C’est un message populaire. elannion Posté(e) il y a 14 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 14 heures il y a 59 minutes, Glenans29 a dit : Ah en fait vous vouliez un article à charge contre Airbus DE et les casques à pointe en général, forcément vous êtes décus d'un article assez décent pour le coup nope par contre la stratégie allemande d'imposer un narratif complètement hors sol et mensonger depuis des années fonctionne à merveille vu qu'un article dont la forme paraît (car dès qu'on creuse un minimum c'est éminemment hostile) un poil plus consensuelle apparaît comme objectif et mesuré.. Principe de la fenêtre d'Overton: ils ont placé le cadre de cette opposition franco allemande ou Dassault/Airbus extrêmement loin de la réalité. Par conséquent chaque tentative de recentrer le débat en s'approchant de la réalité sera perçu comme outrancière et mensongère vu le delta entre le narratif qu'ils ont mis en place et ses futures remises au point. Et que l'on ne nous accuse pas de faire du cherry picking c'est à dire d'aller chercher la petite bête pour chercher la petite bête. On ne les reprends pas sur d'éventuelles petites imprécisions sur des dates ou autres qui ne changeraient au propos global. Là l'entièreté de l'article dans sa construction vise à un seul but: démontrer que les français et Dassault sont les premiers et seuls responsables des difficultés rencontrées du à une fierté mal placée et une illusion de compétences qu'ils ne possèdent pas. Cet article va être lu par l'allemand standard qui ne connait rien en aéronautique militaire (comme son homologue français du reste) et encore moins sur l'entreprise spécialisé d'un pays étranger. Les lecteurs n'ont absolument pas les connaissances et la culture pour prendre un minimum de recul. Or il est censé épouser et expliquer les tenants et aboutissants de la partie française. Et navré mais c'est fetival Premier paragraphe, on rabaisse l'entreprise par tout un tas d'anecdote. Là encore pas d'accusation qu'on recherche la petite bête. La pique sur les présentations qui datent des années 80 n'est absolument pas anodine mais relève d'une volonté d'induire en erreur par association. C'est un biais qu'on a tous. Là Dassault font des avions de combat, produit de haute technologie; si je commence l'article en disant qu'ils sont dépassés (même sur un sujet aussi mineur et résiduelle qu'un docu) le lecteur va directement associer l'entreprise à une entité dépassée et plus dans le coup. Ils créent la prémisse de base: Dassault est dépassé. C'est ensuite bien plus facile de laisser le lecteur faire sa propre conclusion que "non il serait intolérable de laisser cette entreprise de franzozish s'occuper d'un projet aussi ambitieux et difficile. Ensuite on enchaîne direct sur le refus de Dassault de communiquer et lorsqu'ils le font c'est dans SON journal ou dans un environnement délétère pour les journalistes qui ne peuvent donc pas bousculer Dassault. On donne l'image d'une société qui cache les choses et s'abaissent à de petites mesquineries (le coup du mal de mer sur la seine faut vraiment l'oser). Enfin on parle des autres actifs de la famille Dassault (qui ne sont en rien une information utile à l'article) mais qui se trouvent être , ho surprise, sur des biens qu'on associe aux français par stéréotypes ( le vin et le luxe). Là,aussi pas besoin d'avoir un bac +8 en comm que l'objectif c'est de faire croire à un lecteur qui ne connaît absolument rien à Dassault et son histoire que cette finalement cette dernière entité n'est qu'une entreprise parmi d'autres et que le coeur des activités de la famille Dassault ne se trouvent pas dans les avions de chasse. Par conséquent en quelques lignes on décrit une entitée comme dépassée, qui fait sans doute partie d'un ensemble d'entreprises qui n'ont absolument rien à voir avec l'aéronautique ou tout simplement l'industrie (et qui permettent de confirmer les stéréotypes sur l'éco française bonne qu'à produire de la bouffe et un peu de luxe) et dont la communication laisse clairement sous entendre qu'ils ont des choses à cacher.. Et on ne parle là que de l'intro. Et encore une fois qu'on ne vienne pas dire qu'on surinterprète ou quoi que ce soit. Une petite boutade ou pique pourquoi pas (et encore dans un article qui vise à expliquer la