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Avion de combat Franco Allemand


zx

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Le 6/5/2018 à 00:17, Flippy a dit :

Euh sans vouloir faire mon rabat joie, le projet n'a pas encore vraiment commencé et ce que l'on voit sur cette vidéo c'est juste un dessin pour faire joli dans une vidéo publicitaire destiné au grand public. Rien ne prouve qu'il y est quelque chose de concret derrière ce concept (du moins pour le moment)...

Comme le souligne @jojo (lo savoyârd), ça serait plutôt ce que l'on appelle un avant-projet, en langage industriel/manufacturier.

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il y a 27 minutes, Kerloas a dit :

France’s Rafale jets leave service in 20 years, and Germany’s Typhoons soon after

Je vois qu'il y en a qui prennent Justin Bronk au sérieux.

Ils cherchent à décrédibiliser l'offre Rafale en Belgique, en Finlande et en Inde, je suppose.

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Il y a 1 heure, Ponto Combo a dit :

Il y a quand-même des failles spatio-temporelles dans leurs raisonnement.

D'un côté:

Et après:

Faudrait savoir ce qu'ils veulent... Comme si ces deux aspects n'étaient pas liés...

Ils sont obligés de remonter très loin pour leur prouesses:happy:

 

Ils ont crû pouvoir jouer d'égal à égal avec les US et maintenant il découvre le revers de la médaille. Ils vont se faire bouffer définitivement.

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Il y a 10 heures, Kerloas a dit :

Je me risque à poster cela ici...

Un résumé:

Révélation

jb1-web.jpg?itok=ep9NzdI-

Rien n'est vrai dans ce papier.

Les gens derrière ces articles sont des trolls professionnels.

C'est délirant d'en arriver à ce niveau de vacuité.

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Je ne savais pas où le mettre, mais comme ça va être des avions franco-allemands basés à Evreux.

Les USA ont donné leur approbation pour la vente à l'Allemagne de 3 C-130J-30 et 3 KC-130J.

Citation

The German Air Force will use these aircraft to conduct airlift, air refueling, and air drop missions as part of a French-German allied squadron based in Evreux, France.

This common air transport squadron will have unrestricted exchange of aircraft, air crews, and maintainers, as well as technical and logistical support based on a common pool of spare parts and a common service support contract.

http://www.defenseworld.net/news/22467#.WvG_S63bmRt

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  • 2 weeks later...

Des sénateurs réservés sur la coopération franco-allemande dans le domaine de la défense

Citation

...

Le développement du SCAF via un coopération franco-allemande nourrit également les doutes de M. Cambon.

« Quand on regarde la position allemande sur le raid en Syrie, quand on sait que cet avion devra pouvoir emporter des charges nucléaires, on a des doutes légitimes sur une coopération industrielle qui ne serait pas portée par une vision politique partagée », a-t-il fait valoir. « Bien sûr notre commission va y travailler. […] Mais enfin, il reste du chemin », a-t-il conclu.

Le point de vue de M. Cambon a été partagé par la sénatrice (PS) Hélène Conway-Mouret. « L’Allemagne opère en ce moment une remontée en puissance militaire, symbolisée par son activisme en matière d’exportations de sous-marins, ou par les succès à l’export de ses matériels roulants. », a-t-elle rappelé. Mais sa « culture militaire et ses objectifs restent très différents de ceux de la France », a-t-elle ajouté.

Aussi, pour Mme Conway-Mouret, l’enjeu est de savoir si la coopération avec l’Allemagne sur le plan industriel sera « équilibrée », c’est à dire si elle pourra garantir « la préservation de notre autonomie industrielle » ainsi que celle de « nos intérêts », ce qui fait que la « question du partage des technologies devra être examinée avec attention ».

« La définition d’objectifs communs, surtout en matière d’exportation des matériels, où l’accord de coalition allemand nous incite à la prudence », a par ailleurs estimé la sénatrice, pour qui une autre garantie doit reposer sur « la promotion de l’Europe de la défense dans la conception française, c’est-à-dire dépassant les égoïsmes nationaux qui aboutissent à l’exigence sourcilleuse du ‘retour géographique' », laquelle ne correspond pas toujours « à la réalité des compétences. »

...

http://www.opex360.com/2018/05/21/senateurs-reserves-cooperation-franco-allemande-domaine-de-defense/

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Il est vrai qu'un programme d'avion de combat est en France une décision stratégique, d'autonomie , avec un minimum significatif de consensus gauche-droite (j'ignore la position des Insoumis) qui protège l’investissement sur la durée au delà de changement de majorité.

