zx Posté(e) le 20 juin 2018 Share Posté(e) le 20 juin 2018 (modifié) Il y a 9 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : Allez, j'ose .... : https://fr.sputniknews.com/international/201806191036857515-usa-turquie-chasseurs/ Oui oui, je sais ... je sais ... j'aime bien la caricature Directed-Energy Capability Targeted By Pratt F-35 Engine Upgrade Plan http://aviationweek.com/defense/directed-energy-capability-targeted-pratt-f-35-engine-upgrade-plan si pb d'accès Pratt & Whitney is refining its proposed upgrade path for the F135 Joint Strike Fighter engine to include increased power and thermal management (PTMS) capability following feedback on its initially proposed upgrade package from the F-35 Joint Program Office. Additional power and thermal management capability will enable the use of directed-energy weapons and other advanced offensive and defensive systems and, if approved, would feature in an upgrade package called Growth Option 2.0 (GO2). Pratt & Whitney, which would roll PTMS into a suite of compressor and turbine enhancements originally proposed in the first upgrade package, G01, says the complete upgrade could be available within four years of getting the official go-ahead. Growth Option 1.0, which was floated with the JPO in 2017, offered 5% fuel reductions and as much as 10% higher thrust. Offered as a cost neutral upgrade, it was always meant to form part of a longer term, two-stage improvement road map for the F-35 engine under plans first unveiled by the manufacturer in 2015. However, with the move to combine GO1 and 2 into a more complete enhancement package, Pratt is tailoring the revised proposal to closer match the F-35 upgrade road map recently outlined under the C2D2 continuous improvement strategy. Planned as engine-only ‘drop-in’ replacement for F135 Growth Option 2 adds power and thermal management to original core upgrade proposal GO1 builds on core technologies evaluated from 2013 onward using the modified F135 test engine XTE68/LF under the U.S. Navy-sponsored Fuel Burn Reduction (FBR) program. It also incorporates design improvements developed under the U.S. Air Force-supported component and engine structural assessment research (Caesar), which focused on the F119 engine for the F-22, the predecessor of the F135 powerplant. Though focused on integrating enhanced thermal management, GO2 will leverage more of the adaptive engine technology features in development at Pratt through Air Force and -Navy-supported initiatives. These largely stem from the Air Force-led Adaptive Engine Technology Demonstration (AETD), as well as the follow-on adaptive engine transfer program (AETP), which is targeting development of the XA101 variable cycle engine for sixth-generation fighters. The proposed upgrade leverages some elements of the adaptive-cycle technology tested on the F135. Credit: Pratt & Whitney The chief focus for these new AETD, AETP and XA101 engine cycles is the addition of a third air stream to provide either greater combat power or more range, depending on the phase of the mission. However, the “GO” upgrade packages can take advantage of the broader variable-cycle approach, says Matthew Bromberg, president of Pratt & Whitney Military Engines. “Adaptive refers to many other elements of the engine as well, not just the third stream. Yes, there is a third stream, but we are also looking at adaptive elements in controls and components inside the engine such as an adaptive turbine.” “We have widened the aperture and are looking at adaptive elements across the engine,” he adds. “As these mature we will look at what we can do with the technology in an existing engine ,and that’s the concept in GO1. And GO2 is exactly the same thing. It just adds the PTMS capability which we missed last year. We didn’t have that in terms of the requirements when we packaged GO1, and that was the feedback we got from the customer. With a PTMS solution this can meet all the C2/D2 requirements, and I think that’s compelling.” Designed to be a drop-in replacement for the current engine, the GO2 package will not require other system upgrades outside of the propulsion system. “There’s more we can do with Lockheed Martin and other suppliers if we go outside the engine, but this is all within the engine,” says Bromberg. Although providing few specifics he adds, “It is leveraging all the bleed systems, the generation systems.” Pratt, meanwhile, continues tests of the new technology future fighter engine core, which will provide the basis for the XA101. Although the company declines to offer any details of the work, it follows the successful completion of tests of a three-stream fan system on a modified