Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Messages recommandés

On est bien en phase gibbs..... ;)

tout à fait  =)

NAIROBI — Une attaque à la grenade dans un bar-discothèque de Nairobi a fait 14 blessés dans la nuit de dimanche à lundi, un attentat que la police a lié aux menaces des islamistes somaliens shebab de se venger de l'intervention militaire kényane en cours en Somalie.

Les shebab, qui se revendiquent d'Al-Qaïda, ont multiplié les menaces de représailles sur le sol kényan depuis que ce pays a lancé une offensive militaire contre eux dans le sud somalien il y a une semaine.

Les services de sécurité kényans "ne sont pas du tout équipés face au terrorisme", commente un militaire occidental à la retraite, James Frost, connaissant bien Nairobi. "S'ils (les shebab) veulent faire exploser une bombe, ils peuvent le faire où ils veulent sans problème". (AFP)

ça va pas calmer les kenyans !  >:(

+1

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Deuxième attentat ce soir à Nairobi.

NAIROBI (Reuters) - Une nouvelle attaque à la grenade s'est produite lundi soir à Nairobi, la capitale kényane déjà visée la nuit précédente par une explosion de même type, a confirmé la police kényane.

Cette seconde déflagration en moins de vingt-quatre heures, qui a eu lieu à un arrêt de bus dans le centre de la ville, a fait un mort et au moins huit blessés, a précisé le porte-parole adjoint de la police kényane.

Les Shebab ont menacé le Kenya de représailles s'il ne retirait pas ses troupes de Somalie.

Samedi, l'ambassade américaine à Nairobi a adressé une alerte de sécurité aux ressortissants américains installés ou séjournant au Kenya, évoquant un risque autour des lieux fréquentés par la communauté étrangère.

Si les Shebab visent les lieux touristiques et les transports, ça va être vraiment catastrophique pour l'activité touristique !  =(

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Par contre je ne comprend pas très bien à quoi joue le gouvernement Kényan autour du supposé bombardement de l’île de Kudhaa par l'armée française.

En quoi inventer une fausse intervention française nous forcerait à intervenir réellement ? Et a supposer que la France est vraiment bombardé l'île, je ne vois pas trop l'intérêt de l'état major de cacher cela alors que vu les moyens mis en oeuvre (on parle de bombardement naval et aérien), il serait difficile de passer inaperçue.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

The battle to capture Kismayu started on Sunday with jets bombing several Al-Shabaab bases in a final push to wipe out the militants.

It was, however, not immediately clear whether the fighter jets that bombed Al-Shabaab’s Congo military base north of the port city early on Sunday belonged to Kenya or other allied forces helping in the fight against the militants.

Under aerial attacks

“It is confirmed that Kismayu has been under aerial attacks, but it is not our troops, it must be one of our allies,” military spokesman Emmanuel Chirchir said.

Kenyan commanders were mobilising their troops in readiness for what is expected to be a fierce battle to capture the town of Afmadow, a strategic transit point for goods illegally trafficked through Kismayu.

Kismayu is Al-Shabaab’s nerve centre for operations and its main source of funding and its capture and that of Afmadow will significantly weaken the militants.

Maj Chirchir said that Lt-Col Jeff Nyaga, who is commanding the Kenyan forces, had reinforced his troops in readiness for what is expected to be a fierce battle to capture Afmadow following reports that Al-Shabaab had dug in to defend the town.

“The commander, Lt-Col Jeff Nyaga, has made adjustment on his troops on ground to occupy a vantage point as Al-Shabaab prepares to fight on this front. Al-Shabaab (is) believed to be heavily regrouping in Bula Haji and moving towards Afmadow,” Maj Chirchir said in a statement.

He reported that the rains had subsided, creating good conditions for Kenyan troops to manoeuvre while the Transitional Federal Government (TFG) fighters were already positioned at Hayo ready to join the Kenyan troops in the push to capture Afmadow.

A French naval gunship patrolling Somali waters also bombarded the town of Kuday, south of Kismayu, as the battle to decimate the militants gained momentum.

