Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

La defense sol-air dans l'armée de terre


Scarabé

Messages recommandés

Il y a 1 heure, hadriel a dit :

Les allemands veulent développer un programme SHORAD en coopération européenne:

https://www.defensenews.com/global/europe/2021/03/23/germany-shelves-new-anti-missile-weapon-and-turns-to-drone-defense/

Si on n'avait pas autant de problèmes avec eu en ce moment ça aurait pu être une bonne opportunité de coopération.

Sauf que la ils ont réellement le besoin ET les compétences.
On va pouvoir causer sur la même longueur d'onde

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 weeks later...
il y a 31 minutes, hadriel a dit :

Quasi exclusivement sur les drones. Y'avait un retour sur les drones Azerbaïdjanais intéressant. En majorité ils ont été utilisé près du front, pour taper le second échelon ~5km en retrait du front. Ca a eu un gros impact psychologique.

Y'avait un officier suisse qui disait qu'ils ont gardé leurs canon antiériens de 35mm parce que c'est très efficace contre les drones, un seul obus fait but grâce à la télémétrie laser et suffit à mettre le drone au tapis.

Coté MBDA ils développent un drone hit-to-kill qui devrait être en prod en 2022, ils sont bien avancés sur le démonstrateur. Ils bossent sur le laser avec CILAS, et ils ont un concept de véhicule dédié anti-drone sur base Sherpa. Ils pensent que ça va devenir essentiel en Opex. Le problème c'est pas tant l'effecteur que les capteurs pour détecter des petits drones en plastique suffisamment loin.

merci pour ce résumé oui le problème est double !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 months later...

Thales présente un système d’appuis-feux aéroporté (SAFA) en partenariat avec UNAC et iXblue

On pourrait fait la même chose avec des Mistral 3 ? 

Remorque attelée : une fois le véhicule à l’arrêt, le système est pointé perpendiculairement au sens de la marche, dans la direction du tir pour effectuer du Tir direct (TD), du Tir au-delà de la vue directe (TAVD) ou de la Lutte contre les aéronefs lents (LCAL) ;

E5Hb0YBX0AE8XaU?format=jpg&name=large

 

E5HbycDXIAEGrQ7?format=jpg&name=large

https://theatrum-belli.com/salons-sofins-2021-thales-presente-un-systeme-dappuis-feux-aeroporte-safa-en-partenariat-avec-unac-et-ixblue/

 

Modifié par Scarabé
  • Merci (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

6 hours ago, Scarabé said:

On pourrait fait la même chose avec des Mistral 3? 

On met bien du Sadral - 1t tout pile - sur les bateau il n'y a pas de raison que ça tienne pas sur un véhicule terrestre ... mais il n'y a pas de volonté.

Le souci n'étant pas le Mistral lui même mais la capacité à le pointer ... et donc le/les radar qui pilote tout ça. Et pour le moment on a pas vraiment de doctrine de défense sol air à part les solution à l'ancienne poste Mistral sur trépied et réseau Martha sur NC1 30 et 40 ...

Et la guéguerre Adla Adt n'arrange rien à la DCA ...

---

On le voit assez bien avec les quelques MPCV qu'on a dans les forces ... ça se compte sur les doigts d'une main.

---

MBDA ne propose d'ailleurs pas grand chose ... en mobilité c'est Mistral Mistral ou Mistral ... et par quatre maxi ... sans solution de veille organique.

Au delà il faut passer à des solutions statiques CAMM / Mica / Aster etc. chasse gardé de l'Adla.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 month later...
On 6/30/2021 at 1:05 PM, Scarabé said:

Thales présente un système d’appuis-feux aéroporté (SAFA) en partenariat avec UNAC et iXblue

On pourrait fait la même chose avec des Mistral 3 ? 

