité de l’implantation d’un démonstrateur ETM à La Réunion. Après 8 mois de travaux, la DCNS a mis en évidence la nécessité de rechercher les optimisations technologiques devant s’intégrer à ces centrales ETM et d’identifier les risques techniques du projet. Concrètement, la DCNS va réaliser une centrale pilote.

Elle permettra de valider les systèmes thermodynamiques existants, de rechercher les adaptations, conditions techniques, économiques, financières dans le contexte réunionnais. Il servira également de laboratoire d’expérimentation pour les chercheurs et d’outil de formation pour les techniciens de maintenance. Les risques étudiés portent sur le pompage de l’eau froide en profondeur, et les conditions de l’ancrage. Ce banc d’essai sera installé à l’IUT de Saint-Pierre. Pour la valorisation de l’ETM, le montant des dépenses éligibles s’élève à 6 millions 667.000 euros, dont 500.000 euros subventionnés par le Plan de relance.

« Une exclusivité mondiale »

L’énergie de la houle est expérimentée à La Réunion par la technologie PELAMIS (entreprise réunionnaise Seawatt) et par la technologie CETO. C’est cette deuxième technologie australienne qui fait l’objet de la convention. Elle est développée à La Réunion par EDF Energies Nouvelles. Il s’agit d’adapter cette technologie à l’île et de préparer l’industrialisation. Un prototype de taille réelle sera installé fin 2010 au large de Saint-Pierre.

Pour Patrick Charignon, directeur général d’EDF Energies Nouvelles, c’est « une exclusivité mondiale ». L’Australie dispose en effet d’une maquette à échelle réduite. Coût total des dépenses, 4 millions 150.000 euros, dont 3 millions dans le cadre de Plan de relance.

La Région s’est engagée depuis 1998 à atteindre l’objectif d’autonomie énergétique en 2025 via le PRERURE. Le projet Gerri, établi par l’Etat à la suite du Grenelle de l’Environnement, va également dans ce sens. Les énergies marines constituent une des pistes pour atteindre cet objectif, comme d’autres énergies renouvelables : éolienne, solaire, géothermique...

Dans le mix énergies renouvelables à l’horizon 2025, l’ETM pourrait fournir 15% de l’électricité de l’île, l’énergie de la houle 1%. Ces énergies contribueraient ainsi à remplacer le charbon. Mais la production de l’électricité n’est pas le seul avantage. L’eau douce, la climatisation, l’aquaculture, la culture d’algues sont des produits dérivés.

En devenant terre d’expérimentation, La Réunion pourrait bien, comme l’a annoncé le Premier ministre lors de sa visite, devenir le lieu de création d’un Centre des énergies marines.

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http://www.lesechos.fr/info/aero/020171835589-navires-de-guerre-rapprochement-franco-polonais-a-l-etude.htm

Navires de guerre : rapprochement franco-polonais à l'étude

[ 14/10/09  ]

Faute de pouvoir passer par Berlin, la consolidation du secteur naval militaire à laquelle Paris aspire pourrait passer par Varsovie. Ou plus exactement par Gdansk. DCNS étudie en effet sérieusement un projet de prise de participation dans les chantiers navals militaires de Gdynia, non loin du berceau du syndicat Solidarnosc, a-t-on appris de sources concordantes. « La réflexion est assez avancée », confirme-t-on aux « Echos ». A tel point que le dossier pourrait faire l'objet d'une communication lors du prochain conseil d'administration.

Jeudi dernier, lors d'une conférence de presse à Lorient, le ministre de la Défense, Hervé Morin, avait évoqué la Pologne comme une piste d'alliance possible pour DCNS, étant donné le peu de répondant du concurrent allemand TKMS. « Nous sommes ouverts à tout », avait alors rajouté le PDG de l'entreprise française.

Liens privilégiés

Sur le papier, un rapprochement franco-polonais fait sens à plus d'un titre, même s'il est probable que TKMS étudie le dossier également. D'un côté Varsovie veut jouer un rôle important au sein de l'Otan et sa marine a besoin de sous-marins océaniques pour cela. Il pourrait donc en acheter quelques-uns - on parle de deux exemplaires - à la France. En échange, DCNS amènerait de la charge à Gdynia, comme il est d'usage en matière de contrats d'exportation militaire, aidant ainsi à la restructuration du chantier polonais, dont l'activité est en basses eaux. Autre avantage pour le français : établir un lien privilégié avec un chantier à bas coûts dont il a besoin pour construire et exporter ses petites corvettes Gowind. Le tout consolidé par une prise de participation minoritaire.

