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Quand j'ai appris les quelques circonstances rendues publiques, ça m'a aussi fait penser à l'EI. Pourquoi ? Bah comme l'a dit Alexis, ils ont du personnel-suicide entraîné, des endroits où ils fabriquent des faux-papiers syriens. Ensuite, rien ne pouvait les empêcher d'envoyer du monde en Turquie, que ce soit avant, pendant ou après la bataille de Kobané, surtout qu'ils ont des points de passage avec la Turquie et qu'ils auraient un certain nombre de cellules sur place. 

 

En ce qui concerne la théorie du false flag, je ne dirais pas que cela vient forcément d'Erdogan ou du gouvernement lui-même. Mais cela peut aussi venir, tout comme les kurdes, d'une faction extrémiste ou des services secrets (plus difficile à croire). Et qui fait que même si cela n'est pas ordonné directement par le gouvernement (les apparences sont sauves), cela sert tout de même ses intérêts. Mais je suis d'accord que cela est tout de même peu probable. 

il y a 1 minute, Boule75 a dit :

Tiens ! Une revendication...

Les mêmes que pour l'attentat dans l'aéroport d'Istambul, non ?

A voir. Parfois il y a des revendications de groupes terroristes pour des actes qu'ils n'ont pas commis juste pour se faire connaître. 

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Citation

Tu es loin mais peut être pas tant que ça, et ce qui suit s'appliquerait aussi volontiers à la Syrie ou à l'Iran.

Je suis assez loin parceque la méthode est particulière

Elle n'est pas dans l'usage russe, ni dans celui syrien.

Seul l'Iran utilise de Kamikazes mais jamais en opérations extérieures dans lesquelles il lui faut envoyer des cadres de l'IRCG pour superviser et faire la valence opérationnelle.

Qui utilise régulièrement des kamikazes : l'EI, AN et pas mal de groupes djihadistes, pour les kurdes j'ai un fort doute et en tout cas ce n'est pas leur modus operandi habituel

Ce qui rend l'opération encore plus suspecte, c'est qu'elle a eu lieu dans une zone hautement protégée (ministères et batiments officiels y compris casernes abondent dans le coin)

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il y a 6 minutes, Akhilleus a dit :

Ce qui rend l'opération encore plus suspecte, c'est qu'elle a eu lieu dans une zone hautement protégée (ministères et batiments officiels y compris casernes abondent dans le coin)

Je ne suis pas sûr que ce soit une si grande difficulté. Je ne connais pas du tout Ankara, mais si je prends l'exemple de Paris, à partir du moment où on imagine qu'un terroriste a fabriqué une voiture piégée, je ne vois pas le problème à l'amener "à moins de 500 mètres du Parlement" avant de la faire exploser. On n'arrête pas les voitures à 1 km du Parlement pour les fouiller...

La difficulté c'est plutôt de fabriquer le dispositif explosif et sans se faire repérer par ses communications ni ses achats, pour le reste il ne s'agit que de conduire une voiture dans une grande ville et d'appuyer sur un bouton.

 

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il y a 1 minute, Alexis a dit :

Je ne suis pas sûr que ce soit une si grande difficulté. Je ne connais pas du tout Ankara, mais si je prends l'exemple de Paris, à partir du moment où on imagine qu'un terroriste a fabriqué une voiture piégée, je ne vois pas le problème à l'amener "à moins de 500 mètres du Parlement" avant de la faire exploser. On n'arrête pas les voitures à 1 km du Parlement pour les fouiller...

La difficulté c'est plutôt de fabriquer le dispositif explosif et sans se faire repérer par ses communications ni ses achats, pour le reste il ne s'agit que de conduire une voiture dans une grande ville et d'appuyer sur un bouton.

 

Mouerf , sa ne me convainc pas du tout car si on observe bien les faits , combien d'attentats en occident qui ont frappé près de parlement etc ... ? 

J'en connais pas de mémoire .

Donc s'est qu'il y a sûrement une difficulté observé par les terroristes pour atteindre/approcher ces cibles ,zones d'importance .

Au vu de la menace très importante en Turquie je pense que sa doit d'autant plus surveillé .

Enfin moi je pense qu'il n'y a rien de plus simple que de claquer un cadavre dans une bagnole et d'avoir la bonne tête pour apporté une bagnole aussi prêt d'un lieu qui doit faire de l'observation/contrôle de faciès ... Un turc ne ressemble pas à un arabe ou un kurde .

Moi j'imagine bien des nationalistes bien extrême pour semer le bordel et déstabilisé la Turquie qui est dirigé par des islamistes ( vu que certains nationalistes aiment pas l'Islam ) , tout en mettant sa sur le dos des Kurdes ,faire d'une pierre deux coups .

