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Actualité ,principales commandes et MCO du navaliste Naval Group Ex DCNS/Thales/Piriou/CMN/


Philippe Top-Force

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Il y a 6 heures, Eau tarie a dit :

De ce que j'ai compris ya une histoire de droit comptable Français aussi (si un specialiste en compta d'entreprise peut me confirmer ça serait sympa).

Si tu as un contrat pour disons 100 M€ avec un fournisseur A. Et cela sur un projet qui s’étale sur 5 ans.  => A la grosse 20M€ / an.

Si ton fournisseur A a une défaillance majeure, et que tu es obligé de passer en urgence vers le fournisseur B, qui du coup te propose quelques chose de bcp moins avantageux (pour plein de raisons).

Tu signes un accords à 150 M€.  Soit 30 M€ par an.

Les 50 M€ de différence, tu es a priori obligé de les répercuter dans ton bilan de l'année en cours. "Tout, tout de suite". Et pas par exemple 10 M€ de perte par an.

Dans les règles comptables anglo saxonnes ça serait la façon "étalée".

 

 

Je ne suis pas "spécialiste", mais j'ai dirigé plusieurs sociétés et je fais moi-même la compta et le bilan, sous le contrôle d'un commissaire aux comptes.

Ça risque d'être sujet à la créativité de l'expert comptable.

Déjà, cela ne doit pas devenir une revente à perte. Car si la marge brute initiale était inférieure à 50 millions de ton exemple, ça sera le cas et c'est punissable d'amende.

Ensuite il faut prendre la facturation par année. C'est là que peut intervenir la charge exceptionnelle (pour l'année) en comparant avec le prix du précédent contrat au prorata. Au mieux, il peut y avoir des provisions pour les achats suivants.

De toute manière, qu'on fasse état de pertes exceptionnelles ou pas, le résultat comptable sera identique, seulement on peut présenter la raison au banquier, ou pire, au Tribunal de Commerce.

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Il y a 20 heures, Zalmox a dit :

Au mieux, il peut y avoir des provisions pour les achats suivants.

Au mon avis ça ne peut être qu'une forme de provision, le temps que des éventuels litiges avec le défaillant puissent être résolus.  Dans ce cas, dans ton prévisionnel analytique tu dos être "obligé"  d'inscrire la charge initiale (due ou pas) et la nouvelle charge. 

Théoriquement, ça ne change pas ton bilan, sauf pour la part "surcoût"  générée par le nouveau fournisseur. Maintenant comme tu dis au niveau du prix de vente, ça risque d'être bordélique. 

@Eau tarie

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il y a 33 minutes, ARMEN56 a dit :

Cliché de gauche pris ce matin lors randonnée rive opposée au chantier kership Rohu

200519014134349556.png

Ils ont été vite ?

A la lecture de Meretmarine il m'avait semblé que la première coque d'OPV87 ne devait être finie qu'en Octobre 2020 et équipée ensuite ?

Edit : ce devait être Concarneau qui fait la première coque et rohu/lanester qui faisait ensuite les deux autres !

Alors que cette coque est plus avancée que celle de la photo à Concarneau sur MetMarine du 7 mai !

Citation

le premier des trois OPV 87 commandés à Naval Group par l'Argentine voit sa construction avancer au chantier Piriou de Concarneau. La coque, dont la réalisation a débuté après l’entrée en vigueur du contrat, en février 2019, est en bonne voie d’assemblage. Le bâtiment devrait, si tout se passe comme prévu, être mis à l’eau au mois d’octobre, en vue d’une livraison au printemps 2021. Ses deux jumeaux, qui verront leurs coques produites par le chantier Kership de Lanester avant d’être armées à Concarneau, doivent être achevés à l’automne 2021 et au printemps 2022.  

https://www.meretmarine.com/fr/content/concarneau-la-construction-du-premier-opv-argentin-avance

Quand je me dis que la MN pourrait s'en commander aisément deux ou trois via le plan de relance...

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CNIM

@Eau tarie (cnim ?)

Je vais essayer de reprendre la situation financière sur la base de ce qui a été dit:

Un partenaire de CNIM va s’avérer défaillant. Aucune idée des obligations qui les lient, mais apparemment CNIM va devoir assumer de lourdes charges imprévues à la place de son partenaire.

La mécanique à la base (on va rester, au début, dans un cadre annuel), c’est:

-je (CNIM) constate et valorise un risque.

-je dois le provisionner, donc «soustraire » cette provision de mon résultat annuel (dotations aux provisions) pour «reserver » les moyens de payer cette charge future dans mon bilan (provision) pour le jour où il faudra décaisser.