Remorque attelée : une fois le véhicule à l’arrêt, le système est pointé perpendiculairement au sens de la marche, dans la direction du tir pour effectuer du Tir direct (TD), du Tir au-delà de la vue directe (TAVD) ou de la Lutte contre les aéronefs lents (LCAL) ;

Je te présente le Rapier!

sHps3zHyaCy53fn_2mo8jadmULjqC4KPx7C4mwUz

 

On 6/30/2021 at 7:52 PM, clem200 said:

Il me semble qu'on en a 12

Tu peux compter jusqu'à 12 sur les doigts d'une main.

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 minute ago, Benoitleg said:

Tout dépend de la main 

Tout dépend de ce que tu comptes.

Tu peux compter jusqu'à 14 sur les doigts d'une main, 196 sur les doigts de deux.

Même si c'est généralement limité à 12 et 60 respectivement pour des raisons de base.

Modifié par mehari
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

14 hours ago, g4lly said:

31 plutôt non?

Je ne sais pas comment tu arrives à 31 mais l'humain compte 14 phalanges dans chaque main qui forment les doigts. Donc on peut compter à 14 sur une main si on veut.

Pour des raisons pratiques cependant, on ne peut compter que jusqu'à 12 sur une seule main en comptant les phalanges du majeur, de l'index, de l'annulaire et de l'auriculaire. Le pouce sert alors à marquer l'avancement du comptage (équivalent de lever un doigt lorsqu'on compte jusqu'à 5 sur sa main).

En répliquant ce comportement sur l'autre main, on pourrait obtenir 24. Les babyloniens étaient plus malins cependant. À chaque fois qu'ils comptaient 12 sur une main, au lieu de poursuivre sur l'autre comme on le fait en comptant à 10, ils se contentaient de noter sur l'autre main qu'ils avaient compté une fois jusqu'à 12 et recommençaient sur la main droite. Ça revient à compter en base 12 sur une main et pourrait permettre de compter jusqu'à 144 de façon assez aisée.

Cependant, 144 n'était pas un nombre intéressant pour eux. À la place, ils se contentaient d'utiliser les doigts de la seconde main pour compter jusqu'à 5 permettant alors un compte jusqu'à 60, qui était également la base de leur système numérique dont on tire certaines divisions temporelles et angulaires.

Modifié par mehari
  • J'aime (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

8 minutes ago, mehari said:

Je ne sais pas comment tu arrives à 31 mais l'humain compte 14 phalanges dans chaque main qui forment les doigts. Donc on peut compter à 14 sur une main si on veut.

Pour des raisons pratiques cependant, on ne peut compter que jusqu'à 12 sur une seule main en comptant les phalanges du majeur, de l'index, de l'annulaire et de l'auriculaire. Le pouce sert alors à marquer l'avancement du comptage (équivalent de lever un doigt lorsqu'on compte jusqu'à 5 sur ça main).

En répliquant ce comportement sur l'autre main, on pourrait obtenir 24. Les babyloniens étaient plus malins cependant. À chaque fois qu'ils comptaient 12 sur une main, au lieu de poursuivre sur l'autre comme on le fait en comptant à 10, ils se contentaient de noter sur l'autre main qu'ils avaient compter une fois jusqu'à 12 et recommençaient sur la main droite. Ça revient à compter en base 12 sur une main et pourrait permettre de compter jusqu'à 144 de façon assez aisée.

Cependant, 144 n'était pas un nombre intéressant pour eux. À la place, ils se contentaient d'utiliser les doigts de la seconde main pour compter jusqu'à 5 permettant alors un compte jusqu'à 60, qui était également la base de leur système numérique dont on tire certaines divisions temporelles et angulaires.

Je compte en binaire ... sur 5 bits tu comptes de 0 à 31 ... un doigt par bit ...

Le pouce sur les phalanges c'est juste pour le yoga.

  • Haha (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 month later...

Les Marines avancent sur leur solution sol-air basse couche:

https://armyrecognition.com/defense_news_october_2021_global_security_army_industry/kongsberg_usa_to_deliver_madis_remote_weapon_systems_for_us_marines_jltvs.html

C'est deux véhicules JLTV (4x4 ~8t, donc le gabarit du VBAE) par section, un avec un tourelleau 30x113 + 1 ou 2 stinger, et l'autre avec un radar et un effecteur anti-drones.