F135 under the AETD program. Results from the core tests will feed into the AETP effort that forms the basis for the XA101 engine. Modifié le 20 juin 2018 par zx 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 20 juin 2018 Share Posté(e) le 20 juin 2018 (modifié) et un autre article : http://psk.blog.24heures.ch/archive/2018/06/19/le-senat-americain-bloque-la-livraison-de-f-35-a-la-turquie-865855.html Il y a 11 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : Allez, j'ose .... : https://fr.sputniknews.com/international/201806191036857515-usa-turquie-chasseurs/ Oui oui, je sais ... je sais ... au moins la photo du F35 y est sympa Modifié le 20 juin 2018 par Bon Plan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 20 juin 2018 Share Posté(e) le 20 juin 2018 Il y a 13 heures, zx a dit : jusqu'à l'arrivé du block 4, du nouveau moteur, du nouvel EOTS, etc.. autant remplacer par un avion neuf, c'est plus simple. Ce sont des news qui tombent au bon moment je trouve (cf le désir latent de la Luftwaffe de prendre du F35 ou le futur choix Belge). Les clients potentiels non encore ferrés vont se rappeler que LM ne tient plus ses promesses depuis 15-20 ans (sur les coûts, les délais, les performances), et donc que le standard F4 en 2023 c'est encore de la poudre aux yeux. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 21 juin 2018 Share Posté(e) le 21 juin 2018 Le 19/06/2018 à 23:03, herciv a dit : Soit 10% des avions à produire à mettre au rencard avant même leur "bon pour combat" Si j'étais vilain, je rappellerais le précédent des Typhoons de la tranche 1. Et si j'étais pervers, je rappellerais aussi que les dix Rafale F1 ont longtemps représenté bien plus que 10% de notre flotte, tout en étant au rencard - rencard dont ils sont sortis à grand frais. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 21 juin 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 juin 2018 il y a 38 minutes, FATac a dit : Si j'étais vilain, je rappellerais le précédent des Typhoons de la tranche 1. Et si j'étais pervers, je rappellerais aussi que les dix Rafale F1 ont longtemps représenté bien plus que 10% de notre flotte, tout en étant au rencard - rencard dont ils sont sortis à grand frais. Avant d'être mis au rencart, ils ont remplacé les Crusader, c'est un contexte un peu particulier, ils ont évité qu'on achète des F-18, et je trouve qu'on s'en porte très bien. En plus leur remise à niveau a été rentable, pour le prix de 3 Rafale on en a rendu 10 opérationnels et il n'est pas sûr que les 10 premiers n'aient pas coûté moins cher à produire que si ils avaient eu tout de suite une configuration complète. Les F-35 mis au rencart ils ont eu quoi comme activité opérationnelle? 2 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 21 juin 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 juin 2018 C'est bien la peine que je prenne des précautions oratoires quand je trolle ouvertement ... 1 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 21 juin 2018 Share Posté(e) le 21 juin 2018 Les F1 çà c'est joué "aux forceps" vis à vis d'une MN qui n'en voulait pas (contexte), et qui ne regrette absolument rien aujourd'hui ... Bien joué, très bien joué !! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 21 juin 2018 Share Posté(e) le 21 juin 2018 (modifié) il y a 12 minutes, FATac a dit : C'est bien la peine que je prenne des précautions oratoires quand je trolle ouvertement ... Le problème, c'est que le cas de l'Eurofighter Tranche 1 n'est pas tant que cela du troll. Les autorités autrichiennes n'étaient pas tout à fait conscientes qu'il s'agissait d'un Q-Eurofighter. Edit : Soit dit en passant, il semblerait que les Autrichiens aient eu dernièrement plus d'unités opérationnelles que les Allemands. L'un des problèmes de disponibilité sur les dernières tranches réside dans l'incapacité à refroidir le DASS et ses capteurs en raison de pertes de liquides. Or la société qui avait été contractée par le consortium Eurofighter pour fabriquer la pièce problématique doit être à nouveau certifiée par le ministère allemande de la Défense après qu’elle a changé de propriétaire. Sur le Tranche 1, pas de tels problèmes http://www.opex360.com/2018/05/05/quelques-eurofighter-typhoon-allemands-seraient-pleinement-operationnels/ https://diepresse.com/home/innenpolitik/5416200/Mehr-Eurofighter-als-in-Deutschland Modifié le 21 juin 2018 par Skw Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 21 juin 2018 Share Posté(e) le 21 juin 2018 il y a 19 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : Les F1 çà c'est joué "aux forceps" vis à vis d'une MN qui n'en voulait pas (contexte), et qui ne regrette absolument rien