Eau tarie Posté(e) mardi à 12:43 Share Posté(e) mardi à 12:43 (modifié) Le 01/09/2025 à 11:56, g4lly a dit : Il suffit d'utiliser un casier a l'école et d'y faire l'essentiel de ses devoirs comme partout ailleurs... C'est possible compliqué ça marche depuis des siècles... Toute ma scolarité j'avais une place perso en "permanence" et de quoi y ranger toutes mes affaires... Et je ramenais peu de travail a la maison, voir pas du tout. S'il y a bien une classe par classe ce n'est pas sensé poser problème d'ailleurs... Mais l'EN aime reproduire ce qui ne marche pas. Ce n'est absolument pas quelque chose de commun à part au primaire. Dans la plupart des collèges / lycées, les élèves changent de classe à chaque heure de cours. Et il n'y a pas de casier. Donc tu portes tes 10kg (ou+) sur ton dos tout le temps... Modifié mardi à 12:48 par Eau tarie 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cunégonde Posté(e) mardi à 12:55 Share Posté(e) mardi à 12:55 (modifié) 14 minutes ago, Eau tarie said: Ce n'est absolument pas quelque chose de commun à part au primaire. Dans la plupart des collèges / lycées, les élèves change de classe à chaque heure de cours. Et il n'y a pas de casier. Donc tu portes tes 10kg (ou+) sur ton dos tout le temps... Je confirme: dans le collège de mon gamin, c'est changement de classe à chaque heure ou presque. En sixième il en pouvait tellement plus de son sac à dos, il a repris son cartable à roulette du primaire. Mais après coup avec madame on a compris la vraie raison: pourquoi son sac était si lourd - vous allez rire. Mon gamin a un an d'avance et pourrait en avoir deux. C'est surtout un malin, qui voulait libérer ses soirées pour jouer. Pour ça, il faisait tout ses devoirs à l'avance, dès qu'il avait une heure de libre dans la journée. En fait c'était plus que ça: il avait repéré tout les temps libres de sa semaine, plus les absences des profs - il a une très bonne mémoire - bref il avait mis en place toute une planification quoi, et très bien huilée. Sauf que le défaut de sa méthode, c'est évidemment qu'il fallait prendre du poids en plus des cours de la journée... celui des devoirs présents et à venir. Au final il s'en est très bien tiré. Modifié mardi à 12:58 par Cunégonde 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) mardi à 14:54 Share Posté(e) mardi à 14:54 Il y a 4 heures, g4lly a dit : Partout dans les regions qui fournissent des tablette au college et des laptop au lycée ... et normalement tout est disponible via l'espace numérique de travail ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Espace_numérique_de_travail_(éducation) Mais peut être que le "sud" est en retard sur le "nord" ... ... AuRA propose des ENT https://www.ent.auvergnerhonealpes.fr/accedez-a-votre-etablissement/accedez-a-votre-etablissement--44462.htm Pour le college c'est ton département qui fourni la tablette et les manuel dématérialisé à télécharger dedans ... --- Et ce n'est pas nouveau http://www.lavoixdesparents.com/?p=5078 En l'occurrence ce n'est pas le cas même si tu continues à l’affirmer. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) vendredi à 18:06 Auteur Share Posté(e) vendredi à 18:06 https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/digital-authoritarianism-rise-australia-should-take-note (5 septembre 2025) Les démocraties utilisent de plus en plus les outils de contrôle numérique sous couvert de sécurité nationale. Les démocraties commencent à ressembler aux régimes auxquels elles prétendent s'opposer. L'intelligence artificielle (IA), en particulier, réduit le coût et augmente l'attrait des contrôles numériques, ce qui permet aux gouvernements, même bien intentionnés, de supprimer plus facilement la liberté d'expression au nom de la sécurité. L'Inde et la Turquie illustrent la dérive vers l'autoritarisme numérique. Chacun de ces pays a adopté des outils numériques autrefois largement associés aux États autoritaires. Pris ensemble, ils révèlent comment les démocraties peuvent se vider de l'intérieur, leur ouverture étant érodée non pas par des coups d'État ou des mesures répressives, mais par la propagation discrète de pratiques autoritaires en ligne. Si l'Australie veut vraiment défendre la démocratie à l'étranger, elle doit également préserver les pratiques démocratiques dans son pays. Cela signifie qu'il faut garantir la transparence des pouvoirs de surveillance, protéger la liberté d'expression en ligne et résister à la tentation de surréglementer les plateformes. Par-dessus tout, il faut reconnaître que les méthodes autoritaires peuvent s'infiltrer discrètement, sous le couvert de la protection du public ou de la sécurité nationale. La frontière entre les sociétés ouvertes et fermées n'est plus définie uniquement par la géographie. La menace ne vient pas seulement de Pékin ou de Moscou, mais de la normalisation des méthodes autoritaires au sein même des démocraties. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) hier à 08:43 Share Posté(e) hier à 08:43 Il y a 14 heures, Wallaby a dit : https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/digital-authoritarianism-rise-australia-should-take-note (5 septembre 2025) Les démocraties utilisent de plus en plus les outils de contrôle numérique sous couvert de sécurité nationale. Les démocraties commencent à ressembler aux régimes auxquels elles prétendent s'opposer. L'intelligence artificielle (IA), en particulier, réduit le coût et augmente l'attrait des contrôles numériques, ce qui permet aux gouvernements, même bien intentionnés, de supprimer plus facilement la liberté d'expression au nom de la sécurité. L'Inde et la Turquie illustrent la dérive vers l'autoritarisme numérique. Chacun de ces pays a adopté des outils numériques autrefois largement associés aux États autoritaires. Pris ensemble, ils révèlent comment les démocraties peuvent se vider de l'intérieur, leur ouverture étant érodée non pas par des coups d'État ou des mesures répressives, mais par la propagation discrète de pratiques autoritaires en ligne. Si l'Australie veut vraiment défendre la démocratie à l'étranger, elle doit également préserver les pratiques démocratiques dans son pays. Cela signifie qu'il faut garantir la transparence des pouvoirs de surveillance, protéger la liberté d'expression en ligne et résister à la tentation de surréglementer les plateformes. Par-dessus tout, il faut reconnaître que les méthodes autoritaires peuvent s'infiltrer discrètement, sous le couvert de la protection du public ou de la sécurité nationale. La frontière entre les sociétés ouvertes et fermées n'est plus définie uniquement par la géographie. La menace ne vient pas seulement de Pékin ou de Moscou, mais de la normalisation des méthodes autoritaires au sein même des démocraties. Je pense sincèrement qu'à terme nous quitterons cette ère de liberté sur le champ de l'information pour une très forte régulation. C'est une des seules façons de juguler les problématiques drones, cyber' etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 23 heures Auteur Share Posté(e) il y a 23 heures « En clair, la Chine dit non à la délégation de responsabilité aux conducteurs pour faire avancer l’IA ». à l’instant, Wallaby a dit : https://www.numerama.com/vroom/1953163-la-chine-met-un-enorme-coup-de-frein-sur-la-conduite-autonome.html (17 avril 2025) Fini les dénominations floues et les tests en conditions réelles sur des clients, utilisés comme cobayes. La Chine recadre sévèrement la conduite autonome pour limiter les dérives et les accidents. Dans un nouveau texte réglementaire, le ministère de l’Industrie (MIIT) interdit non seulement l’usage de termes comme « conduite intelligente » et « conduite autonome » dans les publicités, mais surtout les tests en conditions réelles avec des clients, comme Tesla avec son Full Self Driving (FSD). Fin du Far West. Les marques ne pourront utiliser que la classification officielle des différents niveaux de conduite autonome : L2, L3, L4 sans fantaisie marketing. Beaucoup de marques locales se sont lancées dans une concurrence féroce pour promettre toujours plus aux clients. Résultat : certains dorment au volant, roulent ivres ou quittent carrément le siège conducteur. D’ailleurs, toutes les fonctionnalités de type « valet » ne sont plus autorisées. Cela consiste à laisser la voiture se garer seule dans un parking sans avoir de conducteur à bord, ou à l’inverse, de faire venir la voiture garée loin sur un parking directement là où se trouvent les clients (parfois à plusieurs étages d’écart). Le texte va plus loin : les constructeurs n’auront plus le droit de tester leurs systèmes avec des utilisateurs lambda, même dans un cadre « supervisé ». Tesla, qui utilise ce principe depuis des années aux USA, se retrouve donc en infraction directe avec cette nouvelle règle. En clair, la Chine dit non à la délégation de responsabilité aux conducteurs pour faire avancer l’IA. Cela pose une vraie question : sans tests massifs en conditions réelles, peut-on vraiment progresser ? Peut-être. Mais Pékin préfère visiblement encadrer la technologie, quitte à freiner brutalement les progrès réalisés par son industrie pour éviter les accidents et les dérives. Tout ceci change radicalement la donne, avec des répercussions même hors de Chine, et cela ne doit pas vraiment ravir les constructeurs chinois qui ont déjà massivement investi dans ce domaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) il y a 22 heures Share Posté(e) il y a 22 heures Il y a 5 heures, Polybe a dit : Je pense sincèrement qu'à terme nous quitterons cette ère de liberté sur le champ de l'information pour une très forte régulation. C'est une des seules façons de juguler les problématiques drones, cyber' etc. Je doute que les gens qui posent problème dans le champ cyber soient très contraints par les restrictions de l'information. Quant aux drones je ne vois pas le rapport... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) il y a 21 heures Share Posté(e) il y a 21 heures il y a 41 minutes, gustave a dit : Je doute que les gens qui posent problème dans le champ cyber soient très contraints par les restrictions de l'information. Quant aux drones je ne vois pas le rapport... Il s'agit de deux technologies, internet et le drone (lié pour la diffusion des savoirs et des plans) qui sont débridées, mal contrôlées et problématiques. Et je pense que face à ces problèmes, on va au devant de mesures qui restreindront l'utilisation possible. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) il y a 17 heures Share Posté(e) il y a 17 heures Le 02/09/2025 à 05:34, Teenytoon a dit : @g4lly pris en flagrant délit de fake news. Je te confirme qu’encore cette rentrée, mes 2 gamines en collège ont ramené leur lot de manuel qui ressemblent à s'y méprendre à des livres imprimés et n'ont rien d'un écran avec cours dématérialisés. Et je ne crois pas que la région AuRA manque de moyens pour être "obligée" de pallier à un manque numérique par des manuels. Idem, je n'ai jamais photocopié ou imprimé quelque support pédagogique que ce soit et qui aurait été envoyé par les profs. Où as-tu pris tes infos ? PACA, IDF ! je viens d'ailleurs d'acheter la ramette pour l'école... élémentaire. Nous sommes en attente de l'ipad fourni par... NOn ce n'est pas un fake 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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