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Coronavirus - Covid 19


Messages recommandés

il y a 5 minutes, Niafron a dit :

Bien sûr il va falloir attendre de voir comment l épidémie va se développer chez eux, mais puisque tu demandes un argument, il me semble bien que leur aptitude à tester massivement les cas suspects est très supérieure à la notre.

pourquoi testent ils plus que nous ?

 

(sous entendu, pourquoi n'avons nous pas testé plus ?)

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il y a 6 minutes, Skw a dit :

Gérant mieux la crise ou étant - que ce soit pour des raisons culturelles, matérielles, organisationnelles - mieux préparés à celle-ci ? Parce que ce sont deux choses bien différentes.

Très bonne remarque, c est effectivement deux débats différents.

 

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la létalité du virus est  la même d'un pays à l'autre (le virus s'en fout de chez qui il prospère )

inutile de se palucher avec ces courbes moi je vois les mêmes qui se superposent ça fait des jolis dessins pour les mateurs de powerpoint et meubler des blogs .

il n' y a pas de traitement , uniquement du symptomatique.(là sera la seule différence technique d'un pays à l'autre suivant leur capacité à absorber les cas )

le taux de létalité définitif sera connu dans 6 mois et sans doute vers les taux coréens  / japonais

donc en attendant on se lave bien les menottes 

 

Modifié par DrWho
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Je vous propose à tous de lire l'article que j'ai cité sur la chronologie de la pandémie et en tirer les conclusions sur sa gestion par notre pays (et d'autres, mais étant citoyen français, il est normal que mon attention se porte d'abord sur les dirigeants de mon pays, qui eux d'ailleurs ne se sont pas privés  de dénigrer les autres, italiens par exemple)

Pour répondre à Skw, je crois que les critères de préparation et de "management" de la crise sont bien sûr assez entremêlés. Il est évident que l'Asie était mieux préparée à la fois parce qu'ayant connu des épidémies récemment et parce que culturellement, certains facteurs prédisposent au ralentissement d'une propagation (que ce soit la prophylaxie ou le seuil de tolérance à l'autoritarisme). Mais elle avait aussi beaucoup moins de temps pour réagir. Et là on est dans la gestion.

Modifié par Nicks
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Précison : il ne s agit pas d un débat rhétorique visant à s autoflageller... tant qu il n y aura pas de vaccin ou d immunité collective, la crise va durer ( on en a ptet pour 2 ans du coup ).

Donc si d autres font mieux, il faut savoir pourquoi et s adapter.

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A ajouter à la liste des cons :

Citation

Les Autrichiens doivent désormais porter un masque buccal lorsqu’ils font leurs courses, a annoncé le gouvernement lundi.

...

A moyen terme, le port du masque sera rendu obligatoire pour toutes les situations où un contact proche est créé entre les personnes, a déclaré le chancelier Sebastian Kurz.

« Cela ne fait pas partie de nos habitudes et nous allons devoir nous adapter, mais il est nécessaires de franchir cette étape pour limiter la transmission du virus. »

 

https://fr.metrotime.be/2020/03/30/must-read/les-autrichiens-doivent-porter-un-masque-au-supermarche/

Je commence à être en sélecte compagnie...

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il y a 8 minutes, DrWho a dit :

la létalité du virus est  la même d'un pays à l'autre (le virus s'en fout de chez qui il prospère )

inutile de se palucher avec ces courbes moi je vois les mêmes qui se superposent ça fait des jolis dessins pour les mateurs de powerpoint et meubler des blogs .

il n' y a pas de traitement , uniquement du symptomatique.(là sera la seule différence technique d'un pays à l'autre suivant leur capacité à absorber les cas )

le taux de létalité définitif sera connu dans 6 mois et sans doute vers les taux coréens  / japonais

donc en attendant on se lave bien les menottes 

 

C'est probablement faux.

Premièrement nous n'avons pas tous le même patrimoine immunitaire.

Il y a plein de coronavirus en circulation depuis "toujours". Celu là est peut être plus proche de souches qui ont bcp tournées en Asie. Ce qui fait que le système immunitaire n'est pas totalement efficace, mais il se réactive plus vite et mieux (j'avais compris ça pour les grippes, merci à notre spécialiste de confirmer).

 

 

il y a 25 minutes, FATac a dit :

Si c'est bien le cas, moi, une telle remarque m'inquiète énormément.

