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Actualités des Patrouilleurs et des BSA en Metropole et OM


Scarabé

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Il y a 5 heures, Bruno a dit :

Ce qui est hyper probable c'est que ce drone ne sera pas le VSR-700 (dont le faible nombre sera réservé aux frégates et aux navires porteurs (PHA, CDG, navires du programme FLOTLOG). Je verrais plutôt un petit appareil d'origine civile, ayant déjà fait ses preuves dans une autre force : une version agrandie du X-70 de Novadem, adopté par la Gendarmerie et testé sur les PAG par les fusiliers marins, par exemple. 

Ha ... Quand on parlait drone j'avais imaginé quelque chose de plus sexy qu'un micro drone de 1 Kg et de 3 Km de portée

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Il y a 5 heures, Eau tarie a dit :

Schibel S-100 non ?

Non celui la est pour les PHA  ( drone SERVAL  pour Système Embarqué de Reconnaissance Vecteur Aérien Léger) 

Pour l'instant seule le Dixmude est équipé  avec son centre de contrôle dans un container sur le pont. 

 2017_mbst_246_a_003_024.jpg 

Le Mistral va l’être en 2020 pour JDC et le Tonnerre en 2021

Fin 2021 chaque PHA aura un système de contrôle et 3 drones serval les livraisons des S 100 sont en cours. 

Je rappel juste que l’intégration d'un drone depuis une plate-forme hélicoptère d’un bâtiment ne se fait évidemment pas d’un claquement de doigt. Le sujet est complexe car il s’agit de réaliser l’intégration physique – comme le positionnement des antennes de liaison de données du drone, l’organisation de la maintenance dans le hangar ou le positionnement des opérateurs - ou fonctionnelle comme l’intégration des données provenant du drone dans le système de combat du navire ou la présentation de l’environnement dans lequel le drone évolue aux opérateurs du drone. 

 

Un mini Drone lui n'as pas besoin de tout ça. 

C'est d'ailleurs pour ça que la marine à décider de confier le déploiement des mini drone à la FORFUSCO que ce soit depuis la terre ou depuis un bâtiment à la mer.

A Lorient il va y avoir une formation spécifique min drone. Les guetteurs de la FOSIT qui seront opérateurs de mini drone iront compléter leur formation à Lorient  avant de revenir dans leur sémaphore avec leur min- drone. 

Trois critères de drone ont également été défini dans un cahier des charges. 

Drone courte portée (Responsabilité ALFUSCO )

Drone de moins 8 Kilos   

Drone ayant un plafond de moins 300 métrés et une porté de moins de 2 nautiques 

Drone ayant moins d'une heure d'autonomie

 Drone moyenne portée  (Responsabilité ALFAN)

Drone de plus de 8 kilos et moins de 1000 kg

Drone ayant un plafond de 3000 Mètres et une porté de moins de 30 nautiques autour du navire .  

Drone ayant une autonomie de mois de 5 heures.      

Drone longue portée (responsabilité ALAVIA ) 

Drone de plus de 1000 kg en charge ( radar de surveillance maritime, tourelles électro-optiques, ESM, AIS…) Pouvant être opéré depuis un navire ou depuis la terre. 

Drone avec un plafond de plus de 3000 métrés et une porté de plus de 30 nautiques 

Drone ayant une autonomie de plus de 5 heures (maximum 10 heures).

 

ALAVIA contribuera à la doctrine d'emploi de l'ensemble des drones et ALFUSCO et ALFAN seront exploitant en sous ordre. Ils endosseront la responsabilité de leur catégorie. En gros tout ce qui vol dans la marine ne sera pas forcement sous responsabilité ALAVIA      

 

 

Modifié par Scarabé
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Il y a 10 heures, Scarabé a dit :

Drone moyenne portée  (Responsabilité ALFAN)

Drone de plus de 8 kilos et moins de 1000 kg

Drone ayant un plafond de 3000 Mètres et une porté de moins de 30 nautiques autour du navire .  

Drone ayant une autonomie de mois de 5 heures.       

Drone longue portée (responsabilité ALAVIA ) 

Drone de plus de 1000 kg en charge ( radar de surveillance maritime, tourelles électro-optiques, ESM, AIS…) Pouvant être opéré depuis un navire ou depuis la terre.  

Drone avec un plafond de plus de 3000 métrés et une portée de plus de 30 nautiques  

Pas pratique cette classification, qui ne s'adapte pas au VSR-700, qui serait dans la catégorie 2 pour la masse mais 3 pour la portée et l'endurance.

