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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie


Messages recommandés

il y a une heure, herciv a dit :

VDL va annoncer le 19ème paquet de sanctions et çà risque d'être un "F...k" (moyen mais pas gros) à Trump. L'arrêt des imports de pétrole est prévu mais çà se fera à la vitesse que les européens choisiront. 

https://www.pravda.com.ua/eng/news/2025/09/17/7531203/

Ça peut être un signe d’émancipation si effectivement ça acté une indépendance européenne.

Si il y a  poursuite des appels aux USA comme garants et fournisseurs et réassurance, alors ça ressemblera plus à une crise d’adolescence avec une pseudo indépendance dans les propos mais pas dans les actes.

J'attends encore de discerner une cohérence entre les annonces ( et ton interprétation) et les faits.

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il y a 26 minutes, greg0ry a dit :

Ça peut être un signe d’émancipation si effectivement ça acté une indépendance européenne.

Si il y a  poursuite des appels aux USA comme garants et fournisseurs et réassurance, alors ça ressemblera plus à une crise d’adolescence avec une pseudo indépendance dans les propos mais pas dans les actes.

J'attends encore de discerner une cohérence entre les annonces ( et ton interprétation) et les faits.

Trump demandait un arrêt clair. Il ne l'a pas obtenu. La réponse européenne est parfaitement lisible. Elle dit on fait a notre vitesse. Ca n'a rien d'une interprétation.

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A l'intention des camarades qui en doutaient, nous venons d'avoir une confirmation supplémentaire de l'arrêt des livraisons d'armements US à destination de l'Ukraine, sous l'administration Trump. Seules les livraisons antérieurement décidées par l'administration Biden, ont semble-t-il, été poursuivies. 

La prochaine livraison qui semble avoir été actée, correspondra à un contrat commercial d'ampleur modeste (500m USD) et non d'une aide bilatérale. L'hypocrisie n'étant pas interdite, l'administration Trump continue d'appeler çà un "aid package". 

https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/trump-administration-clears-first-ukraine-arms-aid-paid-by-allies-sources-say-2025-09-16/

"So far, the Trump administration has only sold weapons to Ukraine or shipped donations which were authorized by former President Joe Biden, who was a staunch supporter of Kyiv."

Remarquons que la livraison est encore loin d'être effective et comme souvent avec les américains, il faut se méfier des annonces. 

Il y a deux mois:

Deux mois plus tard:

 

 

Modifié par olivier lsb
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Il y a 1 heure, Teenytoon a dit :

Ah, ça faisait longtemps que ce n'était pas de la faute de ces c**s d'ukrainiens en alternance avec c'est la faute à Zelensky.

Dans ce cas là il vaut effectivement mieux ne rien dire parce que les russes font pareil voir pire.

Calomnions, calomnions, il en restera toujours quelque chose. 

Où est la calomnie ? Ce que j'écris est parfaitement avéré et c'est une des explications principales pourquoi il y a beaucoup plus de pertes civiles (parce que c'est de cela dont on parlait si ça vous a échappé) en Ukraine qu'en Russie (pour l'instant). Vous voulez vraiment que je vous sorte un catalogue de sources ?

Ceci dit, ne vous inquiétez pas, j'en ai aussi gros sur les russes qui choisissent de continuer à envoyer des milliers de gars à l'abattoir pour grappiller encore quelques centaines de Km2 de tas de gravats alors qu'ils ont eu une occasion en or d'arrêter les combats avec les récentes initiatives US.

... ils continuent à me débecter autant les uns que les autres (je parle des gouvernances bien sûr) !

Modifié par Yorys
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Un rapport parlementaire estime à 8,6 milliard d'euro la valeur de l'aide militaire fournie par la France (la méthodologie n'est pas détaillée dans l'article, j'imagine que ce sera plus clair dans le rapport lui même) https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/livraisons-darmes-formations-aide-financiere-ce-que-coute-reellement-le-soutien-militaire-francais-a-lukraine-2186871

Quote

Canons Caesar, Mirage 2000, systèmes antiaériens Crotale, missiles Scalp… Depuis le début de la guerre en Ukraine, Paris épaule militairement Kiev via des acheminements de matériel doublés d'aides financières et de formation des soldats ukrainiens. Un soutien indéfectible à l'Ukraine qui ne fait pas l'unanimité dans l'opinion publique, ses détracteurs pointant notamment du doigt le risque d'alimenter le conflit comme son coût pour les armées et les finances publiques tricolores. Pourtant, l'addition totale est moins salée que les annonces à répétition de nouvelles aides à Kiev ne le laissaient présager.