En effet, si la manière de compter les morts est la même, et que la courbe de progression se superpose, cela veut dire que les différences dans la réaction - et on a trois approches différentes - n'ont aucune influence sur le déroulement de l'épidémie. :sad:

Non ça veut dire que la latence est grande. Le confinement est la petite étoile sur le graphe.

Or la tendance serait que l'effet c'est probablement entre 20 et 40 jours. Donc pas étonnant qu'il n'y ait pas de différence en l'état.

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il y a 25 minutes, Eau tarie a dit :

Pour l'instant je trouve que "les morts" est le résultat le moins sujet à biais statistique de comptage (vis à vis des cas qui dépend énormément de comment tu dépistes). En effet le "certificat de décés" et tout le reste est en effet très judiciarisé et très protocolaire pour des raisons évidente.

Mais la vérité on ne pourra la faire qu'en faisant une étude d'écart de "surmortalité".

Pour l'instant Italie / France / UK / Pays Bas, c'est la même courbe de progression à 3 pouillèmes près. ça insite à penser que ces pays là compte les morts de Covid de la même manière.

079165b6-71fc-11ea-95fe-fcd274e920ca?fit

Il faudrait aussi normaliser par la population, le nombre de mort dans l'absolu n'est pas un indicateur pertinent sauf à regarder les dérivés (sinon le Vatican va avoir de très bon résultat). L’échelle logarithmique a aussi tendance à compresser les différences surtout quand les chiffres commencent à exploser ce qui atténue l'écart visuel entre les pays qui prennent un gros tarif et les autres.
Soyons aussi très méfiant aux hypothèses et choix fait dans l’illustration. Le choix du recalage sur un nombre de mort fixe, ici 10, fait une grosse différence (un recalage à 3 morts donne une impression différente, j'ai fait le test )

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il y a 15 minutes, Niafron a dit :

la France a moins de labo d'examens et elle ne produit pas de revelateurs...

les labos sont donc un goulot d'etranglement et les 5 000 tests quotidien par 38 hopitaux autorisés ne permettent qu'une moyenne de 131 tests par jour.

 

Les chiffres sont là, ils sont durs mais, comme tout le monde est dans le meme sac, les pays producteurs de produits necessaire se servent d'abord.

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il y a 13 minutes, Zalmox a dit :

A ajouter à la liste des cons :

https://fr.metrotime.be/2020/03/30/must-read/les-autrichiens-doivent-porter-un-masque-au-supermarche/

Je commence à être en sélecte compagnie...

Tu n'as toujours pas compris un

Les slovènes 2 millions

les autrichiens 9 millions

Nous 67 millions de raleurs patentés qui ont une opinion sur tout et rien

Tu vois la différence ? ou il faut que je refasse des cours de math à distance en plus du reste ?

PS 1 : et ca n'est toujours pas appuyé par l'OMS

PS 2 : continue à troller ça va finir par se voir

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il y a 9 minutes, Castor a dit :

Il faudrait aussi normaliser par la population, le nombre de mort dans l'absolu n'est pas un indicateur pertinent sauf à regarder les dérivés (sinon le Vatican va avoir de très bon résultat). L’échelle logarithmique a aussi tendance à compresser les différences surtout quand les chiffres commencent à exploser ce qui atténue l'écart visuel entre les pays qui prennent un gros tarif et les autres.
Soyons aussi très méfiant aux hypothèses et choix fait dans l’illustration. Le choix du recalage sur un nombre de mort fixe, ici 10, fait une grosse différence (un recalage à 3 morts donne une impression différente, j'ai fait le test )

deaths-eu-norm.png

http://nrg.cs.ucl.ac.uk/mjh/covid19/

ça ne change pas trop la tendance...

A mon sens la courbe du Financial Times est la plus "digeste" pour suivre. Mais comme tout choix de représentation,  elle montre mieux certaines choses que d'autres et il faut lire cela avec un certain recul.

 

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il y a 3 minutes, christophe 38 a dit :

la France a moins de labo d'examens et elle ne produit pas de revelateurs...

les labos sont donc un goulot d'etranglement et les 5 000 tests quotidien par 38 hopitaux autorisés ne permettent qu'une moyenne de 131 tests par jour.

 

Les chiffres sont là, ils sont durs mais, comme tout le monde est dans le meme sac, les pays producteurs de produits necessaire se servent d'abord.