It was not immediately clear how many militants could have been killed or wounded during the attack in Kuday with the French Navy promising to give damage assessment as soon as possible.

The Kenyan troops and their allies from TFG have already occupied the town of Oddo, which they captured on Friday and were said to be advancing towards Burgavo town in their march to Afmadow and Kismayu.

Nearer to the Indian Ocean coast, Kenya is advancing to Kismayu in its effort to isolate the rebel fighters.

On Saturday, the military said it had moved beyond Oddo and had launched an air strike on Munarani, hitting an Al-Shabaab command centre.

Foreign media reports quoted residents saying convoys of armoured vehicles and trucks carrying weaponry, food supplies and tents were seen leaving four military camps in Isiolo on Friday and heading towards the border.

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=jkpXtA8Tpww

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Kenya soutient depuis longtemps le Gouvernement fédéral de transition, qu’il a hébergé sur son sol, mais le pays a été jusque-là épargné par les Shebab, qui l’utilisaient comme base logistique et financière. Cela pourrait changer : les islamistes ont montré qu’ils pouvaient frapper loin de chez eux. En juillet 2010, un attentat commis à Kampala (Ouganda) pendant la Coupe du monde de football avait fait 76 morts. Jusqu’à présent, les services de renseignements kényans, épaulés par leurs alliés américains, ont réussi à garder sous contrôle les djihadistes qui vivent sur leur territoire, notamment dans le quartier d’Eastleigh, surnommé « le petit Mogadiscio », à Nairobi.

L’opération militaire kényane, baptisée Linda Nchi (« Protéger le Kenya »), a officiellement pour objectif d’établir une zone tampon de 100 km au-delà de la frontière afin de sécuriser le pays, qui craint de perdre une partie de ses revenus liés au tourisme. L’année dernière, quelque 1,6 million de visiteurs attirés par ses plages de sable blanc et ses réserves animalières lui avaient permis d’engranger 900 millions de dollars, faisant du tourisme la deuxième source de revenus après les exportations de thé.

Ralentis par la pluie et la boue, les militaires kényans progressent en direction de la ville somalienne d’Afmadow, où se masseraient les Shebab, après avoir réquisitionné de nombreux véhicules pour y transporter leurs partisans. L’objectif principal pourrait être la ville portuaire de Kismayo, à 120 km plus au sud, qui sert de quartier général aux islamistes et par où leur parviennent d’importantes rentrées financières.

« Nous avons tué 73 rebelles lors de nos bombardements et, pour le moment, nous avons sécurisé trois villes, a déclaré Emmanuel Chirchir, le porte-parole de l’armée, le 19 octobre. Aucune perte n’était à déplorer du côté kényan. » Ce qui n’est pas tout à fait vrai : un hélicoptère Harbin Z-9 de fabrication chinoise s’est écrasé au décollage, dans la ville de Liboi, tuant cinq soldats. « Nous sommes déterminés à chasser les Shebab de Kismayo, puis de toute la Somalie », affirme le général Youssouf Hussein Dumaal, qui dirige les forces kényanes. Il peut compter sur le soutien du GFT, de l’Amisom et de certaines milices anti-Shebab, comme le groupe Ahlu Sunna wal Jamaa. « Nos troupes sont prêtes à tout, clame Chirchir. Si cela nous entraîne jusqu’au mois de décembre, nous fêterons Noël là-bas, sinon, nous rentrerons plus tôt. » Maladroite allusion à une fête chrétienne quand, sur les ondes islamistes, on martèle des messages du style : « Êtes-vous prêts à vivre sous la domination des chrétiens ? Sortez de vos maisons, défendez votre dignité et votre religion ! » Le fragile équilibre religieux du Kenya pourrait être une première victime collatérale du conflit. Les précédents laissent à penser qu’on ne met pas un pied dans le bourbier somalien impunément.

