Bechar06 Posté(e) le 5 février 2020 Share Posté(e) le 5 février 2020 Il y a 2 heures, Kiriyama a dit : ils avaient quand même des composants étrangers Acheter des Composants majeurs comme un moteur, c'est déjà bien , mais pouvaient ils faire autrement ? Non ... Mais ce n'est pas encore coopérer en estimant partager le produits fini complet ... Ce qui aurait pu être un schéma possible pour le Gripen... Arrivé trop tôt sans doute : lancé avant la chute du rideau de fer et de l'Urss... Les camps étaient alors trop fortement marqués : Otan d'un côté, Pacte de Varsovie de l'autre et 3 ou 4 + ou - indépendants: Suisse, Autriche, Suède, Finlande... Après 89 c'était trop tard pour revoir le modèle Gripen ... FIN 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 6 février 2020 Share Posté(e) le 6 février 2020 L'engin a apparemment été clairement pensé pour une utilisation suédoise, l'export étant un éventuel bonus. Or avec l'effondrement de l'URSS, le marché export est devenu plus important qu'avant et le Gripen ne semble pas taillé pour y faire sa place. Il manque apparemment de "souffle" face à des avions plus lourds (Rafale, Typhoon...) et est concurrence vers le bas par des avions d'occasion ou russes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 6 février 2020 Share Posté(e) le 6 février 2020 il y a 13 minutes, Kiriyama a dit : L'engin a apparemment été clairement pensé pour une utilisation suédoise, l'export étant un éventuel bonus. Or avec l'effondrement de l'URSS, le marché export est devenu plus important qu'avant En fait, c'est surtout que le marché intérieur s'est fortement réduit. De plus de 300 gros Viggen, on est passé à 204 gripen dont une partie louée ou revendue à seulement 60 gripen NG... S'il faut toujours produire autant d'avions pour justifier le développement, le marché intérieur est passé de largement suffisant à tout juste acceptable à largement insuffisant. L'export est plus important juste à cause du marché intérieur qui devient ridicule. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 18 avril 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 avril 2020 Flankers vs Gripens: What Happened at the Falcon Strike 2015 Exercise? Flankers contre Gripens : Que s'est-il passé lors de l'exercice Falcon Strike 2015 ? Ces derniers mois, les médias de la défense et de l'aviation ont rapporté une conférence donnée par le pilote d'essai de l'armée de l'air de l'APL (PLAAF), Li Zhonghua, en décembre 2019 à l'Université polytechnique Northwestern de Shaanxi. La conférence a donné un aperçu assez détaillé de l'expérience de la PLAAF lors de l'exercice Falcon Strike 2015 mené en Thaïlande avec les homologues de la Royal Thai Air Force (RTAF) de la PLAAF. La PLAAF a fourni des Su-27SK Flankers, tandis que la RTAF a fourni des Falcon Strike 2015, ci-après dénommés respectivement Su-27 et Gripen-C. Certains des commentaires relatifs aux résultats récemment divulgués de l'exercice ont extrapolé les capacités d'autres avions de la famille Su-27 ou J-11, ou ont déduit des détails de l'exercice en vue de l'aptitude et de la formation générales des pilotes de la PLAAF. Cet article évaluera les capacités des avions respectifs et examinera les résultats de l'exercice Falcon Strike 2015 dans le contexte de ces capacités. Su-27SK et Gripen-C Il est difficile de juger des résultats de l'exercice sans pouvoir d'abord évaluer avec précision les capacités des avions impliqués, ainsi que les règles d'engagement. Malheureusement, les règles d'engagement spécifiques et les paramètres détaillés de la plupart des exercices sont difficiles à déterminer, et bien que l'exposé de M. Li ait fourni des informations sur les différents types d'engagement dans l'exercice global, les paramètres exacts n'ont pas été identifiés. Toutefois, une comparaison relativement détaillée du Gripen-C par rapport au Su-27 est fournie dans l'exposé, avec un résumé des points saillants qui suit : Domaine à portée moyenne (au-delà de la portée visuelle/ BVR) : Missile BVR : missile AIM-120 - portée de 80 km contre missile RVV-AE - portée de 50 km Radar : Portée de 160 km, suivi de 10 cibles contre 120 km de portée, suivi de 10 cibles Coupe transversale du radar : 1,5-2m2 contre 10-12m2 Engagement simultané des cibles : 4 contre 1 Systèmes de guerre électronique : 1 système interne et 2 systèmes externes à pods contre 1 système externe à pods Leurre remorqué : présent ou non présent Leurres : fusées éclairantes et paillettes contre fusées éclairantes et paillettes Systèmes d'alerte : alerte radar et alerte de lancement de missile et alerte d'approche de missile par rapport à l'alerte radar et l'alerte d'approche de missile Liens de données : 2 contre 1 Vision nocturne : présent ou non présent Domaine à courte distance (à portée visuelle/RVB) : divers facteurs ont été codés de "moyen" à "capable" à "fort" dans les niveaux croissants de capacité relative Limite G : +9/-2 contre +8/-2 Poussée du moteur : "capable" versus "fort". Systèmes d'avionique : "fort" contre "moyen Un taux de rendement et de rotation soutenu : "capable" par opposition à "fort". Performance instantanée/taux de rotation : "fort" par rapport à "moyen". Missile WVR : Missile AIM-9L - "capable" contre missile R-73 - "puissant Dispositif de visualisation monté sur casque (HMD/S) : "fort" par opposition à "capable". Facteurs structurels : Rayon de combat : 900 km contre 1500 km Ravitaillement en vol : présence ou absence Charge utile : 6 tonnes contre 4 tonnes Rôle de l'avion : air-air et air-sol et reconnaissance par rapport à l'air-air uniquement À partir de ce qui précède, on peut commencer à dresser la carte des avantages et des inconvénients relatifs de chaque avion. Le Gripen-C dispose de capacités BVR nettement plus performantes que le Su-27, en termes de portée radar maximale (160 km contre 120 km), ainsi que de la portée maximale de son missile BVR (80 km contre 50 km) et de la capacité à engager simultanément plusieurs cibles (4 contre 1). La section transversale du radar du Gripen-C est également nettement plus petite que celle du Su-27 (1,5-2m2 contre 10-12m2). L'architecture globale de guerre électronique, de liaison de données et d'avionique du Gripen-C est également nettement plus performante que celle du Su-27. Le Gripen-C bénéficie également de performances cinématiques instantanées et d'un meilleur taux de rotation que le Su-27. Le Su-27, en revanche, bénéficie d'une plus grande poussée du moteur et d'un meilleur taux de rotation et de performances cinématiques soutenues que le Gripen-C, tout en bénéficiant d'une capacité WVR plus performante sous la forme du R-73, qui présente une capacité de tir en mer plus élevée pouvant être exploitée par le Shchel-3UM HMS, primitif mais efficace. Par conséquent, un résumé condensé des forces et des faiblesses pourrait être décrit comme suit : Le Gripen-C bénéficie d'un avantage massif en matière de capacité BVR ainsi que de guerre électronique, de communications, de liaison de données et de connaissance de la situation, tout en bénéficiant des avantages d'une architecture et d'un cockpit d'avionique plus modernes. Les deux avions ont présenté leurs propres atouts dans différents domaines de performances cinématiques. Le Su-27 bénéficie d'une plus grande poussée des moteurs et d'un missile WVR avec une plus grande capacité de vol à haute altitude, associé à un HMS Questions relatives aux armes et à l'avionique Avant de passer en revue les résultats de l'opération Falcon Strike 2015, il peut être instructif d'examiner d'abord l'âge et les capacités des Su-27SK au service de la Chine. Le Su-27SK - également produit sous forme de kit sous le nom de J-11A - a été le premier avion de combat de 4e génération en service de la PLAAF, importé de Russie au début des années 1990. Cependant, au cours des décennies de service depuis cette époque, les Su-27SK n'ont été que très peu modernisés, comme par exemple avec la capacité de tirer des missiles RVV-AE/R-77 BVR (ce qui manquait à la cellule d'origine), ou avec des systèmes d'alerte d'approche de missile et des changements mineurs dans le cockpit. Le reste de l'avion - en particulier son radar, son architecture avionique, sa suite de guerre électronique, sa capacité de liaison de données et sa suite d'armes - reste malheureusement très en retard par rapport aux autres chasseurs contemporains de la 4e génération, sans parler des chasseurs de la 4e génération et demie. La "quatrième génération" d'avions de combat peut sans doute être classée en différentes sous-générations qui reflètent les différences susmentionnées en matière de capacité d'avionique, d'armement, de capteurs et de liaisons de données. Vous trouverez ci-dessous un petit nombre d'exemples choisis : La "quatrième génération" pourrait comprendre les F-14A, F-15A, Su-27SK/J-11A "Mature/contemporain 4ème génération" pourrait inclure le F-15C, le J-11B, le J-10A et le Gripen-C La "génération 4+/4,5" pourrait comprendre le F-15EX, le F-16V, le J-16, le J-10C et le Gripen E. Le J-11A/Su-27SK est donc un chasseur de "première génération 4" en raison de son manque de mises à niveau et est facilement le chasseur de 4ème génération le plus ancien et le moins performant de la PLAAF. Pour souligner l'importance de l'avionique, des capteurs et des armes, il est probable que même les chasseurs de 3e génération modernisés comme le J-8DF (équipé de la technologie radar contemporaine de 4e génération et de missiles PL-12 BVR plus performants) peuvent probablement vaincre le Su-27SK en combat BVR dans des conditions identiques. Examen des résultats En tant que chasseur de quatrième génération mature/contemporain, on peut prévoir que le Gripen-C jouira d'une grande marge de victoire contre le Su-27SK dans les engagements BVR ainsi que dans les engagements en formation nécessitant une connaissance de la situation et une coordination plus complexes. De tels résultats auraient été prédits sur la base des capteurs du Gripen-C, des armes BVR, de la section transversale du