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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


Messages recommandés

https://www.theguardian.com/politics/live/2019/jul/29/brexit-boris-johnson-prime-minister-news-latest-dominic-raab-suggests-boris-johnson-wont-reopen-talks-with-eu-this-summer-until-it-agrees-to-abandon-backstop?page=with:block-5d3ea9f28f08d0b6ca539ada#block-5d3ea9f28f08d0b6ca539ada

Citation

Getting good trade deal from EU could be 'much easier' after no deal Brexit, Raab claims

Il est urgent que l'UE et ses états membres ne fassent rien et laissent le gouvernement anglais faire des moulinets. Quand il sera fatigué, alors peut-être...

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il y a 16 minutes, web123_2 a dit :

La version figaro :

"Le nouveau Premier ministre britannique Boris Johnson, en visite lundi en Ecosse, a déclaré qu'il y avait toutes les chances de voir le Royaume-Uni et l'Union européenne conclure un nouvel accord de Brexit, de même qu'un large accord commercial. «Ce que nous voulons, c'est dire tout à fait clairement que le backstop n'est pas bon, qu'il est mort, qu'il doit disparaître. L'Accord de retrait est mort, il doit disparaître. Mais il est possible de conclure un nouvel accord», a dit le chef du gouvernement en visitant une base navale près du village de Faslane."

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/brexit-boris-johnson-plaide-pour-un-vaste-accord-commercial-avec-l-ue-20190729

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Boris Johnson refuse de rencontrer les chefs d'Etat de l'UE jusqu'à ce qu'ils abandonnent le filet de sécurité

Citation

Boris Johnson refuse de s'asseoir pour discuter avec les dirigeants de l'UE jusqu'à ce qu'ils acceptent d'abandonner le filet de sécurité irlandais, malgré les invitations à des réunions de la chancelière allemande, Angela Merkel, et du président français, Emmanuel Macron.

Son porte-parole officielle a déclaré que le Premier ministre avait clairement fait savoir qu'il voulait conclure un accord, mais qu'il ne servait à rien d'avoir des entretiens en face à face à moins que l'UE n'accepte de rouvrir l'accord de retrait.

Ça va être court, les discussions sur "l'accord de Brexit" :happy: ...

 

 

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il y a 5 minutes, Alexis a dit :

Boris Johnson refuse de rencontrer les chefs d'Etat de l'UE jusqu'à ce qu'ils abandonnent le filet de sécurité

Ça va être court, les discussions sur "l'accord de Brexit" :happy: ...

 

 

Ils vont apprécier les allemands !! Eux qui faisaient passer le message qu'ils pouvaient accepter un nouveau délai.

Tout de suite çà règle le niveau des discussions à .... aucune. Bon la messe est dite ?

C'est quand même le niveau zéro de la technique de négociation. "C'est pas moi qui ait besoin de vous parler".

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J'essaie de réfléchir à la "situation d'après", je veux dire à partir de début novembre après la sortie sans accord. Evidemment ce ne sont que quelques idées, mais enfin voilà ce que je peux imaginer :

- Désordres modérés à intenses à court terme, pensant à l'effet sur la logistique, notamment l'axe Douvres-Calais qui réalise au moins la moitié du commerce entre RU et UE. Je trouve difficile d'être plus précis entre "modéré" et "intense", vu que la situation est sans précédent

- Diminutions nettes et permanentes de certaines activités économiques dépendantes de l'exportation vers l'UE, du fait des nouveaux obstacles à l'entrée du marché UE, comme des ralentissements et coûts supplémentaires imposés aux chaînes d'approvisionnement transfrontalières

- Ces diminutions sont particulièrement marquées pour les activités de service à l'échelle de l'UE, pour lesquelles les marges sont faibles. Manque de pot, c'est justement sur ces activités de service que le RU a un excédent commercial qui compense un peu son abyssal déficit dans le commerce des marchandises

- Impact négatif de court terme également sur le commerce hors-UE, sachant que le RU dépend actuellement des accords que l'UE a passé avec les autres marchés extérieurs, et qu'il n'aura certainement pas négocié de nouveaux accords ou même d'accords de suite d'ici la sortie sans accord de l'UE

