prof.566 Posté(e) le 2 septembre 2019 Share Posté(e) le 2 septembre 2019 Bof, il n'y a qu'à réunifier l'Irlande et hop. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 2 septembre 2019 Share Posté(e) le 2 septembre 2019 Il y a 2 heures, web123_2 a dit : Et bien maintient le. De toute manière il semble que pour toi l'UE est limite machiavélique. Pas du tout, je suis très satisfait de la façon dont, pour l'instant, l'UE négocie le Brexit. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 2 septembre 2019 Share Posté(e) le 2 septembre 2019 il y a 7 minutes, Julien a dit : Pas du tout, je suis très satisfait de la façon dont, pour l'instant, l'UE négocie le Brexit. Désolé alors, mais ça ne transpirait pas de tes propos (où le backstop serait seulement un "coup de génie" de l'UE pour empêcher le R-U d'avoir des accords internationaux, entre autre). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 2 septembre 2019 Share Posté(e) le 2 septembre 2019 Bien se souvenir d'un point, qui rajoute de la saveur à ces affaires : c'est le gouvernement May qui, pour décoincer les négociations, a proposé le backstop, solution de repli acceptable par l'UE en cas d'incapacité à trouver un accord différent durant les 2 ans suivant le Brexit. 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 2 septembre 2019 Share Posté(e) le 2 septembre 2019 il y a 12 minutes, Boule75 a dit : Bien se souvenir d'un point, qui rajoute de la saveur à ces affaires : c'est le gouvernement May qui, pour décoincer les négociations, a proposé le backstop, solution de repli acceptable par l'UE en cas d'incapacité à trouver un accord différent durant les 2 ans suivant le Brexit. Imaginons un nodeal. L'UE sera impacté, il est estimé une augmentation du chômage autour de 100 000 en Allemagne, etc. Mais le pire, à mon avis, n'est vraiment pas là. Le pire sera de mettre une frontière entre l'Irlande et l'Irlande du Nord, ça risque d'être un GROS merdier. Bien possible que le R-U demande une forme de backstop après coup pour régler ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 2 septembre 2019 Share Posté(e) le 2 septembre 2019 (modifié) Pas facile pour le petit nouveau : Un petit rappel de bon sens : Modifié le 2 septembre 2019 par web123_2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 (modifié) Je suis plusieurs comptes twitter de journalistes très attentifs au brexit, ce matin c'est de la folie, ça n'arrête pas. Thread à lire : Le plus grand enculage de mouche de l'histoire du R-U. Peut-être du monde, mais l'Inde est pas mal non plus. Et à qui va profiter ce bordel ? C'est comme pour May mais en pire. Ça va profiter au nodeal alors que l'intention affichée est d'éviter le nodeal. So Brexit. #Brexiternité. Édit : Les marchés ne si trompent pas, la livre au plus bas face au dollar depuis 1985 (si on met de côté le mini crash d'octobre 2016). Modifié le 3 septembre 2019 par web123_2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 Nodeal pas bon pour l'UE, du moins ici la zone euro : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 (modifié) le chef, la loi, c'est moi Brexit: Boris Johnson veut imposer sa loi au Parlement http://www.lefigaro.fr/international/johnson-et-westminster-engagent-le-bras-de-fer-20190902 il y a 26 minutes, web123_2 a dit : Nodeal pas bon pour l'UE, du moins ici la zone euro : si on peut avoir 1 euro pour 1 dollar ca me va très bien, nous pourront exporter plus facilement en zone dollar et cela rend complètement dingue Trump. Modifié le 3 septembre 2019 par zx 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 il y a 24 minutes, zx a dit : le chef, la loi, c'est moi Brexit: Boris Johnson veut imposer sa loi au Parlement http://www.lefigaro.fr/international/johnson-et-westminster-engagent-le-bras-de-fer-20190902 Je ne le dis pas pour ce papier qui est assez factuel, mais généralement Johnson passe pour le "vilain" dans les médias notamment chez les éditorialistes. Or au niveau européen il semble qu'il est espéré qu'il réussisse. Pour eux, comme pour moi d'ailleurs, le problème est avant tout le parlement (pas foutu d'avoir un projet positif en 3 ans) et pas Johnson. Il semble (il n'y a aucun preuve) que Johnson veut un deal et là il fait "le ménage" dans le parlement pour avoir une majorité