Dans son rapport annuel au Parlement consacré aux exportations d'armes, auquel « Les Echos » ont eu accès en avant-première, le ministère des Armées a pris le soin de détailler la facture ukrainienne. Selon le chiffrage officiel de Balard, entre le 24 février 2022 et le 31 décembre 2024, la France a déboursé un total de 8,6 milliards d'euros pour soutenir Kiev.

« Influer au maximum »

Dans le détail, le soutien militaire (cessions et acheminement d'armes, leur maintien en conditions opérationnelles et formation de soldats ukrainiens) a coûté 5,9 milliards d'euros à l'Hexagone. « Des quantités importantes de matériels ont été cédées dans le cadre du soutien à l'Ukraine », observe Balard.

A cette somme s'ajoutent 400 millions d'euros investis dans le fonds bilatéral de soutien à l'Ukraine et la contribution de la France au mécanisme de la Facilité européenne pour la paix (FEP). Paris contribue à hauteur de 18 %, soit 2,3 milliards d'euros, à cette enveloppe financière des Vingt-Sept instaurée pour aider les Etats membres qui livreraient des armes à Kiev.

Comment l'Europe est devenue le premier fournisseur d'armes de Kiev

« L'aide française se distingue, au-delà de ces métriques quantitatives, par un objectif d'influer au maximum sur le cours des événements et l'issue finale au sortir de la guerre », souligne le ministère des Armées, qui insiste sur l'« adéquation avec les besoins exprimés par la partie ukrainienne et les objectifs stratégiques ».

Ainsi, l'aide tricolore a évolué au fil du conflit, « tant qualitativement que quantitativement », de sorte à « rester en permanence alignée sur l'objectif politique tout en prenant en compte les réalités stratégiques ainsi que celles du terrain ».

Evolution de l'aide

Au début de la guerre, « la situation exigeait des livraisons immédiates de matériels déjà opérationnels » comme des canons Caesar, souligne Balard. Lesquels ont donc été pris dans les stocks des armées, « avec quelques compléments trouvés dans les stocks industriels ».

L'invasion éclair déjouée, l'effort français s'est ensuite concentré sur le maintien en condition opérationnelle des matériels déjà livrés et sur le réapprovisionnement de Kiev « par le biais de cessions supplémentaires ou de productions industrielles ».

L'année dernière, l'enjeu a été de pérenniser l'aide à l'Ukraine, en insistant sur « des domaines capacitaires clés comme l'artillerie, la frappe dans la profondeur ou la défense sol-air ». C'est pourquoi ont été livrés des systèmes Mistral, Crotale et Mamba avec leurs missiles Aster, « afin de contrer les attaques de missiles et de drones ». En clair, le soutien tricolore à Kiev est durable. Bien loin donc de l'incertaine aide militaire américaine, suspendue aux revirements de Donald Trump.

 

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VDL annonce le 19ème paquet. Elle tape quand même franchement sur le pétrole. Trump ne doit pas être si mécontent.

Von der Leyen annonce un 19e paquet de sanctions contre la Russie

4 minutes de lecture

     

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a publié une déclaration annonçant des propositions pour un 19e paquet de sanctions contre la Russie en raison de sa guerre d'agression contre l'Ukraine.

La déclaration a été publiée dans une vidéo vendredi.

Les nouvelles sanctions visent l'énergie, la flotte fantôme, les entreprises, y compris celles de pays tiers, dont la Chine, qui continuent d'acheter de l'énergie russe, l'interdiction des plateformes cryptographiques et des cryptomonnaies, et d'autres.