position de la partie adverse on évite les petits commentaires ou allusions normalement). Pris séparément chacun de ces éléments prêtent à sourire mais mis bout à bout dans une intro visant à présenter l'entreprise WTF en fait.. Il y a 5 heures, Alexis a dit : L'article reste quand même bien informé. Ils n'ont pas fait l'historique complet de la maison Dassault en effet, mais peut-être aurait-ce été beaucoup demander Encore une fois on ne leur demandait pas d'écrire l'aventure industrielle de Dassault au cours des âges. L'article insiste énormément sur la fierté que représente Dassault pour la France et pour eux mêmes. A minima de donner des éléments qui expliquent cette fierté que ce soit sur les aspects techniques ou réussites commerciales.L'article s'adresse à des gens qui ne connaissent absolument rien à Dassault (et ce n'est pas une critique). Si tu expliques en même pas 10 lignes que Dassault alias Bloch se lance dans l'industrie aéronautique dès la première guerre mondiale, qu'ils développent des avions de chasse pendant l'entre deux guerres, que Dassault participe au renouveau de l'industrie aéronautique française après la seconde GM, évocation du mirage III devenu un avion légendaire (bien au delà des frontières françaises) et égrener quelques réussites qui suivent (couple mirage IV/bombe nuc qui met la France dans la cours des grands, record de vitesse pour un appareil de chasse européen détenu par un prototype Dassault, etc etc c'est pas les exemples qui manquent)tu esquisses un tableau certes laudateurs mais véridiques au lecteur allemand. là l'article évite soigneusement de donner le moindre exemple de réussite qui expliquerait cette fierté. Là encore biais qu'on a tous: si on affirme sans preuves on doute. N'évoquer aucun succès amène naturellement à penser qu'ils n'existent pas ou à la marge et donc la conclusion vient d'elle même: les français ne sont pas légitimes à exiger quoi que ce soit. C'est de la guerre informationnelle pour moi à ce niveau. Tout dans l'article amène à cette implacable conclusion: Pas de légitimité de Dassault et donc de la France pour s'assurer une prédominance sur ce projet. 3 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Billion85 Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures Il y a 3 heures, MatOpex38 a dit : le rafale c'est 50 milliards depuis 1980, 40 ans, le SCAF à 100 milliards et largement surévalué, même sur 40 ans 70 Milliards, de plus avec la co co co le cout devrait augmenter de 70% 100 milliards c'est quoi ? Tout le monde répète ce chiffre partout mais personne ne sait réellement ce que ça englobe j'ai l'impression. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 13 heures Share Posté(e) il y a 13 heures il y a 55 minutes, elannion a dit : nope par contre la stratégie allemande d'imposer un narratif complètement hors sol et mensonger depuis des années fonctionne à merveille vu qu'un article dont la forme paraît (car dès qu'on creuse un minimum c'est éminemment hostile) un poil plus consensuelle apparaît comme objectif et mesuré.. Principe de la fenêtre d'Overton: ils ont placé le cadre de cette opposition franco allemande ou Dassault/Airbus extrêmement loin de la réalité. Par conséquent chaque tentative de recentrer le débat en s'approchant de la réalité sera perçu comme outrancière et mensongère vu le delta entre le narratif qu'ils ont mis en place et ses futures remises au point. Et que l'on ne nous accuse pas de faire du cherry picking c'est à dire d'aller chercher la petite bête pour chercher la petite bête. On ne les reprends pas sur d'éventuelles petites imprécisions sur des dates ou autres qui ne changeraient au propos global. Là l'entièreté de l'article dans sa construction vise à un seul but: démontrer que les français et Dassault sont les premiers et seuls responsables des difficultés rencontrées du à une fierté mal placée et une illusion de compétences qu'ils ne possèdent pas. Cet article va être lu par l'allemand standard qui ne connait rien en aéronautique militaire (comme son homologue français du reste) et encore moins sur l'entreprise spécialisé d'un pays étranger. Les lecteurs n'ont absolument pas les connaissances et la culture pour prendre un minimum de recul. Or il est censé épouser et expliquer les tenants et aboutissants de la partie