En Allemagne , c'est un projet industriel, de politique européenne. Qui peut changer avec chaque élection.

Avec des éditorialistes, qui ne sont pas contre un achat sur étagère pour de bonnes pratiques budgétaires. 

C'est vraiment 2 approches différentes.

Modifié par Chaps
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De toute façon , on a pas le choix ce programme doit réussir, si non on perdra toute influence sur le monde des prochaines décennies, face a une Chine qui investit des sommes considérables pour coller aux USA, et une Russie qui compte bien tenir son rang et qui le prouve avec les dernières présentations de Mr Poutine et des ses nouveaux missiles l'Europe n's pas le choix soit elle s'aligne au niveau militaire soit elle sort de l'échiquier. On voit déjà le peut d'influence qu'a l'Europe sur un conflit comme la Syrie.

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il y a 25 minutes, dark sidius a dit :

On voit déjà le peut d'influence qu'a l'Europe sur un conflit comme la Syrie.

Tout est une question de volonté : il n'y a pas de problème qu'une bordée d'ASMPA ne puisse résoudre. Il suffit juste d'en garder assez pour dissuader ceux qui nous chercheraient des noises ensuite (c'est une une bonne occasion d'utiliser notre FOS). :bloblaugh:

Modifié par rendbo
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c'est indirect, mais ca concerne aussi ce projet

Défense : le projet de fonds européen sur les rails

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0301715308031-defense-le-projet-de-fonds-europeen-sur-les-rails-2178426.php

si pb accès

 

Les eurodéputés ont trouvé un accord de principe sur le Fonds européen de la défense. Ils se sont battus pour s'assurer que les aides n'atterrissent pas dans la poche d'entreprises étrangères.

Après d'intenses négociations, les eurodéputés et les Etats se sont mis d'accord sur le fonctionnement du futur Fonds européen de la défense. Le compromis doit encore être approuvé la semaine prochaine par les Etats membres, puis voté en séance plénière au Parlement européen, sans doute en septembre prochain. Toutefois les principaux obstacles semblent franchis, ouvrant la voie à la création d'une aide aux industries de la défense pour la première fois dans l'histoire de l'Union européenne.

Pour renforcer l'Europe de la défense, la Commission européenne a proposé de dégager 13 milliards d'euros pour le soutien à l'innovation et aux équipements de défense dans le prochain cadre budgétaire 2021-2027. Mais pour 2019 et 2020, elle a mis en débat la création d'un fonds « test » doté de 90 millions d'euros pour la recherche et de 500 millions pour les équipements. « Le futur de la politique industrielle de défense européenne dépendra de la réussite de ce premier programme communautaire », explique la députée Françoise Grossetête, rapporteure du projet .

Négociations ardues

Les négociations ont été plus qu'ardues. D'abord pour convaincre les parlementaires de dégager les sommes, sachant que 60 % des 590 millions sont issus d'autres programmes européens. Ensuite pour définir les règles d'attribution des aides.

La Commission européenne souhaitait le maximum de souplesse possible. Après discussions avec les députés, le compromis exige que les projets financés (drones, robots, blindés...) soient montés en partenariat par trois pays minimum et incluent au moins 3 PME. Rappelons que l'enjeu est de rationaliser une industrie qui met en compétition encore 178 « systèmes d'armes » différents (avions, blindés, hélicoptères...) en Europe contre une trentaine à peine aux Etats-Unis.

Mais les négociations les plus difficiles - 10 heures non-stop lors du dernier round - ont porté sur l'éligibilité des entreprises. Comment faire pour que les aides aillent bien à des entreprises européennes ? La Commission souhaitait réserver le pactole à des entreprises dotées de capitaux européens. Mais les pays scandinaves et la plupart des pays de l'Est, qui ont vendu un grand nombre de leurs entreprises de défense à des Anglo-Saxons, demandaient de ne retenir qu'un critère géographique afin que toutes les entreprises situées sur le territoire européen, y compris des filiales de groupes américains , soient éligibles. Une ligne de front s'est ainsi dessinée avec la France et l'Italie, partisans de critères plus stricts, jusqu'à ce que Françoise Grossetête aille chercher le compromis du côté de la ministre allemande des armées, Ursula von der Leyen.