Ce qui pose de lourdes questions de fond.

Mais comme l observait parfaitement @Skw , il ne s agit plus d un débat sur la "gestion ".

Vu la très brève durée de vie du débat sur les conséquences politiques de l épidémie ( voir le thread en question) je vais pas me lancer là dedans.

Je constate que nous faisons des efforts désespérés pour "réarmer" en urgence, j espère juste qu une fois cette urgence passée, on tirera tous les enseignements sur le plan idéologique et qu on ne retombera pas dans les mêmes travers.

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@Zalmox

J'ai traversé Marseille en vélo entre midi et deux pour faire un pit stop au bureau, le port du masque s'est vraiment généralisé je dirais entre 25 et 30% des gens portent des masques chirurgicaux ... ce que j'ai trouvé pas mal. Là où çà coince c'est sur la manière de le porter:

-sur le menton pour pouvoir parler à son interlocuteur

-uniquement sur la bouche

-enlevé, remis, enlevé, remis ...

On acquiert pas en 15 jours des années de pratique

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il y a 38 minutes, Niafron a dit :
Citation

Si la France n’a pas suivi cette stratégie dans un premier temps, c’est tout simplement car “nous en sommes incapables”. Voici ce qu’affirmait au Monde le 20 mars Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique sur le Covid-19. “Nous ne possédons pas les capacités de tester à la même échelle que la Corée du Sud”, expliquait-il.

Citation

Et en Allemagne? Ici, il faut bien comprendre que nos voisins ont été en pointe face au Sars Cov2. Sur les 8 protocoles de tests recommandés par l’OMS, le tout premier fut développé par une équipe allemande le 17 janvier, avant même le protocole chinois (24 janvier). À CNN, le directeur du laboratoire à l’origine de ce test, Olfert Landt, estime qu’il avait déjà produit fin février 4 millions de tests. Depuis, 1,5 million sont produits chaque semaine. 

Citation

À l’inverse, la France semble avoir pris du retard. D’ailleurs, l’Institut Pasteur n’a rejoint la liste de l’OMS que le 2 mars. “On est totalement incapables de tester à très grande échelle parce qu’il n’y a pas d’industrie de biologie moléculaire en France”, déplore Michel Bendahan, un pharmacien biologiste qui dirige un laboratoire clinique, interrogé par L’Opinion.

Citation

Autre différence notable: en France, les tests ne pouvaient être effectués que dans des hôpitaux correctement équipés et non en laboratoires. En Allemagne, les choses sont différentes, précise la NPR. “Nous avons une culture ici en Allemagne qui ne soutient pas un système de diagnostic centralisé”, explique Christian Drosten, directeur de l’institut de virologie de l’hôpital de la Charité de Berlin.

Ainsi, il n’y a pas d’autorité de santé globale qui restreint les autres laboratoires de réaliser des tests. “Donc nous avons un marché ouvert depuis le début”, précise-t-il. Une différence de taille. La France n’a pris que le 7 mars un décret autorisant les laboratoires privés à réaliser des tests de dépistage du coronavirus.

Une fois le test effectué, encore faut-il l’analyser. Pour être rapide, le diagnostic est réalisé sur une machine spéciale, un “automate”. Ici aussi, la France a du retard, note L’Opinion: sur les 900 machines du laboratoire Roche actuellement en service dans le monde, seules 12 fonctionnent en France contre une centaine en Allemagne. Ici aussi, l’État français devrait acquérir plus d’automates dans les jours à venir. 

Face à la pénurie, la France a donc utilisé la carte du confinement, qui n’est “pas la meilleure des solutions, mais la moins mauvaise” au vu de “l’état actuel des ressources”, selon Jean-François Delfraissy.

y avait il une alternative ???

 

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il y a 35 minutes, Eau tarie a dit :

C'est probablement faux.

Premièrement nous n'avons pas tous le même patrimoine immunitaire.

Il y a plein de coronavirus en circulation depuis "toujours". Celu là est peut être plus proche de souches qui ont bcp tournées en Asie. Ce qui fait que le système immunitaire n'est pas totalement efficace, mais il se réactive plus vite et mieux (j'avais compris ça pour les grippes, merci à notre spécialiste de confirmer).

 

 

Non ça veut dire que la latence est grande. Le confinement est la petite étoile sur le graphe.