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Encore Taiwan :lol: traduction auto via gogol

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=zh-TW&u=http://udn.com/NEWS/WORLD/WOR3/5192917.shtml&ei=do_aSsTuNdi6jAfymrTqCA&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&ved=0CAYQ7gEwAA&prev=/search%3Fq%3Dhttp://udn.com/NEWS/WORLD/WOR3/5192917.shtml%26hl%3Dfr

Rapports des médias français, la Cour de Paris de tracer une affaire propre, ont été identifiés, la liste de la commission de Lafayette, le président sortant, M. Sarkozy impressionnante.

法國媒體巴奇許報報導,巴黎法官在調查清流案時,已查出一些有關拉法葉佣金的重要線索,法國造艦局(DCNI)國際部門總裁馬納斯在接受巴黎法官馬漢調查時,已供出一張拉法葉佣金案的名單,其中共有六人收取佣金。 Médias français Bach Xu rapporté, le juge de Paris enquêtait sur une affaire propre, a déjà identifié quelques-uns des indices importante commission Lafayette, français-navire construit Conseil (DCNI) McManus, président de l'Mahan Juge International Dans une interview à Paris, l'enquête ont été de Lafayette avouer une liste de cas de la Commission, un total de six personnes pour une commission.

這六人中有三人是社會黨人,有三人是右派人士,其中沙克吉總統赫然在列。 Trois des six personnes des socialistes, avec trois de droite, dont M. Sarkozy, président de manière impressionnante. 另外五人是前總理巴拉度(Edouard Balladur),前財政部長巴斯葛及三名社黨議員吉歌(Elisabeth Guigou)及龔巴涉赫斯(Jean-Marie Cambaceres及勒迪安(Jean-Yves Le Drian )。 Les cinq autres sont l'ancien Premier ministre degrés Bala (Edouard Balladur), et trois ex-ministre des Finances, Pascal socialiste du Parti, M. Kat Song (Elisabeth Guigou) et Gong liées Hess Pakistan (Jean-Marie Cambacérès et Le Dian (Jean-Yves Le Drian).

這份名單由法國國家造艦局國際部門總裁馬納斯親自交給巴黎法院。 La liste par le Bureau national français de la personne de la construction navale à Manas, président de la Cour internationale de Paris. 但巴奇許報並未指出,為何名單上會各有左右派人士以及這六人拿了多少佣金,尤其現任總統為何收取拉法葉案佣金? Mais le journal n'a pas bougé Hsu a souligné que la liste aura savoir pourquoi le camp, ainsi que le montant de la commission qui a eu six personnes, en particulier, pourquoi l'actuel président de Lafayette a reçu le cas de la commission?

包括前法國預算部長夏哈斯過去接受聯合報記者專訪時,都曾斬釘截鐵地表示,拉法葉案預算由他經手,確實有佣金問題,但佣金名單永不可能公布。 Xia Hasi, y compris l'ancien ministre du budget français dans le passé à accepter United Daily journaliste des Nouvelles Zhuan Fangshi, ont catégoriquement déclaré que le budget de l'affaire Lafayette dont il est chargé, il ya effectivement une commission, mais les listes Commission ne peut jamais être libérée.

由於我國海軍正在與法國泰勒斯集團及國家造艦局訴訟拉法葉仲裁案,若果這份佣金名單屬實,那麼我方在仲裁案獲勝的可能性大幅增強,值得進一步觀察。 Tandis que la Marine chinoise est de travailler avec le groupe français Thales et l'Etat-made frégates Lafayette Bureau des procédures d'arbitrage, si la liste de la Commission est vrai, alors notre côté pour remporter le cas d'arbitrage, la possibilité pour l'observation ou sensiblement amélioré, il vaut la peine.

如果法國法官真的是因為調查「清流案」查到沙克吉在拉法葉案佣金名單上,沙克吉等於是搬石頭砸自己的腳,因為清流案正是沙克吉控告前總理德維爾賓(Dominique de Villepin )抹黑他。 Si la France est vraiment un juge, puisque l'enquête "cas Incorruptible» qui se trouve dans le cas de M. Sarkozy dans la commission de Lafayette sur la liste, M. Sarkozy revient à laisser tomber un rocher sur leurs propres pieds, parce que c'est une affaire propre, a accusé M. Sarkozy, l'ancien Premier ministre Deweierbin ( Dominique de Villepin) pour le discréditer.