Le casse-tête de l'éligibilité au fonds

Les entreprises installées sur le sol européen mais contrôlées par des pays tiers ne seront éligibles qu'à condition de remplir plusieurs conditions liées à l'accès aux informations sensibles, à la propriété intellectuelle et à la gouvernance. Ces garde-fous seront-ils suffisants ? Aucun financement ne sera accordé à une entreprise située hors de l'Union européenne, ce qui inquiète l'industrie de défense britannique. Un nouveau casse-tête pour le Brexit.

Au Parlement européen, le compromis a recueilli le feu vert des libéraux, des conservateurs et de la plupart des socialistes, à l'exception des Socialistes allemands qui ont voté contre, de même que l'extrême-gauche comme l'extrême-droite... Une opposition qui ne devrait pas mettre en danger le futur vote du premier acte de la construction d'une défense européenne concrète.

Anne Bauer et Gabriel Gresillon

Modifié par zx
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:ohmy:. Je dirais qu'ils se sont auto-couillonnés.

Citation

Without a new combat aircraft project during the 2020s, BAE Systems will lose the ability to take part in future programmes as a leading industrial player. Once gone, such expertise will be extremely difficult, if not impossible, to regenerate within the budget of a small to medium power like the UK. Enter the Combat Air Strategy; which is as much about trying to keep BAE Systems in the combat air business beyond Typhoon as it is about combat air capabilities in operational terms. There are a few potential avenues for the company and the UK as a whole to get involved in the generation of a new combat air platform or systems.

The Turkish TF-X and Japanese ‘F-3’ future fighter programmes are both potentially of great interest in terms of offering an opportunity for BAE Systems to take part in design and production work. But both would require primary manufacture and final assembly to take place in Turkey and Japan, respectively, so neither are not idea solutions even if BAE Systems can secure a place as primary partner. On the other hand, the Franco-German ambition, announced in July 2017, to develop a new combat air system within Europe is a much more tempting prospect for BAE, since it has long held a central role in such European development programmes and could much more easily negotiate for RAF-suited specifications and domestic manufacturing and development workshare than would be possible in a deal with partners outside Europe. There is also a clear need for British support within the Franco-German proto-programme, since it faces significant hurdles between the political ambition announced and the development of an actual capability.

Essentially, France has significantly more stringent and wide-ranging operational capability requirements for a follow-on to the Rafale in the 2030s than Germany perceives for a Typhoon replacement in the 2040s timeframe. Having the UK as part of a consortium would add weight to France’s arguments for what it sees as a suitable level of capability ambition in the new system. UK involvement would also contribute significant expertise in terms of high-end electronical warfare, signature reduction (stealth) technologies and sensors.

There is also a Franco-German awareness that the most significant shortcoming of the Rafale is the Snecma M88 engine, which leaves it underpowered compared to Typhoon and offers far less growth potential. The Eurojet EJ-200, which powers Typhoon and which was developed primarily by Rolls Royce on the back of work done on the Tornado’s RB-199, is widely recognised as one of the most reliable and efficient high-thrust military engines in the world, and is equally regarded as an excellent basis for future developments. Rolls Royce is the only real option for a European next-generation afterburning turbofan for a future combat aircraft, given the company’s huge commercial turbofan market share and consequent R&D capacity and expertise, as well as its pedigree on the EJ-200. Since the engines and their integration into the airframe and systems has historically been the largest and most expensive single component of combat aircraft design, involving the UK, and Rolls Royce by extension, would be a huge boost to a future European combat air systems’ chances.

From the German perspective, there is also an awareness that France is fiercely protective of Dassault and is already trying hard to make sure that any future fighter is essentially a Dassault airframe design with some German/Airbus input. Having the UK within a consortium would add another vote to such workshare and design decisions, and would enable Germany to have a greater level of design and specifications input by virtue of being a third and potentially decisive ‘vote’ within a trio, rather than the less ambitious and experienced partner in a duo. The UK would also act as a partial safeguard against French threats to ‘go it alone’ if they did not get their way in disputes, as occurred within the original consortium that birthed the Eurofighter.