qui le suit (et ne pas avoir le scénario de May). il y a 24 minutes, zx a dit : si on peut avoir 1 euro pour 1 dollar ca me va très bien, nous pourront exporter plus facilement en zone dollar et cela rend complètement dingue Trump. Je sais pas où est l'équilibre, mais il ne faut pas que ça aille trop loin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 (modifié) Avec le brexit tout le monde s'y préparer y compris pour l'euro, le vrai danger est l'économie italienne qui pourrait générer une nouvelle crise de l'euro en pire, vu que c'est la troisième force économique de l'europe et troisième contributeur. si ca craque on sera tous dans la panade. la crise grecque fait figure de hors d'oeuvre en comparaison. Modifié le 3 septembre 2019 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 Il y a 1 heure, web123_2 a dit : Et à qui va profiter ce bordel ? C'est comme pour May mais en pire. Ça va profiter au nodeal alors que l'intention affichée est d'éviter le nodeal. So Brexit. #Brexiternité. Édit : Les marchés ne si trompent pas, la livre au plus bas face au dollar depuis 1985 (si on met de côté le mini crash d'octobre 2016). Son taux par rapport à l'euro me paraît plus pertinent, étant donné qu'environ la moitié des échanges commerciaux de la Grande-Bretagne sont avec des pays de la zone euro, beaucoup plus qu'en zone dollar. Le cours de la livre est bas oui, mais à peu près autant qu'en 2009 et en 2017. Rien de vraiment choquant ni sans précédent. (Source) Sinon, sur le fond c'est-à-dire l'inutilité de tout ce b..... de ces postures et de ces criailleries il est difficile de ne pas être d'accord Il y a 15 heures, web123_2 a dit : Disons que le parlement fasse passer un loi contre le nodeal. Ça oblige Boris Johnson à demander un délais. Comme il n'a pas de plan clair et acceptable, l'UE refuse le délais, donc il y a nodeal le 31/10. L'énergie déployée par le parlement anglais pour des conneries est fantastiquement délirant. Et pour commencer, il faudrait vérifier si le gouvernement britannique serait vraiment obligé de demander un report au Conseil européen. C'est une question de droit constitutionnel britannique, s'agit-il d'un domaine de compétence réservé du gouvernement ("Crown prerogative") ce qui serait après tout logique étant donné que ce ne sont pas les parlements qui mènent les négociations internationales il ne font que définir le mandat et approuver ou non le résultat, ou bien est-ce un domaine de compétence parlementaire ? Si Johnson n'y est pas légalement obligé, il est fort possible qu'il applique le principe "les chiens aboient, la caravane passe" et néglige complètement l'avis du parlement, qui n'aurait qu'une valeur consultative. Même s'il y est obligé et qu'il demande un délai, il est très improbable que le Conseil européen suive, de multiples responsables ont prévenu que la seule possibilité pour obtenir un report serait ce que Macron appelle un "événement démocratique", c'est-à-dire soit des élections parlementaires soit un nouveau référendum. Reste un scénario tout de même où Johnson "contraint et forcé" demanderait un délai, et où le Conseil accorderait un délai par exemple d'un mois à condition que le Parlement britannique approuve l'accord de retrait d'ici le 31 octobre. La nouvelle session parlementaire qui doit commencer le 14 octobre créera justement une ouverture pour présenter une nouvelle fois ce texte. Et les parlementaires, le couteau sous la gorge, seraient alors bien obligés de choisir entre deux solutions et seulement deux - à l'exclusion de toute "solution" imaginaire, posture et autre babillage - soit la sortie avec accord le 30 novembre, soit la sortie sans accord le 31 octobre. Le mois de délai servirait à donner au parlement le temps de passer les décrets d'application, une fois l'accord approuvé sur le fond. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 J'avoue que si je suis soulagé de voir les Britishs enfin sortir de l'UE tout en leur souhaitant bon vent, il y a une petite partie de moi qui ne peut s’empêcher appréhender l'éclatement d'une grosse crise économique qui aurait un impact mondial, consécutive au Brexit.. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 il y a 14 minutes, zx a dit : Avec le brexit tout le monde s'y préparer y compris pour l'euro, le vrai danger est l'économie italienne qui pourrait générer une nouvelle crise de l'euro en pire, vu que c'est la troisième force économique de l'europe et troisième contributeur. si ca craque on sera tous dans la panade. la crise grecque fait figure de hors d'oeuvre en comparaison. On a pu dire que l'euro est un tabouret avec trois pieds : Allemagne, France et Italie. En général, un trépied avec deux pieds c'est un poil moins stable il y a 5 minutes, Shorr kan a dit : J'avoue que si je suis soulagé de voir les Britishs enfin sortir de l'UE tout en leur souhaitant bon vent, il y a une petite partie de moi qui ne peut s’empêcher appréhender l'éclatement d'une grosse crise économique qui aurait un impact mondial, consécutive au Brexit.. Nan. Le risque n'existe pas. Je m'en vais recompter mes boîtes de conserve, vérifier les barbelés, les pièges et les stocks de munitions et je reviens t'expliquer pourquoi Révélation 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 (modifié) il y a 28 minutes, zx a dit : Avec le brexit tout le monde s'y préparer y compris pour l'euro, le vrai danger est l'économie italienne qui pourrait générer une nouvelle crise de l'euro en pire, vu que c'est la troisième force économique de l'europe et troisième contributeur. si ca craque on sera tous dans la panade. la crise grecque fait figure de hors d'oeuvre en comparaison. On devrait avoir bientôt un gouvernement un peu raisonnable. Mais faut pas oublier ce qui s'est passé avec l'ancienne coalition. Cette dernière a plié face à l'Europe.Certes ils ont fait le minimum, mais le minimum qui évite la crise. Ils ont même voté une loi pour augmenter automatiquement la TVA si commence à dégénérer. Ça reste à surveiller comme le lait sur le feu. il y a 14 minutes, Alexis a dit : Et pour commencer, il faudrait vérifier si le gouvernement britannique serait vraiment obligé de demander un report au Conseil européen. C'est une question de droit constitutionnel britannique, s'agit-il d'un domaine de compétence réservé du gouvernement ("Crown prerogative") ce qui serait après tout logique étant donné que ce ne sont pas les parlements qui mènent les négociations internationales il ne font que définir le mandat et approuver ou non le résultat, ou bien est-ce un domaine de compétence parlementaire ? Si Johnson n'y est pas légalement obligé, il est fort possible qu'il applique le principe "les chiens aboient, la caravane passe" et néglige complètement l'avis du parlement, qui n'aurait qu'une valeur consultative. Même s'il y est obligé et qu'il demande un délai, il est très improbable que le Conseil européen suive, de multiples responsables ont prévenu que la seule possibilité pour obtenir un report serait ce que Macron appelle un "événement démocratique", c'est-à-dire soit des élections parlementaires soit un nouveau référendum. Reste un scénario tout de même où Johnson "contraint et forcé" demanderait un délai, et où le Conseil accorderait un délai par exemple d'un mois à condition que le Parlement britannique approuve l'accord de retrait d'ici le 31 octobre. La nouvelle session parlementaire qui doit commencer le 14 octobre créera justement une ouverture pour présenter une nouvelle fois ce texte. Et les parlementaires, le couteau sous la gorge, seraient alors bien obligés de choisir entre deux solutions et seulement deux - à l'exclusion de toute "solution" imaginaire, posture et autre babillage - soit la sortie avec accord le 30 novembre, soit la sortie sans accord le 31 octobre. Le mois de délai servirait à donner au parlement le temps de passer les décrets d'application, une fois l'accord approuvé sur le fond. Y a aussi le cas où, Johnson, sans être contraint et forcé, cherche un deal à la dernière minute car il réalise que son bluffe n'a pas marché. Si c'est un bluffe évidemment (ce que je crois personnellement). Tout le problème est de le faire sans qu'il se ridiculise (l'UE lâchant un truc symbolique par ex.). _________________________ Sur le non remboursement de la dette du R-U à l'UE. Boris Johnson n'en a pas parlé à Macron, Merkel et Tusk. Il a un message pour les Anglais (qui exhorte) et un pour l'UE (plus raisonnable). Modifié le 3 septembre 2019 par web123_2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 