Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Police, Gendarmerie, Pénitentiaire, Pompiers [infos only]


Akhilleus

Messages recommandés

Disons qu'en gros, ça doit vouloir dire que la compagnie est prête à partir en quinze minutes avec des camions dont le plein est fait pour une distance de trois cents kilomètres. Ils doivent avoir des jerricans pour le retour ou des bons d'achat chez Total ?

  • J'aime (+1) 2
  • Haha (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 13 minutes, Ciders a dit :

Disons qu'en gros, ça doit vouloir dire que la compagnie est prête à partir en quinze minutes avec des camions dont le plein est fait pour une distance de trois cents kilomètres. Ils doivent avoir des jerricans pour le retour ou des bons d'achat chez Total ?

Un utilitaire devrait réussir à faire 300 km A/R avec son plein.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 1 minute, Teenytoon a dit :

Un utilitaire devrait réussir à faire 300 km A/R avec son plein.

Ca dépend, est-ce que l'on parle de rayon d'action ou de distance franchissable ? Et est-ce que les Master sont configurés pour des missions hi-lo-hi ou radada power ! avec un armement air-sol ou juste pour faire du CAS avec des roquettes à pas cher ?

  • Haha (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 26 minutes, Ciders a dit :

Disons qu'en gros, ça doit vouloir dire que la compagnie est prête à partir en quinze minutes avec des camions dont le plein est fait pour une distance de trois cents kilomètres. Ils doivent avoir des jerricans pour le retour ou des bons d'achat chez Total ?

heu, le plus important, c'est qu'ils arrivent ; le plein, ça peut se faire une fois la mission accomplie

et, ils ont des cartes essence

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le couple police-gendarmerie bat légèrement de l’aile

DÉCRYPTAGE - Malgré de réels progrès, les deux forces gagneraient à parfaire leur articulation et à mieux coopérer, selon la Cour des comptes.

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-couple-police-gendarmerie-bat-legerement-de-l-aile-20210701

 

Le rapport ici -> https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2021-06/20210630-58-2-bilan-rattachement-gendarmerie-min-interieur.pdf

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La crs8 dispose de fiat ducato nouvelle sérigraphie (notez le logo fiat remplacé par le logo police nationale  :rolleyes:) et disposera de Nissan Navara

d2b9c7c333.jpg085d39e36b.jpg

 

 

(les photos proviennent du forum autotitre)

 

@Teenytoontoi qui te plaignais des 5008 au niveau des gyrophares, certains l'ont compris et rajoutent eux même des trucs :

33b018fe91.jpg256d4cf575.jpg

(idem source : autotitre)

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 15 heures, Gallium a dit :

La crs8 dispose de fiat ducato nouvelle sérigraphie (notez le logo fiat remplacé par le logo police nationale  :rolleyes:) et disposera de Nissan Navara

d2b9c7c333.jpg(les photos proviennent du forum autotitre)

 

 

Ce doit etre les mêmes Nissans blindés (protegés contre les tirs d'armes legeres ) Que la gendarmerie a commandé a Technamm pour outre mer 

251d5e456b.png

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...
Quote

Le Conseil d’Etat veut mettre de l’ordre dans les pouvoirs de contrôle de l’administration

Dans un rapport remis au premier ministre, l’institution évoque un paysage « d’une grande confusion », un système « touffu et peu compréhensible ».

L’administration dispose de très nombreux pouvoirs de contrôle et d’enquête. Mais en a-t-elle réellement besoin ? Et n’est-ce pas, dans les faits, lourd de menaces pour les citoyens ? Dans un rapport de 275 pages remis au premier ministre et publié le 6 juillet, le Conseil d’Etat considère qu’il est temps de mettre de l’ordre dans le système. Car, selon la plus haute juridiction administrative, « tout contrôle de l’administration peut bouleverser la vie de celui qui en est l’objet ».

Pour le Conseil, dont le rôle est aussi bien de juger en dernier ressort des litiges qui opposent les citoyens à l’administration que de conseiller le gouvernement, ces pouvoirs sont « un maillon indispensable de la mise en œuvre des fonctions essentielles de l’Etat ». Parce que cela permet de protéger l’Etat de droit, de veiller à l’égalité des Français devant les charges publiques, de lutter contre la fraude et de sanctionner les auteurs d’infractions ou de manquements.

Cela n’empêche pas, pour autant, de regarder les choses avec lucidité. Les douaniers, les contrôleurs des impôts, les inspecteurs du travail, les agents des Urssaf et des caisses de Sécurité sociale et bien d’autres – 50 000 agents rien que pour l’Etat – disposent de « pouvoirs, parfois très étendus, pour réunir des preuves ou établir et caractériser des faits ». Leur objectif peut être de recouvrer des impôts et des taxes, de vérifier que la loi est respectée ou encore de protéger la santé, l’environnement…

