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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


Messages recommandés

Il y a 7 heures, mehari a dit :

 le groupe de Visegrad ou le Danemark pourraient tenter de faire pencher la balance dans un autre sens...

bof le groupe de Visegrad c'est 65 millions d'habitant dont 38,5 pour la seule Pologne et le Danemark 5 millions ... (les 6 pays fondateurs de l'Europe c'est 236 millions sans l'Espagne et les autres)  donc  ça pèse pas lourd en terme de marché et ce d'autant moins que pour ce qui est du groupe de Visegrad .... la Pologne en particulier est le principal bénéficiaire des subventions Européennes ... alors faudrait pas qu'il se la ramène trop.

Déjà avoir constitué un groupe pour peser plus quand on est le principal bénéficiaire c'est guère fairplay .... faire du dumping social sur les pays de l'Ouest et jouer au pauvre quand on taxe ses entreprises au minimum et qu'on gémit tout le temps par rapport aux Russes ( tel un Chihuahua sur le point de se faire sodomiser par un doberman après l'avoir excité), et qu'en outre les valeurs de ses pays ne sont pas franchement celles des autres .... bref tout ça pour dire que quand on a un passif pareil on ne doit pas trop se la ramener...saut à se prendre un revers en retour.

J'espère que le groupe de Visegrad se voit prochainement mis en demeure d'être un peu mieux européen.

Modifié par Lezard-vert
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Des nouvelles sur l’aviation.

 

EasyJet, une compagnie low cost Anglaise, étudie son déménagement en Europe. Elle est déjà détenue à 49% par des Européen donc passer à 51% sera facile. Elle va fonder deux compagnies. Une pour le  sud de l’Europe au Portugal. L’autre pour le  Nord de l’Europe dans un pays quelle cherche encore.

 

A contrario, British Airways étudie comment revenir en Angleterre! Elle est détenue par des Espagnols. Elle pourrait accéder à l'Europe. Mais son chiffre d’affaire dépend en trop grande partie de l’accés à l’aéroport de Londres. Elle veut garder ses droits d’accés qui sont négocies avec le gouvernement du RU.

 

Un syndicat patronal des compagnies Aérienne Anglaises demande que l’Europe et le RU négocient rapidement un accord de libre échange ouvert après le Brexit. Lufthansa s’y oppose.

Modifié par Marcus
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C'est là que les anglais n'ont pas pensé aux conséquences: il est évident que TOUTES les grosses entreprises européennes vont tenter de flinguer la part de marché des anglais dans tous les domaines. Assassiner les aéroports de Londres serait un gros gain. Les Français et les Allemands voir les Hollandais doivent avoir des rêves de hub européen déplacés sur leur territoire. Il suffit de donner des créneaux à la con aux anglais qui ne peuvent plus râler: ils ne sont plus dans l’Europe. C'est con hein!

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Sur l'avenir de l'industrie automobile au RU , article très complet. 

http://www.lepoint.fr/automobile/actualites/en-renouveau-l-industrie-automobile-britannique-a-la-croisee-des-chemins-du-brexit-26-01-2017-2100166_683.php#site

On note : "Theresa May a officialisé un secret de polichinelle : le Royaume-Uni quittera le marché unique européen en même temps que l'Union européenne."

 

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2 hours ago, zx said:

Le problème de calais devrait se résoudre de lui même, il suffit d'ouvrir les portes, quand ils sortent de l'UE ^^

L'accord que nous avons avec le Uk concernant la retenu des clandos a Calais n'est pas lié a l'appartenance a l'union ... c'est un accord bilatéral. Le Uk n'est pas Schengen.

14 hours ago, Fusilier said:

Sur l'avenir de l'industrie automobile au RU , article très complet. 

http://www.lepoint.fr/automobile/actualites/en-renouveau-l-industrie-automobile-britannique-a-la-croisee-des-chemins-du-brexit-26-01-2017-2100166_683.php#site

On note : "Theresa May a officialisé un secret de polichinelle : le Royaume-Uni quittera le marché unique européen en même temps que l'Union européenne."

 

C'est pas un marché unique c'est un marché commun ... c'est la monnaie qui est unique ...

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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

C'est pas un marché unique c'est un marché commun ... c'est la monnaie qui est unique ...

Je crois que généralement les gens parlent de "marché unique" pour parler des règles européennes consacrées par l'Acte Unique Européen de 1986. Le vieux "marché commun" issu du traité de Rome de 1957 était par bien des aspects une simple union douanière, tandis que le "marché unique" prévoit beaucoup d'autres obligations supplémentaires pour lever les barrières non-tarifaires. C'est là que les Etats ont consenti à abandonner leur souveraineté en matière de codification des normes des produits.