Et on trouve pas mal de petits drones ayant plus d'autonomie que 5h. Ex :  le drone Fulmar de Thales et ses 25 kg a 8h d'autonomie à plus de 30 nautiques du navire puisque Rayon d'action de 80 km.

https://www.thalesgroup.com/fr/monde/press-release/thales-lance-le-fulmar-x-une-nouvelle-approche-flexible-en-matiere-de-drone

On classe aussi difficilement le Schiebel S-100 qui a une masse en charge max de 200kg, une autonomie de plus de 5h avec réservoirs un plafond de 5000 m et une rayon d'action de 97 Nm

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Schiebel_Camcopter_S-100

 

 

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il y a 28 minutes, BPCs a dit :

Pas pratique cette classification, qui ne s'adapte pas au VSR-700, qui serait dans la catégorie 2 pour la masse mais 3 pour la portée et l'endurance.

C'est les performances qui sont demandées en termes opérationnels , si un engin peut faire plus et rentre dans l'enveloppe, ça ne mange pas de pain.  

 

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il y a une heure, BPCs a dit :

Pas pratique cette classification, qui ne s'adapte pas au VSR-700, qui serait dans la catégorie 2 pour la masse mais 3 pour la portée et l'endurance.

Et on trouve pas mal de petits drones ayant plus d'autonomie que 5h. Ex :  le drone Fulmar de Thales et ses 25 kg a 8h d'autonomie à plus de 30 nautiques du navire puisque Rayon d'action de 80 km.

https://www.thalesgroup.com/fr/monde/press-release/thales-lance-le-fulmar-x-une-nouvelle-approche-flexible-en-matiere-de-drone

On classe aussi difficilement le Schiebel S-100 qui a une masse en charge max de 200kg, une autonomie de plus de 5h avec réservoirs un plafond de 5000 m et une rayon d'action de 97 Nm

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Schiebel_Camcopter_S-100

 

 

Apres les 3000 métrés c'est pas pour éviter de passer dans le Control aérien ? Il me semble bien qu'un avion qui vol en dessous de 3000 M navigue à vue c'est peut être pareil pour les drones . 

Il faut aussi que le signal passe entre la station et le drone. 

 

 

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Il y a 3 heures, Scarabé a dit :

Apres les 3000 métrés c'est pas pour éviter de passer dans le Control aérien ? Il me semble bien qu'un avion qui vol en dessous de 3000 M navigue à vue c'est peut être pareil pour les drones . 

Il faut aussi que le signal passe entre la station et le drone. 

Non, 3000 mètres en atmosphère standard (1013,25 HPA, +15°C au niveau de la mer) cela correspond à -4,5°Celsius.

Un drone sur batterie n'aurait pas assez d'énergie pour anti-givrer par résistances électriques.

Le S-100 ou le VSR700 sont a moteur thermique donc je suppose qu'il sont dotés de systèmes anti-givrage.

Le niveau de vol a partir duquel on peut voler aux instruments (Instrument Flight Rules) dépend de l'altitude de sécurité, donc des obstacles et du relief. Sur la mer, pas de relief, mais des obstacles définis par la hauteur des navires, des fermes éoliennes ou des plate-formes pétrolières....

Modifié par capmat
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Autre hypothèse sur la proposition de Socarenam pour les POM :

On a pensé que l'autorisation des coques en alu visait à élargir les offres à Ocea.

Mais Mauric dispose d'un navire à coque tout alu dérivé de ses Fast Supply vessel civil : le Fast Combat Support Vessel qui a une plateforme helo et peut aller jusqu'à 70m

296-750-500-mauric-fast-combat-support-v

Citation

 

Derived from the Offshore Fast and Supply vessel concept dedicated to the support of Oil and Gas platforms, the FCSV designs are based on the combination of a light hull in aluminum and high-power propulsion package in order to achieve large cargo capacities and high speed. MAURIC FCSV designs rely on sea-proven hull forms and propulsion configuration and are adapted to naval requirements with the integration of surveillance, communication and weapons systems, and the compliance to BV naval rules.

Benefiting from extensive experience of MAURIC in the domain of FSIV design, with vessels operating in Gulf of Mexico or off the west coast of Africa, our Fast Combat Support Vessels are very reliable and flexible to support the fast deployment of troops and to ensure their logistic needs. Equipped with an aft ramp and a helideck, they can self-load/unload their cargo and containers. From 50 to 70m, these cost-effective solutions can carry up to 450t of cargo at a maximum speed of 22kts and return safely to naval base at more than 25kts.