« Malheureusement, au cours du mois dernier, la Russie a démontré son mépris total pour la diplomatie et le droit international. Elle a mené certaines des plus importantes attaques de drones et de missiles contre l'Ukraine depuis le début de la guerre, touchant des bâtiments gouvernementaux et des habitations civiles, dont notre bureau de l'UE à Kiev, représentation de notre Union. Les menaces contre notre Union se multiplient également. Ces deux dernières semaines, des drones russes Shaheed ont violé l'espace aérien de notre Union en Pologne et en Roumanie. Ces actions ne sont pas celles d'une personne en quête de paix. Le président Poutine ne cesse d'aggraver la situation, et l'Europe accroît sa pression en réponse. C'est pourquoi je présente aujourd'hui le 19e train de sanctions », a-t-elle déclaré. Ursula von der Leyen a désigné l'énergie comme le premier secteur visé par les sanctions. « L'économie militaire russe est soutenue par les revenus des énergies fossiles. Nous voulons réduire ces revenus. C'est pourquoi nous interdisons l'importation de GNL russe sur les marchés européens. Il est temps de couper l'alimentation. Nous sommes prêts », a annoncé la présidente de la Commission européenne.

Les sanctions s'appliqueront également à 118 navires supplémentaires de la flotte fantôme. « Au total, plus de 560 navires sont sous le coup de sanctions de l'UE. Les principales sociétés de négoce d'énergie, Rosneft et Gazprom Neft, seront désormais totalement interdites d'exploitation. Les avoirs d'autres sociétés seront également gelés », a-t-elle souligné.

Selon Ursula von der Leyen, l’UE « poursuit également ceux qui alimentent la guerre de la Russie en achetant du pétrole en violation des sanctions ».

« Nous nous en prenons aux raffineries de pétrole, aux négociants en pétrole et aux entreprises pétrochimiques de pays tiers, dont la Chine. En trois ans, les revenus pétroliers russes en Europe ont chuté de plus de 90 %. Nous tournons désormais définitivement la page », a-t-elle expliqué.

La présidente a désigné la finance comme deuxième secteur. « Nous nous concentrons sur les failles financières que la Russie exploite pour échapper aux sanctions. Nous introduisons une interdiction de transactions pour de nouvelles banques en Russie et dans des pays tiers. Nous intensifions la lutte contre le contournement des sanctions. Face à la sophistication croissante des tactiques de contournement, nos sanctions seront adaptées pour rester en première ligne. Ainsi, pour la première fois, nos mesures restrictives concerneront les plateformes de cryptomonnaies et les transactions en cryptomonnaies interdites. Nous ajoutons à la liste les banques étrangères connectées aux systèmes de paiement alternatifs russes. Nous limitons également les transactions avec les organisations des zones économiques spéciales », a-t-elle déclaré.

Troisième point, von der Leyen a évoqué de nouvelles restrictions sur les exportations directes de biens et de technologies utilisées sur le champ de bataille.

« Nous listons également 45 entreprises en Russie et dans des pays tiers. Ces entreprises ont apporté un soutien direct ou indirect au complexe militaro-industriel russe. Dans une guerre axée sur l'innovation, il est crucial de priver la Russie d'accès aux technologies clés, notamment en matière de drones. Notre analyse économique est claire. Nos sanctions affectent gravement l'économie russe. Le taux d'intérêt atteint 17 %. L'inflation est constamment élevée. L'accès de la Russie au financement et aux revenus diminue constamment. Et l'économie militaire russe, en surchauffe, atteint ses limites », a déclaré von der Leyen, ajoutant que lors de conversations directes avec des partenaires qui communiquent avec les Russes, « ils indiquent que l'une des premières demandes russes est l'assouplissement des sanctions. » « Nous savons donc que nos sanctions sont un outil de pression économique efficace. Et nous continuerons de les utiliser jusqu'à ce que la Russie s'assoie à la table des négociations avec l'Ukraine pour une paix juste et durable », a-t-elle conclu.

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il y a une heure, herciv a dit :

VDL annonce le 19ème paquet. Elle tape quand même franchement sur le pétrole. Trump ne doit pas être si mécontent.

Von der Leyen annonce un 19e paquet de sanctions contre la Russie

4 minutes de lecture

     

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a publié une déclaration annonçant des propositions pour un 19e paquet de sanctions contre la Russie en raison de sa guerre d'agression contre l'Ukraine.