française. Et navré mais c'est fetival Premier paragraphe, on rabaisse l'entreprise par tout un tas d'anecdote. Là encore pas d'accusation qu'on recherche la petite bête. La pique sur les présentations qui datent des années 80 n'est absolument pas anodine mais relève d'une volonté d'induire en erreur par association. C'est un biais qu'on a tous. Là Dassault font des avions de combat, produit de haute technologie; si je commence l'article en disant qu'ils sont dépassés (même sur un sujet aussi mineur et résiduelle qu'un docu) le lecteur va directement associer l'entreprise à une entité dépassée et plus dans le coup. Ils créent la prémisse de base: Dassault est dépassé. C'est ensuite bien plus facile de laisser le lecteur faire sa propre conclusion que "non il serait intolérable de laisser cette entreprise de franzozish s'occuper d'un projet aussi ambitieux et difficile. Ensuite on enchaîne direct sur le refus de Dassault de communiquer et lorsqu'ils le font c'est dans SON journal ou dans un environnement délétère pour les journalistes qui ne peuvent donc pas bousculer Dassault. On donne l'image d'une société qui cache les choses et s'abaissent à de petites mesquineries (le coup du mal de mer sur la seine faut vraiment l'oser). Enfin on parle des autres actifs de la famille Dassault (qui ne sont en rien une information utile à l'article) mais qui se trouvent être , ho surprise, sur des biens qu'on associe aux français par stéréotypes ( le vin et le luxe). Là,aussi pas besoin d'avoir un bac +8 en comm que l'objectif c'est de faire croire à un lecteur qui ne connaît absolument rien à Dassault et son histoire que cette finalement cette dernière entité n'est qu'une entreprise parmi d'autres et que le coeur des activités de la famille Dassault ne se trouvent pas dans les avions de chasse. Par conséquent en quelques lignes on décrit une entitée comme dépassée, qui fait sans doute partie d'un ensemble d'entreprises qui n'ont absolument rien à voir avec l'aéronautique ou tout simplement l'industrie (et qui permettent de confirmer les stéréotypes sur l'éco française bonne qu'à produire de la bouffe et un peu de luxe) et dont la communication laisse clairement sous entendre qu'ils ont des choses à cacher.. Et on ne parle là que de l'intro. Et encore une fois qu'on ne vienne pas dire qu'on surinterprète ou quoi que ce soit. Une petite boutade ou pique pourquoi pas (et encore dans un article qui vise à expliquer la position de la partie adverse on évite les petits commentaires ou allusions normalement). Pris séparément chacun de ces éléments prêtent à sourire mais mis bout à bout dans une intro visant à présenter l'entreprise WTF en fait.. Encore une fois on ne leur demandait pas d'écrire l'aventure industrielle de Dassault au cours des âges. L'article insiste énormément sur la fierté que représente Dassault pour la France et pour eux mêmes. A minima de donner des éléments qui expliquent cette fierté que ce soit sur les aspects techniques ou réussites commerciales.L'article s'adresse à des gens qui ne connaissent absolument rien à Dassault (et ce n'est pas une critique). Si tu expliques en même pas 10 lignes que Dassault alias Bloch se lance dans l'industrie aéronautique dès la première guerre mondiale, qu'ils développent des avions de chasse pendant l'entre deux guerres, que Dassault participe au renouveau de l'industrie aéronautique française après la seconde GM, évocation du mirage III devenu un avion légendaire (bien au delà des frontières françaises) et égrener quelques réussites qui suivent (couple mirage IV/bombe nuc qui met la France dans la cours des grands, record de vitesse pour un appareil de chasse européen détenu par un prototype Dassault, etc etc c'est pas les exemples qui manquent)tu esquisses un tableau certes laudateurs mais véridiques au lecteur allemand. là l'article évite soigneusement de donner le moindre exemple de réussite qui expliquerait cette fierté. Là encore biais qu'on a tous: si on affirme sans preuves on doute. N'évoquer aucun succès amène naturellement à penser qu'ils n'existent pas ou à la marge et donc la conclusion vient d'elle même: les français ne sont pas légitimes à exiger quoi que ce soit. C'est de la guerre informationnelle pour moi à ce niveau. Tout dans l'article amène à cette implacable conclusion: Pas