清流案可回溯至2004年,在一份「清流」(Clearstream)金融結算公司的帳戶持有人名單中,指出這些人疑似從1991年出售給台灣的拉法葉巡防艦收取回扣,但隨後證實為捏造。 Qingliu cas remonte à 2004, dans un "Incorruptible" liste (Clearstream) Financial Clearing Corporation titulaires de compte, notant que leur sont reprochés en 1991, vendue à Taiwan, frégates Lafayette et de pots-de réception, mais a ensuite confirmé pour fabrication. 這份假名單上的其中一人就是沙克吉。 L'un faux sur la liste est M. Sarkozy. 沙克吉當時是席哈克總統的財政兼內政部長,他懷疑席哈克選定的繼位人選德維爾賓為接班人,德維爾賓因此捏造這份名單要破壞他選總統的機會。 M. Sarkozy, le Président Chirac a été le financier et le ministre de l'Intérieur, il doute Chirac Deweierbin les candidats retenus sur le trône comme son successeur, Deweierbin fabriqués sur la liste pour l'élection présidentielle de faire dérailler sa chance.

德維爾賓上月21日因清流案出庭受審,否認沙克吉的指控。 Deweierbin le 21 février en raison d'une affaire propre à l'audience, a nié les allégations de M. Sarkozy.

Un résumé chez bakchich http://www.bakchich.info/Le-scoop-de-Bakchich-sur-les,08995.html

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Tu sais mon cher G4lly que dans cette affaire, il y a eu une étrange épidémie de défénestration  :lol:

Pour mémoire, elle traverse les 3 présidentielles, les différents mises en place de gouvernement, les cohabitations, les différentes nominations à la commission du secret défense, les différentes nominations à la tête des officines et directions, tout bord politique inclus, alors croire que les conclusions de celle-ci ou de l'autre font voir le jour, et aussi infinitésimales d'avoir pour PR, Besancenot ou Melachon.  :lol:  

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Les-salaries-DCNS-mieux-proteges-a-l-etranger-_3637-1114813_actu.Htm

samedi 17 octobre 2009

Les salariés DCNS mieux protégés à l'étranger ?

Les employés de l'équipementier naval pourraient travailler sous statut militaireet, à ce titre, bénéficier de certaines protections, via un « contrat réserve » signé avec l'État.

Après Dassault Aviation et Thales, DCNS (7 000 employés à Cherbourg, Brest, Lorient, Indret) pourrait bientôt signer un « contrat réserve » avec l'État. Il s'agit d'une convention qui permet au personnel d'entreprises privées d'être dépêché sur des théâtres d'opérations extérieures ou dans des pays sensibles, tout en bénéficiant du statut militaire.

L'article L. 4221-7 du code de la Défense stipule, en effet, que « des volontaires peuvent servir, au titre d'un engagement à servir dans la réserve opérationnelle, dans l'intérêt de la défense, auprès d'une entreprise qui participe au soutien des forces armées ou accompagne des opérations d'expor-tation relevant du domaine de la Défense ».

Dans le cas de DCNS, dont une équipe avait été victime d'un attentat à Karachi, le 8 mai 2002 (11 morts et 12 blessés français), cette mesure signifie que ses employés pourront bénéficier de la logistique des armées (transports, hébergement, restauration, protection), mais aussi des assurances, de la protection sociale et des prestations de santé, et, « sous certaines conditions, du statut d'ancien combattant », selon le secrétaire d'État à la Défense. Hubert Falco a précisé, la semaine dernière, qu'« en cas de malheur », les enfants des salariés « bénéficieront du statut de pupille de la Nation ».

L'intérêt de ces conventions est quadruple. D'une part, les industriels français vont désormais bénéficier « d'un système identique » à celui de leurs concurrents anglo-saxons qui assurent, pour le compte de leurs autorités nationales, une part croissante des missions de soutien et de maintenance, mais aussi de renseignement et de sécurité.

« Éviter des dérives »

D'autre part, « de telles conventions vont permettre d'éviter des dérives », explique un responsable militaire français, qui regrette que certaines entreprises françaises recourent à leurs filiales étrangères et attribuent des contrats de travail « au rabais ». Par ailleurs, l'attribution du statut militaire va soumettre les employés des sociétés privées à l'autorité militaire et permettre d'éviter toute accusation de mercenariat.

