jean-françois Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il ne faut pas oublier que les radars ont quand même une durée de vie max inférieure à celle des avions ( 10 ans il me semble, sauf erreur de ma part ). Donc, à un moment, l'armée de l'air devra commander des radars AESA ( NG ) comme remplacement et toute la flotte va progressivement remonter de niveau. une petite question : les radars des 10 Rafale M étaient identiques aux autres PESA ou non ? Si oui, ils sont partis dans le stock général pendant la remise à niveau des F1 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a 41 minutes, DEFA550 a dit : Alors je précise ma pensée, poussée à l'extrême : tous les avions = 225 Rafale. Dans les faits, et tu lèves un coin du voile, le nombre d'antennes AESA nécessaires s'évalue en fonction d'un besoin opérationnel ponctuel (attaques très longue distance, avant évolution tactique (succès, fuite, entrée dans le domaine MICA)), et par un nombre forcément limité de patrouilles. Il suffit de 50 antennes AESA pour constituer autant de patrouilles, donc mobiliser 100 Rafale en configuration air/air et ainsi mettre en vol la totalité des missiles Meteor commandés en 2010. Reste que si ces forces sont submergées, alors nos intérêts vitaux sont mainfestement menacés ce qui conduit à l'option des champignons magiques. Je me trompe où dans ton raisonnement, on semble comprendre que le "seul" intérêt de l'AESA serait la pleine exploitation du Meteor .... L'AESA ne se réduit pas à cela si je ne m'abuse Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Un point qui me chiffonne depuis quelques temps. J'ai lu plusieurs traces indiquant que l'AdA achetait des radars (AESA) en plus. Donc soit pour transformer certains Rafale PESA en Rafale AESA soit pour remplacer l'attrition (je ne sais pas combien d'AESA ont été perdu) soit pour palier le vieillisement dont parle Jean-Francois. Mais je ne trouve plus ces articles. Je trouve seulement cette audition de l'AN : http://www.assemblee-nationale.fr/15/cr-cdef/17-18/c1718012.asp : "Septième conviction, les temps du MCO sont longs : les effets de l’effort sur l’EPM dans l’actualisation de la LPM en 2015 ne se feront sentir qu’à partir de 2018 : cinq ans pour engranger les effets de la modification du plan de maintenance du Tigre, deux ans entre la commande et la livraison d’un réacteur ou d’un radar Rafale. Ainsi il faut donner de la sérénité à ce système et se mettre en situation de mesurer les effets des réformes entreprises depuis plusieurs mois." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) il y a 27 minutes, LePetitCharles a dit : Je me trompe où dans ton raisonnement, on semble comprendre que le "seul" intérêt de l'AESA serait la pleine exploitation du Meteor .... L'AESA ne se réduit pas à cela si je ne m'abuse Certes, mais est-ce que les avantages autres que la portée accrue (compatible avec le domaine de tir du Meteor) sont de nature à justifier une dépense de plusieurs millions d'euros par appareil ? Par ailleurs le raisonnement tient toujours même si un certain nombre d'antennes AESA est réservé pour un autre rôle. Ca déplace juste le curseur de 50 patrouilles simultanées vers un autre nombre. Quel qu'il soit c'est le "niveau de puissance" maximal qu'on estime devoir opposer de manière conventionnelle à une menace. il y a 10 minutes, LePetitCharles a dit : J'ai lu plusieurs traces indiquant que l'AdA achetait des radars (AESA) en plus. Probablement ce qu'on appelle un "volant de fonctionnement", une sorte de stock tournant qui permet de conserver un certain nombre de radar en ligne pendant que d'autres sont indisponibles (maintenance chez l'industriel, par exemple). Modifié le 17 juillet 2019 par DEFA550 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Delbareth Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a 5 minutes, DEFA550 a dit : Certes, mais est-ce que les avantages autres que la portée accrue (compatible avec le domaine de tir du Meteor) sont de nature à justifier une dépense de plusieurs millions d'euros par appareil ? Je me posais justement la même question que LePetitCharles. Une meilleure portée permet certes d'utiliser le Meteor au mieux, contre des avions de SER normale. MAis ça joue plus globalement sur la SA contre ce genre d'avion, Meteor ou non. Les yankees jouent depuis des années à qui a la plus grosse... émission radar, sans avoir le Meteor. De plus, contre des avion LO, on a je suppose la même augmentation de portée qui peut être significativement plus intéressante. Contre des VLO j'imagine que c'est peu utile puisque la portée resterait inférieure à la celle d'autres moyens de détection (IR notamment). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a 35 minutes, LePetitCharles a dit : Un avion assez ancien je n'arrive pas bien à voir le numéro mais il ne semble y avoir que 2 chiffres Vu l'absence de marquage opérationnel, je penche pour le B301 (CEV/Dassault). il y a 2 minutes, Delbareth a dit : MAis ça joue plus globalement sur la SA contre ce genre d'avion, Meteor ou non. SA partagée par le réseau intra-patrouille (MIDS), donc l'argument tient toujours : 50 antennes, c'est à minima 100 avions en l'air en même temps avec une SA optimale. En fait c'est le raisonnement qui n'est pas bon, parce qu'il prend le problème à l'envers. On ne cherche pas à justifier les moyens mis en oeuvre en invoquant tel ou tel argument, on définit les moyens à mettre en oeuvre par rapport à un besoin opérationnel, lui même dimensionné par rapport à de grands équilibres (budgétaires et capacitaires). Faire mieux quelque part, c'est faire moins bien ailleurs. Toute médaille a son revers. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) il y a 24 minutes, DEFA550 a dit : SA partagée par le réseau intra-patrouille (MIDS), donc l'argument tient toujours : 50 antennes, c'est à minima 100 avions en l'air en même temps avec une SA optimale. On est tous d'accord pour dire que "On fait avec nos moyens". Donc on a 60 AESA. C'est moins performant que 100% de la flotte ... mais c'est mieux que 100% de PESA. Fin du ban. Maintenant concrètement, même si chaque patrouille mixe AESA et PESA, comment est ce que cela fonctionne ? On ne parle pas ici d'un pod ATLIS pour 2 Super Etendard qui cherche un point au sol. On parle d'un radar. Normalement dans une patrouille, les 2 équipiers se partage les secteurs du "ciel" parce qu'un radar même ESA ne peut pas scanner 360°. Comment est ce que se répartisse concrètement les taches ? Modifié le 17 juillet 2019 par LePetitCharles Faute de frappe Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a une heure, LePetitCharles a dit : Maintenant concrètement, même si chaque patrouille mixe AESA et PESA, comment est ce que cela fonctionne ? On ne parle pas ici d'un pod ATLIS pour 2 Super Etendard qui cherche un point au sol. On parle d'un radar. Normalement dans une patrouille, les 2 équipiers se partage les secteurs du "ciel" parce qu'un radar même ESA ne peut pas scanner 360°. Comment est ce que se répartisse concrètement les taches ? Ils peuvent se partager le secteur en distance (l'un scanne loin, l'autre plus prêt). Ou l'un scanne et l'autre poursuit, ou l'un scanne et l'autre reste discret, ou l'un scanne haut et l'autre plus bas, ou... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Il y a 1 heure, DEFA550 a dit : Ils peuvent se partager le secteur en distance (l'un scanne loin, l'autre plus prêt). Ou l'un scanne et l'autre poursuit, ou l'un scanne et l'autre reste discret, ou l'un scanne haut et l'autre plus bas, ou... OK ... Ça c'est le champs du possible. Mais le détail des pratiques réelles c'est déjà classé/ classifié (je ne sais jamais comment on doit dire) ? Parce que là : 1) se partager le secteur en distance (l'un scanne loin, l'autre plus prêt). Ça laisse quand même un cône super large à assumer sur un seul AESA 2) l'un scanne et l'autre poursuit, donc a prioiri le PESA poursuit .... lors d'un engagement j'imagine q'assez vite l' AESA va être engagé par la manoeuvre et va donc perdre une partie de sa SA 3) l'un scanne et l'autre reste discret, donc là on est dans le longue distance 4) l'un scanne haut et l'autre plus bas, les 2 ont les mêmes perf en look down ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oxcart Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Il y a 4 heures, LePetitCharles a dit : Ce qui est intéressant (mais pas nouveau) sur cette photo c'est le coté concret du Plug & Play : Un avion assez ancien je n'arrive pas bien à voir le numéro mais il ne semble y avoir que 2 chiffres, un radar AESA (le chariot en bas à gauche est marqué Antenne Active) et un DDM d'ancienne génération ... Il y a forcément 3 chiffres (que ce soit un B ou un C). En l’occurrence , ici c'est soit le B301, soit le B302. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Full Metal Jacket Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) Il y a 6 heures, Pakal a dit : Le Pesa suffit peut être en portée radar (encore que) mais pas en multicibles si j'ai bien compris je crois que c'est l'inverse. Le multi cibles est dictée par la puissance de traitement derrière l'antenne. Un AESA a portée doublée, c'est un accroissement du volume a suivre énorme, donc des contraintes sur la partie traitement derrière. Il y a 3 heures, LePetitCharles a dit : On est tous d'accord pour dire que "On fait avec nos moyens". Donc on a 60 AESA. C'est moins performant que 100% de la flotte ... mais c'est mieux que 100% de PESA. Fin du ban. Maintenant concrètement, même si chaque patrouille mixe AESA et PESA, comment est ce que cela fonctionne ? On ne parle pas ici d'un pod ATLIS pour 2 Super Etendard qui cherche un point au sol. On parle d'un radar. Normalement dans une patrouille, les 2 équipiers se partage les secteurs du "ciel" parce qu'un radar même ESA ne peut pas scanner 360°. Comment est ce que se répartisse concrètement les taches ? sauf qu'à ce jour, c'est pas 60 AESA en parc, mais 38 pour 150 avions au doigt mouillé. 