Or la tendance serait que l'effet c'est probablement entre 20 et 40 jours. Donc pas étonnant qu'il n'y ait pas de différence en l'état.

Gné ? surement pas

Y'a 3 sous types de coronavirus humains qui circulent  sur tout le planète

ici on parle d'un sous type zoonotique exclusif avec 2 théories d'apparition

Theories of SARS-CoV-2 origins

It is improbable that SARS-CoV-2 emerged through laboratory manipulation of a related SARS-CoV-like coronavirus. As noted above, the RBD of SARS-CoV-2 is optimized for binding to human ACE2 with an efficient solution different from those previously predicted7,11. Furthermore, if genetic manipulation had been performed, one of the several reverse-genetic systems available for betacoronaviruses would probably have been used19. However, the genetic data irrefutably show that SARS-CoV-2 is not derived from any previously used virus backbone20. Instead, we propose two scenarios that can plausibly explain the origin of SARS-CoV-2: (i) natural selection in an animal host before zoonotic transfer; and (ii) natural selection in humans following zoonotic transfer. We also discuss whether selection during passage could have given rise to SARS-CoV-2.

1. Natural selection in an animal host before zoonotic transfer

As many early cases of COVID-19 were linked to the Huanan market in Wuhan1,2, it is possible that an animal source was present at this location. Given the similarity of SARS-CoV-2 to bat SARS-CoV-like coronaviruses2, it is likely that bats serve as reservoir hosts for its progenitor. Although RaTG13, sampled from a Rhinolophus affinis bat1, is ~96% identical overall to SARS-CoV-2, its spike diverges in the RBD, which suggests that it may not bind efficiently to human ACE27 (Fig. 1a).

Malayan pangolins (Manis javanica) illegally imported into Guangdong province contain coronaviruses similar to SARS-CoV-221. Although the RaTG13 bat virus remains the closest to SARS-CoV-2 across the genome1, some pangolin coronaviruses exhibit strong similarity to SARS-CoV-2 in the RBD, including all six key RBD residues21 (Fig. 1). This clearly shows that the SARS-CoV-2 spike protein optimized for binding to human-like ACE2 is the result of natural selection.

Neither the bat betacoronaviruses nor the pangolin betacoronaviruses sampled thus far have polybasic cleavage sites. Although no animal coronavirus has been identified that is sufficiently similar to have served as the direct progenitor of SARS-CoV-2, the diversity of coronaviruses in bats and other species is massively undersampled. Mutations, insertions and deletions can occur near the S1–S2 junction of coronaviruses22, which shows that the polybasic cleavage site can arise by a natural evolutionary process. For a precursor virus to acquire both the polybasic cleavage site and mutations in the spike protein suitable for binding to human ACE2, an animal host would probably have to have a high population density (to allow natural selection to proceed efficiently) and an ACE2-encoding gene that is similar to the human ortholog.

2. Natural selection in humans following zoonotic transfer

It is possible that a progenitor of SARS-CoV-2 jumped into humans, acquiring the genomic features described above through adaptation during undetected human-to-human transmission. Once acquired, these adaptations would enable the pandemic to take off and produce a sufficiently large cluster of cases to trigger the surveillance system that detected it1,2.

All SARS-CoV-2 genomes sequenced so far have the genomic features described above and are thus derived from a common ancestor that had them too. The presence in pangolins of an RBD very similar to that of SARS-CoV-2 means that we can infer this was also probably in the virus that jumped to humans. This leaves the insertion of polybasic cleavage site to occur during human-to-human transmission.

Estimates of the timing of the most recent common ancestor of SARS-CoV-2 made with current sequence data point to emergence of the virus in late November 2019 to early December 201923, compatible with the earliest retrospectively confirmed cases24. Hence, this scenario presumes a period of unrecognized transmission in humans between the initial zoonotic event and the acquisition of the polybasic cleavage site. Sufficient opportunity could have arisen if there had been many prior zoonotic events that produced short chains of human-to-human transmission over an extended period. This is essentially the situation for MERS-CoV, for which all human cases are the result of repeated jumps of the virus from dromedary camels, producing single infections or short transmission chains that eventually resolve, with no adaptation to sustained transmission25.