La déclaration a été publiée dans une vidéo vendredi.

Les nouvelles sanctions visent l'énergie, la flotte fantôme, les entreprises, y compris celles de pays tiers, dont la Chine, qui continuent d'acheter de l'énergie russe, l'interdiction des plateformes cryptographiques et des cryptomonnaies, et d'autres.

« Malheureusement, au cours du mois dernier, la Russie a démontré son mépris total pour la diplomatie et le droit international. Elle a mené certaines des plus importantes attaques de drones et de missiles contre l'Ukraine depuis le début de la guerre, touchant des bâtiments gouvernementaux et des habitations civiles, dont notre bureau de l'UE à Kiev, représentation de notre Union. Les menaces contre notre Union se multiplient également. Ces deux dernières semaines, des drones russes Shaheed ont violé l'espace aérien de notre Union en Pologne et en Roumanie. Ces actions ne sont pas celles d'une personne en quête de paix. Le président Poutine ne cesse d'aggraver la situation, et l'Europe accroît sa pression en réponse. C'est pourquoi je présente aujourd'hui le 19e train de sanctions », a-t-elle déclaré. Ursula von der Leyen a désigné l'énergie comme le premier secteur visé par les sanctions. « L'économie militaire russe est soutenue par les revenus des énergies fossiles. Nous voulons réduire ces revenus. C'est pourquoi nous interdisons l'importation de GNL russe sur les marchés européens. Il est temps de couper l'alimentation. Nous sommes prêts », a annoncé la présidente de la Commission européenne.

Les sanctions s'appliqueront également à 118 navires supplémentaires de la flotte fantôme. « Au total, plus de 560 navires sont sous le coup de sanctions de l'UE. Les principales sociétés de négoce d'énergie, Rosneft et Gazprom Neft, seront désormais totalement interdites d'exploitation. Les avoirs d'autres sociétés seront également gelés », a-t-elle souligné.

Selon Ursula von der Leyen, l’UE « poursuit également ceux qui alimentent la guerre de la Russie en achetant du pétrole en violation des sanctions ».

« Nous nous en prenons aux raffineries de pétrole, aux négociants en pétrole et aux entreprises pétrochimiques de pays tiers, dont la Chine. En trois ans, les revenus pétroliers russes en Europe ont chuté de plus de 90 %. Nous tournons désormais définitivement la page », a-t-elle expliqué.

La présidente a désigné la finance comme deuxième secteur. « Nous nous concentrons sur les failles financières que la Russie exploite pour échapper aux sanctions. Nous introduisons une interdiction de transactions pour de nouvelles banques en Russie et dans des pays tiers. Nous intensifions la lutte contre le contournement des sanctions. Face à la sophistication croissante des tactiques de contournement, nos sanctions seront adaptées pour rester en première ligne. Ainsi, pour la première fois, nos mesures restrictives concerneront les plateformes de cryptomonnaies et les transactions en cryptomonnaies interdites. Nous ajoutons à la liste les banques étrangères connectées aux systèmes de paiement alternatifs russes. Nous limitons également les transactions avec les organisations des zones économiques spéciales », a-t-elle déclaré.

Troisième point, von der Leyen a évoqué de nouvelles restrictions sur les exportations directes de biens et de technologies utilisées sur le champ de bataille.

« Nous listons également 45 entreprises en Russie et dans des pays tiers. Ces entreprises ont apporté un soutien direct ou indirect au complexe militaro-industriel russe. Dans une guerre axée sur l'innovation, il est crucial de priver la Russie d'accès aux technologies clés, notamment en matière de drones. Notre analyse économique est claire. Nos sanctions affectent gravement l'économie russe. Le taux d'intérêt atteint 17 %. L'inflation est constamment élevée. L'accès de la Russie au financement et aux revenus diminue constamment. Et l'économie militaire russe, en surchauffe, atteint ses limites », a déclaré von der Leyen, ajoutant que lors de conversations directes avec des partenaires qui communiquent avec les Russes, « ils indiquent que l'une des premières demandes russes est l'assouplissement des sanctions. » « Nous savons donc que nos sanctions sont un outil de pression économique efficace. Et nous continuerons de les utiliser jusqu'à ce que la Russie s'assoie à la table des négociations avec l'Ukraine pour une paix juste et durable », a-t-elle conclu.