- Impacts en miroir sur les pays de l'UE commerçant avec le RU, incluant tous les types d'inconvénients plus haut, cependant 5 à 10 fois moins intenses, à la mesure du poids du RU dans le commerce de chaque pays membre de l'UE (en gros dans une fourchette 5 à 10%, tandis que le poids de l'UE dans le commerce du RU est d'environ 50%)

- Baisse marquée de la livre sterling, dont une partie sera probablement permanente

- Comme déjà Theresa May l'avait annoncé, le RU n'établit pas de frontière physique entre les deux Irlandes. C'est aux Européens de s'en charger, sachant que c'est indispensable à l'intégrité du marché unique (il faut bien une barrière commerciale quelque part, sinon gros trafic de biens entrant par là sans payer de douane ni être contrôlés !). Deux options : frontière physique entre Irlande du Nord et République d'Irlande, ou bien des contrôles entre Irlande et reste de l'UE signifiant que l'Irlande n'est plus tout à fait dans le marché unique. C'est probablement l'Irlande qui décidera, du point de vue des 26 autres les deux solutions conviennent

- Le RU doit négocier, et rapidement, des accords commerciaux (notamment reconnaissance des normes) avec ses partenaires commerciaux, notamment l'UE qui pèse pour 50%. Il est en position de faiblesse, si bien que les conditions qu'il devra concéder à ses partenaires seront importantes. En ce qui concerne l'UE, le paiement du "solde de tout compte" sera probablement exigé comme préalable

- En revanche, il aura bien la liberté de décider de sa politique commerciale (mais sous fortes contraintes !), n'étant plus retenu par le filet de sécurité. A long terme, il est possible qu'un gouvernement habile, jouant des atouts géopolitiques du RU (qui ne sont pas énormes, mais existent bel et bien), jouant les grandes puissances commerciales les unes contre les autres, et investissant pour le long terme dans des innovations industrielles de rupture (pas d'autre solution que de se "refaire" une industrie !), parvienne à reconstruire une position internationale favorable pour le RU

- Bien sûr, il est assez difficile d'imaginer que ce gouvernement puisse être celui de Johnson...

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aalez, un petit clou dans les aspirations de BoJo : https://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/brexit-pourquoi-nancy-pelosi-peut-contrecarrer-les-plans-de-boris-johnson-1739399.html 

Le titre est très putaclick, par contre :

Citation

Le Brexit n’a finalement rien d’une affaire purement britannique. Et une nouvelle personnalité, plutôt inattendue, est venue le rappeler à Boris Johnson. Il s’agit de Nancy Pelosi, la redoutable adversaire démocrate de Donald Trump. De l’autre côté de l’Atlantique, elle joue un rôle pivot dans la stratégie politique de Johnson.

Pour le comprendre, il faut d’abord revenir sur la déclaration de la nouvelle secrétaire au commerce international britannique, Liz Truss, ce lundi dans le Daily Telegraph. « Je suis prêt à conclure un accord commercial avec les États-Unis » ecrit-elle dans une tribune. 

[...]

Mais encore faut-il que cette accord existe réellement. D’abord parce que ce type de texte est très long à mettre en place et Londres n’a pas vraiment le luxe de prendre son temps, si le no deal devient une réalité. Surtout, parce que Donald Trump est loin d’avoir tous les pouvoirs aux Etats-Unis, sur cette question. « Le Congrès doit avoir le pouvoir de réguler le commerce avec des nations étrangères » indique la Constitution américaine.

[...]

Pas d’opposition de principe mais une ligne rouge : la frontière nord-irlandaise. La communauté irlandaise, et surtout d’origine irlandaise, reste très importante aux Etats-Unis et a traditionnellement été un électorat clé des démocrates, bien que ce soit de moins en moins vrai aujourd’hui. Rien de vraiment étonnant que la question irlandaise devienne donc un des enjeux de l’accord commercial.  Boris Johnson a répété à l’envie qu’il ne voulait pas du backstop, faisant resurgir l’éventualité d’un frontière dure en Irlande du Nord. « Au cours de nos conversations avec des membres du Parti conservateur, plus tôt cette année, il n’était pas question d’un retour à une frontière dure sur l'île » prévient donc Nancy Pelosi dans le Irish Times. « Cette position n'a pas changé. Tout accord commercial entre les États-Unis et le Royaume-Uni devrait en tenir compte ».