En conséquence, la dépense non décaissée de la dotation va m’inscrire en perte (ou en moindre résultat, et le résultat ça ne sert pas qu’a rémunérer les actionnaires, ça alimente les fonds propres). Pas trop grave si ça ne fout pas trop en rogne mes actionnaires, et si j’ai des fonds propres suffisants (le résultat va «nourrir » les fonds propres du bilan.

D’après ce que je crois comprendre, CNIM n’a pas trop de fonds propres, première difficulté.

Pour acquérir des fonds propres, il faut augmenter le capital (problème, à ce moment, les gens n’ont plus trop confiance), liquider des actifs (problème, ça sert à quelque chose un actif, et c’est pas top de mettre en vente ses bijoux de famille dans une conjoncture de merde), faire du résultat (c’est pas bien le moment), ou accessoirement encaisser une forte subvention d’investissement.

Bien: je suis peut-être déjà dans le merde pour mes capitaux propres, mais pour l’instant, à mon passif, c’est un jeu à somme nulle : j’ai fait un gros - en résultat et un gros + en provision.

Maintenant, imaginons que j’ai besoin de liquidités à court terme à un moment donné,  comme souvent les entreprises (on a tendance à encaisser plus tard de ces clients qu’on ne décaisse pour ses facteurs de production) : je vais demander à ma banque de m’ouvrir une ligne de trésorerie pour avoir les sous nécessaires le temps que j’ai des rentrées). Mais comme elle a demandé mes comptes, et sait que j’ai des gros emmerdes en plus de la conjoncture Covid, elle n’est pas chaude (ou cyniquement, elle sait qu’elle me tient par les c...), donc elle va m’appliquer un gros taux (encore un truc qui va rogner mon résultat, donc in fine mes fonds propres...) et me demander des garanties, par exemple la cession ou le nantissement de mes créances (en gros, elle encaissera directement le pognon et se remboursera en premier. Et elle me tarifiera la prestation naturellement...). Ben figurez vous que pour une entreprise, même pas fanatique des joies de la facturation, c’est très chiant de ne pas être maître des arbitrages de trésorerie.

Si la banque n’a tellement pas confiance, elle va aussi me demander de céder des actifs pour abonder mes fonds propres, et on rejoint les premiers problèmes. (la banque peut aussi gentiment me proposer de me reprendre des actifs a tout petit prix)

Imaginons maintenant que les risques provisionnés commencent à se réaliser l’année suivante (je supplie les vrais comptables de pas taper ;): ben ça fait des dépenses sur le compte de résultat, des dépenses à décaisser, donc tension sur mes liquidités, éventuels besoin lignes de trésorerie... Ça vous rappelle quelque chose ..?

Mais, comme j’ai commencé à payer le risque que j’avais provisionné au bilan, enfin une bonne nouvelle, je peux reprendre partiellement la provision, et, cerise sur le gâteau, ça me fait une recette (non encaissée) égale à ma reprise pour mon compte de résultat (dépense « réelle » du risque décaissé - recette « fictive » de la reprise sur provision se neutralisent au résultat).

L’année finit ainsi, mais il me reste à évaluer mon stock résiduel de risque provisionné. Si je dois le réévaluer (ça coûte plus cher que prévu, des malfaçons s’ajoutent à la merde initiale, les frais de contentieux gonflent...), on retombe sur tous les problèmes résultat, capitaux propres, financement à court terme... listés plus haut. Sauf que c’est encore plus dur.

Pour finir, je dirais que la «créativité » de mon expert comptable, comme disait Zalmox je crois) va être mise à l’epreuve, pour des tas de raisons relatives à l'étalement de ma provision, à la fiscalité, à la stratégie commerciale...). Le tout alors que CNIM est une société cotée.

Et mes fournisseurs vont commencer à vouloir être payer d’avance (on ne sait jamais), mes clients à me demander des garanties supplémentaires ou à se méfier...), d’où  tension supplémentaire sur ma trésorerie ou mes résultats. Bref, cercle vicieux

Voilà pourquoi il vaut mieux avoir des capitaux propres importants, ne pas trop externaliser, ou trop réduire ses actifs (par le crédit bail par exemple), blinder ses contrats, et toujours, toujours être très poli avec son banquier.

Et (beaucoup de « et »...) ne pas se manger une pareille conjoncture...

Accessoirement, ça va mettre une complexité pas possible dans les comptes, et les mecs comme moi, pas trop pointus, font faire du «bon père de famille » et devenir soupçonneux (parce qu’il n’y a pas que les banquiers, qui, comme les rats, quittent le navire quand il y a une voie d’eau).