Je comprend pas pourquoi faire par étape ? le 20 ième paquet c'est dans un calendrier ou faut que les Russes prennent encore des localités ?

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il y a 58 minutes, Colstudent a dit :

Je comprend pas pourquoi faire par étape ? le 20 ième paquet c'est dans un calendrier ou faut que les Russes prennent encore des localités ?

Pour qu'il te reste toujours un peu de levier de plus ... de sorte de faire vivre potentiellement la diplomatie.

Dans le cas ou tu refuses l'affrontement "frontal" ... tu n'as pas trop trop d'autre solution.

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J'imagine qu'on ne peut plus parler de "vous êtes sûr ? Des drones russes en Pologne ? On nous mentirait pas un peu peut-être ?" avec les évènements du jour en Baltique et en Estonie... n'est-ce pas ?

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il y a 4 minutes, Ciders a dit :

J'imagine qu'on ne peut plus parler de "vous êtes sûr ? Des drones russes en Pologne ? On nous mentirait pas un peu peut-être ?" avec les évènements du jour en Baltique et en Estonie... n'est-ce pas ?

C'est pas des pilotes dans les mig. Ce sont des robots dont on ne connait pas l'origine.

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à l’instant, yoyo- a dit :

Y a t-il des preuves irréfutables ? Les Russes n’ont aucun intérêt à provoquer directement l’OTAN, il semble possible que les média européens exagèrent les faits pour en faire un incident.

Les Russes n'avaient aucun intérêt à envahir l'Ukraine. 

Plutôt Minsk ou Gomel ?

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à l’instant, yoyo- a dit :

Ce n’est pas comparable, les russes ne massent pas 600000 soldats à la frontière biélorusse.

Ce n'est plus nécessaire puisqu'un contingent russe se trouve désormais à demeure en Biélorussie. 

Pour en revenir à l'incursion - double - de ce jour, je veux bien croire que ça s'affole mais dans ce cas, nous aurions deux mensonges patentés de la part des garde-frontières polonais et des autorités estoniennes, plus de l'OTAN. On pourrait peut-être y rajouter la Suède qui a envoyé des Gripen escorter les MiG à leur sortie de leur virée balte.

Il reste possible qu'il s'agisse d'une grosse intox. Mais ça fait beaucoup de données qui ne vont pas dans ce sens.

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1 hour ago, yoyo- said:

Y a t-il des preuves irréfutables ?

Les chasseurs russes sont restés 12 min dans l'espace aérien estonien, tracés par tout ce que l'alliance atlantique avait comme radar dans le coin. Et l'espace aérien estonien, c'est tout petit. Ils ont du faire des ronds dans le ciel pour rester aussi longtemps !

Tu vois quoi d'autre comme explication à part une nième manoeuvre d'intimidation ? Une erreur ??? 

Modifié par Rivelo
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il y a 25 minutes, Rivelo a dit :

Les chasseurs russes sont restés 12 min dans l'espace aérien estonien, tracés parce que tout ce que l'alliance atlantique avait comme radar dans le coin. Et l'espace aérien estonien, c'est tout petit. Ils ont du faire des ronds dans le ciel pour rester aussi longtemps !

Tu vois quoi d'autre comme explication à part une nième manoeuvre d'intimidation ? Une erreur ??? 

Ils le disent oui… ils le disent.

Rappelons nous le cinéma de VDL pour un supposé brouillage de GPS.

Si 3 MIG ont survolés un pays de l’OTAN aussi facilement, ce n’est pas rassurant vis à vis des capacités militaires et de dissuasion de cette organisation.

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il y a 13 minutes, yoyo- a dit :

Ils le disent oui… ils le disent.

Rappelons nous le cinéma de VDL pour un supposé brouillage de GPS.

Si 3 MIG ont survolés un pays de l’OTAN aussi facilement, ce n’est pas rassurant vis à vis des capacités militaires et de dissuasion de cette organisation.

Moi je serais d'avis qu'on fasse comme les Turcs. 

Mais... je sens que le budget "peinture pour lignes rouges" du Kremlin va exploser.

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