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Marine allemande


fredericvos

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Faster and bigger: German Navy details future Type 707 oiler

On July 17, the Bundeswehr Inspector General announced the procurement of the future Type 707 replenishment oilers for the German Navy. In 2018, Germany announced that the two existing Type 704 Rhön-class tankers will be decommissioned in 2025. The future vessels will be significantly more efficient than the previous ones, the Navy press office announced.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/07/faster-and-bigger-german-navy-details-future-type-707-oiler/

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  • 4 weeks later...

TKMS & Kongsberg unveil ‘ORCCA’ New Combat Management System for Submarines
TKMS-Kongsberg-unveil-ORCCA-New-Combat-M

At the 7th International Submarine Conference SubCon 2019 kta naval systems, a joint venture of thyssenkrupp Marine Systems and Kongsberg, presented its new combat system for non-nuclear submarines. The system called ORCCA combines for the first-time maximum adaptability with the highest level of IT security.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/09/tkms-kongsberg-unveil-orcca-new-combat-management-system-for-submarines/

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TKMS Unveils FC4G 4th Generation Fuel Cell System
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During its quadrennial SubCon submarine conference held in Kiel, thyssenkrupp Marine Systems unveiled the 4th Generation Fuel Cell (FC4G) for submarine applications after having finished an extensive test program with more than 70,000 operating hours in the test environment. This is an improvement of an already unrivalled and proven system.


https://www.navalnews.com/naval-news/2019/09/tkms-unveils-fc4g-4th-generation-fuel-cell-system/

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70 hommes du Seebataillon  qui étaient à bord du Johan De Witt pour des manoeuvres aux Caraibes (je suppose avec la compagnie Antilles du Korps Mariniers) ont été redéployés  avec le JdW pour aider les populations des Bahamas; le bateau embarque aussi un détachement des FFA.  

https://www.bundeswehr.de/portal/a/bwde/start/aktuelles/aus_der_truppe/!ut/p/z1/hU67DoIwFP0WB1butUSsbjCYaBowAQW6mILloUARqiR-vSRuRuPZzjMHOMTAW_GoCqEr1Yp64gm3Ty5lISMrQtiBIm6ZR_0FwTlSC44Q_YvwycYfcBCCs4Rk2lj-3PBtCCBxIQlv6hIVsANe1Cp933Pa1KIF8F7mspe9ee8nudS6G9YGGjiOo5mLTKZKXc1MNQZ-K5Vq0BB_ZqFrNtTbP5mMnNkLeW1Zxw!!/dz/d5/L2dBISEvZ0FBIS9nQSEh/#Z7_B8LTL2922LU800ILN8O52010O6

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  • 3 weeks later...

Un bel article chez Augen geradeaus! :

Citation

Compte-rendu d'un voyage en mer : course lente et à obstacles

Par Thomas Wiegold, le 26.09.2019

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C'est par un beau matin de septembre que l'équipage de la frégate Brandenburg prend la mer pour deux jours. Au petit déjeuner, pris avant le lever du soleil, on ne remarque pas que la cuisine du navire de guerre est fermée suite à un dégât des eaux. On trouve encore des petits pains. Les hommes et les femmes à bord savent aussi que la frégate ne naviguera pas sur de longue distance dans les deux jours à venir en Mer du Nord car la vitesse maximale est limitée à onze nœuds (environ 20 km/h) en raison d'un problème technique. Après tout, le Brandebourg sort à nouveau de la base.

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La frégate de classe F123 avait souffert ces derniers mois de presque tous les problèmes qui affligent actuellement les navires de la marine allemande. Une réparation - programmée - au chantier naval où certaines choses ont mal tourné et ayant donc pris quatre mois de plus que prévu. Pire encore : après son séjour au chantier naval, la Brandebourg ne fut libérée que sur la base d'une déclaration de sécurité fonctionnelle et opérationnelle limitée. Et le prochain amarrage est nécessaire de toute urgence, mais il n'aura probablement pas lieu avant janvier de l'année prochaine en raison d'un manque de quais.

