Hirondelle Posté(e) le 11 octobre 2021 Share Posté(e) le 11 octobre 2021 Il y a 10 heures, collectionneur a dit : Un des systèmes Iron Dôme achetés par l'US Army sera testé de mi octobre a novembre a Guam dans le cadre de la lutte contre les missiles de croisière. Pas de tirs réels prévus : lhttps://www.defensenews.com/land/2021/10/07/iron-dome-heads-to-missile-defense-experiment-in-guam/ Je ne comprends pas ce sue fait cet Iron Dome à Guam : pour moi, la particularité du bouzin c’est qu’il est spécialisé contre les attaques balistiques, et notamment que par ses capacités à prédire le point d’impact, il peut choisir de détruire ou non la cible et se concentrer sur le plus dangereux. Mais les missiles de croisière, c’est piloté, ça a des trajectoires complexes : quel apport du truc avec ses petits Tamir à courte portée ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 11 octobre 2021 Share Posté(e) le 11 octobre 2021 @Hirondelle On annonce tout de même jusqu'à 60 km de portée pour une île qui fait dans les 50 km de long pour 20 km de large qui doit être avoir un AWACS E-2 ou E-3 en permanence en l'air. Pour moi, c'est faisable. Et comme indiqué, ce ne sont que des essais, fait bien tester ce que l'on peut faire avec. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 11 octobre 2021 Share Posté(e) le 11 octobre 2021 il y a 49 minutes, collectionneur a dit : @Hirondelle On annonce tout de même jusqu'à 60 km de portée pour une île qui fait dans les 50 km de long pour 20 km de large qui doit être avoir un AWACS E-2 ou E-3 en permanence en l'air. Pour moi, c'est faisable. Et comme indiqué, ce ne sont que des essais, fait bien tester ce que l'on peut faire avec. 60 km ? Ouais, je vois même 70 km pour un missile maigrelet et pas cher à peine plus long qu’un Python ! Même propulsé par une tuyère à prières, aucune chance d’aller taper quoique ce soit à 70 bornes sans changer les lois de la physique (ou peut-être un aérostat ?)... Sans compter qu’à cette distance, sans énergie, avec son p’tit autodirecteur optique et sans doute une charge militaire rikiki, il faudrait encore qu’il intercepte pil poil un missile de croisière d’une tonne en pleine manœuvre terminale... ( suis même pas sur que ce capteur optique est un autodirecteur et pas une fusée de proximité...) Mais je parle du très peu de chose que je sais du Tamir. J’y pense, il me semble bien que l’Iron Dome tire aussi du plus gros. Peut-être ça. Je chercherai quand un peu de temps Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 22 octobre 2021 Share Posté(e) le 22 octobre 2021 C'est vrai que quand on voit ce qu'il faut pour intercepter un icbm à l'apogée de ça phase balistique ça laisse songeur... https://m.youtube.com/watch?v=KBMU6l6GsdM 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 24 juin 2022 Share Posté(e) le 24 juin 2022 (modifié) Un rapport intéressant de CSIS sur ce que les derniers développements technologiques changent pour l'interception boost phase: https://www.csis.org/analysis/boost-phase-missile-defense Modifié le 24 juin 2022 par hadriel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 24 juin 2022 Share Posté(e) le 24 juin 2022 2 hours ago, hadriel said: Un rapport intéressant de CSIS sur ce que les derniers développements technologiques changent pour l'interception boost phase: https://www.csis.org/analysis/boost-phase-missile-defense Conclusion With North Korea and Iran introducing more capable and maneuverable missile systems, the United States should reexamine boost-phase missile defense as an option for improving homeland missile defense. These missile threats strain existing homeland defenses just as their supporting assets become increasingly needed to counter peer competitors in regional contingencies. This reality drove the decision to pursue the Next Generation Interceptor, which will be able to counter more complex threats than the currently deployed Ground-Based Interceptors. Even with the more capable Next Generation Interceptor in place, it may be risky relying solely on a single solution for homeland defense. U.S. missile defense efforts have long envisioned a layered approach, for good reason. A boost-phase defense architecture based on appropriately mature technologies might usefully supplement homeland defense, lessening the burden on the Ground-based Midcourse Defense system. Just as threat trends make boost-phase defense more desirable, ongoing technical trends may make this approach more viable. Advancements in sensors—in image processing and next-generation radar—might