Face à la résistance des rebelles, le Kenya aurait demandé depuis quelques jours le soutien militaire de la France et des Etas-Unis. 

la presse kényane remet en question l'opportunité de l'offensive kényane en Somalie. L'inquiétude est d'autant plus grande que beaucoup craignent la présence de nombreux sympathisants des rebelles au Kenya même. "Quelqu'un devrait expliquer pourquoi nous poursuivons les militants shebab à l'intérieur de la Somalie plutôt que d'arracher le lien ici, à domicile," note par exemple le Sunday Nation. 

Les ONG et l'ONU aussi commencent à s'interroger au sujet de l'intervention kényanne. Leur crainte: voir la recrudescence des combats, dans le sud et à proximité de la capitale somalienne Mogadiscio, accroître la grave crise humanitaire provoquée par la sécheresse dans ce pays. 

Jeuneafrique.com

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le navire-espion Français, pardon, le navire "collecteur de renseignements" de la DRM "Dupuy de Lôme" est sur zone. Au large de la zone des combats. Par contre nous n'avons aucun mandat des NU. Donc, le mot officiel c'est "pas de commentaire...".

Il est établi que nous avons des gars sur place - sûrement des FS - et probablement en clandé.

Un drone US était de la partie aussi.

Image IPB

Image IPB

Image IPB

Image IPB

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/comment-les-francais-aident-le-kenya-dans-son-offensive-en-somalie-25-10-2011-1389036_53.php

Comment les Français aident le Kenya dans son offensive en Somalie

Le Point.fr - Publié le 25/10/2011 à 19:52 - Modifié le 25/10/2011 à 22:35

L'armée française n'est pas engagée dans les combats, mais elle a mis du matériel à la disposition des Kényans.

Par Jean Guisnel

Les armées françaises soutiennent l'offensive kényane contre les militants shebabs somaliens, qui détiennent notamment un officier français de la DGSE depuis le 14 juillet 2009. Les Français ne sont pas engagés dans les combats, affirme-t-on à l'état-major des armées à Paris, où l'on confirme par ailleurs qu'un Transall C-160 a été mis à disposition de Nairobi. Un peu juste en moyens logistiques. Mais de participation aux combats, nenni ! On dément avec vigueur, de même source, que des navires de combat de la marine nationale soient présents au large de la zone des combats, et qu'ils aient a fortiori tiré contre des objectifs à terre.

On précise de même source que l'aviso Premier maître l'Her, qui a quitté Brest le 1er octobre, se trouve actuellement en passe de rejoindre la Task Force 150 déployée dans le golfe d'Aden, sous commandement américain. La frégate Surcouf, qui participe pour sa part à la mission européenne Atalante contre la piraterie, se trouve depuis plusieurs jours au large de la ville somalienne d'Harardhere, très loin de la zone des combats entre l'armée kényane et les milices shebabs.

Bateau espion

L'état-major des armées n'avait en revanche "rien à dire, vraiment", sur la présence dans le port kényan de Mombasa, rapportée au Point par des sources fiables, du très gros navire français Dupuy de Lôme. Ce navire de 3 600 tonnes arbore la coque blanche des bâtiments scientifiques et appartient officiellement à la catégorie des "bâtiments d'expérimentation et de mesures".

Mais un énorme mât chargé d'antennes et deux gros radômes abritant de "grandes oreilles" ne laissent pas le moindre doute sur sa nature exacte : c'est un bateau espion, certes armé par la marine nationale, mais qui travaille 350 jours par an au profit de la Direction du renseignement militaire, nous apprend l'indispensable annuaire Flottes de combat. Lequel précise qu'il embarque un équipage de 30 hommes, auxquels s'ajoutent 80 "techniciens". Qu'en termes pudiques ces choses-là sont dites ! Les Français, qui font circuler ce navire dans le monde entier, disposent avec lui d'un exceptionnel outil de renseignement, dont ils ne parlent jamais, bien qu'il soit très officiellement recensé dans la flotte des AGI (Auxiliary General Intelligence), dont dispose l'Otan. Conclusion : bien que les Français demeurent discrets sur le sujet, ils assistent les Kényans dans leur offensive en leur apportant des moyens logistiques aériens. Il paraît plausible qu'ils fournissent aussi du renseignement. Mais sans tirer un coup de feu...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

WASHINGTON (AP) — La Maison Blanche a confirmé vendredi que l'armée américaine disposait de drones en Ethiopie, tout en précisant que les appareils sans pilote n'étaient pas utilisés pour des missions d'attaque.