Kongsberg_USA_to_deliver_MADIS_remote_we

 

  • J'aime (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cela ne me semble pas vraiment idéal comme intégration ... La tourelle a l'air de faire un belle angle mort pour les radars. Et avec la rotation de la tourelle, cela risque de faire des interférences dans certaines positions. Il y a aussi doublons de l'optronique avec deux matériel différents.

Au passage, je note aussi que le véhicule est uniquement équipé de petites fenêtres mais que celles du pare-brise, des portes avant et des portes arrières sont différentes, ce qui est loin d'être optimal point de vue stock de pièces détachées. J'espère quand même qu'elles sont interchangeables droite/gauche ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

8 hours ago, Deres said:

Cela ne me semble pas vraiment idéal comme intégration ... La tourelle a l'air de faire un belle angle mort pour les radars. Et avec la rotation de la tourelle, cela risque de faire des interférences dans certaines positions. Il y a aussi doublons de l'optronique avec deux matériel différents.

Au passage, je note aussi que le véhicule est uniquement équipé de petites fenêtres mais que celles du pare-brise, des portes avant et des portes arrières sont différentes, ce qui est loin d'être optimal point de vue stock de pièces détachées. J'espère quand même qu'elles sont interchangeables droite/gauche ...

A la base le radar était prévu monté sur un mat telescopique ... je ne sais pas s'il est dans la position basse ici ou s'ils ont abandonné le mat ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Article intéressant sur une piste laser, qui intègrerait une solution abordable pour détruire des drones sans utiliser des missiles hors de prix, solution apparemment déployable sur de petits véhicules

spacer.png

https://breakingdefense.com/2021/10/what-does-it-take-to-out-maneuver-enemy-drones/

la traduction de l'article

Un petit quadcoptère, comme ceux vendus pour quelques centaines de dollars dans les grandes surfaces, vole dans un ciel bleu sans nuage. Au sol, au sommet d'un buggy des dunes, une tourelle vitrée pivote dans la direction du drone.

A l'intérieur du véhicule, il y a un ronronnement motorisé. Quelques instants plus tard, des flammes commencent à vaciller près d'un trou microscopique au centre des ailes du drone, et le plastique dur commence à fondre. Quelques secondes plus tard, il s'écrase au sol.

C'est ce qui se passe lorsque Raytheon Intelligence & Space, une entreprise de Raytheon Technologies, fait une démonstration de l'utilisation de lasers pour vaincre des drones hostiles. Les lasers de lutte contre les UAS, tels que le système d'armes laser à haute énergie de RI&S, offrent aux militaires et aux responsables de la sécurité publique un moyen relativement peu coûteux de vaincre des essaims de drones armés bon marché.

Le système d'armes laser à haute énergie de Raytheon Intelligence & Space offre une solution rentable pour contrer les UAS, plutôt que de tirer un missile de plusieurs millions de dollars pour mettre hors d'état de nuire un quadcopter commercial de 500 dollars. En outre, les petits drones commerciaux sont devenus beaucoup plus sophistiqués, volent plus vite et peuvent naviguer de manière autonome sans utiliser de fréquences radio, ce qui les rend résistants aux brouillages.

Voici comment ils fonctionnent

Tous les lasers - qu'il s'agisse de scanner les courses au supermarché ou de lire un DVD Blu-Ray - partent de la même idée : convertir l'électricité en lumière.

"Les lasers à diodes semi-conductrices sont de loin le moyen le plus courant de convertir l'énergie - l'électricité - en photons ou en lumière", explique Iain McKinnie, directeur technique des technologies électro-optiques/infrarouges et laser chez RI&S.

Mais les diodes seules ne peuvent pas abattre un drone.