Enfin, ce système devrait permettre l'externalisation plus importante de fonctions militaires et sécuritaires au secteur privé. On peut imaginer qu'une entreprise spécialisée dans la sûreté maritime participe à la lutte anti-piraterie.

Outre DCNS, des conventions pourraient également être signées avec DCI (Défense Conseil International), EADS et Cap Gemini.

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  • 3 weeks later...

"DCNS espère la fourniture de deux sous-marins à la Pologne"

2 novembre 09 - Les Echos.

La visite, jeudi prochain, de Nicolas Sarkozy en Pologne devrait permettre une avancée du dossier de coopération entre DCNS et le chantier naval de Gdynia, près de Gdansk. "Pour DCNS, selon Les Echos, le minimum inclut la construction d'au moins deux sous-marins Scorpène, qui seraient en grande partie fabriqués par Cherbourg". En revanche, DCNS se refuse à toute participation dans la restructuration du chantier polonais.

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Un extrait de l'article

Pour DCNS, le minimum inclut la construction d'au moins 2 sous-marins Scorpène, qui seraient en grande partie fabriqués par Cherbourg et assemblés à Gdynia. Le chantier hériterait également de la construction de corvettes Gowind pour la marine nationale polonaise et servirait de plate-forme industrielle pour l'export de ce bateau. De faible tonnage, la Gowind a été conçue pour des pays qui n'ont pas les moyens de s'offrir des navires fortement armés. Son prix doit donc être compétitif. Egalement sur la table, la possibilité pour Gdynia et DCNS de codévelopper des systèmes électroniques de surveillance du littoral, là encore pour des besoins polonais et avec des perspectives à l'export.

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"DCNS espère la fourniture de deux sous-marins à la Pologne"

2 novembre 09 - Les Echos.

La visite, jeudi prochain, de Nicolas Sarkozy en Pologne devrait permettre une avancée du dossier de coopération entre DCNS et le chantier naval de Gdynia, près de Gdansk. "Pour DCNS, selon Les Echos, le minimum inclut la construction d'au moins deux sous-marins Scorpène, qui seraient en grande partie fabriqués par Cherbourg". En revanche, DCNS se refuse à toute participation dans la restructuration du chantier polonais.

encore des Scorpènes ?

ils vont plus savoir ou donner de la tête à Ruelle et ailleurs  ;)

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Merci à Gilles Corlobé d'avoir déniché ceci.

On va finir par divorcer avec ces Allemands, http://www.corlobe.tk/article16758.html

Vente des chantiers navals allemands : tout sauf DCNS ?

Par Rédacteur en chef.

Publié le 5 novembre 2009, dernière mise à jour le 5 novembre 2009.

Plusieurs rumeurs circulant en Allemagne, expliquent que ThyssenKrupp envisageait au départ de vendre au moins le chantier naval Blohm + Voss, ou peut-être même TKMS dans son ensemble, au groupe français DCNS.

Cette décision aurait été refusée par le gouvernement allemand. Bien que n’étant pas actionnaire, celui-ci dispose de l’autorité légale de refuser une telle transaction.

Si cette rumeur se confirmait, cela signifierait que le gouvernement allemand en serait venu à la conclusion que le fait que des intérêts arabes soient les propriétaires du principal chantier naval construisant les bâtiments de surface de la marine allemande, est moins risqué et désavantageux pour l’Allemagne que le fait que ce même chantier soit contrôle par un groupe public français.

Cela en dit long sur l’état actuel de la coopération de défense européenne.

Référence :

Defence Professional (Allemagne)

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/dcns-un-partenariat-avec-la-pologne-07-11-2009-643099.php

Nicolas Sarkozy et le premier ministre polonais, Donald Tusk ont annoncé jeudi à Paris qu'ils allaient «faciliter un partenariat industriel stratégique entre DCNS en France et les chantiers navals SMW en Pologne». DCNS ne fait pas de commentaires. Selon de bonnes sources, l'entreprise est prête à entrer au capital de SMW, mais à la condition que la Pologne commande deux sous-marins de type Scorpène, qui seraient fabriqués en coopération entre le site de Cherbourg et le chantier de Gdynia.

http://www.corlobe.tk/article16798.html

 Thales veut monter au capital de DCNS

Par Rédacteur en chef.

Publié le 7 novembre 2009, dernière mise à jour le 7 novembre 2009.