aid in lengthening engagement timelines, making the boost-phase problem more tractable. Advancements in long-endurance remotely-piloted aircraft likewise offer the promise of a persistent airborne platform that can overcome some of the challenges of terrestrial basing and the cost, availability, and persistency shortcomings of crewed aircraft. By harnessing and integrating advances in the military and commercial sectors, a kinetic boost-phase defense against North Korean ICBMs may be possible in the near term as Pyongyang continues to advance its ballistic missile program. Such a goal would, of course, require renewed policy prioritization and budgetary commitment. Advancements in space launch, high-powered35 | Boost-Phase Missile Defense lasers, and satellite manufacturing might promise more significant performance in the longer term. The appendices explore the state and potential of these technologies and industries in more detail. The world has not stood still since the last comprehensive boost-phase assessments took place nearly 10 years ago. Many of the assumptions that drove past assessments may no longer be valid. A combination of new threats, enablers, and strategic priorities warrants renewed attention to boost-phase missile defense. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 5 août 2022 Share Posté(e) le 5 août 2022 Les gros GBI seront remplacés à partir de 2028 par Northrop Grumman : https://air-cosmos.com/article/les-etats-unis-selectionnent-northrop-grumman-pour-assurer-le-futur-de-la-defense-antibalistique-americaine-45448 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 5 août 2022 Share Posté(e) le 5 août 2022 Il y a 3 heures, collectionneur a dit : Les gros GBI seront remplacés à partir de 2028 par Northrop Grumman : https://air-cosmos.com/article/les-etats-unis-selectionnent-northrop-grumman-pour-assurer-le-futur-de-la-defense-antibalistique-americaine-45448 Je tiens à l'indépendance d'info du Forum... Citations et restructuration de ce que j'ai lu DECISION: "le gouvernement des États-Unis à décidé de faire appel à Northrop pour diriger l'évolution du programme antibalistique GWS ( Ground-based Midcourse Defense Weapon System )" "Northrop sera chargé de la conception, de la production, de la mise en service et de la maintenance du futur système anti-missile GWS" : "moderniser une structure déjà existante, capable de lutter plus efficacement contre une potentielle frappe de missiles balistiques et intercontinentaux, tandis que les menaces russes, chinoises et nord-coréenne se font progressivement plus pesantes." Occasion de REVISER les composants actuels et futurs en matière d' ABM US ACTUELS : "Le Ground-based Midcourse Defense ( GMD, ou "défense de mi-parcours basée au sol" ) possède des silos dissimulés sur la côte ouest des États-Unis, notamment en Californie et en Alaska. Chaque silo contient des missiles sol-air, les Ground-based Interceptors (GBI, "intercepteurs sol-air") capables d'atteindre et détruire des ICBM ou engins balistiques transportant des têtes conventionnelles, chimiques ou nucléaires. Les premiers essais du système ont été opérés en 1999. Les installations ont depuis été modernisées et sont supervisées par l'U.S. Army, l'armée de l'air pouvant fournir un appui aérien si requis. L'appareillage global est constitué de plusieurs radars consacrés à la détection de menaces, de modules de commande et de communications ainsi que d'un "tueur de missiles" exoatmosphérique (EKV). Actuellement, plusieurs firmes travaillent à la maintenance de la GMD, telles que Boeing, Raytheon ou encore Northrop. L'interception et la destruction de missiles balistiques s'avère cependant être une tâche complexe : il faudrait quatre GBI pour détruire un seul ICBM, avec un taux de réussite de 97 %." FUTURS : "Avec le contrat accordé à Northrop et la modernisation des installations, les États-Unis pourraient bien se munir d'un "iron dome" antibalistique. En 2021, le Pentagone révélait vouloir mettre en service un nouveau missile d'ici à 2028, intégré au programme Next Generation Fighter (NGF)" FUTUR / EUROPE et ailleurs : "Le sujet de l'interception d'ICBM et d'engins balistiques devient une question pressante pour de nombreuses nations. Plusieurs pays européens travaillent aujourd'hui sur le projet EU HYDEF (European Union Hypersonic Defense), visant à créer une gamme de missiles exoatmosphériques capables de détruire des appareils hypersoniques. " Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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