Modifié par Wallaby
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Le 10/05/2017 à 00:47, mehari a dit :

Je n'attends pas de cadeaux de Martin Schultz, Donald Tusk ou Jean-Claude Juncker non-plus... Ou des représentants du BeNeLux, du groupe ALDE, du groupe S&D, du groupe V/ALE, d'une partie du PPE et des gouvernements français, espagnols, italiens ou portugais, voire même des Baltes ou finlandais. Suivant les négociations passées, les grecs pourraient aussi choisir d'être plus ou moins tendres avec les Brits. Cependant, ils n'ont pas le pouvoir seul et le groupe de Visegrad ou le Danemark pourraient tenter de faire pencher la balance dans un autre sens...

Il me semble qu'il suffit qu'un seul pays ne soit pas d'accord pour que l'accord tombe à l'eau ...

 

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12 hours ago, Fusilier said:

Tu devrais le signaler au journaliste, les "lapsus"  cela arrive

Quand c'est systématique notament sur monnaie commune monnaie unique ... on se demande parfois si les journalistes comprennent de quoi il parle.

Le marché commun, est actuellement officiellement appelé, "marché intérieur de l'union européenne" ou "Espace économique européen".

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Le 09/05/2017 à 23:46, Carl a dit :

- on paye depuis des décennies la majeure partie de leur fichu rabais qui n'aura plus lieu d'être, donc ça fait déjà 1.6 G€ / an pour la France (...)

- la future renégociation du budget va être dure, mais ça pourrait être plus facile sans les anglais et leur éternel chantage "paye mon rabais sinon on cogne la PAC"

Voici qui rappellera quelques souvenirs aux plus âgés expérimentés d'entre nous :smile:

Thatcher-Copenhague-Plantu.jpg

Thatcher-Fontainebleau-Plantu.jpg

 

Le 09/05/2017 à 22:53, Toratoratora a dit :

Cameron a agité le spectre du referendum pour tenter d'imposer des choses à l'UE, raté, il l'a maintenu pour calmer les plus radicaux chez lui tout en se disant que ça ne passera jamais en jouant son mandat politique là dessus. Boum victoire du brexit (...) Personne n'a vraiment présenté aux britanniques une simulation réaliste des conséquences du brexit (...) quand on commence à faire n'importe quoi, on ne maitrise plus rien. 

Si les Britanniques ont donné dans les derniers mois une forte impression d'être mal préparés au Brexit, c'est pour une raison simple. Ce ne sont en général pas les Britanniques visibles de l'étranger - c'est-à-dire ceux qui sont au pouvoir - qui voulaient sortir de l'UE, et ils ne l'ont donc pas préparé.

C'est un peu plus de la moitié du peuple britannique qui le voulait, lequel ne l'a bien entendu préparé, vu que ce n'est pas son boulot. En démocratie, c'est le peuple qui décide, mais ce n'est en général pas lui qui décide comment techniquement appliquer ces décisions. C'est là le boulot de ses hommes d'Etat, négociateurs et autres. Et ils sont encore en phase d'adaptation aux difficultés techniques de cette adaptation.

 

En ce qui concerne l'idée que "personne (n'aurait) vraiment présenté une simulation réaliste des conséquences"... on peut prendre l'argument de deux manières. Car de fait des simulations furent bien présentées, sur le mode "fin du monde si vous votez pour sortir". Et il est vrai que ces simulations étaient tout sauf réalistes :happy: - en ce sens l'argument est tout à fait correct.

On peut aussi comprendre l'argument comme "le peuple a fait n'importe quoi car il est bête et il fallait que ses supérieurs l'éclairent de leurs lumières". J'ai bien noté que ce n'est pas ce que tu as dit. Je souligne cependant que tout le monde n'a pas les pudeurs de gazelle qui interdisent de parler franchement de la sorte. :smile: Mais là je ne suis pas d'accord : il faudrait beaucoup de mépris envers l'ensemble des citoyens d'une nation pour penser que ceux-ci ne peuvent que faire n'importe quoi quand on ne les éclaire pas. La réalité est que la campagne avant le vote, comme toute campagne référendaire, a été l'occasion pour les uns et pour les autres d'expliquer leurs arguments, que chaque électeur a ainsi eu la possibilité de creuser le sujet... et qu'il a finalement tranché.