Au nombre des difficultés techniques actuellement rencontrées par la frégate et son équipage, la fermeture de la cuisine ne semble pas être la plus importante. Pour un navire d'environ 200 hommes et femmes devant être en mer régulièrement approvisionnés en repas, il s'agit déjà d'un problème. L'équipe de cuisine se sert d'une petite cuisine d'urgence, dans laquelle seules deux personnes peuvent cuisiner sur quelques mètres carrés, et les repas sont pris au messe des sous-officiers supérieurs (Portepee-Unteroffiziere). Par roulement.

Plus important pour la fonctionnalité d'un navire de guerre est la vitesse pouvant être atteinte par la frégate. L'unité de propulsion associant turbines à gaz et diesel pourrait porter le Brandebourg à une vitesse maximale continue de près de 30 nœuds (environ 55 km/h). Cette puissance n'est pas nécessaire maintenant : la frégate n'est pas autorisée à dépassé les onze nœuds puisque une fenêtre du dôme sonar est fissurée. Pour la remplacer, un nouveau passage par le quai est prévu.

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Pour lors, la vitesse ne manque pas au navire. Depuis la jetée de la base navale de Wilhelmshaven, le navire ne part que quelques minutes pour la Baie de Jade où il conviendra de vérifier que le radar SMART-S fonctionne parfaitement après l'importante modernisation effectuée au chantier naval et que celui-ci puisse être mobilisé pour engager des armes.

Malheureusement, non seulement le SMART-S ne fonctionne pas parfaitement, mais pas du tout. Le refroidissement nécessaire au système n'est pas garanti, et les techniciens du navire ainsi que les spécialistes embarqués de l'arsenal et de la société de fabrication cherchent pendant des heures sans succès la cause et la réparation à entreprendre. Dans l'après-midi, les spécialistes quittent le navire ; le Brandebourg va maintenant poursuivre son voyage en Mer du Nord sans ce radar indispensable.

Cependant, cela signifie qu'une mission importante du commandant ne peut plus être remplie : Le capitaine de frégate Jan Hackstein (45 ans) souhaitait profiter de ce voyage de deux jours pour tester l'interaction entre le radar, le nouveau système de commandement et de déploiement d'armes et le canon embarqué de 76 mm. Avec l'échec du SMART-S, ce tir ne peut plus avoir lieu. C'est ainsi que les choses se passent lorsque l'on navigue sur des navires historiques à l'électronique antique, le commandant commentant ainsi laconiquement les problèmes du navire de guerre vieux de 25 ans.

Mais une frégate abrite plusieurs autres armes à bord, celle-ci devant également être utilisées pendant l'entraînement. En l'occurrence, le passage par la Baie de Jade implique une menace dite asymétrique, avec le danger potentiel d'attaques terroristes menées par de petits bateaux rapides contre le navire de guerre. Pour faire face à celles-ci, le Brandebourg est déjà équipée, ce qui ne va pas de soit dans la Marine, des nouvelles mitrailleuses MG5.

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Les mitrailleuses ont bien été fournies, mais pas encore l'équipement pour les hommes et les femmes surveillant l'environnement du navire avec cette arme. Les nouveaux casques, devant être dotés des écouteurs du système d'interphonie embarqué, sont aussi peu nombreux à bord que les gilets de protection. Les deux n'ont pas encore été livrés.

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Côté droit, à tribord, le câble de commande du MLG a été endommagé. La frégate était en haute-mer lorsque la première tentative de tir put être opérée. Le résultat était insatisfaisant. Le message lapidaire retentit depuis les hauts parleurs après que la première tentative échoua. La plupart des opérateurs assis devant les ordinateurs savent ce qui suit : il faut redémarrer la console destinée au contrôle du canon, ce n'est qu'une fois cela fait que le premier coup de feu frappa la Mer du Nord. Un peu trop tard en cas d'urgence.