Studies of banked human samples could provide information on whether such cryptic spread has occurred. Retrospective serological studies could also be informative, and a few such studies have been conducted showing low-level exposures to SARS-CoV-like coronaviruses in certain areas of China26. Critically, however, these studies could not have distinguished whether exposures were due to prior infections with SARS-CoV, SARS-CoV-2 or other SARS-CoV-like coronaviruses. Further serological studies should be conducted to determine the extent of prior human exposure to SARS-CoV-2.

3. Selection during passage

Basic research involving passage of bat SARS-CoV-like coronaviruses in cell culture and/or animal models has been ongoing for many years in biosafety level 2 laboratories across the world27, and there are documented instances of laboratory escapes of SARS-CoV28. We must therefore examine the possibility of an inadvertent laboratory release of SARS-CoV-2.

In theory, it is possible that SARS-CoV-2 acquired RBD mutations (Fig. 1a) during adaptation to passage in cell culture, as has been observed in studies of SARS-CoV11. The finding of SARS-CoV-like coronaviruses from pangolins with nearly identical RBDs, however, provides a much stronger and more parsimonious explanation of how SARS-CoV-2 acquired these via recombination or mutation19.

The acquisition of both the polybasic cleavage site and predicted O-linked glycans also argues against culture-based scenarios. New polybasic cleavage sites have been observed only after prolonged passage of low-pathogenicity avian influenza virus in vitro or in vivo17. Furthermore, a hypothetical generation of SARS-CoV-2 by cell culture or animal passage would have required prior isolation of a progenitor virus with very high genetic similarity, which has not been described. Subsequent generation of a polybasic cleavage site would have then required repeated passage in cell culture or animals with ACE2 receptors similar to those of humans, but such work has also not previously been described. Finally, the generation of the predicted O-linked glycans is also unlikely to have occurred due to cell-culture passage, as such features suggest the involvement of an immune system18.

Conclusions

In the midst of the global COVID-19 public-health emergency, it is reasonable to wonder why the origins of the pandemic matter. Detailed understanding of how an animal virus jumped species boundaries to infect humans so productively will help in the prevention of future zoonotic events. For example, if SARS-CoV-2 pre-adapted in another animal species, then there is the risk of future re-emergence events. In contrast, if the adaptive process occurred in humans, then even if repeated zoonotic transfers occur, they are unlikely to take off without the same series of mutations. In addition, identifying the closest viral relatives of SARS-CoV-2 circulating in animals will greatly assist studies of viral function. Indeed, the availability of the RaTG13 bat sequence helped reveal key RBD mutations and the polybasic cleavage site.

The genomic features described here may explain in part the infectiousness and transmissibility of SARS-CoV-2 in humans. Although the evidence shows that SARS-CoV-2 is not a purposefully manipulated virus, it is currently impossible to prove or disprove the other theories of its origin described here. However, since we observed all notable SARS-CoV-2 features, including the optimized RBD and polybasic cleavage site, in related coronaviruses in nature, we do not believe that any type of laboratory-based scenario is plausible.

More scientific data could swing the balance of evidence to favor one hypothesis over another. Obtaining related viral sequences from animal sources would be the most definitive way of revealing viral origins. For example, a future observation of an intermediate or fully formed polybasic cleavage site in a SARS-CoV-2-like virus from animals would lend even further support to the natural-selection hypotheses. It would also be helpful to obtain more genetic and functional data about SARS-CoV-2, including animal studies. The identification of a potential intermediate host of SARS-CoV-2, as well as sequencing of the virus from very early cases, would similarly be highly informative. Irrespective of the exact mechanisms by which SARS-CoV-2 originated via natural selection, the ongoing surveillance of pneumonia in humans and other animals is clearly of utmost importance.

 

Dans le cas 1 , la selection du variant virulent se fait dans l'ainmal avant passage à l'homme.  Pas le temps que le virus circule avant qu'il ne soit visible par les morts qu'il provoque. Pas d'immunité de groupe donc.

Dans le cas 2, il y' aurait eu passage d'un variant peu virulent de l'animal à l'homme et selcetion du variant virulent chez l'homme. Ce qui veut dire que le virus a un peut être circulé sous une forme atténuée avant l'explosion epidémique. La effectivement quelques dizaines/centaines/milliers de personnes auraient été en contact et (peut etre) acquis une immunité minimale en fonction de la durée de circulation avant qu'il ne devienne vraiment agressif. Mais qui visiblement n'a pas bien fonctionné vu l'explosion epidémique en Novembre en Chine

Suffit que le virus change suffisemment pour que ca ne marche plus

CF vaccin de la grippe

 

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il y a 17 minutes, Akhilleus a dit :

 

ici on parle d'un sous type zoonotique exclusif 

 

 

Mot compte triple?! Ouais... je vais quand même vérifier dans le dico pour voir si ça existe...