1 pour 4. Lorsque les 180 en commande auront été livrés, ca fera 60 pour 180 (moins les avions perdus), ce qui fera 1 pour 3. Déjà mieux. Modifié le 17 juillet 2019 par Full Metal Jacket Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) Sinon, est-ce que vous êtes au courant que la dernière confrontation programmée avec des appareils russes, on a consciemment envoyé des mirage 2000–5 avec un radar RDY sans pour autant craindre pour la vie des pilotes... #balticairpolicing Et même pour des vraies opérations de guerre où le risque de frittage avec les Ivan était à son comble, on a encore fait escorter les Rafale gréés en Air / Sol par des 2000-5 dont aucun n’avait d’AESA #operationhamilton Donc bon. Le débat sur le manque d’AESA... Ça a l'air d’inquiéter plus les forumer que les hommes de l’a(i)rt Modifié le 17 juillet 2019 par Teenytoon 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Il y a 1 heure, LePetitCharles a dit : 1) se partager le secteur en distance (l'un scanne loin, l'autre plus prêt). Ça laisse quand même un cône super large à assumer sur un seul AESA 140° le cône (70° de chaque côté revendiqués par Thalès) et 1000 balayages par seconde contre aux alentours de 1 par seconde avec un radar mécanique, je crois qu'on est couverts. Même s'il faut aller zieuter plusieurs secteurs précis avec beaucoup de puissance rayonnée. Il y a 1 heure, LePetitCharles a dit : 2) l'un scanne et l'autre poursuit, donc a prioiri le PESA poursuit .... lors d'un engagement j'imagine q'assez vite l' AESA va être engagé par la manoeuvre et va donc perdre une partie de sa SA L'AESA peut suivre 40 cibles dont 20 de façon renforcée, et engager 8 cibles simultanément au lieu de 4 cibles pour le PESA. Et au passage tu oublies le rôle de Spectra... Qui sait très bien faire des tirs à 180° vers l'arrière. Il y a les antennes pour ce faire disposés à des points stratégiques de la cellule, sauf vers le bas et vers le haut directement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LePetitCharles Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a une heure, Teenytoon a dit : Sinon, est-ce que vous êtes au courant que la dernière confrontation programmée avec des appareils russes, on a consciemment envoyé des mirage 2000–5 avec un radar RDY sans pour autant craindre pour la vie des pilotes... #balticairpolicing Et même pour des vraies opérations de guerre où le risque de frittage avec les Ivan était à son comble, on a encore fait escorter les Rafale gréés en Air / Sol par des 2000-5 dont aucun n’avait d’AESA #operationhamilton Donc bon. Le débat sur le manque d’AESA... Ça a l'air d’inquiéter plus les forumer que les hommes de l’a(i)rt Concernant la mission BAP, celle ci est quand même assez spécifique ... les Russes se pointent en moyenne/ haute altitude en général avec des bombardiers (escortés) et des transpondeurs sur On. Je ne suis pas sûr à 100% que cela soit représentatif d'un engagement haute intensité. D'ailleurs j'ai cru comprendre que des F16 A/B y participait ... c'est tout dire. Par ailleurs le RDY des 2000-5 en air-air était le "mètre étalon" de la chasse française jusqu'à l'arrivée des AESA. Même si le PESA a mûri et gommé certains de ses (logiques) défauts de jeunesse, il semble rester un cran en dessous du RDY sur cette mission spécifique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oxcart Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Il y a 2 heures, Teenytoon a dit : Et même pour des vraies opérations de guerre où le risque de frittage avec les Ivan était à son comble, on a encore fait escorter les Rafale gréés en Air / Sol par des 2000-5 dont aucun n’avait d’AESA #operationhamilton Lors d'Hamilton, il y avait 2 AWACS Français qui voyaient tout ce qui se passait, et qui envoyait toute la situation à tous les participants en L16 (toutes nationalités, avions, bateaux). Pas besoin d'avoir spécifiquement un AESA. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) Il y a 1 heure, Patrick a dit : et 1000 balayages par seconde L'AESA peut suivre 40 cibles dont 20 de façon renforcée, et engager 8 cibles simultanément au lieu de 4 cibles pour le PESA. C'est complètement faux. Il y a 7 heures, jean-françois a dit : une petite question : les radars des 10 Rafale M étaient identiques aux autres PESA ou non ? Si oui, ils sont partis dans le stock général pendant la remise à niveau des F1 ? 