However, for the Ministry of Defence and the UK government as a whole, the desire to be a part of such a European combat air capability effort, and the strong arguments from an industrial and political perspective for doing so, runs up against the lack of any financial or programmatic headspace within which to do so. Simply put, the UK’s longstanding commitment to purchase 138 jets as part of its Tier 1 partner status within the F-35 programme is such a large financial outlay that it cannot be completed within currently foreseen defence spending levels before the mid-2030s at the earliest. While the government has agreed to a firm order for 48 jets by 2023 in order to ensure that there is at least one squadron’s worth deployable on the Queen Elizabeth class carriers by that time, it is still unclear when the following 90 jets will be ordered and at what price – since the unit costs vary by production lot and airframe variant. With the UK’s F-35 acquisition programme stretching well into the 2030s, and with so many other competing priorities for scarce funds for defence in an era of renewed great power confrontation, there is simply no space within the RAF’s equipment plan for the development and acquisition of a new combat air system or platform during the 2020s and early 2030s.

Without, at least, a theoretically credible RAF order accompanied by significant contributions to the development, testing and production of a new combat air system, BAE Systems will not be able to secure a meaningful place in any new European development programme. However, to create the capacity for such a commitment within the equipment programme, the Ministry of Defence would have little choice but to significantly reduce its ambition to purchase the 90 F-35s expected by the US after the initial 48. This is likely to go down extremely badly with a US administration that sees trans-Atlantic ties in very transactional terms, and which presides over a US Air Force that faces severe affordability challenges for its own massive F-35 acquisition and operating programme in the 2020s. Any public reduction in orders from the UK – the only Tier 1 partner in the F-35 programme – could increase costs and uncertainties around the programme precisely when the US Air Force can least afford them. Given the need for a strong trans-Atlantic political relationship in light of Brexit and the return of Russia as a major security threat – an F-35 order reduction is unlikely in the foreseeable future, and so the UK’s chances of playing a major part in a new European combat air project look slim.

Justin Bronk
Research Fellow for Airpower, RUSI

https://rusi.org/publication/rusi-defence-systems/european-fighter-cooperation-question-how-many-uk-f-35s

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Just now, zx said:

tiens pas vu, sur le fil

La France propose à la Belgique de monter à bord du futur chasseur européen

http://www.air-cosmos.com/la-france-propose-a-la-belgique-de-monter-a-bord-du-futur-chasseur-europeen-110949

Rien de nouveau là-dedans et évoqué à maintes reprise sur le fil "Composante Air Belge" (et rapidement ici) comme un argument en faveur du Rafale dans la compétition ACCap.

Ceci dit, la partie réellement intéressant est que la Belgique est le premier état à avoir été formellement invité à participer à l'élaboration de ce nouvel appareil. Jusqu'à présent, on a eu des marques d'intérêt de l'étranger (de Suède par exemple) et il a été dit qu'il n'était pas exclu que d'autres européens rejoignent le projet mais c'est la première fois qu'un pays est directement invité à le faire (et surtout aussi tôt).

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Il y a 3 heures, Ponto Combo a dit :

The UK would also act as a partial safeguard against French threats to ‘go it alone’ if they did not get their way in disputes, as occurred within the original consortium that birthed the Eurofighter.

Ah oui ? Je me demande bien comment la présence britannique a guardé en safe quand, justement, sur l'Eurofighter, la France y est goé alone.

C'est quand même assez incroyable d'utiliser un exemple historique pour contredire l'histoire.

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Il y a 7 heures, Kelkin a dit :

Ah oui ? Je me demande bien comment la présence britannique a guardé en safe quand, justement, sur l'Eurofighter, la France y est goé alone.

Ca veut dire que s'il n'y avait pas eu les anglais à ce moment là, l'Eurofighter serait mort-né parce qu'aucun des autres participants n'avait la capacité de faire avancer le projet.

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Il y a 12 heures, Patrick a dit :

Non non c'est pas de l'évolution c'est sûrement juste les froggies qui ont étalé du camembert sur les parties chaudes et du roquefort sur les aubes de l'étage de compression pour faire comme si ils étaient pas "inferiors".

On se refait pas nous les Français : à quoi bon vivre sans gastronomie et autres plaisirs rabelaisiens -> on nous demande un avion, et en prime il peut servir d'appareil à raclette/fondue.  :chirolp_iei:

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