Edit: pour ceux qui parlent pas l akhilleussien...

Zoonotique (Médecine) Relatif à la zoonose, maladie qui se transmet de l’animal à l’homme ou vice-versa.

Modifié par Niafron
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il y a 13 minutes, Niafron a dit :

Mot compte triple?! Ouais... je vais quand même vérifier dans le dico pour voir si ça existe...

Edit: pour ceux qui parlent pas l akhilleussien...

Zoonotique (Médecine) Relatif à la zoonose, maladie qui se transmet de l’animal à l’homme ou vice-versa.

Oups, désolé, des fois je jargonnes

Faut me demander quand je suis pas clair

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il y a 18 minutes, Henri K. a dit :

Quand on peut injecter 35000 personnels soignants, dont 15000 de soins intensifs entre le 24 Janvier et le 28 Février,

C'est l'avantage d'avoir une population de 1.5 milliards d'habitants et de ne pas avoir confiné INTEGRALEMENT toute la population sur toute la surface du pays ...

C'est un effet de levier énorme !

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il y a 30 minutes, Akhilleus a dit :

Gné ? surement pas

Y'a 3 sous types de coronavirus humains qui circulent  sur tout le planète

ici on parle d'un sous type zoonotique exclusif avec 2 théories d'apparition

(...)

 

Dans le cas 1 , la selection du variant virulent se fait dans l'ainmal avant passage à l'homme.  Pas le temps que le virus circule avant qu'il ne soit visible par les morts qu'il provoque. Pas d'immunité de groupe donc.

Dans le cas 2, il y' aurait eu passage d'un variant peu virulent de l'animal à l'homme et selcetion du variant virulent chez l'homme. Ce qui veut dire que le virus a un peut être circulé sous une forme atténuée avant l'explosion epidémique. La effectivement quelques dizaines/centaines/milliers de personnes auraient été en contact et (peut etre) acquis une immunité minimale en fonction de la durée de circulation avant qu'il ne devienne vraiment agressif. Mais qui visiblement n'a pas bien fonctionné vu l'explosion epidémique en Novembre en Chine

Suffit que le virus change suffisemment pour que ca ne marche plus

CF vaccin de la grippe

 

J'avais cru comprendre que si on exclu les SRAS COV, on est régulièrement au contact des autres COVs.

J'ai du aller chercher voir comment ça s'appelle :

Il existe quatre sous-groupes principaux de coronavirus, appelés alpha, bêta, gamma et delta. Et sept formes différentes dont quatre communes (moins graves que les autres) :

  • 229E (alpha coronavirus)
  • NL63 (alpha coronavirus)
  • OC43 (bêta-coronavirus)
  • HKU1 (bêta-coronavirus)

Et trois plus graves : 

  • SRAS-CoV (le bêta-coronavirus qui cause le Syndrome respiratoire aigu sévère, ou SRAS, identifié en Chine en 2002).
  • MERS-CoV (le coronavirus bêta qui provoque le syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ou MERS découvert en 2012 en Arabie Saoudite).
  • Covid-19 ou "Sars-SoV-2" 

Mon hypothèse un peu cavalière peut être, c'est que pour une raison ou une autre, les populations asitiques "proche" de ce que l'on sait, du début de l'épidémie, ont peut être déjà subit une épidémie "bégnine" d'une variante de CoVs. Et du coup aurait une meilleure réaction immunitaire "en moyenne".

 

 

 

il y a 5 minutes, pascal a dit :

C'est l'avantage d'avoir une population de 1.5 milliards d'habitants et de ne pas avoir confiné INTEGRALEMENT toute la population sur toute la surface du pays ...

C'est un effet de levier énorme !

Et un pays de la taille d'un continent.

Les USA aurait pu faire qqchose similaire... L' europe peut être aussi. On aurait du commencer par confiner la chine et les occidentaux revenant. Mais c'est "démocratiquement" compliquer de séquestrer des gens en tout début de problème quand ça parait lointain.

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