Le porte-parole de la présidence américaine Jay Carney a expliqué que des drones se trouvaient en Ethiopie afin de promouvoir la stabilité dans la Corne de l'Afrique et de lutter contre le terrorisme.

La présence de drones militaires américains en Ethiopie avait été rapportée pour la première fois par le "Washington Post".

Les drones sont souvent considérés comme une arme de choix au sein de l'administration du président Barack Obama. Les Etats-Unis ont multiplié par quatre leurs attaques de drones contre des objectifs liés à Al-Qaïda dans les zones tribales pakistanaises. Les drones sont contrôlés depuis des bases militaires qui peuvent se trouver aux Etats-Unis.

Un article américain sur le sujet : http://defensetech.org/2011/10/28/u-s-expanding-drone-ops-with-a-new-african-base/#more-15178

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

NAIROBI — Des dizaines voire des centaines de jeunes Kényans ont combattu aux côtés des islamistes somaliens et peuvent revenir dans leur pays mener une action terroriste: un deuxième front, intérieur, qui préoccupe au plus haut point le Kenya engagé militairement en Somalie.

Ces combattants de l'ombre ont depuis cette semaine un visage, celui d'un jeune homme de 28 ans, condamné vendredi à la perpétuité pour son implication dans un attentat à la grenade à Nairobi (un mort).

L'énigmatique et souriant Elgiva Bwire Oliacha, chez qui la police a saisi un mini arsenal, est un musulman converti de fraîche date, d'origine non somali, qui a effectué un séjour en Somalie de février à août dernier selon la police.

Si certains s'interrogent sur la rapidité de son arrestation et la facilité avec laquelle l'intéressé a reconnu les accusations portées contre lui, son profil correspond à une nouvelle génération d'islamistes des plus inquiétantes pour les autorités.

"Un nombre considérable de jeunes gens ont franchi la frontière avec la Somalie pour combattre pour les shebab", a reconnu jeudi le chef de la police Mathew Iteere, ajoutant "qu'il ne s'agissait pas forcément de Kényans d'origine somali".

C'est à ces "moudjahidine au Kenya" qu'un des principaux dirigeants shebab, Mukhtar Robow Ali, a lancé jeudi un appel à "se battre à l'intérieur du Kenya" et à y "provoquer une énorme explosion".

"Il y a maintenant deux fronts, un là-bas (en Somalie) et un ici" au Kenya, commente pour l'AFP Andrews Atta-Asamoah, chercheur à l'Institut d'études sur la sécurité de Nairobi.

La carte blanche donnée par les shebab, officiellement ralliés à Al-Qaïda, à leurs cellules kényanes rend la menace "d'autant plus mortelle qu'elle est décentralisée" et "informelle", poursuit-il.

Depuis le début de l'intervention militaire kényane le 16 octobre en Somalie avec objectif d'y déloger les shebab, les analystes s'inquiètent d'un possible retour de bâton à domicile.

"Une offensive en Somalie (...) accroît le risque que des +cellules dormantes+, voire des sympathisants solitaires auto-radicalisés répliquent par des attaques à l'intérieur du Kenya", prévenait la semaine dernière J. Peter Pham, du centre d'études américain Atlantic Council.

Dans son rapport annuel de juillet dernier, le groupe de contrôle des Nations unies sur la Somalie et l'Erythrée s'alarmait "de réseaux kényans étendus liés aux shebab, qui non seulement recrutent et collectent des fonds, mais qui organisent des entraînements jusqu'à l'intérieur du Kenya".

Que ces réseaux ratissent désormais très largement au-delà de la communauté somalienne est apparu avec force après le double attentat revendiqué par les shebab à Kampala le 11 juillet 2010 (76 morts), et l'arrestation de nombreux suspects kényans ou ougandais.