 

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Je m’aperçois à l’instant qu’un exécutif de valeur n’a heureusement pas subi la loi du remaniement ministériel (pour nous en tout cas, peut-être moins pour lui), et The Sun s’en ait fait l’écho avec soulagement :

 

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Modifié par TarpTent
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Quand on voit la composition du nouveau cabinet, ça laisse rêveur, plus conservateur, tu meurs , ce qui de facto te mets en opposition avec la France et l’Allemagne .

les irlandais grognent ,les écossais reparlent Indépendance, bref notre bon Boris va devoir montrer ces talents de négociateur, en sachant que la France rêve de tuer la city...

ça nous promet de grands moments...

 

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Il y a 1 heure, Chimera a dit :

Les personnages médiocres et de faible hauteur morale ne se révèlent jamais pour écrire les grandes pages de l'histoire.

BoJo est un bouffon et il aura une fin de bouffon.

Avec son côté excentrique, amusant et aventureux, je le verrai bien dans un remake "Cercle des poètes disparus" en remplaçant du feu Robin Williams :normalc:

Avec lui, il y a du spectacle à la tribune ou perchoir parlementaire.

N'empêche que je préfère ce type en comparaison à Matteo Salvini, Viktor Orban, ... qui sont arrogants, suffisants, condescendants, méprisant, ...

Modifié par Mani
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Citation

L'Union européenne survivra-t-elle au Brexit ?

Citation

Lettre de Londres mise en forme par Edouard Husson. Nous recevons régulièrement des textes rédigés par un certain Benjamin Disraeli, homonyme du grand homme politique britannique du XIXe siècle.

https://www.atlantico.fr/decryptage/3577022/l-union-europeenne-survivra-t-elle-au-brexit--boris-johnson-theresa-may-europe-disraeli-scanner

Aussi ...

Citation

Si on s’attendait au pire avec Boris Johnson, le pire est bien arrivé mais plus encore.

Boris Johnson a composé l’un des plus mauvais gouvernements depuis la seconde guerre mondiale. Outre le fait que le nouveau premier ministre a limogé tous les partisans d’un retrait ordonné de l’Union européenne, son gouvernement est un gouvernement de privilégiés, d’affairistes, de réactionnaires, de libéraux admiratifs de Margaret Thatcher, enfin de frustrés renvoyés par Theresa May qui ne songeaient qu’à une chose: se venger et revenir.

Pour la peine de mort, contre l’avortement et le mariage gay

Parmi ces personnes, on peut citer Priti Patel, la nouvelle ministre de l’intérieur qui s’était, en 2011, prononcée en faveur de la peine de mort. Cette ancienne ministre chargée du développement international avait été renvoyée par Theresa May pour avoir mené une diplomatie parallèle en secret avec un pays étranger sans en avoir parlé au gouvernement ni au ministre des affaires étrangères. Elle est de retour pour avoir évidemment soutenu Boris Johnson.

La plupart des membres du gouvernement ont aussi voté à la chambre des communes contre le mariage pour les personnes de même sexe et plusieurs sont hostiles à l’avortement. Gavin Williamson fait partie de cette “clique”, lui qui, alors ministre de la défense, fut aussi renvoyé en cinq minutes par Theresa May, soupçonné d’avoir laissé filtrer des informations liées à des secrets d’Etat en parlant avec des journalistes. Il revient comme ministre de l’éducation, secteur marqué par des remous liés à la sensibilisation dans les écoles à la tolérance sur l’homosexualité.

On pourrait citer Michael Gove, viré puis revenu au gouvernement de Theresa May qui s’est accroché pour revenir comme ministre du… Duché de Lancaster, soit un ministre sans portefeuille chargé de missions ponctuelles de confiance par le premier ministre. Sa mission sera de préparer le Brexit sans accord, ce qu’il a qualifié de “priorité” dans un article au Sunday Times dimanche matin.