Maintenant je pense que Ankara a largement les capacités aussi de le faire ,claquer un Kurde de Syrie mort/refroidi par leurs soins ,le claquer dans une bagnole qu'ils amènent sans problème ( la bonne tête au volant qui passe bien ) et hop ,on laisse la caisse la ou il faut ,on ce casse et ont fait pété au bon moment .

 

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il y a une heure, Dino a dit :

Apparemment l'attentat à été revendiqué par un groupe dissidant du PKK. Mais je ne connais pas du tout l'histoire de ce groupe et qui se cache réellement derrière ce groupe.

J'ai trouvé un billet d'un blog du Monde.fr datant de 2011 qui recensait déjà les attaques revendiquées par ce groupe, dont une attaque suicide en 2010.

Citation

Apparus en 2004, après la rupture du cessez-le-feu décrété par le PKK, les TAK resurgissent régulièrement en période de crise sur le front kurde et revendiquent des actions violentes et souvent spectaculaires contre des civils ou des policiers dans les villes de l'Ouest de la Turquie. L'industrie touristique est tout spécialement visée.

Ce sont eux aussi qui ont revendiqué l'attaque au mortier à l'aéroport d'Istambul le 23 décembre 2015.

La presse turque établie à l'étranger n'est pas tendre pour le pouvoir et, au détour de cet article de Zaman qui liste les informations surprenantes concernant les attentats précédents, on trouve aussi cette mention d'utilisation de missiles sol-air par les turcs proche de la frontière syrienne :

Citation

The Turkish military used Stinger and I-Hawk missile systems near the Syrian border in a rural area of the Kırıkhan district of the southern province of Hatay, the media reported.

 

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ca m epate ces papiers d identite retrouves dans des decombres d attentat la palme revenant a celui de m.atta qui survit au crash de l avion qui survit a l incendie ainsi qu a l ecroulement de la tour et que l on retrouve au sommet des debris. Serait il en graphene ?

c etait la minute complotiste

 

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Je ne sais plus qui parlait du TAK hier mais c'est bien eux. On a même la photo du terroriste qui circule. Avec une certaines fascination écoeurante.  Je sais bien que le radicalisme attire le radicalisme, la société Française nous le prouve mais là pfff. Pour faire un petit background rapide ce sont des ultra qui considèrent que la vvolonté pkkie pour l'autonomie est trop restreinte et que la doctrine de maintenir les combats dans la zone de confort et de ne pas frapper la Turquie Turque sont obsolètes après x  années d'échec. pas besoin de préciser que c'est une sorte d'alterego aux loups gris en terme de motivation politique.

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Hello,

 

Un article sur consortiumnews

Turkey’s Perilous Crossroad

By Graham E. Fuller, February 20, 2016

Turkey is at a dangerous crossroad, having plunged down the bloody route of “regime change” in Syria and getting drawn deeper into conflicts with Kurds, Iran and Russia. Can President Erdogan return to the more peaceful path he once followed, asks ex-CIA official Graham E. Fuller.

What does Turkey need to do to overcome its present foreign policy fiasco, one of the worst in modern Turkish history? The irony of all this is that those directly responsible for this mess — the team of Recep Tayyip Erdogan (now president) and Ahmet Davutoglu, (former foreign minister and now prime minister) — is exactly the team that one decade ago had made extraordinary steps in creating a new, creative and successful foreign policy.

Le lien


L'article est une critique assez virulente contre le gouvernement turque. J'ignore comment se positionne ce blog en particulier, ni quelle est sa crédibilité, mais on commence à trouver de plus en plus d'articles dans la presse, (principalement en ligne), désapprouvant la ligne de conduite turque.

J'ai l'impression que les Etats-Unis, et je pense principalement à son opinion, prennent vraiment leurs distances avec les turques...

 

A+/Yankev

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Il y a 23 heures, Alexis a dit :

Bon allez, il en faut un.

Je vais tenter d'être l'avocat de l'Erdogan du diable sur ce coup :

- Le fait qu'une carte d'identité soit retrouvée sur les lieux n'est pas si surprenant en soi. Lors d'une explosion, ce n'est pas la totalité des papiers présents qui sont réduits en charpie, ils peuvent tout aussi bien être dispersés

Ou brûler. France24 a qques images qui auraient été prises lors de l'explosion (je ne sais pas par qui ou quoi). Ca brûle sec.