"nouvelle génération de djihadistes"

Le groupe de contrôle de l'Onu évoque "une nouvelle génération de djihadistes d'Afrique de l'Est" et pointe plus spécifiquement le Kenya et le Mouvement de jeunesse musulman Pumwani.

Le chef spirituel de ce mouvement, Ahmad Iman Ali, a rejoint depuis 2009 la Somalie où il dirigerait "une force estimée entre 200 et 500 combattants, la plupart kényans".

Son mouvement, financé par une importante mosquée de Mombasa (sur la côte du Kenya) contrôlant le principal marché de vêtements d'occasion du pays, a organisé au moins un entraînement paramilitaire à Nairobi, en octobre 2009.

"Il existe une relation de symbiose entre Al-Qaïda et la province de la Côte depuis les années 90", estime Rashid Abdi, spécialiste de la Somalie au sein de l'International Crisis Group. Dans cette région musulmane délaissée par Nairobi, les islamistes y recrutent facilement des jeunes désoeuvrés et frustrés.

"La plus grande menace, non seulement pour l'Afrique de l'est mais pour tout le continent, est constituée par cette masse de jeunes au chômage, qui n'ont rien à faire et aucune raison de vivre, et qui finissent dans les rangs de groupes" comme les shebab, prévient Andrews Atta-Asamoah.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Kenya et Somalie vont combattre ensemble les shebab, leur "ennemi commun" (AFP)

Le Kenya et la Somalie ont convenu de "combattre ensemble" les islamistes somaliens shebab, qui constituent leur "ennemi commun", ont annoncé leurs deux Premiers ministres à l'issue d'une réunion lundi à Nairobi.

"La menace posée par les shebab constitue un ennemi commun au Kenya et à la Somalie et elle doit être combattue conjointement, avec l'aide de la communauté internationale", affirme le communiqué.

Les deux pays s'engagent à partager leurs informations militaires, et à faire campagne conjointement pour solliciter une aide accrue de la communauté internationale à leur lutte contre les insurgés islamistes, qui contrôlent aujourd'hui la plus grande partie du sud et du centre de la Somalie.

Nairobi et Mogadiscio demandent notamment que "la communauté internationale assure toute la logistique et le financement nécessaire pour un blocus du port de Kismayo jusqu'à ce que les shebab soient expulsés" de ce bastion dont ils tirent l'essentiel de leurs revenus.

Les deux pays demandent également que "des troupes supplémentaires de (La force de l'Union africaine en Somalie) l'Amisom soient fournies pour être installées dans les zones libérées du sud de la Somalie", sous la supervision d'un comité conjoint.

Cette force de paix composée aujourd'hui de 9. 000 soldats ougandais et burundais est installée aujourd'hui exclusivement à Mogadiscio, sous les auspices de l'Union africaine, pour protéger le fragile gouvernement de transition somalien.

Enfin le gouvernement somalien "va demander à la Cour pénale internationale d'engager immédiatement une enquête pour crimes contre l'humanité commis par les shebab", indique encore le texte.

http://www.jeuneafrique.com/actu/20111031T124411Z20111031T124404Z/kenya-et-somalie-vont-combattre-ensemble-les-shebab-leur-ennemi-commun.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A notez cette article (en anglais) sur Des missions des Seals en Somalie qui ont mit en place clandestinement en 2003 un réseau de caméras/appareils photo automatique dans ce pays :

http://www.navytimes.com/news/2011/10/military-seals-horn-of-africa-al-qaida-terrorists-103011w/

Vu que c'est un magazine ''officiel'' de la US Navy connu qui en parle, cela signifie que l'on à du remballer déjà tout le matériel :) Ce qui est intéressant, ce que l'on signale les objections des diplomates et espions US sur zone et les problèmes matériels de ce système, comme quoi l'administration américaine peut faire de l'autocritique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://allafrica.com/stories/201111020723.html

The Kenya Defence Forces said two aircraft carrying the arms landed in the Al-Shabaab controlled town of Baidoa on Tuesday with the ultimate aim of launching attacks against Kenyan troops.

http://allafrica.com/stories/201111030021.html

A third shipment of arms has been made to Al-Shabaab, the Somali terror group that Kenyan troops are fighting, military spokesman Major Emmanuel Chirchir has said.