aujourd'hui ... Bien joué, très bien joué !! C'est pas spécialement les F1 dont elle ne voulait pas. Le doute sur la pertinence d'un delta sur PA était fort... Et c'est tout à l'honneur de Dassault d'avoir su vaincre cette réticence (quand même assez étayée) avec le brio qu'on connait maintenant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 21 juin 2018 Share Posté(e) le 21 juin 2018 Il y a 2 heures, Bon Plan a dit : C'est pas spécialement les F1 dont elle ne voulait pas. Le doute sur la pertinence d'un delta sur PA était fort... Auquel s'ajoutait une certitude sur la non tenue des délais, ce qui s'est produit ... mais à cause du ralentissement budgétaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 juin 2018 Share Posté(e) le 22 juin 2018 (modifié) Le premier F-35 déclaré perdu (ou transformé en pièce de musée). Il s'agit en fait du f-35 qui avait pris feu il y a deux ans qui ne sera pas réparé, l'investissment n'étant pas intéressant selon l'USMC. https://www.marinecorpstimes.com/news/your-marine-corps/2018/06/21/the-corps-has-lost-its-first-f-35/ Modifié le 22 juin 2018 par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 22 juin 2018 Share Posté(e) le 22 juin 2018 (modifié) Turkey gets first F-35, but faces halt on future deliveries if Congress gets its way https://www.defensenews.com/smr/nato-priorities/2018/06/21/turkey-gets-first-f-35-as-congress-put-pressure-on-pentagon-to-stop-future-deliveries/ Malgré les réticences du Sénat américain, un premier F-35A a été livré à la Turquie http://www.opex360.com/2018/06/22/malgre-reticences-senat-americain-premier-f-35a-a-ete-livre-a-turquie/ Modifié le 22 juin 2018 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin 2018 Share Posté(e) le 23 juin 2018 (modifié) L'action LM subit des dégagements réguliers et massifs depuis janvier Keystone Financial Planning Inc decreased its stake in Lockheed Martin (LMT) by 76.71% based on its latest 2018Q1 regulatory filing with the SEC. Keystone Financial Planning Inc sold 10,833 shares as the company’s stock declined 10.57% with the market. The institutional investor held 3,289 shares of the military and government and technical company at the end of 2018Q1, valued at $1.11M, down from 14,122 at the end of the previous reported quarter. Keystone Financial Planning Inc who had been investing in Lockheed Martin for a number of months, seems to be less bullish one the $85.77 billion market cap company. The stock decreased 0.82% or $2.48 during the last trading session, reaching $300.38. About 1.51 million shares traded or 1.22% up from the average. Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT) has risen 13.73% since June 21, 2017 and is uptrending. It has outperformed by 1.16% the S&P500. Some Historical LMT News: 03/04/2018 – NASA: Lockheed Martin Contract Valued at $247.5 Million; 27/04/2018 – AIRSHOW-U.S. Marines, Sikorsky eye contract for more CH-53K helicopters soon; 28/03/2018 – Modernized Lockheed Martin Trident Il D5 Missile Test Certifies Submarine for Patrol; 05/04/2018 – Lockheed Martin Collaborates with SAS on Cutting-Edge Analytics; 12/04/2018 – HM Dunn AeroSystems, a Gridiron Capital, LLC Portfolio Company, Names Anderson Chief Executive Officer; 03/04/2018 – NASA Awards Lockheed Martin Contract to Build Quieter Supersonic Aircraft; 30/05/2018 – U.S. says in talks with Turkey on YPG withdrawal from Syria’s Manbij; 19/04/2018 – Lockheed Martin just got one step closer to handing hypersonic weapons to the U.S. Air Force; 22/03/2018 – The Chinese J-31 fighter jet is believed to be a knockoff of Lockheed Martin’s F-35; 05/03/2018 – Lockheed Martin CEO: Foreign defense customers unlikely to retaliate against us due to Trump tariffs Investors sentiment decreased to 0.95 in 2018 Q1. Its down 0.23, from 1.18 in 2017Q4. It fall, as 43 investors sold LMT shares while 441 reduced holdings. 99 funds opened positions while 359 raised stakes. 216.82 million shares or 0.95% less from 218.89 million shares in 2017Q4 were reported. Cambridge accumulated 19,304 shares. Hrt reported 13,106 shares. Verition Fund Mngmt Ltd Liability Company invested in 0.12% or 4,721 shares. Main Street Research Ltd Liability Co has invested 2.1% of its portfolio in Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT). Moreover, Canada Pension Plan Board has 0.16% invested in Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT). Virginia Retirement Et Al owns 78,700 shares. Franklin Res Inc owns 659,606 shares. Teacher Retirement Of Texas has invested 0.34% in Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT). Hudson Valley Invest Advisors Adv has invested 0.38% in Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT). Wheatland