"Mal" tranché ? Eh, qui sait... peut-être pas :smile: ? La Grande-Bretagne quitte le navire alors qu'il donne déjà de la gîte certes, mais alors qu'il n'est pas au fond de l'eau. Il est fort possible qu'elle s'en sorte mieux au final que ceux qui s'obstineront à rester alors même que d'autres membres s'en iront.

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il y a une heure, Alexis a dit :

En ce qui concerne l'idée que "personne (n'aurait) vraiment présenté une simulation réaliste des conséquences"... on peut prendre l'argument de deux manières. Car de fait des simulations furent bien présentées, sur le mode "fin du monde si vous votez pour sortir". Et il est vrai que ces simulations étaient tout sauf réalistes :happy: - en ce sens l'argument est tout à fait correct.

Le gouvernement en place a présenté, très mal d'ailleurs, des prévisions portant sur ce qui se passerait après la sortie et basées sur des hypothèses... non-précisées. Autant dire du pipeau complet, genre UKIP : c'est aussi minablissime en face.

Et sinon, disons que les gens sérieux n'ont pas prévu de drame à court terme ;-)

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@ Alexis : Ce que je voulais exprimer (mal peut être) c'est que la campagne s'est souvent limitée à des confrontations extrême, genre "il faut éviter le chaos d'un départ vs ne soyons plus à la botte de Bruxelles qui nous saigne...". Quand on noie des arguments objectifs dans un discours apocalyptique pour justifier le maintien dans l'UE le discours se brouille et du coup il ne pèse pas plus lourd que les saillies de Farage ou Johnson.

Il y a (bien évidement) un écart entre le chaos et la situation très difficile que vont devoir traverser les Britanniques. L'exagération et l'outrance ont nivelé les discours vers le bas. C'est bien le danger de ce genre de referendum. Tu dis que les Britanniques ont choisi, moi je dirai qu'ils n'ont pas vraiment eu l'opportunité de faire un choix rationnel (pour certains), le referendum devenait pour certains un choix entre la peste et le choléra avec des positions limite hystériques.

C'est un phénomène qui se généralise dans le monde, on l'a vu lors de la campagne de Trump et parfois aussi chez nous. Les médias en ligne, l'instantanéité de l'information non vérifiée, le manque de recul, de réflexion, la simplicité des raisonnements....  

Citation

Mais là je ne suis pas d'accord : il faudrait beaucoup de mépris envers l'ensemble des citoyens d'une nation pour penser que ceux-ci ne peuvent que faire n'importe quoi quand on ne les éclaire pas. La réalité est que la campagne avant le vote, comme toute campagne référendaire, a été l'occasion pour les uns et pour les autres d'expliquer leurs arguments, que chaque électeur a ainsi eu la possibilité de creuser le sujet... et qu'il a finalement tranché.

Un ensemble de citoyens, en groupe ou individuellement, peut être manipulé, orienté, voire même trompé. Pour l'élection de quelqu'un comme Trump c'est déjà (très) gênant, mais heureusement une certaine inertie des institutions permet de limiter les dégâts.  Pour le referendum Britannique tout est acté, il n'y a plus de retour arrière, maintenant il faut limiter la casse et ça ne va pas être simple si à nouveau les politiciens Britanniques restent sur une ligne inflexible, car en face, coté UE, ça ne semble pas vouloir céder non plus. Cela risque de  tourner à la bataille de chiffonniers. C'est juste mon avis qui vaut ce qu'il vaut.

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il y a 39 minutes, kotai a dit :

Le chèque britannique provient du fait qu'il n'avait pas le même retour que les autres pays qui se goinfre sur la PAC. C'est une compensation.....

La réalité est contrastée :

Citation

Certes, le Royaume-Uni est un contributeur net au budget européen. En 2014, le pays a contribué pour 9,7 %, soit 11,3 milliards d'euros, au financement de l'UE. Pour autant, l'Europe n'a pas coûté si cher au Royaume-Uni : elle n'est que le 4e contributeur à son budget (derrière l'Allemagne, la France et l'Italie) et, surtout, elle obtient en 1984 un substantiel rabais (6,1 milliards d'euros en 2015) sur sa contribution.

De plus, la PAC n'a pas été, tant s'en faut, une cruelle marâtre pour les farmers britanniques. L'agriculture britannique reçoit tous les ans plus de 4 milliards d'euros de soutiens agricoles versés au titre de la PAC. En 2013, les aides européennes, équivalentes à 4,3 milliards d'euros, ont représenté 43 % des revenus globaux dégagés par le secteur agricole. De fait, chaque agriculteur britannique perçoit en moyenne 34 000 EUR au titre des versements de la PAC.