Quand bien même le bateau navigue lentement, quand bien même la technologie pose problèmes : un voyage en mer est toujours aussi l'occasion de former l'équipage. D'autant plus que le Brandebourg compte plusieurs nouveaux membres d'équipage à son bord après la période de chantier naval et que l'équipage est encore loin de former un ensemble soudé. Ces deux jours sont donc aussi consacrés aux classiques : l'homme à la mer et le feu dans le navire. Pas toujours à l'enthousiasme de l'équipage lorsqu'un homme est conduit par-dessus bord peu avant minuit.

Le MG5 n'est pas la seule arme dont la frégate dispose à courte portée. Des mitrailleuses lourdes de calibre 12,7 mm sont disponibles, ainsi que deux mitrailleuses navales légères (MLG) de calibre 27 mm. Elles sont télécommandées depuis le centre d'opérations situé sous le pont, mais l'insertion des munitions est un travail manuel habituel sur le pont.

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Finalement, le voyage est un peu plus court que prévu, car le radar de surveillance aérienne LW08 tombe également en panne lors du deuxième jour en mer. La Brandebourg est donc, en tant que navire de guerre, pratiquement aveugle, ien qu'elle ait encore un radar de navigation à bord, évidemment, comme tout cargo. Le commandant Hackstein décide de retourner à Wilhelmshaven plus tôt, pour des raisons pratiques : plus tôt le navire sera de retour à la base, plus tôt les techniciens de l'arsenal naval pourront revenir à bord pour remédier aux (nouveaux) défauts techniques.

J'ai probablement pu faire l'expérience d'une accumulation de problèmes pas vraiment typiques durant ce court voyage avec ses nombreuses pannes. Par ailleurs : "ce chaos a un nom : la réparation navale", s'est plaint le responsable syndical Frank Oltmanns dans une billet publié à la mi-septembre dans le journal Wilhelmshavener. En tant que président du conseil du personnel de l'arsenal naval de Wilhelshaven, il pointe clairement les causes de la misère : "Malheur, malheur, si les prestations de l'arsenal naval se voient un peu plus privatisées et détachées du complexe d'armement, ainsi que le réclament certains politiciens, alors nous aurons des conditions effrayantes ! La réparation navale est un système intégré, dans lequel un rouage s'imbrique l'un dans l'autre, une division du travail qui ne fonctionne harmonieusement que si tout reste uni."

Peut-être la ministre de la Défense, Annegret Kramp-Karrenbauer entendra semblable propos lors de sa visite à la Marine jeudi à Rostock. L'activité de l'Office fédéral de l'armement, de l'information et de la technologie de l'information (BAAINBw), auquel appartient l'arsenal naval, figure en bonne place sur la liste de ses missions.

https://augengeradeaus.net/2019/09/protokoll-einer-seefahrt-schleichfahrt-mit-hindernissen/

Hein, elles ne vous plaisent pas nos FTi ? Je ne sais plus s'il faut en rire ou en pleurer :unsure:

 

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Il y a 1 heure, pascal a dit :

on s'en fout c'est pas les nôtres ...

Mouais... J'ai dû payer certaines années mes impôts sur le revenu en Allemagne :dry: Et certaines voix allemandes se sont déclarées éventuellement prêtes - bien qu'elles préféreraient dans leur tradition ne pas voir de forces allemandes s'impliquer du tout - à engager des forces dans le Détroit d'Ormuz si cela se concevait dans le cadre d'une intervention européenne:  https://www.lopinion.fr/edition/international/mission-navale-dans-detroit-d-ormuz-coalition-allemande-epreuve-194112  J'attends de voir le PAN français escorté par des frégates allemandes :unsure:

 

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il y a 18 minutes, ARMEN56 a dit :

Mouais , çà sent un peu l’embarquement prémédité pour casser je trouve

C’est possible : si c’est un sport chez nous, pourquoi pas en allemagne ?

Qui est ce Thomas wielgold et dans quoi publie t il, je ne suis pas germanophone ?