Les lasers à diodes semi-conductrices s'étalent et se diffusent sur de grandes distances, ce qui, en soi, les rend inefficaces pour neutraliser les drones.

"Pensez à la buse d'un tuyau d'arrosage réglé sur un jet large", a déclaré M. McKinnie. "Seulement environ 50% de l'énergie électrique est convertie en lumière laser et les autres 50% sont de la chaleur perdue. Nous avions besoin d'un deuxième étage pour convertir la lumière laser de la diode semi-conductrice en lumière laser que nous pouvons utiliser dans notre système anti-UAS. Nous le faisons avec des fibres, en transformant ce large jet en un jet concentré et étroit."

Les lasers à diodes ne sont que la première étape, servant de "pompe" pour un laser à fibre.

"Les diodes sont l'élément de base d'un amplificateur laser à fibre. Dans cet amplificateur, un certain nombre de diodes pompent leur lumière dans une seule fibre optique, ce qui produit un faisceau très puissant et parfaitement formé", a déclaré Evan Hunt, directeur du développement commercial pour les lasers à haute énergie et les contre-systèmes UAS chez RI&S.

Obtenir suffisamment de fibres

Les câbles à fibre optique utilisés dans le système d'armes à laser à haute énergie de RI&S sont très similaires à ceux utilisés par l'industrie des télécommunications - sauf qu'ils peuvent supporter des niveaux de puissance beaucoup plus élevés, et le câble à fibre optique de HELWS est environ 10 fois plus large, à un niveau microscopique, que les câbles utilisés par l'industrie des télécommunications

"Les lasers à fibres sont devenus élégants, efficaces et assez robustes grâce à la recherche, aux investissements et au soutien qu'ils ont reçu de la très grande industrie commerciale du découpage et du soudage", a déclaré M. Hunt. "Ils ont un rendement de 80 à 90 % et génèrent très peu de chaleur. Et en plus de cette efficacité, la fibre sert à amplifier la puissance du faisceau."

Selon M. McKinnie, les lasers à fibre utilisent beaucoup de câbles pouvant atteindre des dizaines ou des centaines de mètres de long. En raison de leur encombrement, les câbles sont "enroulés comme du fil de pêche" afin de pouvoir être placés sur une plate-forme mobile et de faciliter la distribution de l'excès de chaleur.

Le faisceau laser à fibre est beaucoup plus focalisé que les lasers à diode. "Au lieu d'une lampe de poche, vous avez un pointeur laser", a déclaré M. Hunt. Et contrairement aux faisceaux rouges, verts ou violets émis par les pointeurs laser courants, HELWS produit une lumière laser dans le spectre infrarouge, invisible à l'œil nu.

Croisement des faisceaux

Mais un seul faisceau laser à fibre n'a pas la portée et la vitesse d'engagement nécessaires pour détruire un drone attaquant. La troisième étape consiste à combiner plusieurs faisceaux amplificateurs laser à fibre.

"Il est incroyablement difficile de gérer une lumière aussi puissante et la chaleur associée dans un système aussi petit", explique Justin Martin, ingénieur en chef de HELWS. "Les optiques doivent être alignées avec précision et spécialement revêtues pour ne pas fondre au contact."

Une fois le puissant faisceau construit, le laser doit trouver sa cible.

Pour accomplir cette étape cruciale, RI&S a équipé le système de son système de ciblage multi-spectral, ou MTS, qui utilise la lumière de plusieurs bandes du spectre électromagnétique pour acquérir et suivre les cibles, puis indiquer à l'opérateur où tirer le laser.

Le MTS est utilisé sur plus de 20 systèmes aériens sans pilote à voilure tournante et sur des plates-formes à voilure fixe pour la surveillance à longue distance, l'acquisition de cibles, le suivi, la télémétrie et la désignation laser.