Moralité : y’en a pas :wink:

J'espère t’avoir été utile.

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  • 1 month later...
il y a 13 minutes, Scarabé a dit :

Une bonne nouvelle 

https://www.meretmarine.com/fr/content/la-marine-nationale-veut-doter-ses-futurs-patrouilleurs-hauturiers-dun-sonar

Les retex du blue watcher sur le Surcouf ont donné de bon résultats 

 

Ce qui suppose donc des spécifications de discrétion acoustique plateforme ; contraintes à faire grimper les couts des futurs patrouilleur. Cela suppose aussi que le chantier sélectionné devra préalablement justifier la maitrise de cette discipline , non ?

 

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Il y a 2 heures, ARMEN56 a dit :

Ce qui suppose donc des spécifications de discrétion acoustique plateforme ; contraintes à faire grimper les couts des futurs patrouilleur. Cela suppose aussi que le chantier sélectionné devra préalablement justifier la maitrise de cette discipline , non ?

 

Donc Naval Group Lorient 

La DGA leur prepare un belle appel d'offre ou certain auront du mal à repondre. 

1800 T  96 M pour 10 navires combien de temps ils vont mettre pour les sortir vue qu'ils n'ont aucun PHM NG  dans leur catalogue ? Avec bien sur une bon rayon d'action    

En plus de ça deux doivent être livrer avant 2025. Avec l'appel d'offres qui sort en fin d'année .     

 

Modifié par Scarabé
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il y a 16 minutes, Fusilier a dit :

M&M insiste sur le SeaFire, je ne sais si c'est une bonne nouvelle ^_^ 

A quelle endroit dans l'article ?

Description du futur navire

"Ces nouveaux bâtiments d’environ 90 mètres et 1500 tonnes de déplacement seront équipés d’un canon de moyen calibre (normalement un 40mm RapidFire), de l’artillerie légère et des semi-rigides d’intervention. Ils pourront accueillir un hélicoptère et mettre en oeuvre un système de drone SDAM (ou SMDM)."

A titre de comparaison, on a tout çà sur le type 056 (en mode production comme des petits pains :)

Longueur    90 m
Maître-bau    11,1 m
Tirant d'eau    4 m
Déplacement    1 340 tonnes

1 canon H/PJ-26 (en) de 76 mm2
2 canons de 30 mm H/PJ-172
4 lanceurs pour missile antinavire YJ-832 ou missile anti-sous-marin3 (ASROC)
8 missiles anti-aérien HQ-102
6 tubes lance-torpilles de 324 mm

radar de veille air/surface Type 360 (en)1
radar de conduite de tir Type 349 (en)1
sonar de coque
sonar linéaire remorqué5 H/SJG-206 (en) (Type 056A)
sonar à profondeur variable5 (Type 056A)
système de combat et de commandement ZKJ-56

25 nds

3500 mn à 16 nds


equipage : 70~

https://fr.wikipedia.org/wiki/Type_056

il y a 21 minutes, Scarabé a dit :

Donc Naval Group Lorient 

La DGA leur prepare un belle appel d'offre ou certain auront du mal à repondre. 

1800 T  96 M pour 10 navires combien de temps ils vont mettre pour les sortir vue qu'ils n'ont aucun PHM NG  dans leur catalogue ? Avec bien sur une bon rayon d'action    

En plus de ça deux doivent être livrer avant 2025. Avec l'appel d'offres qui sort en fin d'année .     

 

J'ai souvenir du projet PO (Patrouilleur Océanique) depuis 2008 ou 2010 dans les Flottes de combat, à voir si Naval Group n' a pas travaillé sur le sujet à partir de ce moment ?

Modifié par Benoitleg
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il y a 19 minutes, Fusilier a dit :

M&M insiste sur le SeaFire, je ne sais si c'est une bonne nouvelle ^_^ 

Même pas en rêve du gachis sur un PHM 

il se melange pas avec les EPC ? 

Moi j'aime bien la Classe Meteoro 2 Diesiels 4 groupes + 1 secours. Manque un peu d'autonomie mais il y a moyen de faire un truc pas mal. 