01_509.jpg?itok=Tw4Bm7X4

En outre les fameux TAK donnent un autre nom : Abdülbaki Sönmez

Citation

- L'enregistrement de tous les réfugiés présents en Turquie, ou du moins la grande majorité d'entre eux, me paraît perso assez vraisemblable.

Ce qui est bizarre c'est qu'on a, d'un côté, une frontière réputée assez poreuse, percluse de trafics et de corruption, on sait qu'un grand nombre de vrais-faux papiers d'identité syrien, on a des terroristes qui fomentent des attentats et gagneraient à passer inaperçus, de l'autre on nous affirme qu'ils seraient rentrés ouvertement, auraient été identifiés, seraient recherchés... Ca colle bizarement quand même.

En outre on parle là de 30kg d'explosif : il y a une structure de support pour produire ça, ce n'est pas le fait d'un homme seul, si ?

Citation

- Bon si ce n'est ni PYD, ni Erdogan, il y a quand même un suspect assez évident. Des gens qui ont déjà utilisé des faux papiers syriens. Qui n'ont pas de mal à trouver du personnel-suicide, merci pour eux. Qui pourraient d'ailleurs avoir choisi un attaquant-suicide d'origine kurde, ils ont ça aussi en stock. Et enfin, qui a un intérêt évident à ce que la Turquie intervienne en Syrie pour empêcher les Kurdes de leur tomber dessus... l'Etat Islamique, bien sûr !

Oui ! Mais alors quid des 4 précédents attentats jamais revendiqués mais attribués à l'EI par les autorités turques et ayant visés des kurdes, des gauchistes et des touristes ? Outre le fait que l'EI revendique d'habitude, c'est tragi-comique de voir celui-ci attribué au PKK !

L'EI, pourquoi pas. Ou les "TAK", donc, qui qu'ils soient.

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Ce qui serait intéressant c'est de connaitre le nombre de personnes dont dispose le TAK. Si ce nombre d'hommes est faible, alors les attentats suicides, même si ils sont théoriquement les plus faciles à organiser, seraient alors des victoires à la Pyrhuss car ils privent le mouvement d'une des seules choses difficiles à remplacer : l'humain motivé...

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Il est temps que la Turquie quitte l'OTAN ?

http://www.huffingtonpost.com/stanley-weiss/its-time-to-kick-erdogans_b_9300670.html

Quote

It has always been a matter of historical curiosity that one of the American diplomats who was deeply involved in the creation of the North Atlantic Treaty Organization was named Achilles. As the head of the State Department's Office of Western European Affairs after World War II and the eventual U.S. Vice Deputy of the North Atlantic Council, Theodore Achilles played a lead role in drafting the treaty that was designed to deter an expansionist Soviet Union from engaging in an armed attack on Western Europe. With 11 European nations joining the U.S. as founding members in 1949, the alliance quickly grew to include two other countries - Greece and Turkey - by 1952 and today encompasses 28 members.

It's a reflection of how difficult it was to imagine that any member of the organization would betray the rest of the alliance that to this day, NATO has no formal mechanism to remove a member in bad standing or to even define what would constitute "bad standing." Yet, nearly three decades after the collapse of the Soviet Union, NATO members still make the same solemn vow to one another, known asArticle 5, that they made in 1949: that an attack against any member state will be considered an attack against all member states, and will draw an immediate and mutual response. For nearly seven decades, this combination of factors has been the potential Achilles heel of NATO: that one day, its members would be called to defend the actions of a rogue member who no longer shares the values of the alliance but whose behavior puts its "allies" in danger while creating a nightmare scenario for the global order.

After 67 years, that day has arrived: Turkey, which for half a century was a stalwart ally in the Middle East while proving that a Muslim-majority nation could be both secular and democratic, has moved so far away from its NATO allies that it is widely acknowledged to be defiantly supporting the Islamic State in Syria in its war against the West. Since Islamist strongman Recep Tayyip Erdogan came to power in 2003, Turkey has taken a harshly authoritarian turn, embracing Islamic terrorists of every stripe while picking fights it can't finish across the region - including an escalating war with 25 million ISIS-battling Kurds and a cold war turning hot with Russia, whose plane it rashly shot down in November. With those fights coming home to roost - as bombs explode in its cities and with enemies at its borders - Turkish leaders are now demanding unconditional NATO support, with Prime Minister Ahmet Davutoglu declaring on Saturday that he expects "our U.S. ally to support Turkey with no ifs or buts."

But it's too little, too late. NATO shouldn't come to Turkey's defense - instead, it should begin proceedings immediately to determine if the lengthy and growing list of Turkish transgressions against the West, including its support for Islamic terrorists, have merit. And if they do - and they most certainly do - the Alliance's supreme decision-making body, the North Atlantic Council, should formally oust Turkey from NATO for good before its belligerence and continual aggression drags the international community into World War III.