Le domaine d'expertise de Raytheon Intelligence & Space est celui des capteurs électro-optiques infrarouges comme le MTS. La société l'a modifié non seulement pour qu'il détecte la cible, mais aussi pour qu'il dirige le faisceau vers la cible et l'engage. L'objet spécifique sur lequel l'opérateur zoome, qu'il regarde et qu'il suit optiquement, est exactement celui que le faisceau invisible atteint lorsqu'il est déclenché, faisant silencieusement un trou en quelques secondes.

"Le faisceau laser le plus puissant du monde est inutile si l'opérateur ne peut pas le trouver et le fixer sur sa cible", a déclaré M. Hunt.

Le système a une portée de quelques kilomètres, et les opérateurs utilisent une manette de jeu vidéo pour pointer le système vers la cible, identifier le drone, le distinguer de son environnement et marquer un endroit où le laser doit frapper. Le système est si précis qu'il permet aux opérateurs de placer le réticule directement sur la caméra d'un drone, par exemple, ce qui leur donne la possibilité de neutraliser la menace sans faire chuter l'appareil au sol.

"Le système optique est si puissant, si haute résolution que les opérateurs peuvent identifier et suivre le plus petit drone bien au-delà de la portée visuelle, même dans des environnements encombrés", a déclaré Martin. "Cela permet également aux opérateurs d'avoir une connaissance situationnelle des environs d'un drone afin de déterminer le meilleur endroit pour abattre la cible."

Le système est modulaire, ce qui signifie qu'il peut être facilement personnalisé pour s'adapter à plusieurs plates-formes, et il est compact - assez petit pour être monté dans le lit d'un pick-up.

"Je dis toujours que c'est quatre boîtes et une balle", a déclaré Hunt. "Nous avons deux boîtes d'alimentation avec la dernière et la meilleure technologie de batterie qui proviennent de l'industrie des voitures électriques commerciales. L'une alimente le système et l'autre sert de chargeur d'énergie pour les résultats du laser. Ensuite, nous avons une boîte avec toutes les bobines de la fibre laser, et nous avons un module de gestion thermique, qui fait recirculer l'eau dans le système. Et enfin, nous avons le directeur de faisceau, la tourelle, qui se trouve au sommet avec le module optique".

HELWS frappe exactement là où l'opérateur vise et à la vitesse de la lumière. Il dispose d'un chargeur profond et rechargeable permettant un nombre illimité de tirs. Lorsque les batteries commencent à s'épuiser, le système peut être commuté sur un générateur pour le maintenir en état de marche.

"L'idée derrière ce système est de pouvoir détecter, identifier et engager ces choses bien avant qu'elles ne deviennent une menace imminente", a déclaré M. Hunt. "Et il le fait très bien".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 35 minutes, leclercs a dit :

Le système d'armes laser à haute énergie de Raytheon Intelligence & Space offre une solution rentable pour contrer les UAS, plutôt que de tirer un missile de plusieurs millions de dollars pour mettre hors d'état de nuire un quadcopter commercial de 500 dollars. En outre, les petits drones commerciaux sont devenus beaucoup plus sophistiqués, volent plus vite et peuvent naviguer de manière autonome sans utiliser de fréquences radio, ce qui les rend résistants aux brouillages.

C'est une erreur de comptabilité de penser au cout marginal par tir. Ce qui compte c'est le coût total d'une solution qui permet d'abattre un certain nombre de cibles. Donc il faut comparer:

- N missiles à x centaines de milliers/millions d'euros pièce

- le coût d'un laser haute puissance qui doit bien aller taper dans les millions lui aussi

- un canon petit calibre/12.7/LG40 + les munitions à quelques centaines ou milliers pièce

Franchement on va pas monter un laser de forte puissance dans chaque section pour faire de la chasse aux petits hélidrones quand un armement cinétique fait la même chose pour moins cher et en plus polyvalent.

Le laser ça peut être utile pour l'échelon du dessus contre des munitions rodeuses et drones taille SMDR, mais là la couverture nuageuse pose problème aussi.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    5 996
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    erthermer
    Membre le plus récent
    erthermer
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...