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il y a 56 minutes, ARMEN56 a dit :

Mouais , çà sent un peu l’embarquement prémédité pour casser je trouve

Pour suivre très fréquemment le blog de Thomas Wiegold, je ne crois pas du tout - mais je peux me tromper - qu'il soit dans cet esprit. Il s'attache à restituer les faits relativement froidement. Il ne passe pas sous silence les problèmes, pointant très fréquemment les errements de la Bundeswehr. On trouve fréquemment des articles sur les problèmes de dotation, sur les programmes hors contrôle, sur la radicalisation politique de certains soldats, etc. Mais il n'en rajoute pas outre mesure. D'ailleurs, je trouve que le titre de son blog Augen geradeaus! (Les yeux droit devant!) - en plus de faire référence à un chant militaire allemand - restitue pas mal l'esprit du contenu. Par ailleurs, il prend généralement son temps pour publier ses informations afin de recouper ses informations. Il prend aussi parfois le temps d'expliquer en réponse aux commentaires postés sur son blog pourquoi les solutions simplistes ou lectures simplistes ne sont pas forcément les plus pertinentes. Ainsi, il n'est généralement pas du genre à pointer la responsabilité d'une personnalité politique, d'une institution ou d'une entreprise, mais révèle plutôt les mécanismes/glissements qui font qu'on en arrive à de telles situations.

En revanche, il n'est pas impossible que des officiers de la Marine allemande aient invité Thomas Wiegold à embarquer puis à rédiger ce papier, au format un peu particulier si l'on compare à ce qu'il publie d'habitude, pour alerter l'opinion allemande et les personnalités politiques du pays. Je dirais même que c'est hautement probable. Et si l'on vient chercher ce journaliste, c'est parce que l'on sait qu'il a un certain respect de la déontologie journalistique et que ses écrits ont d'autant plus de poids. 

 

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Il y a 9 heures, Skw a dit :

En revanche, il n'est pas impossible que des officiers de la Marine allemande aient invité Thomas Wiegold à embarquer puis à rédiger ce papier, au format un peu particulier si l'on compare à ce qu'il publie d'habitude, pour alerter l'opinion allemande et les personnalités politiques du pays

Avant de faire ma remarque volontairement provocatrice :tongue: j’avais lu le cv wiki du journaliste effectivement rompu aux problématiques de défense .

Ayant passé par qqes  programmes  « new building » et MCO j’ai hélas connu des situations similaires en dispersées et non concentrées ; soucis des cuisines mais plutôt coté HSCT inhérent aux risques H2S , il s’agit de zones humides normalement dalotées pour l’évacuation des eaux sales vers caisses à eaux grises via bac dégraisseurs  tout ceci étant à surveiller , soucis aussi sur le cooling des équipements  sachant qu’ici  les essais cooling quai auraient normalement dû donner  le feu vert ou pas pour les contrôles mer du SMART . Pour ce qui concerne les fissures sur bulbe sonar , savoir qu’il sont en eau et légèrement pressurisés , c’est normal de limiter la vitesse pour ne pas élever la pression de slamming en propageant les fissures .

Mais  c’est boiteux toussa

Pupitre propulsion intéressant dans la visu des cinématiques propulsion CODOG , les leds clutch des 20V MTU allumées  confirment le stand by des TAG , les hélices tournent ….AH !

A noter aussi le double hélas de la parole syndicale dans les évolutions du systémique………..

Chez nous , Mindef  avait demandé à JG Malcor  de  faire  un audit sur l’état de santé de notre boutique MCO ,  rien  vu passer  sur  la posologie .  

 

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il y a 45 minutes, ARMEN56 a dit :

Pour ce qui concerne les fissures sur bulbe sonar , savoir qu’il sont en eau et légèrement pressurisés , c’est normal de limiter la vitesse pour ne pas élever la pression de slamming en propageant les fissures .

