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Actualité ,principales commandes et MCO du navaliste Naval Group Ex DCNS/Thales/Piriou/CMN/


Philippe Top-Force

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  • 3 weeks later...

edit: EN tout cas ils proposent pas de LPD sur leur site. Qui avait fait les TCD ?

DCN mais ca date de pres de 20 ans, il propose les BPC depuis, BPC qui doivent pouvoir s'accommoder d'un radier pleine longueur au besoin.

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http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/10-11/c1011004.asp

l’État français siphonne en tant qu’actionnaire l’essentiel des dividendes de DCNS, soit plus de 600 millions d’euros depuis 2005, tout en imposant des marges quasi-nulles sur des contrats majeurs comme les FREMM et les Barracuda et, demain, sur le programme M51

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Bien et en plus je crois bien que l'armée ne récupéré pas la TVA sur les équipements

Donc pour un PA2 de 2.5md€ :

c'est  490m€ TVA pour l'état

La marche DNCS (va pour 30% c'est du pif) c'est 603m€

La main-d'œuvre qui elle paye des impôts comme les entreprises

Question quel est le vrais coût du PA2 ?  :oops:

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Thales Anticipates Solid Naval Sales for 2010

Paris – Thales expects 2010 to be a "rather good year" for sales in naval activities compared with an "incredible year" in 2009, said a senior executive.

The company is pursuing prospects in Asia, South America and the Middle East, Pierre-Eric Pommelet, senior vice president for defense mission systems, told journalists Oct. 14.

The naval market is growing, particularly in the midrange ocean patrol vessel (OPV) segment, as navies of emerging economies seek vessels that are less heavily armed but have a high level of functionality. Thales is responding by developing smaller, lighter gear to fit on the OPV class of warships.

Service support will be an increasing business area as established navies delay new programs and are forced to maintain existing capabilities.

http://www.defensenews.com/story.php?i=4911173&c=EUR&s=SEA

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  • 3 months later...

J'ai bossé dans une multinationale prospère, n°1 dans certains de ses domaines, et avec une marges dans lesdédis domaines de 1%. Et malgré ça de sacrés bénéfices.

Y a plein de secteurs qui se contente de marge de 1 a 4% et qui effectivement vivent très bien :)

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en même temps je sais pas quel secteur c'étais mais il dois y avoir une différence de marge pour une usine de chaussure et une usine de bateau

Chez DCNS ca va bien quand la marge opérationnelle est autour de 5 a 7% et ils revent de 8 a 10% si ca peut dte donner une idée.

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  • 2 weeks later...

Nouvelle corvette furtive de chez CMN qui sera présentée à IDEX (j'y serai!)

La Combattante 65S

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=115259

C'est un peut abusé pour le coup... je trouve qu'elle ressemble à une bete copie des corvettes furtives Italiennes vendues à aux EAU: Falaj 2 que j'avais pris en photo à Euronaval:

http://img521.imageshack.us/img521/3065/quizz2.jpg

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Nouvelle corvette furtive de chez CMN qui sera présentée à IDEX (j'y serai!)

La Combattante 65S

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=115259

C'est un peut abusé pour le coup... je trouve qu'elle ressemble à une bete copie des corvettes furtives Italiennes vendues à aux EAU: Falaj 2 que j'avais pris en photo à Euronaval:

http://img521.imageshack.us/img521/3065/quizz2.jpg

Et selon toi Xav, ce sont les italiens qui sortent en premiers des bâtiments aux formes et structures navales furtives sur le marché mondial ou le contraire avec la France ?

A titre personnel, je connais déjà la réponse. :lol:

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  • 1 month later...

http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/10-11/c1011028.asp#P2_68

DIXIT Jean-Marie Poimbeuf.

Depuis deux ans, le GICAN regroupe l’ensemble de l’industrie navale, tant de défense que civile. Ce secteur très actif présente trois niches d’excellence au niveau mondial : l’industrie navale de défense avec des produits destinés à la marine nationale et à l’export, les navires de passagers et la plaisance.

Avec un chiffre d’affaires annuel de 5 milliards d’euros et 50 000 emplois, ce secteur s’intègre dans le monde de la mer, qui représente dans son ensemble 300 000 emplois et 50 milliards d’euros de chiffre d’affaires. C’est une filière importante et je me réjouis qu’elle ait été reconnue comme l’une des filières stratégiques par le comité national de l’industrie. Il s’agit également d’une industrie à très forte valeur ajoutée, ce qui renvoie à l’enjeu du maintien et du développement des compétences.

Irriguée par les grands contrats des frégates multi-missions (FREMM) et des sous-marins nucléaires d’attaque Barracuda, l’activité navale de défense est actuellement satisfaisante. Autour des grands industriels que sont DCNS, STX, Thales et EADS, elle rassemble de nombreuses PME et PMI, dont 30 % sont totalement indépendantes des grands groupes. C’est là un réseau qu’il nous faut conserver.

L’industrie navale a connu au cours des dernières années de très importants succès à l’exportation, sa part dans les exportations de matériels de défense, qui était de 15 % à 20 % au début des années 2000 est passée à plus de 30 % il y a cinq ans pour atteindre plus de 50 % en 2009 grâce aux contrats conclus avec le Brésil et l’Inde. Les perspectives d’avenir sont bonnes, avec les bâtiments de projection et de commandement (BPC) qui doivent être construits pour la Russie.

L’activité est néanmoins fragile du fait des contraintes budgétaires. Nous veillons à ce que les commandes passées soient maintenues afin de conserver la visibilité nécessaire à une industrie qui s’inscrit dans le long terme. Des programmes de sous-marins ou de frégates se construisent dans la durée, avec des temps de développement longs et la nécessité de réunir un grand nombre de compétences. Il importe de conserver ces savoir-faire qui doivent pouvoir bénéficier à la fois à la marine nationale et à nos exportations

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