Advsr owns 730 shares. Public Employees Retirement Sys Of Ohio holds 164,988 shares or 0.29% of its portfolio. Bb&T Securities Limited Liability Corporation accumulated 41,988 shares or 0.16% of the stock. Avalon Advsrs Limited Liability accumulated 121,571 shares. California State Teachers Retirement stated it has 404,407 shares. Sit Investment Associate Incorporated holds 57,654 shares. Among 23 analysts covering Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT), 13 have Buy rating, 0 Sell and 10 Hold. Therefore 57% are positive. Lockheed Martin Corporation had 86 analyst reports since July 21, 2015 according to SRatingsIntel. The company was downgraded on Tuesday, January 16 by Wells Fargo. The firm has “Hold” rating given on Monday, June 12 by Jefferies. The firm earned “Hold” rating on Thursday, October 19 by Cowen & Co. The stock has “Buy” rating by Argus Research on Tuesday, July 21. The rating was maintained by RBC Capital Markets on Wednesday, January 25 with “Sector Perform”. The stock of Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT) earned “Overweight” rating by Morgan Stanley on Friday, February 23. The stock has “Hold” rating by Cowen & Co on Wednesday, April 26. The stock has “Buy” rating by Sterne Agee CRT on Thursday, August 20. The firm has “Buy” rating by Stifel Nicolaus given on Tuesday, July 18. As per Monday, October 23, the company rating was maintained by Jefferies. Keystone Financial Planning Inc, which manages about $143.92M and $179.42M US Long portfolio, upped its stake in Cvs Health (NYSE:CVS) by 10,745 shares to 40,862 shares, valued at $2.54 million in 2018Q1, according to the filing. It also increased its holding in Exxon Mobil (NYSE:XOM) by 4,330 shares in the quarter, for a total of 80,613 shares, and has risen its stake in Procter & Gamble (NYSE:PG). More notable recent Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT) news were published by: Streetinsider.com which released: “Exclusive: Canada could make it harder for US to win fighter bid – sources” on June 21, 2018, also Bizjournals.com with their article: “Missiles and Hawkeyes: Lockheed Martin, Northrop Grumman secure $162.5M in local work” published on June 06, 2018, Bizjournals.com published: “Space Coast job growth surges as aerospace and rocket firms take off” on May 24, 2018. More interesting news about Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT) were released by: Bizjournals.com and their article: “Exclusive: Local tech firm grabs piece of $3.5B Lockheed Martin contract, to create 65+ jobs” published on June 14, 2018 as well as Seekingalpha.com‘s news article titled: “Pentagon awards US Navy contracts to Boeing, Lockheed” with publication date: June 08, 2018. Analysts await Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT) to report earnings on July, 17. They expect $3.86 earnings per share, up 19.50% or $0.63 from last year’s $3.23 per share. LMT’s profit will be $1.10 billion for 19.45 P/E if the $3.86 EPS becomes a reality. After $4.02 actual earnings per share reported by Lockheed Martin Corporation for the previous quarter, Wall Street now forecasts -3.98% negative EPS growth. Since January 29, 2018, it had 0 insider purchases, and 2 sales for $9.28 million activity. Another trade for 19,000 shares valued at $6.59M was made by HEWSON MARILLYN A on Monday, January 29. => La CEO de LM Modifié le 23 juin 2018 par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 24 juin 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 juin 2018 Pentagon Agrees to Fix the F-35's Many Problems Before Full Production https://www.popularmechanics.com/military/aviation/a21098498/f-35-problems-fix-before-production/ Le Pentagone a accepté de régler une litanie de problèmes avec le F-35 avant de passer à la pleine production du jet controversé. Le F-35 Joint Strike Fighter, surnommé "Panther" par les pilotes, est sur le point d'entrer en production. Pourtant, le jet a encore aujourd'hui près d'un millier de "déficiences". En réponse à un rapport du General Accounting Office, le Pentagone a promis de corriger les déficiences les plus critiques de l'avion. Dans son rapport sur le F-35, le GAO met en garde : "Dans son empressement à franchir la ligne d'arrivée, le (Bureau du programme conjoint F-35) a pris des décisions qui sont susceptibles d'affecter les performances, la fiabilité et la maintenabilité de l'avion pour les années à venir". Comme l'explique Bloomberg : "Le rapport du GAO répartit les lacunes en deux catégories : Les lacunes de catégorie 1 sont définies comme " celles qui pourraient compromettre la sûreté, la sécurité ou une autre exigence critique ", tandis que les