2 coffrets ont été poubellisés (traitement F1 totalement obsolète et coffret pilote récepteur non rétrofitable pour améliorer les performances air sol - mode HR) Emetteur et antenne ont dûs être modifiés également pour le mode HR. Citation il ne faut pas oublier que les radars ont quand même une durée de vie max inférieure à celle des avions ( 10 ans il me semble, sauf erreur de ma part ). C'est complètement faux aussi surtout qu'il n'y a même plus de pièces tournantes. Modifié le 17 juillet 2019 par Picdelamirand-oil 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a 21 minutes, Picdelamirand-oil a dit : il ne faut pas oublier que les radars ont quand même une durée de vie max inférieure à celle des avions ( 10 ans il me semble, sauf erreur de m au contraire les radars sont garantis sans maintenance lourde durant une période de 10 ans ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a une heure, wagdoox a dit : au contraire les radars sont garantis sans maintenance lourde durant une période de 10 ans ... C'est pas moi qu'il faut citer là Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit : C'est complètement faux. C'est plus ? On notera toutefois que selon Thales: Fully target tracks independent of search volume. Ce qui fait une grosse différence comparé à un radar à antenne mécanique dont le volume de recherche se réduit fortement en mode poursuite multicibles 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a 2 minutes, Kovy a dit : C'est plus ? On notera toutefois que selon Thales: Fully target tracks independent of search volume. Ce qui fait une grosse différence comparé à un radar à antenne mécanique dont le volume de recherche se réduit fortement en mode poursuite multicibles Il n'y a déjà pas de différence entre le PESA et l'AESA, c'est le même soft, il y a des différences de performance dues à l'antenne mais c'est tout. Et de toute façon la remarque ne portait pas sur une comparaison avec une antenne mécanique mais entre AESA et PESA. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 17 juillet 2019 Auteur Share Posté(e) le 17 juillet 2019 il y a 3 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Il n'y a déjà pas de différence entre le PESA et l'AESA, c'est le même soft, il y a des différences de performance dues à l'antenne mais c'est tout. Et de toute façon la remarque ne portait pas sur une comparaison avec une antenne mécanique mais entre AESA et PESA. A terme il y aura des fonctionnalité spécifique AESA normalement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) Il y a 8 heures, g4lly a dit : A terme il y aura des fonctionnalité spécifique AESA normalement Oui mais le moins possible, le PESA continue d'évoluer et le nombre de pistes qu'on peut poursuivre ou engager est le même. Bien sûr qu'avec un PESA on ne pourra pas mettre des antennes latérales par exemple. Modifié le 18 juillet 2019 par Picdelamirand-oil 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 Il y a 19 heures, g4lly a dit : On pourrait imaginer virer l'OSF ... et récupérer le volume pour reculer l'antenne et donc disposer d'un plus grand diamètre aussi. On peut voir l'encombrement de l'antenne et son diamètre sur le chariot en bas a gauche. Il y a peut-être un compromis à trouver. Parole de pilote à propos de l'OSF: "On se demande comment on faisait avant". 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kovy Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 (modifié) il y a 29 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Il n'y a déjà pas de différence entre le PESA et l'AESA, c'est le même soft, il y a des différences de performance dues à l'antenne mais c'est tout. Et de toute façon la remarque ne portait pas sur une comparaison avec une antenne mécanique mais entre AESA et PESA. Patrick répondait sur le fait que l'aesa et le pesa auraient à se partager des secteurs de recherche (haut/ bas, droite/gauche, loin/près) et se partager également la recherche et la poursuite. Or on nous a vendu l'aesa (et aussi le pesa en son temps) comme étant capable de poursuivre un nombre incroyable de cibles (quasi) simultanément sur tout le volume de recherche du radar, rendant la recherche simple des antennes méca complètement obsolètes. Merci également de préciser : AESA : 1000 balayages par seconde. VRAI / FAUX AESA peut suivre 40 cibles dont 20 de façon renforcée. VRAI / FAUX AESA peux engager 8 cibles simultanément au lieu de 4 cibles pour le PESA (ie, l'aesa permet de doubler le nombre de LAM). VRAI / FAUX Car je me souviens également avoir lu ces specs un peu partout. mais peut être n'était-ce que du pipo... Au final si le RBE-2 AESA/PESA peut tracker 40 cibles sur tout son volume de recherche, ou est l'intérêt de segmenter les zones de recherche au sein de la patrouille ? Rafraichissement plus rapide des 40 pistes ? Modifié le 17 juillet 2019 par Kovy 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 17 juillet 2019 Share Posté(e) le 17 juillet 2019 14 minutes ago, g4lly said: A terme il y aura des fonctionnalité spécifique AESA normalement Je pensais que l'AESA pouvait etre utliser en EW? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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