Affairisme, népotisme et extrême-droite.

La ministre de l’intérieur est elle-même accusée d’avoir enfreint les règles déontologiques en exerçant, sans en avoir demandé l’autorisation, des fonctions de conseil auprès d’une entreprise américaine travaillant directement avec le ministère de la défense. Le mois dernier, elle était encore payée mille livres sterling de l’heure pour cinq heures par mois. Le premier ministre lui-même est menacé de plusieurs risques de conflits d’intérêts, au sujet d'abord de son QG de campagne lui ayant été procuré par un ami homme d’affaires, à propos ensuite de rémunérations lui ayant été versées par plusieurs entreprises ces dernières années. Sans craindre de risquer l’accusation de népotisme, il a nommé son frère Jo secrétaire d’Etat.

Le gouvernement est aussi composé de figures très proches de l’extrême-droite. Ainsi, sa conseillère au 10 Downing street chargée des médias sociaux, Chloé Westley, est connue pour avoir qualifié de "héros" Anne-Marie Waters, militante d’extrême droite anti-islam. Cette conseillère a publié le lendemain de sa nomination un tweet incendiaire sur le Brexit: “nous n’enverrons plus de milliards à Bruxelles. Imaginez”. Enfin, Boris Johnson a recruté aussi à son cabinet un homme dangereux, Dominic Cummings, qui déteste les hauts fonctionnaires de Whitehall et veut tous les remplacer, celui-là même qui fut écarté pour cause de salubrité publique par David Cameron qui l’appelait le “psychopathe de carrière” alors qu’il travaillait déjà avec Michael Gove. En raison de son refus de témoigner devant le parlement sur les infox répandues pendant la campagne sur le Brexit, sa démission est réclamée par le parlement qui menace de ne pas lui payer son salaire. Voilà donc le triste profil de ce gouvernement qui, à n’en pas douter, est un gouvernement de guerre et de campagne et qui n’a pas pour effet de rassembler la Nation comme il l’avait promis, mais de la diviser encore plus.

Un gouvernement de guerre, Boris Johnson en campagne.

Car si Boris Johnson, lors d’une de ses premières visites sur le terrain, a juré qu’il ne voulait pas de nouvelles élections législatives, il se conduit exactement comme si cela devait arriver. En défendant une ligne dure et inacceptable sur le Brexit, en exigeant de l’Union européenne qu’elle retire de l’accord de retrait la clause destinée à empêcher le retour de la frontière entre les Irlande (le fameux “backstop”), il sait qu’il s’agit d’une provocation qui n’a aucune chance de prospérer. Il le fait à dessein pour dire aux électeurs britanniques que ni l’Europe, ni la Chambre des communes ne veulent la sortie de l’Union européenne le 31 octobre et que la seule solution pour y parvenir est de lui donner une majorité incontestable lui permettant de réaliser cet objectif.

Ses premiers déplacements en région ont montré sa stratégie: en proposant lors de sa visite à la police de Birmingham la création de 20.000 postes de policiers supplémentaires pour lutter contre la criminalité dans les villes, la création d’une cagnotte budgétaire de plus de 4 milliards d’euros pour la politique de la ville à Manchester, une ligne de train grande vitesse entre Leeds et Manchester, il se place sur le terrain intérieur. Mais il n’est crédible sur aucun de ces chantiers qui, soit ont échoué par le passé, soit ne verront pas le jour par manque d’argent avant plusieurs années.

Mais il est clair que le premier ministre est en campagne quoi qu’il en dise car il sait qu’il ne tiendra pas dans un parlement où il ne dispose plus la majorité, notamment sur le Brexit, les parlementaires étant bien décidés à ne lui faire aucun cadeau et à l’empêcher de faire un Brexit sans accord. Il est vrai qu’un sondage réalisé seulement quelques jours après sa prise de fonction lui donne 32% des voix contre 28% au parti travailliste. De quoi le conforter dans sa stratégie.

https://m.huffingtonpost.fr/amp/entry/affairiste-et-vengeur-le-gouvernement-de-boris-johnson-est-pire-que-prevu_fr_5d3ee3e8e4b0d24cde02d11e/

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Il y a 10 heures, herciv a dit :

Ils vont apprécier les allemands !! Eux qui faisaient passer le message qu'ils pouvaient accepter un nouveau délai.