 

https://www.mauric.ecagroup.com/fast-combat-support-vessel-540

Après c'est tout simple pour Mauric de faire un OPV sur cette base en adaptant la zone cargo, et en rajoutant des espaces d'habitation et une zone de passerelle plus conséquente.

Mais on a le gain d'autonomie liée à la structure alu :happy:

Modifié par BPCs
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il y a 33 minutes, BPCs a dit :

Après c'est tout simple pour Mauric de faire un OPV

L'alu ça demande, surtout sur les coques, des chaudronniers et des soudeurs spécialisés. Que sais-tu des compétences de Soca sur les coques alu?  En plus Ocea travaille sur de l'alu épais,  ce n'est pas anodin.  

Modifié par Fusilier
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Il y a 4 heures, Fusilier a dit :

L'alu ça demande, surtout sur les coques, des chaudronniers et des soudeurs spécialisés. Que sais-tu des compétences de Soca sur les coques alu?  En plus Ocea travaille sur de l'alu épais,  ce n'est pas anodin.  

Les PLG on une coque acier et une superstructure en alu 

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Il y a 6 heures, Fusilier a dit :

L'alu ça demande, surtout sur les coques, des chaudronniers et des soudeurs spécialisés. Que sais-tu des compétences de Soca sur les coques alu?  En plus Ocea travaille sur de l'alu épais,  ce n'est pas anodin.  

La version civile a servi de base aux FSV de Bourbon mais le site de Mauric ne précise pas qui les a construit.

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il y a 49 minutes, BPCs a dit :

La version civile a servi de base aux FSV de Bourbon mais le site de Mauric ne précise pas qui les a construit.

FSV Sirocco construit au Vietnam  par SEAS , c'est l'annexe de Piriou 

https://www.bourbonoffshore.com/sites/default/files/documents-associes/pdf/fsiv-175-seas-bourbon-sirocco.pdf

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il y a 50 minutes, Scarabé a dit :

Courant imposé mais j'en suis pas sur à 100%

Je voulais parler de l’interface bimétal acier/alu entre super structure alu coque acier poutre. Sur nos FAA on avait développé le joint « nobel clad »  idem paquebot des chantier de l’atlantique. Je voulais connaitre la solution technique adoptée sur ce  projet ?

https://triclad.com/triclad-aluminium-steel-transition-joints-for-shipbuilding-and-the-marine-industry/

 

Modifié par ARMEN56
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il y a 1 minute, ARMEN56 a dit :

Je voulais parler de l’interface bimétal acier/alu entre super structure alu coque poutre. Sur nos FAA on avait développé le joint « nobel clad »  idem paquebot des chantier de l’atlantique. Je voulais connaitre la solution technique adoptée sur ce  projet ?

https://triclad.com/triclad-aluminium-steel-transition-joints-for-shipbuilding-and-the-marine-industry/

 

Désolé je sais pas 

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Il y a 9 heures, ARMEN56 a dit :

joint « nobel clad »

C'est un joint laminé bi-métal ?  Si c'est ça, c'est très malin comme système. Ce que je n'arrive pas à bien comprendre, c'est comme fonctionne / comporte la soudure dans la pont galvanique. 

J'imagine que, quoi qu'il en soit, faut toujours une protection que ce soit via anodes sacrificielles ou par courant imposé 

Modifié par Fusilier
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il y a 18 minutes, BPCs a dit :

Et ils ont une expertise spéciale/particulière en Alu là-bas ?

Ils travaillent sur les thoniers alu depuis un moment.  Une de mes connaissances, y faisait construire des bateaux de plaisance alu il y a déjà pas mal d'années. Si t'as un bureau d'études / archi naval compétant, ce qui n'est as forcement le plus compliqué dans un pays comme la France, avec la tradition aéro et et le nombre de chantiers navals qui travaillent l'alu , en pro ou en plaisance (la France est la pays des dériveurs alu) Le reste c'est une histoire d'organisation industrielle, de fournisseurs et avoir les ouvriers qui vont bien,  des chaudronniers, des soudeurs,  etc.  Le pb en France c'est de les trouver, il y a une forte concurrence sur cette MO

Par exemple,  Futuna  fait construire ses coques alu en Ukraine, car il y a des ouvriers alu en abondance  (tradition aéro) et ils les finissent d'équiper en France   http://www.futuna-yachts.com/fr/explorer54/

 

 

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Il y a 13 heures, Scarabé a dit :

Désolé je sais pas 

 

Il y a 4 heures, Fusilier a dit :

C'est un joint laminé bi-métal ? 