This is an action that is long overdue. As I argued five years ago, "Erdogan, who is Islamist to the core, who once famously declared that "the mosques are our barracks, the domes our helmets, the minarets our bayonets, and the faithful our soldiers"--seems to see himself as the Islamic leader of a post-Arab-Spring Muslim world." He has spent the past 13 years dismantling every part of Turkish society that made it secular and democratic, remodeling the country, as Caroline Glick of the Center for Security Policy once wrote, "into a hybrid of Putinist autocracy and Iranian theocracy." Last fall, he even went so far as to praise the executive powers once granted to Adolph Hitler.

Under Erdogan's leadership, our NATO ally has arrested more journalists than China, jailed thousands of students for the crime of free speech, and replacedsecular schools with Islamic-focused madrassas. He has publicly flaunted his support for Hamas and the Muslim Brotherhood while accusing long-time ally Israel of "crimes against humanity," violated an arms ban to Gaza, bought an air defense system (and nearly missiles) from the Chinese in defiance of NATO, and deniedAmerica the use of its own air base to conduct strikes during the Iraqi War and later against Islamic terrorists in Syria. As Western allies fought to help repel Islamic State fighters in the town of Kobani in Western Syria two years ago, Turkish tanks sat quietly just across the border.

In fact, there is strong evidence (compiled by Columbia University) that Turkey has been "tacitly fueling the ISIS war machine." There is evidence to show that Turkey, as Near East Outlook recently put it, allowed "jihadists from around the world to swarm into Syria by crossing through Turkey's territory;" that Turkey, as journalist Ted Galen Carpenter writes, "has allowed ISIS to ship oil from northern Syria into Turkey for sale on the global market;" that Erdogan's own son has collaborated with ISIS to sell that oil, which is "the lifeblood of the death-dealing Islamic State"; and that supply trucks have been allowed to pass freely across Turkey in route to ISIS fighters. There is also "evidence of more direct assistance," as Forbes puts it, "providing equipment, passports, training, medical care, and perhaps more to Islamic radicals;" and that Erdogan's government, according to a former U.S. Ambassador, worked directly with the al Qaeda affiliate in Syria, the al-Nusrah Front.

While Ankara pretends to take military action against ISIS, with its obsessive view of the Kurds, it has engaged in a relentless series of artillery strikes against the Syrian Kurdish People's Protection Units (YPG) that are routing ISIS troops in northern Syria. The Kurds are the largest ethnic group on earth without a homeland - 25 million Sunni Muslims who live at the combined corners where Syria, Iraq, Iran, and Turkey meet. Turkey has waged a bloody, three-decade civil war against its 14 million Kurds - known as the Kurdistan Workers' Party, or PKK - claiming more than 40,000 lives. The most recent peace process failed when Turkey again targeted the PKK, plunging the southeast of the country back into war while increasingly worrying Erdogan that Syrian and Turkish Kurds will join forces just across Turkey's border.

The Kurds, like the Turks, are sometimes seen through the lens of who they used to be, and not who they are now. In 1997, Turkey convinced the U.S. to put the PKK on its list of terrorist organizations, and Erdogan claims Syria's Kurds are guilty by association. But in fact, the YPG has worked so closely with the U.S. against Islamic terrorists that the Washington Post recently referred to its members as "U.S. proxy forces." The Kurds - whether in Syria, Iraq, or Turkey - are, by all accounts, the fiercest and most courageous fighters on the ground in the war against the Islamic State in both Iraq and Syria. What's more, the group represents a powerful alternative to the apocalyptic vision of Islamic jihadists, embodying what has beendescribed as "a level of gender equality, a respect for secularism and minorities, and a modern, moderate, and ecumenical conception of Islam that are, to say the least, rare in the region."

The Turkish government has tried to lay blame for recent bombings in Ankara at the feet of the YPG in an attempt to sway the U.S. to oppose the Kurds. An exasperated Erdogan railed about the loyalties of the West, accused the U.S. of creating a "sea of blood" in the region by supporting the Kurds, and issued an ultimatum: he demanded that the time had come for America to choose between Turkey and the Kurds.

I couldn't agree more: the time has come for the U.S. to choose the Kurds over Erdogan's Turkey.