C'est une sorte d'erreur que je lis/entends souvent dans les médias. C-à-d que le R-U aurait une chance d'avoir un nouveau délai ou un nouveau deal s'il divise l'UE, si quelques états rejoignent la position du R-U. C'est n'importe quoi.

Pour un nouveau délai il faut l'unanimité, pour un nouveau deal aussi. Si l'UE est divisée, aucun des deux arrivera.

Il y a 10 heures, herciv a dit :

Tout de suite çà règle le niveau des discussions à .... aucune. Bon la messe est dite ?

C'est quand même le niveau zéro de la technique de négociation. "C'est pas moi qui ait besoin de vous parler".

 

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Il y a 10 heures, TarpTent a dit :

 

Je m’aperçois à l’instant qu’un exécutif de valeur n’a heureusement pas subi la loi du remaniement ministériel (pour nous en tout cas, peut-être moins pour lui), et The Sun s’en ait fait l’écho avec soulagement :

 

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Le chat a un compte twitter "non-officiel".

https://twitter.com/Number10cat

Il vient d'ajouter l'étiquette "Esp." pour rentrer dans le moule.

Assez amusant :

 

 

 

 

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il y a 24 minutes, web123_2 a dit :

Le chat a un compte twitter "non-officiel".

https://twitter.com/Number10catIl vient d'ajouter l'étiquette "Esp." pour rentrer dans le moule.

 

 

Larry le chat, comme la Reine, bénéficie d'un emploi à vie.

Je pense qu'il ne s'agit pas d'un simple écuyer (esq.) c'est-à-dire d'un roturier.

Ce chat est au moins un comte, voire un Duc :smile:

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Il y a 11 heures, Alexis a dit :

Hier il a dit l'inverse.

Gove a dit que le gouvernement se consacrait principalement au no-deal car le plus probable. Johnson a démenti.

C'est l'un des plus gros "conflits" de Johnson. Mettre la pression sur l'UE en laissant entendre qu'il accepterait bien un no-deal, or ceci fait paniquer les Anglais. Donc il a deux discours. Pour l'UE il dit qu'il veut couper au maximum les ponts, avoir le maximum de liberté, pour les Anglais, qui tiennent à leur prospérité, il dit qu'il veut un large accord avec l'UE.

#GrosBordel

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Histoire d’être bien certain qu’ils comprennent :

« Une fois le Royaume-Uni devenu un pays tiers, ses entreprises financières ne pourront plus accéder au marché européen sans autorisation.


 

Dans une série de documents adoptés le 29 juillet, elle souligne qu’il n’est pas facile pour les entreprises financières de pays tiers d’accéder au marché européen.

(...) Le porte-parole de l’institution indique que les documents adoptés n’ont rien à voir avec le Brexit ; aucun d’eux ne citant d’ailleurs explicitement le Royaume-Uni. Mais pour plusieurs analystes, comme Nicolas Veron, économiste aux instituts Bruegel à Bruxelles et Peterson aux Etats-Unis, ce lien ne fait aucun doute. « Au Royaume-Uni, il y a eu une série de fantasmes depuis le début du Brexit sur le fait que le pays aurait droit à un régime spécial pour les services financiers. La Commission enfonce donc une nouvelle fois le clou et répète aux Britanniques qu’ils seront logés à la même enseigne que tous les autres pays tiers, à savoir le régime d’équivalence », explique-t-il. »

 

https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/07/30/brexit-la-mise-en-garde-deguisee-de-bruxelles_5494890_3234.html

Modifié par TarpTent
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il y a 13 minutes, zx a dit :

bien, j'espère que la city va s'en prendre plein les dents avec le brexit no deal. service financier soumis à autorisation, pas de passe droit, j'aime bien.

 

Sauf bien évidemment s’ils débarquent chez nous !

Non parce qu’on ne veut pas de ce genre d’engeance et de pourriture, sauf s’ils nous font l’amabilité de venir s’installer en France.

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