En armement ils sont pas mal aussi et 50 hommes d'equipage + 20 pax c'est pas mal pour embarquer un groupe de combat voir pour pecher des migrants avec une bonne plateforme et une infirmerie avec un SAS de contamination. On doit pouvoir faire quelque chose de pas trop cher et fonctionnel pour les 3/4 des missions 

 

560px-Tornado_P44.jpg

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il y a une heure, Scarabé a dit :

Donc Naval Group Lorient 

La DGA leur prepare un belle appel d'offre ou certain auront du mal à repondre. 

sais pas 

ça dépendra du gabarit acoustique spécifié par la DGA ; ICES , civil class ou mili cf planche 16

http://www.green-marine.org/wp-content/uploads/2015/06/Mike-Bahtiarian.pdf

https://www.researchgate.net/publication/236135536_Controlling_Machinery_Induced_Underwater_Noise

Pour les navires océanographiques  ou de recherches , les standards sont du niveau cour des grands ; suffit de voir "Beuatemps Beaupré" et "Pourquoi pas" design gondole bourrée de transducteurs et aspect discrétion hydro toussa  .

 

Modifié par ARMEN56
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Un peu plus d'infos sur ce site , avec le lancement officiel du programme (lettre du ministère)

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/

Je note ceci : "Un premier contrat de conception doit être prochainement notifié à Naval Group. La construction proprement dite, à partir de 2022, sera ouverte à la compétition entre plusieurs chantiers navals"  

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il y a 17 minutes, Fusilier a dit :

Un peu plus d'infos sur ce site , avec le lancement officiel du programme (lettre du ministère)

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/

Je note ceci : "Un premier contrat de conception doit être prochainement notifié à Naval Group. La construction proprement dite, à partir de 2022, sera ouverte à la compétition entre plusieurs chantiers navals"  

Un milliard pour 10 navires, 100 mE l'unité avec coûts de développement.

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il y a 3 minutes, Benoitleg a dit :

Un milliard pour 10 navires, 100 mE l'unité avec coûts de développement.

Ca peut pêtre un 1,2 ou 1,3, c'est  sans doute encore approximatif.  Si tu fais comme avec les FS et tu recycles de l'armement et des équipements,  ça peut le faire .  ^_^ 

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Il y a 1 heure, Fusilier a dit :

Ca peut pêtre un 1,2 ou 1,3, c'est  sans doute encore approximatif.  Si tu fais comme avec les FS et tu recycles de l'armement et des équipements,  ça peut le faire .  ^_^ 

C'est vrai que 100 millions, on a plus grand chose :biggrin: :

 

https://newwars.wordpress.com/warship-costs/

CORVETTES/OPVs/CUTTERS

Baynunah (UAE)-$137 million

Braunschweig K-130 (Germany)-$309 million

Clyde (Britain)-$47,000,000

Falaj 2 (UAE)-$136 million

Khareef (Oman)-$262 million

Kedah (Malaysia)-$300 million

Knud Rasmussen (Denmark)-$50 million

BAM Maritime Action Ship (Spain)-$116 million

MILGEM corvettes (Turkey)-$250 million

Otago (New Zealand)-$62.6 million

Port of Spain (Trinidad and Tobago)-$76 million

River (Britain)-$31,400,000

Sarah Baartman/ Damen 8313 OPV (South Africa)-$20 million

Sentinel-$47 million

Sigma (Indonesian/Moroccan)-$222 million

Visby (Sweden)-$184 million

Modifié par Benoitleg
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1 hour ago, Benoitleg said:

C'est vrai que 100 millions, on a plus grand chose :biggrin:

€80M l’unité pour les 4 patrouilleurs type l’Adroit vendus à l’Argentine. Avec €100M tu peux rajouter qqs équipements, notamment:

- Sonar de coque type BlueWatcher

- RapidFire 40mm

- Lance-leurres Sylena

- Conduite de tir optronique (genre EOMS-NG)

- Un radar un peu plus avancé (mais certainement pas un SeaFire)

D’ailleurs les dimensions annoncées (et le timing serré) me font penser furieusement à l’Adroit... 1,500 tonnes, 90m...


 

 

Modifié par HK
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40 minutes ago, HK said:

€80M l’unité pour les 4 patrouilleurs type l’Adroit vendus à l’Argentine. Avec €100M tu peux rajouter qqs équipements, notamment:

- Sonar de coque type BlueWatcher

- RapidFire 40mm

- Lance-leurres Sylena

- Conduite de tir optronique (genre EOMS-NG)

- Un radar un peu plus avancé (mais certainement pas un SeaFire)

D’ailleurs les dimensions annoncées (et le timing serré) me font penser furieusement à l’Adroit... 1,500 tonnes, 90m...

En fait, si on équipe ce patrouilleur océanique avec ces dimensions et ces spécifications, d'un sonar Blue Watcher, on aura un aviso moderne ! 

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