Et l’Etat ne cesse d’accroître les pouvoirs de son administration ou des autorités indépendantes, afin de rendre la lutte contre la fraude toujours plus efficace. C’est « une sorte de course au mât de perroquet », note Bruno Lasserre, vice-président du Conseil d’Etat, dans une interview aux Echos, le 6 juillet. Par exemple, dans la lutte contre la fraude fiscale, qui se chiffre en dizaines de milliards d’euros, le gouvernement ne lésine pas sur les moyens : création d’une police fiscale, traitement en masse des données, intelligence artificielle, échanges d’informations entre les services…

Pouvoirs non maîtrisés

« Le constat de la profusion, du foisonnement, s’impose, lit-on dans le rapport. Il suscite des interrogations nombreuses : l’administration française a-t-elle réellement besoin de tous ces pouvoirs d’enquête et de contrôle que, souvent, elle ne met pas en œuvre et que, parfois, les acteurs eux-mêmes ignorent, tant les textes sont imbriqués ? » C’est par exemple le cas des agents de l’Autorité de régulation des transports ou de ceux de la Commission de régulation de l’énergie. « Ils ont, s’étonne M. Lasserre, des pouvoirs de perquisition qui n’ont jamais été utilisés ! Faut-il les maintenir ? Le secteur le plus problématique est celui de l’environnement, où soixante-dix catégories d’agents peuvent effectuer certains contrôles dans le plus grand désordre. Il manque une véritable politique de contrôle, avec des orientations et des priorités, et une autorité pour la conduire. »

...

https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/07/12/le-conseil-d-etat-veut-mettre-de-l-ordre-dans-les-pouvoirs-de-controle-de-l-administration_6087970_823448.html

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A nouveau la CJUE s'intéresse au temps de travail des militaires ... ou du moins la suite du feuilleton.

Sauf que ce coup ci c'est définitif ... sauf si la France refuse d'appliquer la décision définitive de l'Union ... comme pour le cas des "données de communication".

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/la-cour-de-justice-europeenne-s-attaque-au-temps-de-travail-des-militaires-20210715

Quote

La cour de justice européenne s'attaque au temps de travail des militaires

Un arrêt publié jeudi donne en partie tort à la France, qui défendait la singularité du statut militaire, et pourrait remettre en cause leur disponibilité «en tout temps et en tout lieu».

Ce revers juridique inquiète l'armée. Dans un arrêt publié jeudi, la Cour de Justice de l'Union européenne vient de donner en partie tort à la France, qui défendait la singularité du statut militaire. La directive sur le temps de travail de l'Union européenne peut s'appliquer à certaines activités des soldats. Les membres des forces armées des États membres ne peuvent pas être «exclus, dans leur intégralité et en permanence, du champ d'application de la directive 2003/88», relève la CJUE dans la communication rendue publique jeudi. Le temps de travail des militaires pourrait être limité.

«Nous n'avons pas eu gain de cause», admet-on au ministère des Armées. «La France demandait la possibilité pour les États membres d'excepter intégralement à l'application de la directive», poursuit-on. L'unité du statut du militaire, disponible «en tout temps et en tout lieu», s'oppose «à la notion de découpage du temps de travail», ajoute-t-on.

Des tâches proches du salariat

Pour comprendre l'enjeu, il faut remonter à son origine. En 2014, un sous-officier slovène effectue «un service de garde ininterrompu de sept jours par mois» pour lequel il demande à être rémunéré en heures supplémentaires. Le contentieux ayant été porté devant les tribunaux, la cour suprême de Slovénie se tourne alors vers la CJUE pour décider de l'application ou non de la directive sur le temps de travail 2003/88 à l'activité militaire. Selon le traité de l'Union européenne, les affaires de sécurité relèvent de la compétence des États. Mais les appréciations diffèrent entre les pays. La France, l'Espagne et la Slovénie ont défendu devant la juridiction européenne la spécificité de la condition militaire. L'Allemagne admet pour sa part la distinction des activités.

L'affaire est complexe. Mais le dossier est suffisamment sérieux pour avoir été suivi par le ministère, l'état-major et même l'Élysée. «Je crois à la voie européenne quand je la comprends», a prévenu le chef de l'État Emmanuel Macron mardi soir, alors qu'il défendait le statut militaire. «Ce qui permet d'assurer constamment la sécurité des Français et des Européens, c'est précisément ce principe de disponibilité en tout temps et en tout lieu des militaires. Est-ce qu'on imaginerait que l'ultima ratio de la Nation ne puisse agir pour des raisons liées au temps de travail ?», expliquait en février devant le sénat la ministre Florence Parly. «Le soldat ne peut pas être salarié et militaire, c'est un seul bloc», confie le député LREM Jean-Michel Jacques, qui voudrait faire inscrire dans la constitution cette singularité.

Au bout du compte, la CJUE reconnaît que certaines missions militaires relèvent de la seule décision des États et de leurs intérêts. En opération ou en cas de «contraintes insurmontables», les armées peuvent déroger au temps de travail. Mais la Cour énumère aussi certaines tâches qui s'apparentent à un salariat presque normal, notamment «celles qui sont liées à des services d'administration, d'entretien, de réparation, de santé, de maintien de l'ordre ou de poursuite des infractions». Elles «ne présentent pas, en tant que telles, des particularités s'opposant à toute planification du temps de travail respectueuse des exigences imposées par la directive 2003/88, à tout le moins tant que ces activités ne sont pas exercées dans le cadre d'une opération militaire ou au cours de sa préparation immédiate», lit-on dans la communication de la CJUE.