"We can positively confirm that another aircraft with weapons has landed in Somalia," he said.

The arms are believed to have originated from Eritrea, which the United Nations and the international community has accused of arming the militants.

The weapons delivered are for retaliatory attacks against Kenyan troops. The military has announced that it will launch airstrikes to destroy them.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Des forces spéciales britanniques en Somalie

(BRUXELLES2) « Des commandos d’élite, des Royal Marines, ont débarqué en Somalie pour s’emparer d’un chef tribal », rapporte le Daily Mail, dans son édition du 29 octobre. La nouvelle peut paraître surprenante. Mais le quotidien populaire livre une version assez détaillée de cette opération qui s’est déroulée en juillet dernier, avant que les Tebbutt, un couple britannique qui était dans un complexe touristique au Kenya soit enlevé (le mari David a été tué lors de l’attaque et sa femme Judith est toujours otage des Somaliens).

A la faveur de la nuit, la petite unité de 24 hommes du 539 Assault Squadron quitte le navire de débarquement RFA Cardigan Bay, à bord de deux Viking, des petits véhicules amphibies blindés. Ils abordent la côte somalienne dans la zone disputée entre le Puntland et le Somaliland. Quelques échanges de coups de feux ont lieu. Les marines sont protégés par des mitrailleuses et des grenades fumigènes. Les Royal Marine peuvent alors entrer en contact avec ce chef respecté, rapporte le quotidien populaire.

Les Marines n’étaient pas là tout à fait au hasard au Somaliland puisqu’ils participaient à un exercice Cougar de formation des forces de sécurité de cette ancienne colonie britannique qui est de plus en plus indépendante de la Somalie. Le ministère de la défense britannique a ainsi bien confirmé qu’une petite équipe de militaires « a visité le Somaliland en juillet à l’invitation du gouvernement du Somaliland pour le conseiller sur la façon de développer la capacité du Somaliland à gérer sa propre sécurité », face au terrorisme et à la piraterie. Les commandos des Royal Marines ont alors fourni « un passage sûr à une personne influente pour lui permettre d’assister à une réunion à bord du RFA Cardigan Bay avec le président Silanyo, un certain nombre de ministres du gouvernement du Somaliland et des fonctionnaires et militaires de la Marine du Somaliland pour discuter des questions de défense. »

Ce soutien s’inscrit dans la stratégie du gouvernement britannique en Somalie, « qui prévoit une large gamme de soutien à travers le territoire de la Somalie » précise pudiquement le ministère et « comprend aussi le soutien au secteur de la sécurité non seulement en Somalie mais aussi à travers l’AMISOM (la mission de l’Union africaine en Somalie) et la mission EUTM de formation de l’UE pour assurer la stabilité à Mogadiscio ». A Londres, outre la piraterie et la menace des groupes islamiques radicaux qui s’en prennent aux étrangers, on est particulièrement inquiet de voir la Somalie remplacer le Pakistan et l’Afghanistan comme principal lieu d’entraînement des terroristes « made in UK » (nés au Royaume-Uni).

NB : on ne sait pas si ce responsable était totalement volontaire, s’il a apprécié les « discussions » à bord du RFA Cardigan Bay et comment il est reparti (s’il est reparti).

http://www.bruxelles2.eu/afrique/somalie-ouganda/des-forces-speciales-britanniques-en-somalie.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Nouvelle attaque shebab au Kenya ?  une citoyenne suisse blessée par balle.

GARISSA, Kenya (Reuters) - Des hommes armés ont attaqué vendredi un véhicule transportant des visiteurs dans une réserve naturelle située dans le nord du Kenya, tuant le conducteur et blessant une touriste suisse, a rapporté la police.

Les forces de sécurité passent le secteur au crible, a indiqué un responsable des autorités régionales.