Thales souhaite augmenter sa participation dans DCNS, passant de 25 à 35%, puisque l’intégration des systèmes joue un rôle de plus en plus important dans la conception et la construction des navires de guerre modernes, a déclaré Marc Darmon, directeur de la division navale de Thales.

"Augmenter notre participation dans DCNS renforcerait les synergies entre DCNS et Thales, puisque la principale tâche à laquelle nous devons faire face et la gestion du risque d’intégration, provoqué par la complexité des systèmes," explique Darmon.

Darmon maintient le cap fixé par son prédécesseur, Jean-George Malcor, qui souhaitait aussi une participation accrue de Thales dans DCNS.

Selon l’accord signé en mars 2007, Thales dispose d’importants pouvoirs opérationnels dans DCNS, comme les nominations à des postes clé et des décisions stratégiques, liés à sa participation de 25%. Si Thales décidait de lever l’option sur les 10% supplémentaires, la compagnie perdrait ces pouvoirs et les verrait réduit à ceux normalement attachés à une participation minoritaire.

Référence :

Defense News (Etats-Unis)

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La situation industrielle de DCNS se caractérise par une activité quasiment dédiée au secteur naval militaire, en baisse en 2008 par rapport à 2007, mais néanmoins soutenue. En outre, l’entreprise souffre d’une dépendance encore excessive vis-à-vis des commandes domestiques, dont la contraction dans les prochaines années apparaît prévisible.

S’agissant des exportations, après l’achat d’une frégate de type FREMM par le Maroc puis la commande par le Brésil de quatre sous-marins à propulsion classique de type Scorpène et de l’assistance technique pour le développement et la réalisation d’un sous-marin à propulsion nucléaire (hors chaufferie), de réelles perspectives existent pour les frégates de type FREMM (Grèce et Algérie, notamment). A plus long terme, la perspective de vente de frégates et de sous-marins à l’Arabie saoudite constituera une opportunité majeure pour DCNS.

Afin de permettre à DCNS de poursuivre son développement, il est apparu nécessaire de faciliter la création de sociétés communes avec d’autres acteurs nationaux ou européens, y compris lorsque sa participation dans le capital de ces dernières serait minoritaire (jusqu’ici interdite dès que les activités transférées dépassaient un effectif de 250 personnes et/ou un chiffre d’affaires annuel de 375 millions d’euros). La disposition prévue à cet effet dans la LPM permettra à DCN de constituer ce type de partenariats.

La première application de cette disposition législative devrait être la création prochaine d’une société commune avec Finmeccanica en matière de torpilles, seule à même d’optimiser les synergies entre les deux groupes (et Thales) dans le domaine des armes sous-marines et de tirer parti de la complémentarité de leurs compétences industrielles, pérennisant ainsi la coopération initiée de longue date autour de la torpille MU90 (GEIE Eurotorp).

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Selon Mer et Marine

Le gouvernement bulgare a fait officiellement connaitre à la France sa décision de renoncer, pour le moment, à la construction de corvettes du type Gowind. Suite à une visite de Nicolas Sarkozy en Bulgarie, un accord avait été conclu en 2007 pour la réalisation de deux de ces bâtiments, conçus par DCNS. Ces navires d'environ 2000 tonnes étaient du type Gowind Combat. La marine bulgare n'a, semble-t-il, pas été en mesure de rassembler les ressources budgétaires nécessaires au financement du projet. Une coopération industrielle autour du programme des frégates multi-missions (FREMM), dont le nombre et la cadence ont été réduits en France, n'était en outre plus d'actualité. Initialement, compte tenu du rythme de production des FREMM, DCNS avait, en effet, envisagé de confier aux chantiers Bulyards la réalisation de tronçons de frégates.

A défaut de commander de nouveaux bateaux, la Bulgarie devrait se contenter de moderniser les trois frégates du type E71 (ex-Wielingen, ex-Westdiep et ex-Wandelaar), achetées auprès de la Belgique. Mis en service en 1978, ces bâtiments de 106 mètres et 2400 tonnes en charge ont déjà été remis à niveau entre 2004 et 2006 (dont une remotorisation). Un nouveau programme de rénovation est toutefois envisagé et, en compensation de l'abandon du projet Gowind, il pourrait être confié à DCNS. Le groupe naval connait d'ailleurs bien les anciens navires de la marine belge, dont il a assuré à Brest la maintenance dans les années 80 et 90.