Certes. L'anormalité c'est la fissure en elle même

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il y a 23 minutes, clem200 a dit :

L'anormalité

bah  une fissure peut arriver pour x raisons ; raguage ancre ou chaine , choc objet flottant .....etc , c'est la  chienne de vie de bateau , idem coulures de rouille , MAIS faut réparer et ici appareiller en mode dégradé

parque fissure , çà fout mal . :rolleyes:

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il y a une heure, ARMEN56 a dit :

Avant de faire ma remarque volontairement provocatrice :tongue: j’avais lu le cv wiki du journaliste effectivement rompu aux problématiques de défense.

Oh, mais je ne l'ai pas lu comme une provocation :wink: Je voulais plutôt préciser quel crédit l'on pouvait apporter à ses publications. Cela dit, tout en étant spécialisé sur les questions de défense, Wiegold n'a jamais prétendu être un expert en techniques.

 

il y a une heure, ARMEN56 a dit :

Mais c’est boiteux toussa

Surtout, cela s'inscrit dans un contexte où les frégates sortent peu. Il n'est pas étonnant de rencontrer des problèmes en sortie de chantier. Sauf que la frégate risque de repartir d'ici quelques semaines pour une longue période d'immobilisation. La prochaine fois qu'un équipage reprendra la mer sur ce navire, il est probable qu'environ la moitié de l'équipage n'aura jamais servi sur celui-ci. D'où perte de compétences, incapacité à développer une maîtrise des systèmes, impossibilité de tester de nouvelles procédures, image désastreuse de la marine qui ne parvient ensuite plus à renouveler quantitativement et qualitativement ses effectifs, etc. Le problème est vraiment profond.

Un autre article qui mérite d'être lu: https://www.deutschlandfunk.de/von-allem-zu-wenig-die-deutsche-marine-geht-unter.724.de.html?dram:article_id=441290 (pas le temps de le traduire, mais j'ai l'impression que la trad automatique donne de bons résultats sur cet article.)

 

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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...

https://www.meretmarine.com/fr/content/mks-180-une-question-de-souverainete-pour-lindustrie-navale-allemande   Extrait sans abonnement, très partiel ...   VOS COMMENTAIRES ? 

Où la Marine Allemande veut elle aller ?  dans le pacifique ? 

Citation

C’est le plus important programme d’armement naval que l’Allemagne compte lancer depuis la seconde guerre mondiale. Un contrat de 4 à 6 milliards d’euros pour le développement et la construction de quatre à six bâtiments de combat de fort tonnage, très polyvalents et conçus pour les soutenir des opérations lointaines et de très longue durée face à tous les types de menaces, y compris dans le cadre de combats de haute intensité. Ces unités auront l’aspect de frégates, mais avec des capacités étendues dans de nombreux domaines et un gabarit particulièrement imposant, lié aux capacités requises par la Bundeswehr pour les grands déploiements mais aussi la possibilité de faire sensiblement évoluer ces plateformes et leurs équipements au fil des années. On parle ainsi de bateaux d’environ 160 mètres de long, plus de 25 mètres de large et d’un déplacement supérieur à 10.000 tonnes. Ils seront équipés pour la défense aérienne, l’action vers la terre et la projection de forces spéciales, la lutte antisurface, anti-sous-marine et contre les menaces asymétriques, ainsi que l’assistance en cas d'opérations humanitaires.

English  Wiki:  "Six large surface combat ships are planned under the name 'Mehrzweckkampfschiff 180' (MKS 180), a multi-mission destroyer."

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il y a 7 minutes, Bechar06 a dit :

Où la Marine Allemande veut elle aller ?  dans le pacifique ? 

Ils ont pris conscience qu'ils devaient protéger l'île de Helgoland puisque l'OTAN n'est plus très sûr.

Modifié par capmat
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il y a 8 minutes, clem200 a dit :

 

C'est ironique ? Parce que c'est déjà pas mal ^^

Le même prix que nos Horizon mais sur une série 3x plus grosse 

Justement le même prix qu'on a payé il y a plusieurs années. pour des machines beaucoup plus petites.

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