L'ambassade de Suisse à Nairobi a fait savoir que le véhicule transportait deux ressortissants helvétiques.

"Une citoyenne suisse a été blessée et reçoit actuellement des soins médicaux. L'autre n'est pas blessé", a indiqué l'ambassade, qui a pris contact avec leur famille.

Selon le commandant de la police provinciale, Marcus Ochola, la Suissesse a été blessée par balles.

Il s'agit de la troisième attaque visant des touristes étrangers au Kenya depuis septembre. Le tourisme est l'un des secteurs clefs de l'économie kényane. Ces violences sont l'une des raisons qui ont poussé le Kenya à envoyer des soldats en Somalie pour combattre les rebelles islamistes d'Al Chabaab.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Des forces spéciales britanniques en Somalie

(BRUXELLES2) « Des commandos d’élite, des Royal Marines, ont débarqué en Somalie pour s’emparer d’un chef tribal », rapporte le Daily Mail, dans son édition du 29 octobre. La nouvelle peut paraître surprenante. Mais le quotidien populaire livre une version assez détaillée de cette opération qui s’est déroulée en juillet dernier, avant que les Tebbutt, un couple britannique qui était dans un complexe touristique au Kenya soit enlevé (le mari David a été tué lors de l’attaque et sa femme Judith est toujours otage des Somaliens).

A la faveur de la nuit, la petite unité de 24 hommes du 539 Assault Squadron quitte le navire de débarquement RFA Cardigan Bay, à bord de deux Viking, des petits véhicules amphibies blindés. Ils abordent la côte somalienne dans la zone disputée entre le Puntland et le Somaliland. Quelques échanges de coups de feux ont lieu. Les marines sont protégés par des mitrailleuses et des grenades fumigènes. Les Royal Marine peuvent alors entrer en contact avec ce chef respecté, rapporte le quotidien populaire.

Les Marines n’étaient pas là tout à fait au hasard au Somaliland puisqu’ils participaient à un exercice Cougar de formation des forces de sécurité de cette ancienne colonie britannique qui est de plus en plus indépendante de la Somalie. Le ministère de la défense britannique a ainsi bien confirmé qu’une petite équipe de militaires « a visité le Somaliland en juillet à l’invitation du gouvernement du Somaliland pour le conseiller sur la façon de développer la capacité du Somaliland à gérer sa propre sécurité », face au terrorisme et à la piraterie. Les commandos des Royal Marines ont alors fourni « un passage sûr à une personne influente pour lui permettre d’assister à une réunion à bord du RFA Cardigan Bay avec le président Silanyo, un certain nombre de ministres du gouvernement du Somaliland et des fonctionnaires et militaires de la Marine du Somaliland pour discuter des questions de défense. »

Ce soutien s’inscrit dans la stratégie du gouvernement britannique en Somalie, « qui prévoit une large gamme de soutien à travers le territoire de la Somalie » précise pudiquement le ministère et « comprend aussi le soutien au secteur de la sécurité non seulement en Somalie mais aussi à travers l’AMISOM (la mission de l’Union africaine en Somalie) et la mission EUTM de formation de l’UE pour assurer la stabilité à Mogadiscio ». A Londres, outre la piraterie et la menace des groupes islamiques radicaux qui s’en prennent aux étrangers, on est particulièrement inquiet de voir la Somalie remplacer le Pakistan et l’Afghanistan comme principal lieu d’entraînement des terroristes « made in UK » (nés au Royaume-Uni).