OUPS c'est moi qui suis désolé ! Ma question plus haut porte à confusion de ma part ; comme il est très problématique  de souder directement  l’alu sur de l’acier,  je voulais parler de joint de transition entre alu et acier , de façon à pouvoir souder en TIG ou en MIG l’acier et l’alu, sur anciens paquebots on rivait .

cf page 126

http://www.almet-marine.com/images/clients/FR/Guide-des-utilisateurs-de-l-Aluminium/Ch07-les-assemblages-speciaux-et-le-collage.pdf

cf page 20 sur LCS

https://www.lbcg.com/media/downloads/events/723/NobelClad_Lightwight_Automotive_Feb_2019_Warren_Salt.1556027778.pdf

autre extrait

191027095001936320.png

 

Modifié par ARMEN56
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il y a 10 minutes, ARMEN56 a dit :

 je voulais parler de joint de transition entre alu et acier , de façon à pouvoir souder en TIG ou en MIG l’acier et l’alu, sur anciens paquebots on rivait .

Les laminés bi-métal (un côté acier un côté alu)  sont faits pour être insérés entre l'acier et l'alu. Si j'ai bien compris, ça réduit le "champ de différence de potentiel"  à  l'épaisseur du joint.  Par contre, j'ignore le rôle  dans le soudage. 

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Il y a 11 heures, Fusilier a dit :

Les laminés bi-métal (un côté acier un côté alu)  sont faits pour être insérés entre l'acier et l'alu.

oui , je le comprends de cette façon

191027092505162775.png

si on a pas ce joint on ne peut pas souder , c'est son rôle

 

 

 

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Il y a 7 heures, ARMEN56 a dit :

si on a pas ce joint on ne peut pas souder , c'est son rôle

Maintenant 'est clair et net :biggrin:  thanks very mucho!   

Il semble qu'il y plein de techniques en développement  pour jointer ces deux matériaux,  comme la soudure au laser et d'autres.  J'en étais reste aux techniques primaires que j'ai eu à utiliser,  l'arc, le fer à souder, l'autogène et le butane et vu faire des soudeurs argon, mais là c'est tout un monde qui s'ouvre :biggrin:

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Le 26/10/2019 à 03:41, Fusilier a dit :

L'alu ça demande, surtout sur les coques, des chaudronniers et des soudeurs spécialisés. Que sais-tu des compétences de Soca sur les coques alu?  En plus Ocea travaille sur de l'alu épais,  ce n'est pas anodin.  

Socarenam a déjà fait à minima 8 bateaux avec des coques Alu "pas simples"

- les 4 EDA-R , et ensuite les 2 LCAT Egyptien.

-les Semi swath bibi tethra et Athena (design Mauric aussi)

tethra_refit_01.800x600.jpg  22b678aaa62753b2700bbc47fd30504d.jpg

Probablement d'autres, mais je ne connais pas assez;

L' alu ça demande à bien savoir ce qu'on veut en fonction du plan de maintenance qu'on peut / veut mettre en place ensuite.

Globalement, on ne porte pas vraiment son attention sur les mêmes choses.

Primo : Il faut être très précautionneux sur les couplages galvaniques et les mises à la masse des équipements etc. Le travail des électriciens est très important, des courants de fuite un peu partout et ensuite c'est très compliqué.

Et dans la vie du navire, attention aux rondelles inox ou autres qui pourrait trainer dans le fond des salles machines...

Secundo, faut bien faire attention sur des navires un peu long aux problèmes de fatigue des soudures.

Mais en soit, si on se donne les moyens de bien faire, sur des unités de moins de 100m c'est quand même souvent bien intéressant de partir sur une structure alu.

 

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Il y a 7 heures, Eau tarie a dit :

Primo : Il faut être très précautionneux sur les couplages galvaniques et les mises à la masse des équipements etc. Le travail des électriciens est très important, des courants de fuite un peu partout et ensuite c'est très compliqué.

C'est vrai, mais en France, avec plusieurs centaines de voiliers alu construits, ainsi que pas mal de navires de travail, on maîtrise un peu le domaine :biggrin:  

Pour Soca, javais oublié les EDAR et les bateaux de travail , autant pour moi.  

Le Normandie Express fait 97 m. INCAT en construit jus'à 112 m  https://www.incat.com.au/

 

 

Modifié par Fusilier
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