Critics argue that the Kurds are unwilling to take the fight to ISIS beyond their borders, but this actually presents the U.S. with an opportunity. In exchange for fighting ISIS throughout the region, an international coalition can offer the Kurds their own state. A Kurdish state would become a critical regional ally for the US and play an invaluable role in filling the power vacuum that has emerged in the Middle East. With the help of the U.S., a Kurdish state could also help to accommodate Syrian refugees that have overwhelmed immigration systems in Turkey and Europe. In the long term, it would serve as a valuable regional partner to stabilize the region, and it would set a strong example of successful democracy. In other words, Kurdistan could play the role that Turkey used to play.

It's been said that the difference between being Achilles and almost being Achilles is the difference between living and dying. NATO can do without an Achilles heel: It's time to kick Turkey out for good.

Stanley Weiss, a global mining executive and founder of Washington-based Business Executives for National Security, has been widely published on domestic and international issues for three decades.

 

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17 minutes ago, zone 51 said:

Quand je vois ça, j'ai du mal à imaginer la marine russe partir d'Odessa et traverser le Bosphore tranquilou. Ca se passe comment concrètement?

La Turquie instaurer un blocus dans les Dardanelles ... et pourquoi pas des missiles balistique dans les mains des kurdes et des arméniens. La Russie a tout un tas de levier sur la Turquie.

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Il y a 2 heures, g4lly a dit :

J'ai beaucoup de mal à imaginer ce conseil être suivi.

Beaucoup plus probable, des avertissements discrets mais fermes à Erdogan que si une initiative de sa part en Syrie mène à des affrontements avec la Russie...

Ces avertissements ont peut-être déjà été donnés.

 

Si Erdogan continue, et semble sur le point de faire une grosse bêtise, il sera temps de passer aux avertissements fermes et publics.

Pas besoin d'expulser qui que ce soit : il suffit de rappeler bien clairement que l'Alliance atlantique est de nature défensive.

 

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il y a 48 minutes, g4lly a dit :

L'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan étaient aussi de natures défensives ...

Tsss... Pas beau de mettre les deux dans le même panier : c'était assez rationnel sur l'Afghanistan.

Et l'OTAN a-t-elle en tant que telle approuvé l'invasion de l'Irak ? Ca m'étonnerait : il faut l'unanimité.

Provocateur !

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Il y a 3 heures, zone 51 a dit :

Quand je vois ça, j'ai du mal à imaginer la marine russe partir d'Odessa et traverser le Bosphore tranquilou. Ca se passe comment concrètement?

ça c'est parlé !  Pas besoin d'explication de texte - même un neuneu peu comprendre. Il dit ce qu'il pense sans passer par mille chemins, pas de sous-entendus, pas de mesquinerie, de double langage, de machin ou il faut interpréter, voire traduire et comprendre ce qui a été dit et même ce qui n'a pas été dit..... et il n'y a pas de "Heuuuuuuuuu..."  ou le gars il cherche à parler pour ne rien dire.

 

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Il y a 5 heures, zone 51 a dit :

Quand je vois ça, j'ai du mal à imaginer la marine russe partir d'Odessa et traverser le Bosphore tranquilou. Ca se passe comment concrètement?

MODE MAUVAIS ESPRIT ON

De mon côté, ce que j'ai du mal à imaginer, c'est de voir la marine russe partir d'Odessa...

:bloblaugh:

MODE MAUVAIS ESPRIT OFF

 

A+/Yankev (qui est déjà loin....)

Modifié par Yankev
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Il y a 1 heure, Yankev a dit :

MODE MAUVAIS ESPRIT ON

De mon côté, ce que j'ai du mal à imaginer, c'est de voir la marine russe partir d'Odessa...

:bloblaugh:

MODE MAUVAIS ESPRIT OFF

 

A+/Yankev (qui est déjà loin....)

Ca c'est une déformation due au jeu "diplomacy" où les troupes Russes partent d'Odessa:unsure:   ( ode - noi ) pour ceux qui connaissent.:cool:

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Je suis en train de me dire que finalement , le risque de sortir la Turquie de l'Otan n'est pas si terrible , vu leur situation geostrategique, ils ne pourront pas être récupérés par la Russie ou la Chine ! 

Par contre le pays risque de devenir une grosse verue, voir , une rumeur maligne , aux portes de l'Europe !  

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Ca permettra d'y mettre le Hola.  Chose impossible actuellement. Puis au pire les Kurdes ont des revendications territoriales l'Arménie aussi, les Karamans aussi et.la Thrace ira à la Macédoine ou bien à la Grèce.  

Plus sérieusement la Turquie en ce moment est une verrue comment pourrait elle être pire ? Je prends pas paris d'un destin à la Grecque avec un retour d'une dictature militaire puis à terme le cas échéant une réintégration dans l'Otan. 

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