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http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/sous-marins-un-contrat-de-500-millions-d-euros-pour-brest-23-11-2009-667575.php

DCNS vient d'obtenir la notification par la Marine nationale d'un gros contrat de 1 milliard d'euros pour l'entretien de ses sous-marins. Brest est chargé du maintien en condition opérationnelle des SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d'engins) pour un montant de près de 500 millions d'euros sur une durée de 5 ans et demi. L'entretien des SNA , sous-marins d'attaque se fera à Toulon.

Ce contrat, d'une durée de 5 ans est de plus de 500 millions d'euros. DCNS précise qu'à Brest, l'entretien des SNLE de la Force océanique stratégique, se fera de novembre 2009 à décembre 2015.

Les prestations réalisées couvrent :

- l'entretien courant des SNLE (Le Triomphant, le Téméraire,le Vigilant , le Terrible- qui sera équipé d'origine du missile balistique de nouvelle génération M 51), y compris les prestations d'ingénierie et de logistique

- la maintenance des plate-formes d'entraînement des équipages

- la maintenance des outillages spécifiques de la marine nationale -la maintenance des services à terre, par exemple les stations d'antennes relais de la FOST.

Le contrat des SNA consiste à assurer pendant 5 ans, de 2010 à 2014 à Toulon :

- l'entretien courant des 6 sous-marins de type Rubis (Rubis, Saphir ,Casabianca, Emeraude, Améthyste et Perle')

- le grand carénage de trois sous-marins (Casabianca, Rubis et Emeraude) : un chantier de 18 mois qui permettra d'effectuer la visite complète du sous-marin qui comprend en particulier le débarquement et le remontage de l'ensemble de ses équipements

- l'arrêt intermédiaire de 9 mois du sous-marin Saphir, nécessaire au remplacement des éléments combustibles de la chaufferie nucléaire.

"Des savoirs-faire que seul DCNS peut offrir à la Marine"

Dans le cadre de ce contrat, DCNS devra également réaliser l'entretien et la modernisation des installations correspondantes de la marine nationale : installations nucléaires de la base secrète de la zone Missiessy à Toulon ainsi que les plate-formes d'entraînement et le simulateur tactique de l'Ecole de navigation sous-marine.

"Le maintien en condition opérationnelle de ces sous-marins requiert des moyens industriels et des savoir-faire que seul DCNS peut offrir à la Marine "a souligné hier le Pdg de DCNS, Patrick Boissier."Nous sommes fiers de pouvoir contribuer sans discontinuité à la permanence de la dissuasion" a-t-il ajouté

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  • 2 weeks later...

http://www.lesechos.fr/info/aero/reuters_00209794-dcns-vise-une-hausse-de-50-a-100-de-son-chiffre-d-affaires-d-ici-a-2020.htm

PARIS (Reuters) - DCNS espère voir son chiffre d'affaires progresser de 50% à 100% d'ici à 2020 grâce au renforcement de trois lignes de métier: la défense navale, le nucléaire civil et les énergies marines renouvelables, et ce afin d'être mûr pour des alliances, déclare son P-DG.

DCNS, dont le spécialiste de l'électronique de défense Thales contrôle 25%, a dégagé en 2008 un chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros, en baisse de près de 11% sur un an.

"Cette croissance (à venir) sera conditionnée par une amélioration de 30% de la performance obtenue au cours des trois prochaines années. La croissance et les gains de performance de DCNS seront créateurs de richesse et d'emplois pour le groupe et son environnement. Ils placeront également DCNS en meilleure position pour de futures alliances européennes", souligne l'entreprise dans un communiqué.

"Pour cela, le groupe va mettre en oeuvre (d'ici à trois mois) un plan d'amélioration de sa performance", ajoute-t-elle.

Alors que la loi de programmation militaire (LPM) laisse prévoir un marché du naval de défense stable en France pour la construction neuve et en baisse pour l'entretien des flottes, DCNS veut continuer à propulser son savoir-faire à l'international.

"Le naval de défense à l'international (construction neuve et services) représente un potentiel supérieur à trois milliards d'euros par an, notamment en Asie, au Moyen-Orient et en Amérique latine. DCNS (y) ambitionne de devenir le leader mondial à l'exportation", peut-on lire dans le communiqué.

La société veut également agir dans le domaine du nucléaire civil, où elle entend se positionner à la fois comme maître d'oeuvre de sous-ensembles, équipementier et prestataire de services.