radar, de la guerre électronique, de la liaison de données et de l'architecture avionique du Gripen-C, qui sont d'une supériorité écrasante. La formation des pilotes n'aurait qu'un effet minime sur l'atténuation d'un tel déséquilibre massif de la technologie inhérente. On aurait pu s'attendre à ce que le Su-27SK ait un avantage dans les engagements WVR où il pourrait essayer d'exploiter son missile R-73 plus performant et sa performance cinématique soutenue supérieure/taux de rotation, où il y a beaucoup moins de déséquilibre technologique. Cependant, la technologie est également moins décisive dans les engagements WVR, ce qui permet à la formation des pilotes de jouer un rôle plus important dans la résolution des déséquilibres WVR. Les résultats de Falcon Strike 2015 suivent largement la logique ci-dessus, bien que les Su-27SK semblent jouir d'une plus grande marge de victoire dans le domaine de la WVR que l'on aurait pu s'y attendre. Cela pourrait être attribué au missile R-73 légèrement plus performant mis en œuvre par les Su-27SK, ou potentiellement au fait que les Flanker tirent parti de leur expérience passée en matière d'entraînement au combat aérien avec les avions de la famille J-10 de la PLAAF. Que peut-on faire ? Les résultats de Falcon Strike 2015 confirment avec force que les avions dotés de capteurs, d'armes, d'avionique, de liaisons de données et de guerre électronique de qualité supérieure peuvent battre les avions de manière retentissante dans les domaines BVR et dans les engagements qui exigent une plus grande coopération et une connaissance mutuelle de la situation. La domination du Gripen-C contre le Su-27SK dans ces engagements n'est pas inattendue ; cependant, ces résultats n'impliquent certainement pas que la famille Flanker dans son ensemble en soit incapable. Après tout, le Su-27SK est l'une des premières variantes de Flanker en service dans le monde et l'une des moins performantes. De nombreuses variantes de Flanker ont été développées par la suite, avec des armes, des capteurs, des liaisons de données, une avionique et des systèmes de guerre électronique considérablement améliorés. L'APL elle-même est équipée de plusieurs variantes améliorées de Flanker, dont le chasseur d'attaque multirôle Su-30MKK/MK2, le chasseur de supériorité aérienne J-11B/BS et le dernier chasseur d'attaque multirôle J-16 équipé d'un radar AESA et du missile PL-15. Cela ne veut pas dire pour autant que le Falcon Strike-2015 n'a pas apporté de leçons utiles à la PLAAF pour leur propre formation de pilote. Des articles en chinois rédigés par des initiés chinois, ainsi que les informations tirées des diapositives originales présentées en décembre 2019, ont révélé des lacunes dans la connaissance de la situation, en particulier dans les engagements multi-navires, et une capacité réduite à vaincre avec précision les missiles BVR simulés, ce dernier point étant décrit comme potentiellement lié aux différents paramètres de simulation utilisés par l'AMRAAM par rapport aux précédents simulateurs PL-12 et R-77 de la PLAAF. Les lacunes dans la connaissance de la situation pourraient également être en partie attribuées aux capteurs, au cockpit et à la liaison de données inférieurs des Su-27SK, mais la manière vive dont la présentation a décrit ces résultats indique peut-être un degré d'attente que les pilotes de Su-27SK devraient être capables de surmonter ces déséquilibres même face à l'infériorité technologique. Dans l'ensemble, la manière dont le PLAAF semble examiner les résultats de l'opération Falcon Strike 2015 suggère que l'accent est mis sur les aspects humains des engagements du PLAAF. Cela n'est pas nécessairement inattendu, car le PLAAF ne participe pas à un grand nombre d'exercices aériens internationaux, ce qui fait de chaque rencontre une occasion d'apprentissage précieuse. En outre, il ne faut pas oublier que le PLAAF dans son ensemble subissait un changement institutionnel à grande échelle pour réviser ses régimes d'entraînement qui a commencé au milieu des années 2010 et a atteint son apogée rhétorique vers le milieu des années 2010, juste au moment où Falcon Strike 2015 a eu lieu. En mettant davantage l'accent sur les facteurs pilotes à l'origine des résultats de Falcon Strike 2015, on aurait pu disposer d'autres munitions utiles pour plaider en faveur d'une amélioration des programmes de formation et de simulation à cette époque. Exercices à l'étranger du PLAAF Avant les années 2010, la PLAAF a rarement mené des exercices avec des forces aériennes étrangères d'une ampleur notable. Dans les années 2010, les exercices internationaux menés par la PLAAF étaient généralement des exercices avec le Pakistan (la série Shaheen) ainsi qu'avec la Thaïlande (les différentes séries Falcon Strike depuis 2015), et la participation à certaines compétitions aériennes russes (Aviadarts). Il y a également eu un exercice unique entre la PLAAF et ses homologues turcs en 2010 dans le cadre de la série Anatolian Eagle. Notamment, la PLAAF a