de légitimité de Dassault et donc de la France pour s'assurer une prédominance sur ce projet. Propre. il y a 50 minutes, Billion85 a dit : 100 milliards c'est quoi ? Tout le monde répète ce chiffre partout mais personne ne sait réellement ce que ça englobe j'ai l'impression. Personne n'en sait rien, c'est à la limite de la légende urbaine voire du mème internet. On a aussi lu "300 milliards". Et puis des experts en défense, comme greenpeace, ont même dit "jusqu'à 2000 milliards sur sa durée de vie". Pour combien d'avions, d'heures de vol, de missions, etc, on ne sait pas. Mais eux savent, t'inquiètes. Ce sont des experts après-tout. Certains ont même des cravates! 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Pakal Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Autre article, dans la presse spécialisée cette fois ci, qui traduit une certaine inquiétude outre Rhin et met le doigt sur les vrais bénéficiaires de la dispute : les Américains https://esut.de/2025/11/meldungen/64853/streit-um-fcas-zwischen-airbus-und-dassault/ google trad améliorée Le projet ambitieux de défense FCAS (Système de Combat Aérien du Futur), également connu en français sous le nom de SCAF (Système de Combat Aérien du Futur), est confronté à une crise majeure, selon la presse française. Ce programme, soutenu par l'Allemagne, la France et l'Espagne, vise à remplacer l'Eurofighter et le Rafale à partir de 2040. Or, l'alliance industrielle entre Airbus et Dassault Aviation est menacée de rupture. Dans une déclaration cinglante du 29 octobre 2025, le PDG d'Airbus, Guillaume Faury, a affirmé que Dassault pourrait « quitter le programme si elle n'est pas satisfaite ». Cette déclaration faisait suite aux critiques d'Éric Trappier, PDG de Dassault, qui déplorait le « manque de leadership de la France » et la complexité de la gestion du projet. Guillaume Faury s'est efforcé de minimiser la situation, mais le conflit entre les deux géants de l'aéronautique couve depuis des mois. En septembre dernier, Trappier avait déjà déclaré que Dassault était « parfaitement capable de développer seule un avion de chasse de sixième génération », une pique adressée à Airbus, qui représente les intérêts de l'Allemagne et de l'Espagne au sein du consortium SCAF. Dassault et Airbus sont en conflit concernant leur participation au projet FCAS, un programme de plusieurs milliards d'euros. Dassault réclame une part plus importante du volume de production et un rôle renforcé dans le contrôle du système, contrairement aux accords précédents ; Airbus s'en tient aux accords existants. La vision de la défense européenne au bord du gouffre Le programme FCAS est la pierre angulaire d'une défense européenne commune. Ce projet englobe bien plus qu'un simple nouvel avion de chasse : il prévoit un système de plateformes habitées et non habitées, un réseau de « nuage de combat », de nouveaux capteurs et un moteur haute performance. Ce projet de plusieurs milliards d'euros vise à garantir la souveraineté technologique de l'Europe, notamment face aux États-Unis et à leur programme F-35. De nombreux pays de l'OTAN dépendent déjà de cet avion américain. Les tensions entre Airbus et Dassault menacent bien plus que leur seule collaboration. Si l'une d'entre elles se retirait, l'ensemble du projet serait compromis. Les analystes préviennent que sans le FCAS, l'Europe pourrait rester dépendante des technologies américaines pendant des décennies. Selon les déclarations officielles, la phase industrielle 2 devrait débuter début 2026 avec la construction d'un premier démonstrateur en état de vol, dont le vol inaugural est prévu pour 2029. Lors de la phase 1B précédente, environ 2 000 ingénieurs ont travaillé sur les études et les concepts du système. Cependant, des frictions internes et des rivalités nationales ralentissent les progrès. Un symbole de l'équilibre délicat que l'Europe doit trouver entre coopération et compétition. Derrière ce différend se cache une source de tension bien connue : la France revendique le rôle de chef de file du programme, Dassault ayant développé le Rafale et Paris étant considérée comme l'initiatrice politique. Airbus, de son côté, insiste sur une participation égale, représentant deux des trois nations participantes : l'Allemagne et l'Espagne. Résultat : blocage, méfiance