NB : on ne sait pas si ce responsable était totalement volontaire, s’il a apprécié les « discussions » à bord du RFA Cardigan Bay et comment il est reparti (s’il est reparti).

http://www.bruxelles2.eu/afrique/somalie-ouganda/des-forces-speciales-britanniques-en-somalie.html

Il y a quand même quelques approximations dans l’article … Le 539 AS. est l’unité de transport d’assaut amphibie des RM  (ils transportent les unités d’assaut) pas vraiment une unité spéciale ; faut voir quelle autre unité RM est  à bord du Cardigan…

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a quand même quelques approximations dans l’article … Le 539 AS. est l’unité de transport d’assaut amphibie des RM  (ils transportent les unités d’assaut) pas vraiment une unité spéciale ; faut voir quelle autre unité RM est  à bord du Cardigan…

je me disais bien qu'il y avait un truc qui clochait dans l'article ...

http://www.royalnavy.mod.uk/The-Fleet/The-Royal-Marines/3-Commando-Brigade/539-Assault-Squadron

sur se lien ,j'ai pas trouvé qu'elle unité de RM était à bord du cardigan  :P

sinon s'est nouveau se 30°commando ?

je ne connaissais pas  :-[

http://www.royalnavy.mod.uk/The-Fleet/The-Royal-Marines/3-Commando-Brigade/30-Commando-Information-Exploitation-Group

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je me disais bien qu'il y avait un truc qui clochait dans l'article ...

http://www.royalnavy.mod.uk/The-Fleet/The-Royal-Marines/3-Commando-Brigade/539-Assault-Squadron

sur se lien ,j'ai pas trouvé qu'elle unité de RM était à bord du cardigan  :P

sinon s'est nouveau se 30°commando ?

je ne connaissais pas  :-[

http://www.royalnavy.mod.uk/The-Fleet/The-Royal-Marines/3-Commando-Brigade/30-Commando-Information-Exploitation-Group

Le 30 est un N° de commando de la deuxième guerre (je crois) il semblerait qu'ils donné ce n°  à l'unité de reconnaisance, laquelle, si je ne fais pas erreur, est toute recente. Avant il existait des petites unités d'intelligence et de reco intégrées dans la 3 Brig Co.  mais il me semble  qu'elles étaient attachées soit aux Commandos soit à l'EM

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 30 est un N° de commando de la deuxième guerre (je crois) il semblerait qu'ils donné ce n°  à l'unité de reconnaisance, laquelle, si je ne fais pas erreur, est toute recente. Avant il existait des petites unités d'intelligence et de reco intégrées dans la 3 Brig Co.  mais il me semble  qu'elles étaient attachées soit aux Commandos soit à l'EM

merci pour les infos sur se 30°commando  ;)

cette unité de Royal Marines ,s'est l'équivalent des RECCEE  des paras Brits j'ai l'impression .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

merci pour les infos sur se 30°commando  ;)

cette unité de Royal Marines ,s'est l'équivalent des RECCEE  des paras Brits j'ai l'impression .

Après recherche, il semble que c'est un changement de nom, l'ancien  QG de brigade devient le 30 Commando.

30 CDO SUB UNITS

Communications Squadron

Comms Communications Squadron is manned by Royal Marine Signallers and provides secure communications for the Brigade Headquarters to its Units. In addition it also provides satellite communications from any location in the world to a rear link command or sea borne Head Quarters.

Support Squadron

Brigade Patrol Troop

The troop consists of six four-man teams. They work ahead of the main force in a reconnaissance role, collecting information on the enemy and reporting directly back to Brigade HQ. They are often deployed in advance of the main amphibious landings.

Y Squadron

Y Squadron Y Squadron are the Brigades electronic warfare specialists. They are equipped with the latest communications and electronic support measures and can access intelligence at the very highest level by intercepting enemy transmissions.

Air Defence Troop

This a small highly mobile detachment, equipped with the High Velocity Missile system. The troop provides point air defence for high value assets such as Headquarters and supply dumps.

Logistics Squadron

Weapons, HVMS This Squadron is responsible for logistical support to both Brigade Headquarters and United Kingdom Land Forces Command Support Group. It is made up of a Equipment Support Troop, Catering Troop, Motor Transport Troop and Stores Troop.

Royal Marines Police Troop

RMP troop co-ordinates vehicle movements out of the beachhead, marks the main supply routes and provides convoy escorts. In addition they carry out general police duties as well as providing close protection for the Brigade Commander

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 014
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    gladiateur
    Membre le plus récent
    gladiateur
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...