envoyé des Su-27SK à l'Anatolian Eagle 2010, tandis que l'armée de l'air turque (TAF) a mis en service des F-4E améliorés. Bien que les résultats officiels n'aient jamais été révélés, certaines rumeurs suggèrent fortement que les Su-27SK ont eu de mauvaises performances. Bien qu'aucun exercice ultérieur entre la PLAAF et la TAF n'ait eu lieu depuis 2010, il est à noter que l'Anatolian Eagle 2010 impliquait des Su-27SK du côté de la PLAAF, tout comme le Falcon Strike 2015 entre la PLAAF et la RTAF. Il est raisonnable de se demander s'il y a une raison de déployer des Su-27SK lors d'exercices aériens inauguraux avec une force aérienne étrangère avec laquelle la PLAAF ne s'était jamais engagée auparavant. En tant qu'avion de quatrième génération le moins performant de l'inventaire de la PLAAF (en 2010, 2015, ainsi qu'aujourd'hui), l'envoi de Su-27SK reflète peut-être une certaine prudence pour ne pas révéler des détails plus sensibles concernant les chasseurs les plus performants de la PLAAF. Comme on l'a vu lors des exercices Falcon Strike ultérieurs entre la PLAAF et la RTAF, la partie chinoise a ensuite envoyé des avions plus performants et plus modernes comme le J-10A et le J-10C, ce qui reflète peut-être une plus grande confiance à mesure que les relations de défense se renforcent. Bien entendu, la PLAAF s'exerce régulièrement avec seulement quelques forces aériennes étrangères, ce qui rend difficile de tirer avec certitude la conclusion ci-dessus. Mais il est à noter que les exercices Shaheen de la PLAAF avec l'armée de l'air pakistanaise - dans le contexte d'une relation de défense et d'une relation géopolitique à beaucoup plus long terme - ont eu tendance à inclure une variété de nouveaux systèmes de la PLAAF allant des nouveaux avions de chasse 4+ et des systèmes AEW&C, généralement sans trop de retard de plusieurs années par rapport à la première entrée en service de combat de première ligne. Pour l'avenir La présentation de Falcon Strike 2015 a fourni des détails très utiles et rares pour le premier exercice du PLAAF avec la RTAF, et bien que les détails de la présentation discutent d'un certain nombre de lacunes dans la performance des pilotes impliqués dans l'exercice, certaines des interprétations en langue anglaise de l'exercice dépassent probablement l'échelle des conséquences. Plus précisément, il est difficile d'ignorer la pondération des résultats dans le domaine du BVR et les engagements exigeant une connaissance de la situation à plusieurs navires qui dépendent beaucoup plus de l'avancement technologique de l'avion en question que de la formation des pilotes. Lors des exercices Falcon Strike suivants (2017, 2018 et 2019), la PLAAF a envoyé successivement des appareils plus perfectionnés que le Su-27SK, à savoir le J-10A et finalement le J-10C. Les rumeurs entourant ces exercices ultérieurs ont laissé entendre que la PLAAF avait obtenu des résultats plus souhaitables, notamment avec le J-10C en 2019. Mais malheureusement, il est très peu probable que la PLAAF révèle une ventilation aussi détaillée des exercices Falcon Strike ultérieurs. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pakal Posté(e) le 18 avril 2020 Share Posté(e) le 18 avril 2020 Je suis surpris par la portée radar du Gripen C par rapport à celle du SU27 compte tenu des tailles respectives de leurs antennes PESA. Je suppose que c'est en partie du à la différence de SER entre les 2 appareils (Un SU27 est détectable de plus loin qu'un Gripen avec le même radar) Je suis aussi surpris aussi du taux de virage instantané qui serait meilleur sur le Gripen que sur le SU27 compte tenu de leur charges alaire respective. Le Gripen étant inférieur au rafale de ce point de vue là me semble t'il Sur la charge utile je pense que les chiffres sont inversés: 4T pour le Gripen, 6T pour le SU27 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 18 avril 2020 Share Posté(e) le 18 avril 2020 Je ne suis pas sur qu'il faille vraiment prendre au sérieux toutes les données... Déjà j'ai l'impression qu'on compare la capacité théorique du Gripen à la configuration du Flanker utilisée pour la mission. Et pour les portées radar, il faut connaître la cible "type", si la cible est un avion avec la même SER que le chasseur, on fausse complètement la donne. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 18 avril 2020 Share Posté(e) le 18 avril 2020 (modifié) Il y a 1 heure, Pakal a dit : Je suis surpris par la portée radar du Gripen C par rapport à celle du SU27 compte tenu des tailles respectives de leurs antennes PESA. Les portées qui sont données sont les portées maximales des Radar, c'est à dire le max quelque soit la SER . Ce n'est pas le bilan de liaison qui fixe ce max mais d'autres caractéristiques du radar sur lesquelles on peut vouloir optimiser: par exemple plus la zone à surveiller est grande (ce qui est le cas si on augmente la portée max) plus il faudra du temps entre deux pointages. Donc ils ont peut être considéré que deux fois la portée du missile c'était suffisant et qu'il valait mieux scanner fréquemment la zone d'intérêt. Modifié le 18 avril 2020 par Picdelamirand-oil 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 25 avril 2020 Share Posté(e) le 25 avril 2020 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 Il y a 20 heures, Picdelamirand-oil a dit : Je dois avouer être asse surpris. Et j'ai du mal à bien comprendre les perspectives qu'implique ce tweet : - Les arbitrages sur le Rafale F4 ont, pour l'instant laissé sur le coté, l'application de la technologie GaN au RBE-2. Je ne commente pas cet arbitrage financier puisque je manque évidemment d'éléments (financiers justement) pour avoir un avis éclairé. Je note quand même alors qu'il y a, a minima 30 F4 commandé à l'heure actuelle pour amortir un tel développement. - Dans le même temps, SAAB arrive à présenter un prototype d'AESA GaN sans aucune commande ni aucun parc installable (les Gripen E/F suédois et brésiliens étant déjà commandé avec un autre AESA). Donc pourquoi développer ce radar ? - Pour le proposer aux propriétaires de Gripen C/D pour un retrofit ? Est ce que quelqu'un (Pic ?) sait si cela est crédible/ compatible avec les enjeux de générations électriques, refroidissement, etc. ? - Pour concurrencer le RAVEN ? Est ce que quelqu'un (idem) a entendu parler de problèmes (majeurs) sur le RAVEN pouvant justifier un abandon ? - Pour rester dans la course et développer les solutions de la prochaine génération ? Mais est ce quelqu'un a une idée, même très très large, du budget que cela peut représenter ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 il y a 2 minutes, LePetitCharles a dit : Je dois avouer être asse surpris. Et j'ai du mal à bien comprendre les perspectives qu'implique ce tweet : - Les arbitrages sur le Rafale F4 ont, pour l'instant laissé sur le coté, l'application de la technologie GaN au RBE-2. Je ne commente pas cet arbitrage financier puisque je manque évidemment d'éléments (financiers justement) pour avoir un avis éclairé. Je note quand même alors qu'il y a, a minima 30 F4 commandé à l'heure actuelle pour amortir un tel développement. - Dans le même temps, SAAB arrive à présenter un prototype d'AESA GaN sans aucune commande ni aucun parc installable (les Gripen E/F suédois et brésiliens étant déjà commandé avec un autre AESA). Donc pourquoi développer ce radar ? - Pour le proposer aux propriétaires de Gripen C/D pour un retrofit ? Est ce que quelqu'un (Pic ?) sait si cela est crédible/ compatible avec les enjeux de générations électriques, refroidissement, etc. ? - Pour concurrencer le RAVEN ? Est ce que quelqu'un (idem) a entendu parler de problèmes (majeurs) sur le RAVEN pouvant justifier un abandon ? - Pour rester dans la course et développer les solutions de la prochaine génération ? Mais est ce quelqu'un a une idée, même très très large, du budget que cela peut représenter ? La technologie GaN est prévue pour F4, mais nous on ne communique pas sur les étapes, il est cependant vraisemblable que ce soit pour F4.2 et sans les panneaux latéraux qui seront pré câblés mais installés plus tard. Le GaN de SAAB est pour les Gripen C/D afin de les maintenir compétitifs pendant encore un certain temps. Le GaN simplifie les problèmes de génération électrique, refroidissement etc... car ces modules ont un meilleur rendement que les GaS ce qui soulage la génération électrique et diminue les besoins d'extraction de chaleur. C'est indépendant du développement du Raven qui est même envisagé dans un deuxième temps sur les Gripen C/D Budget du genre 1 milliard d'euros minimum 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 Tiens, pas de repositionneur sur celui là ;) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 il y a 6 minutes, prof.566 a dit : Tiens, pas de repositionneur sur celui là ;) Non et un argumentaire disant qu'ils ont fait des développements logiciels pour qu'il n'y ait pas de pertes de détection aux frontières du domaine de veille!!! 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 Saab Flies New GaN Fighter Radar https://www.ainonline.com/aviation-news/defense/2020-04-24/saab-flies-new-gan-fighter-radar Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 32 minutes ago, Picdelamirand-oil said: Non et un argumentaire disant qu'ils ont fait des développements logiciels pour qu'il n'y ait pas de pertes de détection aux frontières du domaine de veille!!! 1 hour ago, Picdelamirand-oil said: La technologie GaN est prévue pour F4, mais nous on ne communique pas sur les étapes, il est cependant vraisemblable que ce soit pour F4.2 et sans les panneaux latéraux qui seront pré câblés mais installés plus tard. Le GaN de SAAB est pour les Gripen C/D afin de les maintenir compétitifs pendant encore un certain temps. Le GaN simplifie les problèmes de génération électrique, refroidissement etc... car ces modules ont un meilleur rendement que les GaS ce qui soulage la génération électrique et diminue les besoins d'extraction de chaleur. C'est indépendant du développement du Raven qui est même envisagé dans un deuxième temps sur les Gripen C/D Budget du genre 1 milliard d'euros minimum il serait peut être temps de communiquer un peu là non? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 Il y a 10 heures, prof.566 a dit : il serait peut être temps de communiquer un peu là non? Au grand public ? On s'en fou nan ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 26 avril 2020 Share Posté(e) le 26 avril 2020 Il y a 12 heures, Picdelamirand-oil a dit : La technologie GaN est prévue pour F4, mais nous on ne communique pas sur les étapes, il est cependant vraisemblable que ce soit pour F4.2 et sans les panneaux latéraux qui seront pré câblés mais installés plus tard. Je croyais que le GaN n'était envisagé que pour le Spectra et pas pour le RBE-2 !? Il y a 12 heures, Picdelamirand-oil a dit : C'est indépendant du développement du Raven qui est même envisagé dans un deuxième temps sur les Gripen C/D Budget du genre 1 milliard d'euros minimum La vache ... 2 concurrents à 1Md€ pour un parc aussi petit .... C'est étonnant quand même. On ne parle pas du parc de F16 là. Il y a une pièce du puzzle qui manque 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 27 avril 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 27 avril 2020 Il y a 6 heures, LePetitCharles a dit : Je croyais que le GaN n'était envisagé que pour le Spectra et pas pour le RBE-2 !? La vache ... 2 concurrents à 1Md€ pour un parc aussi petit .... C'est étonnant quand même. On ne parle pas du parc de F16 là. Il y a une pièce du puzzle qui manque Il y a ça qui date de 2017: je le dis afin que l'on comprenne bien ce que signifie des précisions comme "déjà développé" et à cette époque F 4.2 était prévu pour 2025 alors qu'il est maintenant prévu pour 2024. http://www.f-16.net/forum/download/file.php?id=25484&sid=5fd71907ad137a02dcc17774fb7f7a09 Page 8 et 9 Citation GaN technology Thales and the DGA are actively preparing the future radar developments that will be introduced on Standard F4.2, incorporating cutting-edge Gallium Nitride (GaN) technology for the radar and jammer antennas. Thanks to additional radar apertures, detection capabilities will be unmatched and electronic attack capabilities will become a reality. The programme director explained: “Even though we are entirely satisfied with the current RBE2 AESA radar, we are already working on the next generation scheduled to appear on new-build aircraft in 2025. “For the same volume, GaN technology will offer an expanded bandwidth, more radiated power and an even easier ability to switch from one mode to another, or from one functionality to another. With the same antenna, we will be capable of generating combined, interleaved radar, jamming and electronic warfare modes as part of an electronic attack mission. “GaN emitters will not be restricted to the radar and they will also equip the Spectra suite. For example, for the antennas in the wing apexes, ahead of the canard foreplanes, we could obtain a very quick emission/reception cycle, either saving some volume or augmenting radiated power. On Tranche 5 Rafales, we will have at our disposal twice the amount of transmitted power for the radar and jamming antennas. Thales has already produced and tested in laboratories a series of GaN module prototypes for the new radar and initial testing results look extremely promising. “Following the entry into service of the AESA in 2013, the deliveries of the Meteor in 2018 will push the Rafale into a class of its own – we will be the only ones in the world operating a fighter equipped with an AESA and a ramjet-propelled missile – but we have to keep investing to maintain our leadership. This is the reason why this GaN technological path is so important, especially for the development of additional emitting panels and apertures that will offer extended radar angular coverage. “It is not just an improvement; it is a real technological breakthrough in the field of detection. Jamming modes will not be left untouched and will push the Rafale’s electronic warfare capabilities to unprecedented levels thanks to the introduction of what we call ‘smart jamming’, with a wider band coverage and GaN emitters from 2025. These capabilities will be further expanded thanks to the adoption of MFAs [Multi-Function Arrays].” The Rafale’s Front Sector Optronics (FSO) will be fitted with a new-generation infrared search and track (IRST) sensor optimised for the tracking of air targets, either alone, or in conjunction with the RBE2 radar. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) La technologie GaN Thales et la DGA préparent activement les futurs développements de radars qui seront introduits sur la norme F4.2, intégrant la technologie de pointe du nitrure de gallium (GaN) pour les antennes de radar et de brouilleur. Grâce aux ouvertures supplémentaires des radars, les capacités de détection seront inégalées et les capacités d'attaque électronique deviendront une réalité. Le directeur du programme a expliqué : "Même si nous sommes entièrement satisfaits de l'actuel radar RBE2 AESA, nous travaillons déjà sur la prochaine génération qui devrait faire son apparition sur les avions de nouvelle construction en 2025. "Pour le même volume, la technologie GaN offrira une bande passante élargie, une puissance rayonnée plus importante et une capacité encore plus facile à passer d'un mode à l'autre, ou d'une fonctionnalité à l'autre. Avec la même antenne, nous serons capables de générer des modes combinés de radar entrelacé, de brouillage et de guerre électronique dans le cadre d'une mission d'attaque électronique. "Les émetteurs de GaN ne seront pas limités au radar et ils équiperont également la suite Spectra. Par exemple, pour les antennes des apex des ailes, en avant des avant-plans canards, nous pourrions obtenir un cycle d'émission/réception très rapide, soit en économisant un certain volume, soit en augmentant la puissance rayonnée. Sur les Rafale de la tranche 5, nous disposerons de deux fois plus de puissance émise pour les antennes radar et de brouillage. Thales a déjà produit et testé en laboratoire une série de prototypes de modules GaN pour le nouveau radar et les premiers résultats des tests semblent extrêmement prometteurs. "Après l'entrée en service de l'AESA en 2013, les livraisons du Meteor en 2018 vont pousser le Rafale dans une classe à part - nous serons les seuls au monde à exploiter un avion de combat équipé d'un AESA et d'un missile à propulsion par statoréacteur - mais nous devons continuer à investir pour conserver notre leadership. C'est la raison pour laquelle cette voie technologique du GaN est si importante, notamment pour le développement de panneaux émetteurs et d'ouvertures supplémentaires qui offriront une couverture angulaire radar étendue. "Ce n'est pas seulement une amélioration, c'est une véritable percée technologique dans le domaine de la détection. Les modes de brouillage ne seront pas épargnés et porteront les capacités de guerre électronique du Rafale à des niveaux sans précédent grâce à l'introduction de ce que nous appelons le "brouillage intelligent", avec une couverture de bande plus large et des émetteurs GaN à partir de 2025. Ces capacités seront encore étendues grâce à l'adoption de MFA [Multi-Function Arrays]". L'Optronique du secteur frontal (FSO) du Rafale sera équipé d'un capteur infrarouge de recherche et de poursuite (IRST) de nouvelle génération, optimisé pour la poursuite de cibles aériennes, seul ou en combinaison avec le radar RBE2. 2 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 Le 26/04/2020 à 12:03, Ponto Combo a dit : Saab Flies New GaN Fighter Radar https://www.ainonline.com/aviation-news/defense/2020-04-24/saab-flies-new-gan-fighter-radar en francais : http://psk.blog.24heures.ch/archive/2020/04/25/saab-teste-un-radar-aesa-pour-le-gripen-c-d -869100.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 Le 25/04/2020 à 13:49, Picdelamirand-oil a dit : 976 modules. Oui j'ai compté. En image: Le 26/04/2020 à 11:28, prof.566 a dit : Tiens, pas de repositionneur sur celui là ;) Oui étrange hein? Bon après c'est peut être uniquement pour le prototype... Le 26/04/2020 à 11:36, Picdelamirand-oil a dit : Non et un argumentaire disant qu'ils ont fait des développements logiciels pour qu'il n'y ait pas de pertes de détection aux frontières du domaine de veille!!! Ce que bien sûr les gens de Thalès n'ont pas réussi à faire, c'est pour ça qu'ils markettent 70° d'angle de vue de part et d'autre au lieu de 60° sur les radars concurrents. ...mais ça doit être de la propagande française. Il y a 18 heures, clem200 a dit : Au grand public ? On s'en fou nan ? Pas d'accord, c'est même tout le contraire, SURTOUT dans des sociétés de l'information démocratiques. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 Le 26/04/2020 à 12:03, Ponto Combo a dit : Saab Flies New GaN Fighter Radar https://www.ainonline.com/aviation-news/defense/2020-04-24/saab-flies-new-gan-fighter-radar Citation For now there are no plans to equip the new-generation Gripen E/F with the GaN radar as the GaAs-based Leonardo ES-05 Raven is fully integrated for that requirement, but it could be substituted if a customer specified it. Saab also points out that the work being performed by the company on an AESA radar for the KF-X fighter in collaboration with South Korean industry is a separate project. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 il y a 9 minutes, Patrick a dit : 976 modules. Oui j'ai compté. Patrick, tu es un grand malade Révélation On verra qui recompte ! Ces comptes m’ont toujours intrigué : pourquoi un module X serait-il comparable à un module Y? Et pourquoi, en admettant que les fondeurs fassent des produits comparables, l'électronique «derrière » serait aussi la même (dsl pour le vocabulaire neuneu, je ne sais pas faire mieux)? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 il y a 5 minutes, Hirondelle a dit : Patrick, tu es un grand malade Révéler le texte masqué On verra qui recompte ! Ces comptes m’ont toujours intrigué : pourquoi un module X serait-il comparable à un module Y? Et pourquoi, en admettant que les fondeurs fassent des produits comparables, l'électronique «derrière » serait aussi la même (dsl pour le vocabulaire neuneu, je ne sais pas faire mieux)? Ah non mais qu'on se mette d'accord: connaître le nombre de modules d'un prototype de radar ça signifie que la présentation de ce radar relève de la pure com'. C'est là pour démontrer ou prétendre quelque chose. Après bien sûr si tu vas voir le client en disant "bon on a montré une image à 976 modules mais en fait le modèle de série c'est 800" tu passes pour un menteur. Donc généralement les "vrais" radars ont plus de modules que les protos. Cf: RBE2 AESA prototype à 840 modules, et modèle de série à un peu plus de 1000 modules (cause réduction de leur taille). Mais ce n'est pas toujours vrai, cas du F-35 passé de 1600 (plaquettes publicitaires) à 1000 modules environs. C'est aussi un indice sur la puissance rayonnée, l'utilisation des secteurs d'antennes, etc. Raison pour laquelle sur les vrais AESA le nombre de modules est du confidentiel. Je me demande même si dans le cas du Rafale ce n'est pas du "très secret rubis". SAAB ont aussi l'habitude de communiquer à outrance. Là montrer les modules c'est de la com' bien grasse pour se faire voir dans le cadre du contrat HX en Finlande. Et n'oublions pas qu'ils continuent de gratter en Suisse. Or, s'ils ont choisi de procéder de la sorte, c'est qu'ils ont identifié une faiblesse. Ça peut signifier plein de choses. Mais ça ne veut certainement pas dire que ça y est c'est game over pour les autres. En revanche une telle annonce peut pousser à obtenir des crédits pour passer le RBE2 AESA en GaN ce qui serait excellent. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 (modifié) Le 26/04/2020 à 10:51, LePetitCharles a dit : Donc pourquoi développer ce radar ? - Pour le proposer aux propriétaires de Gripen C/D pour un retrofit ? Est ce que quelqu'un (Pic ?) sait si cela est crédible/ compatible avec les enjeux de générations électriques, refroidissement, etc. ? - Pour concurrencer le RAVEN ? Est ce que quelqu'un (idem) a entendu parler de problèmes (majeurs) sur le RAVEN pouvant justifier un abandon ? - Pour rester dans la course et développer les solutions de la prochaine génération ? Mais est ce quelqu'un a une idée, même très très large, du budget que cela peut représenter ? En plus des éléments apportés par Pic, cela fait un moment que Saab (après avoir notamment intégré Ericsson) se positionne sur les technologies radar (pas seulement embarqués) et l'introduction des technologies GaN dans le domaine. Je pense qu'il y a une vision à long terme et qu'ils se voient bien moderniser pas mal d'avions... et pas seulement des Gripen. Peut-être ne sont-ils pas tout à fait sûrs de pouvoir continuer à développer/produire des chasseurs-bombardiers à l'avenir, notamment parce qu'il n'est pas certain que la Suède passe des commandes suffisantes, et je me demande s'ils ne s'imaginent pas un positionnement, si la situation les y poussait, à l'israélienne : vendre des sous-systèmes à travers le monde, pour lesquels leur domaine d'excellence serait reconnu, et ce sur des avions qu'ils n'auront pas forcément développés/produits. La vente de sous-systèmes n'est pas aussi dépendante du pays et de sa capacité à peser sur les négociations que pour un chasseur. Modifié le 27 avril 2020 par Skw 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 27 avril 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 27 avril 2020 il y a 22 minutes, Hirondelle a dit : Ces comptes m’ont toujours intrigué : pourquoi un module X serait-il comparable à un module Y? Ils ne le sont pas. Mais sur les forums, il existe une torsion particulière du continuum espace-temps, d'influence anglo-saxonne, qui nivelle les capacités et transforme le module en "unité quéquette" permettant toutes les comparaisons. Pas la peine d'ergoter, ce n'est pas discutable ni réfutable, ou alors c'est pour dissimuler ton incompétence en tentant de justifier que ton radar AESA a moins de modules que le leur et en refusant d'admettre qu'il est inférieur. Et pas la peine d'expliquer que ce n'est pas "la taille" qui compte mais "la façon de s'en servir". Il n'existe qu'une façon de s'en servir : combien de modules ? 1 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 27 avril 2020 Share Posté(e) le 27 avril 2020 (modifié) il y a 17 minutes, Patrick a dit : obtenir des crédits pour passer le RBE2 AESA en GaN ce qui serait excellent. Il n’y a rien qui vole au GaN sur chasseur il me semble (à part le Saab, donc)? Mon anglais n’est pas suffisant pour essayer de comprendre la littérature que j’ai trouvé pour comparer GAas et GaN: la technologie GaN est elle une évidence pour tout type d’AESA ? Modifié le 27 avril 2020 par Hirondelle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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