et visions divergentes quant à l'évolution future du projet. Tandis que Dassault privilégie une structure allégée et centralisée, Airbus souhaite répartir le travail entre plusieurs équipes afin de maintenir un équilibre entre les entreprises participantes. L'Europe est ainsi confrontée à une question fondamentale : peut-elle mener à bien ses ambitieux projets de défense au-delà des clivages nationaux ? Les prochains mois seront cruciaux, non seulement pour Airbus et Dassault, mais aussi pour une politique de défense européenne commune. Le différend autour du FCAS renforce les États-Unis. Le projet FCAS illustre les difficultés de la coopération européenne en matière de défense lorsque les visions technologiques se heurtent à la rivalité industrielle. En l'absence d'accord, le projet de futur avion de chasse européen pourrait s'effondrer, et les États-Unis resteraient le principal partenaire du continent en matière d'armement. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a 54 minutes, Pakal a dit : les vrais bénéficiaires de la dispute : les Américains il y a 54 minutes, Pakal a dit : En l'absence d'accord, le projet de futur avion de chasse européen pourrait s'effondrer, et les États-Unis resteraient le principal partenaire du continent en matière d'armement. Personnellement ça me fait rigoler ... les Américains viennent de vendre du F-35 aux Allemands ... indépendamment du programme SCAF. Je trouve l'argument spécieux. 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure (modifié) Il y a 2 heures, pascal a dit : Personnellement ça me fait rigoler ... les Américains viennent de vendre du F-35 aux Allemands ... indépendamment du programme SCAF. Je trouve l'argument spécieux. En gros si le SCAF s'effondre la France ferait seule, et les états-unis resterait le principal partenaire en Europe. -> donc sous entendu (mais sans le dire) l'Allemagne serait incapable de faire un appareil seule, et donc achèterai américain. Ils sont incapable de faire seul un truc (contrairement à Dassault) mais rejette la légitimité de Dassault du lead sur ce truc... Modifié il y a 1 heure par emixam 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) il y a 53 minutes Share Posté(e) il y a 53 minutes il y a 2 minutes, emixam a dit : En gros si le SCAF s'effondre la France ferait seule, et les états-unis resterait le principal partenaire en Europe. -> donc sous entendu (mais sans le dire) l'Allemagne serait incapable de faire un appareil seule, et donc achèterai américain. Ils sont incapable de faire seul un truc (contrairement à Dassault) mais rejette la légitimité de Dassault du lead sur ce truc... On passe quand même un peu hativement d'un possible solo français sur le pilier NGF , encore qu'on n'a pas parlé d'abandonner les piliers capteurs et moteur (qui font partie du NGF) , à un effondrement du SCAF. La messe des funérailles n'est pas encore dite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Billion85 Posté(e) il y a 45 minutes Share Posté(e) il y a 45 minutes il y a 12 minutes, emixam a dit : En gros si le SCAF s'effondre la France ferait seule, et les états-unis resterait le principal partenaire en Europe. -> donc sous entendu (mais sans le dire) l'Allemagne serait incapable de faire un appareil seule, et donc achèterai américain. Ils sont incapable de faire seul un truc (contrairement à Dassault) mais rejette la légitimité de Dassault du lead sur ce truc... Le SCAF ne s'effondrera pas, c'est le NGF qui s'effondrera. Quoi qu'il arrive on gardera un certain niveau de coopération dans le développement des autres piliers. C'est ce que le mondes politiques et militaires veulent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 26 minutes Share Posté(e) il y a 26 minutes il y a 17 minutes, Billion85 a dit : Le SCAF ne s'effondrera pas, c'est le NGF qui s'effondrera. Quoi qu'il arrive on gardera un certain niveau de coopération dans le développement des autres piliers. C'est ce que le mondes politiques et militaires veulent. Uniquement pour assurer les communications entre systèmes. Pas besoin du FCAS pour ça. ESSOR et EICACS suffisent, et ces programmes n'ont d'ailleurs pas attendu le lancement du FCAS pour être mis en place. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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