Lors d'une interview accordée à Reuters en septembre 2008, Jean-Marie Poimboeuf, P-DG du groupe - remplacé depuis par Patrick Boissier -, avait indiqué que DCNS entendait travailler avec Areva et EDF en vue de leur fournir des services dans l'ingénierie et des éléments dans les chaufferies nucléaires.

Certains spécialistes confirment par ailleurs que DCNS sera amené à nouer des alliances stratégiques dans le cadre de la consolidation attendue du secteur en Europe. L'allemand TKMS (ThyssenKrupp), l'espagnol Navantia, l'italien Finmeccanica et la branche navale du britannique BAE Systems sont régulièrement cités comme partenaires potentiels.

Une ou plusieurs opérations stratégiques nécessiteraient néanmoins l'accord de l'Etat français, actionnaire majoritaire de DCNS, et de l'actionnaire de référence privé Thales, lequel a la possibilité de porter à 35% sa participation d'ici à 2012.

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http://www.defensenews.com/story.php?i=4412458&c=EUR&s=SEA

DCNS Offers Prototype Vessel for French Navy Use !

Paris - DCNS has proposed the French Navy use a company-funded prototype ocean or offshore patrol vessel as part of the naval company's plans to become the top supplier of warships in foreign markets.

"DCNS counts on becoming the world leader in the export of armed ships," sources familiar with the talks said.

"DCNS has proposed to the French Navy from 2012 the deployment within its fleet a prototype of the new range of Gowind ocean patrol vessels that the company will build with its own funds. The demonstration of the operational capabilities of this ship in a first rank navy will deliver a significant competitive advantage in international marketing."

An industry researcher said DCNS had no choice but to finance development and construction if the new vessel is intended for export markets, rather than for the French Navy. "They have to," the researcher said.

Chief Executive Patrick Boissier told a Dec. 8 press conference the company was studying ways it could deliver a "sea-proven" warship by 2012 to boost chances of orders for a planned new generation of patrol vessels for the French Navy under the Batiment de surveillance et intervention maritime (Batsimar) program.

"For the Gowind, one of the possible applications is Batsimar, which as you know is in the second [military budget law], from 2012. We hope to have a sea-proven product to show to the Navy at that time," he said.

"We are studying the ways which would allow us to have a sea-proven ship. There is no question of a [public-private partnership] whatsoever," Boissier said.

The Batiment de surveillance et intervention maritime program is intended to replace the aging fleet of some 20 patrol vessels currently deployed around the French coast and in the waters around its overseas territories and departments. The new ships would replace the current P400 patrol vessels and Aviso-class of frigates. The latter have been downgraded from first rank ships of the line to second class vessels.

--> DCNS a proposé à la marine française, le déploiement en 2012 au sein de sa flotte d'un prototype de la nouvelle gamme des patrouilleurs océaniques Gowind que l'entreprise construira avec ses fonds propres. La démonstration de la capacité opérationnelle de ce navire dans une marine de premier rang donnera un avantage compétitif substantiel sur le marché international.

Wahou !  DCNS veut se positionner en force sur le programme BATSIMAR.

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Ca veut dire quoi concrètement ? DCNS "offre" un navire à la marine nationale et en échange celle-ci l'utilise lui donnant une "use proven"? ou la MN va devoir faire une sorte de location ? ou elle fournit juste un équipage "gratos" pour que DCNS parade à droite à gauche?

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Ca veut dire quoi concrètement ? DCNS "offre" un navire à la marine nationale et en échange celle-ci l'utilise lui donnant une "use proven"? ou la MN va devoir faire une sorte de location ? ou elle fournit juste un équipage "gratos" pour que DCNS parade à droite à gauche?

DCNS fournit la coque gracieusement ... la Royale fournit l'équipage et les frais d'utilisation, en échange d'un contrat d'image probablement. Il doit y avoir en contrepartie du pret gracieux une obligation de médiatisation, avec le détail du nombre de reportage, du nombre de ports escales etc. etc.

Le projet d'équipement OPV de la royale tarde, sans navire en usage ou au moins en commande dans la MN les clients export reste dubitatif. Résultat DCNS propose une "tête de série" a la MN pour concilier l'usage opérationnel du pays producteur et la campagne de promotion, pour un coût modique, celui d'une coque d'OPV - quelques dizaines de millions a produire au plus -

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