Remise en cause de l'unicité du statut

En modifiant l'appréciation du temps de travail des militaires, l'arrêt risque de détricoter l'ensemble du statut. Celui-ci prévoit en effet des compensations aux astreintes de la fonction. «L'unité du statut est un facteur de cohésion. Le général et le soldat partagent le même principe de disponibilité», souligne-t-on au ministère.

Jeudi, le ministère des Armées se montrait prudent sur les suites de ce bras de fer juridique. «Nous allons faire une analyse précise» de l'arrêt, dit-on. Aucun recours n'est possible contre l'arrêt de la CJUE. Si un contentieux émerge en France, le conseil d'État pourrait avoir son mot à dire. Au ministère, on n'exclut pas non plus une «initiative» pour modifier la législation européenne. «Nous allons répondre au droit par le droit».

Face à cette épée de Damoclès juridique, le ministère tentait de dédramatiser. «Il n'y a aucune demande sociale, au contraire, les militaires sont attachés à la préservation de l'unicité de leur statut», assure-t-on. Mais il suffira d'une plainte.

 

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 03/07/2021 à 19:22, Banzinou a dit :

@ScarabéOui mais là on parle de Toyota de CRS pour du MO :laugh:

D'ailleurs concernant les BRI, je pense qu'il n'y a que la BRI PP qui a des PVP, pas les BRI PJ, mais à confirmer

BRI PP ou PJ, c’est du chinois pour moi, mais si ça peut être utile à ton questionnement, j’ai vu 2 fois ds les rues de Lyon un PVP noir.

C’est gros, d’ailleurs, au milieu de la circulation civile.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 21 heures, Hirondelle a dit :

BRI PP ou PJ, c’est du chinois pour moi, mais si ça peut être utile à ton questionnement, j’ai vu 2 fois ds les rues de Lyon un PVP noir.

C’est gros, d’ailleurs, au milieu de la circulation civile.

BRI PP, brigade anti-commando ou antigang, c'est le groupe d’intervention de la Préfecture de Police de Paris, c'est elle qui possède des PVP (logo de la PP visible juste devant la portière en rouge)

Elle est au même titre que le RAID et le GIGN au niveau 3 sur Schéma national d'intervention des forces de sécurité

1280px-BRI-PP6_Domenjod_130618.jpg

 

Les BRI-PJ sont niveau 2, comme les PSIG ou les BAC, et eux ne dépendent pas de la Préfecture de Police de Paris mais de la Direction Centrale de la Police Judiciaire à compétence nationale

Ce sont les groupes d'intervention de la Police Judiciaire, et qui interviennent généralement seulement pour leurs enquêtes, ils ne sont pas aussi bien équipés

  • Merci (+1) 2
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 03/07/2021 à 19:22, Banzinou a dit :

@ScarabéOui mais là on parle de Toyota de CRS pour du MO :laugh:

D'ailleurs concernant les BRI, je pense qu'il n'y a que la BRI PP qui a des PVP, pas les BRI PJ, mais à confirmer

Pas de PVP pour les BRI PJ par contre elles sont dotées des anciens fourgons transport de fond. Recyclés plusieurs fois et repeinds en gris.

Pour les Toyota CRS pas prévu de blindage pour l'instant et les Ducato ont été prélevés en urgence car ce n'était pas les véhicules prévus au départ (plutôt des grands monospaces), on touche là l'impreparation de la chose et le manque de moyens. Une tenue typée BRI en essai...

Le 24/07/2021 à 12:58, Banzinou a dit :

BRI PP, brigade anti-commando ou antigang, c'est le groupe d’intervention de la Préfecture de Police de Paris, c'est elle qui possède des PVP (logo de la PP visible juste devant la portière en rouge)

Elle est au même titre que le RAID et le GIGN au niveau 3 sur Schéma national d'intervention des forces de sécurité

1280px-BRI-PP6_Domenjod_130618.jpg

 

Les BRI-PJ sont niveau 2, comme les PSIG ou les BAC, et eux ne dépendent pas de la Préfecture de Police de Paris mais de la Direction Centrale de la Police Judiciaire à compétence nationale

Ce sont les groupes d'intervention de la Police Judiciaire, et qui interviennent généralement seulement pour leurs enquêtes, ils ne sont pas aussi bien équipés

Exact ils font parfois des forcénés en attente de l'intervention du RAID vu les contraintes géographiques.

  • Merci (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 8 heures, Kiriyama a dit :

Une belle voiture, bien spacieuse.

J'aime bien la sérigraphie.

Elle est largement mieux que l'ancienne (d'ailleurs je pense que cette sérigraphie, même si ce n'est pas encore acté, va devenir la sérigraphie officielle PN) après je ne suis pas convaincu par tout les détails.

 

 

 

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 weeks later...

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 005
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    cilom
    Membre le plus récent
    cilom
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...