En outre, certaines études prospectives insistent sur le fait que la fin de la générosité européenne à l'égard des agriculteurs britanniques risque d'avoir pour eux de fâcheuses conséquences. Selon certains experts européens, seuls 10 % des exploitations britanniques seraient en mesure de survivre à la fin des primes européennes. Pour sauver ses agriculteurs, Londres pourrait alors être contrainte de faire ce qu'elle n'a jamais vraiment tenté dans son histoire : une politique agricole nationale de soutien à l'agriculture.

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-158559-lagriculture-britannique-la-pac-et-le-brexit-autopsie-dun-divorce-consomme-2011424.php

 

il y a 6 minutes, kotai a dit :

Pourquoi quand le peuple s'exprime dans le sens qui ne convient pas à la ploutocratie en place, cela ne convient pas....Parce que cela ne va pas changer ma vie que les anglais partent....

Moi je me demande jusqu'où la ploutocratie a manipulé le peuple...

Quand à l'impact, si l'on s'en tient aux conséquences proportionnelles au poids de chaque acteur GB/UE il est clair que les répliques seront moins violentes au sein de l'UE, mais pas nulle, ça va dépendre aussi de comment va être géré de part et d'autres ce divorce.

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Euhhh 1984?

C'est là qui devient un problème, où la GB trouvera des clients, car si l'Europe veut jouer la carte dure avec des taxes dissuasive. Elle perdra gros, car la GB est un client et il risque de se pencher vers le Commonwealth et les USA. Tandis que les agro-industrie françaises devra compenser cette perte...

http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/l-agriculture-britannique-face-au-defi-du-brexit-1110854.html

 

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il y a 4 minutes, kotai a dit :

Euhhh 1984?

C'est là qui devient un problème, où la GB trouvera des clients, car si l'Europe veut jouer la carte dure avec des taxes dissuasive. Elle perdra gros, car la GB est un client et il risque de se pencher vers le Commonwealth et les USA. Tandis que les agro-industrie françaises devra compenser cette perte...

http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/l-agriculture-britannique-face-au-defi-du-brexit-1110854.html

 

Il n'est pas question de taxes dissuasive, juste de traiter normalement la GB comme tout autre pays non membre de l'UE. Et la GB et déjà libre aujourd'hui d'importer ses produits agricoles là où elle le souhaite.

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La GB sera au pire traitée avec les règles de l'OMC, modulo les clauses de sauvegardes légales. Mais Mme May s'orientait plus vers une négociation globale départ/accès au marché UE. Alors que coté UE le processus qui prime c'est :

1) On solde le départ (visiblement la GB doit honorer des engagements financiers contractés avant le brexit).

2) On négocie sur quelles bases la GB pourrait conserver un accès privilégié au marché UE (par rapport à un pays lambda) moyennant le respect de certaines règles.

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Il y a 6 heures, Alexis a dit :

 comme toute campagne électorale, a été l'occasion pour les uns et pour les autres d'expliquer leurs arguments, que chaque électeur a ainsi eu la possibilité de creuser le sujet... et qu'il a finalement tranché.

Tout à fait, suite de quoi d"autres peuples ce sont exprimés, suffisamment sèchement pour qu'on leur foute la paix avec le souverainisme pour au moins une 30e d'années  :rolleyes: :biggrin: 

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il y a 59 minutes, Fusilier a dit :

Tout à fait, suite de quoi d"autres peuples ce sont exprimés, suffisamment sèchement pour qu'on leur foute la paix avec le souverainisme pour au moins une 30e d'années  :rolleyes: :biggrin: 

Négatif Fusilier, les élections c'est tous les cinq ans... désolé ! :tongue:

Au demeurant, la grande majorité des Français trouvera bientôt que cinq ans c'est très très long. L'Emmanuel aura un mérite en tant que président, c'est de forcer à réévaluer Hollande comme un président tout à fait acceptable après tout, et les jours de son mandat comme une époque heureuse.

Mais fermons ici le HS.

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Il y a 6 heures, kotai a dit :

J'ai eu l'impression que l'Europe voulait punir la GB de son départ vu les propos guerriers!!!!

Une fois dépassés les propos "promotionnels" et aller le fond des sujets explorés, on s rend compte que la rhétorique du chaos utilisée durant le referendum et décriée est encore mise en oeuvre à large échelle, on lançant des informations incomplètes et manipulées pour faire porter à l'Europe un masque de méchanceté.

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