Boris Johnson perd sa majorité absolue au Parlement avec la défection d'un député http://www.lefigaro.fr/flash-actu/boris-johnson-perd-sa-majorite-absolue-au-parlement-avec-la-defection-d-un-depute-20190903 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 Voici le texte que les travaillistes, libéraux-démocrates et conservateurs rebelles veulent faire adopter au Parlement afin de contraindre le premier ministre à demander au Conseil européen un report de l'échéance du 31 octobre Révélation Nan, sérieux, c'est là, plus bas En quatre parties, tout juste copié sur le téléphone de quelqu'un. Du tout chaud ! Révélation Bref, les opposants au Brexit sans accord le vivent comme le... Sauf que, bon, ni les alcools ni les jeux d'argent ne sont au rendez-vous ... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 3 septembre 2019 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 3 septembre 2019 (modifié) Bon, lecture faite, l'adoption de cette loi si les anti-No Deal y réussissent, ne fera en effet que forcer Johnson à écrire à Tusk pour demander un report, jusqu'au 31 janvier 2020 dans un premier temps. Toutes les précautions semblent avoir été prises dans le texte pour empêcher le gouvernement de s'opposer à cette démarche (si le parlement a effectivement le pouvoir d'imposer cette action au gouvernement, ce que je ne sais pas, il faudrait un spécialiste du droit britannique pour le déterminer)... les auteurs de la loi ont été jusqu'à écrire la lettre que Johnson devrait envoyer, peut-être pour s'assurer qu'il ne la rédige pas exprès de manière à ce qu'elle soit refusée Révélation Du genre "Eh sale Polack, demande aux Frogs, Krauts et autres connards de ton conseil de merde de reporter l'échéance pour qu'on se tire de là, d'ailleurs ils vont forcément être d'accord c'est jamais que des mauviettes de continentaux de mes deux !" Johnson n'est pas Trump certes, mais mieux vaut sans doute lui éviter la tentation d'être "créatif" Toutes ces précautions ne changent rien au fait qu'accepter la demande du Parlement britannique reviendrait pour le Conseil européen à s'enferrer dans Brexéternité. Car la loi ne prévoit rien pour faire émerger une décision quelconque au sujet du Brexit. Tout ce qui est prévu, c'est de continuer à discuter... Et le point 2.5. indique déjà que le gouvernement devra présenter au parlement l'état des négociations tous les 28 jours à partir du 7 février 2020... c'est-à-dire non après le report demandé le 17 octobre, mais celui d'après ! Ou comment se f..... du monde Modifié le 3 septembre 2019 par Alexis 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 https://blogs.spectator.co.uk/2019/09/prepare-for-brexit-history-to-be-made-tonight/ (3 septembre 2019) Deuxièmement, Johnson a besoin d'une majorité des deux tiers des députés pour procéder à une élection, en vertu de la Loi sur les législatures à mandat fixe. Et probablement une majorité de députés travaillistes - bien que probablement Corbyn ne soit pas de ceux-là - se méfie d'une élection générale. Ils se méfient tellement de Johnson qu'ils craignent qu'il ne trouve une ruse pour fixer le jour du scrutin APRÈS qu'il n'y ait pas eu d'accord de Brexit le 31 octobre, même s'il promet que le jour du scrutin sera le 14 octobre (et il le promettra). Il n'aura donc son élection que s'il peut prouver hors de tout doute que le jour du scrutin sera le 14 octobre. De même, même s'il le fait, de nombreux députés travaillistes - avec ou sans le leadership de M. Corbyn - tenteront de modifier la motion présentée en vertu de la Loi sur les législatures à mandat fixe ou de trouver un autre mécanisme législatif pour s'assurer que le projet de loi qui retarde le Brexit devienne loi AVANT le déclenchement effectif des élections. Et si cela semblait réussir, Johnson devrait annuler les élections - parce que s'il menait son parti à des élections générales immédiates avec Brexit retardé, les Conservateurs seraient probablement réduits en pièces par le Brexit Party. Mais comme on disait plus haut, s'il n'y a pas d'élection, ou "d'événement démocratique" significatif, l'Union Européenne risque de "refuser poliment" le report du Brexit... Mais peut-être que les Remainers peuvent se contenter de "faire croire à l'UE" qu'il y aura des élections. Si Boris Johnson les annule au dernier moment, ce ne sera pas de leur faute, après tout. Et au cas où vous vous demandez ce que les rebelles conservateurs espèrent et attendent s'ils gagnent ce soir et font adopter leur report de Brexit, ils supposent qu'un compromis Brexit acceptable sera négocié avec Bruxelles - ce qu'ils ne prévoient pas - ou bien ils pensent (plus probablement) que cela mènera à un référendum. Ce qui signifie que les élections générales auront lieu respectivement au printemps ou à l'été prochain. Là l'auteur se situe clairement dans une hypothèse où l'UE accepte tout report du Brexit, sans poser la moindre condition. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 https://www.lesechos.fr/monde/europe/brexit-la-publication-du-plan-de-preparation-au-no-deal-repoussee-1128535 (3 septembre 2019) Selon une version consultée par le « Sunday Times » mi-août, le Royaume-Uni pourrait connaître en cas de Brexit sans accord une pénurie de carburants (notamment à Londres et dans le Sud de l'Angleterre), de nourriture (en particulier sur le frais, où les étals pourraient s'éclaircir et les prix s'envoler) et de médicaments (où de « sévères délais supplémentaires » sont d'autant plus à redouter que les trois quarts des médicaments britanniques entrent dans le pays en empruntant les principaux points de traversée de la Manche). Selon ce document, qui tente de dresser un tableau de la situation la plus probable et non du scénario du pire, jusqu'à 85 % des camions traversant la Manche « pourraient ne pas être prêts » pour les douanes françaises, ce qui pourrait entraîner des retards allant jusqu'à deux jours et demi. Et les « perturbations significatives » à attendre dans les ports pourraient durer trois mois avant de se résorber. Sans compter les retards dans les aéroports, l'Eurostar et l'Eurotunnel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 Brexit: aide d’urgence de Bruxelles en cas de «no deal» http://www.lefigaro.fr/conjoncture/brexit-aide-d-urgence-de-bruxelles-en-casde-no-deal-20190903 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 https://www.bbc.com/news/uk-politics-49573555 (4 septembre 2019) La Chambre des communes a voté par 328 voix contre 301 pour prendre le contrôle de l'ordre du jour, ce qui signifie qu'elle peut présenter un projet de loi visant à retarder la date de sortie du Royaume-Uni. En réponse, Boris Johnson a dit qu'il présenterait une motion pour une élection générale anticipée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
web123_2 Posté(e) le 3 septembre 2019 Share Posté(e) le 3 septembre 2019 (modifié) Le risque de nodeal n'arrête pas d'augmenter. Au prochain conseil l'UE devra penser à taper du point sur la table. Par ex., il n'y a pas de délais accordé hors technique genre 1 mois, plus de négociation qui ont montré ne servir à rien depuis des mois, vous prenez le deal ou pas (nodeal), fin. Édit: y a toujours la possibilité pour le R-U d'annuler le brexit. Donc marquer que si c'est nodeal, c'est l'option retenue par le R-U parmi 3. On est dans une situation très similaire à celle de May. Et à cause de qui ? Encore une fois du parlement. Modifié le 3 septembre 2019 par web123_2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 4 septembre 2019 Share Posté(e) le 4 septembre 2019 Il y a 2 heures, web123_2 a dit : On est dans une situation très similaire à celle de May. Et à cause de qui ? Encore une fois du parlement. Oui bien sûr ... Mais. Mettre la faute sur le (un) parlement est dangereux (démocratiquement parlant). Le problème n'est pas le parlement lui-même, mais bien à la base une population qui ne sait pas vraiment ce qu'elle veut (ou n'appréhende pas tous les aspects du sujet) et s'exprime de façon versatile et pas forcément cohérente. La "crise" parlementaire n'est que le reflet de ce cas de figure. Et j'ajouterai que c'est aussi son rôle, et même si le résultat de tout ceci est discutable, ce peut-être moins pire que certaines autres finalités dans pareil cas (pour les britanniques). 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 4 septembre 2019 Share Posté(e) le 4 septembre 2019 En résumé : 1er plantage du clown matamore Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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