lacunes de catégorie 2 " sont celles qui pourraient entraver ou entraver la réussite de la mission ". Le rapport cite 111 lacunes de catégorie 1 et 855 lacunes de catégorie 2." L'une des déficiences de la "catégorie 1" est l'affichage sur le casque du pilote, qui émet une faible teinte verte et peut "diminuer la capacité du pilote à détecter les repères visuels". Un correctif est en cours d'élaboration, mais d'ici là, les pilotes qui atterrissent sur des navires la nuit sont soumis à des restrictions de sécurité. Le GAO estime que de tels problèmes doivent être réglés avant que le F-35 soit déclaré pleinement opérationnel et qu'il entre en pleine production. Cependant, les États-Unis et leurs partenaires internationaux sont impatients de déclarer l'avion pleinement opérationnel et de récolter les économies réalisées en commandant le F-35 en plus grand nombre. Le programme F-35 est le programme d'acquisition du ministère de la Défense le plus coûteux de tous les temps, avec un prix à vie total d'environ 1,5 trillion de dollars. L'avion extrêmement compliqué, qui est produit en trois variantes, a mis plus d'une décennie à se développer. Pour accélérer les choses, le Pentagone a adopté un processus d'approvisionnement connu sous le nom de concomitance, dans lequel les avions seraient construits avant que la conception ne soit finalisée. Les F-35 antérieurs seraient retournés au fabricant une fois que la version finale serait en production, ce qui permettrait de mettre tous les avions à la norme la plus récente. Si une telle approche semble compliquée et risquée, c'est parce qu'elle l'est. Le F-35 est constamment amélioré, et le bureau de programme du F-35 doit garder une trace de chaque avion et de la date à laquelle il a été produit, juste pour savoir de quelles corrections il aura besoin plus tard. La justification était qu'il était préférable de faire décoller les avions plus tôt que plus tard. À l'heure actuelle, plus de 200 F-35 volent dans le monde entier avec des forces aériennes dans le monde entier. Sans la stratégie de concurrence, la ligne de production ne démarrerait pas avant 2019 au plus tôt. Actuellement, les militaires américains et leurs alliés étrangers achètent des F-35 à un rythme d'environ 70 par mois. Une fois que l'avion est déclaré opérationnel, le nombre d'avions tirera jusqu'à plus de 100 par mois. Le GAO craint que, à moins que les lacunes des catégories 1 et 2 ne soient résolues avant la production à plein régime, le nombre d'avions qui auront besoin de réparations monter en flèche, de même que les coûts et la complexité de leur réparation. Traduit avec www.DeepL.com/Translator J'ai trouvé un traducteur d'une qualité étonnante 3 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 24 juin 2018 Share Posté(e) le 24 juin 2018 (modifié) il y a 35 minutes, Picdelamirand-oil a dit : J'ai trouvé un traducteur d'une qualité étonnante DeepL est excellent. Fonctionnant comme son nom l'indique sur le deep learning.https://c-marketing.eu/deepl-nouvelle-reference-matiere-de-traduction-automatique/#DeepL_pour_Deep_Learning Citation Le système s’appuie sur des années d’expérience en matière d’apprentissage machine pour le traitement du langage naturel et est capable d’entraîner ses propres réseaux neuronaux sur base de milliards de traductions de haute qualité collectées par les « Linguee Crawlers » (les algorithmes utilisés par Linguee pour collecter les traductions sur le web). (Deepl) Modifié le 24 juin 2018 par Patrick 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 Le 22/06/2018 à 21:07, zx a dit : Turkey gets first F-35, but faces halt on future deliveries if Congress gets its way https://www.defensenews.com/smr/nato-priorities/2018/06/21/turkey-gets-first-f-35-as-congress-put-pressure-on-pentagon-to-stop-future-deliveries/ Malgré les réticences du Sénat américain, un premier F-35A a été livré à la Turquie http://www.opex360.com/2018/06/22/malgre-reticences-senat-americain-premier-f-35a-a-ete-livre-a-turquie/ Un ca sera bien suffisant pour s'assurer que le S400 soit parfaitement adapté à la menace.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 (modifié) il y a 42 minutes, Bon Plan a dit : Un ca sera bien suffisant pour s'assurer que le S400 soit parfaitement adapté à la menace.... Au pire ils upgradent le S400 en conséquence ... edit : pas l'air d'inquiéter outres mesures les futurs (ou potentiels) acquéreurs du F35 ... Je me demande bien pourquoi ? Modifié le 25 juin 2018 par jojo (lo savoyârd) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 Le Sénat américain interdit la vente de F-35 à la Turquie : Traiter avec un partenaire peu fiable Le 19 juin, le Sénat a adopté un projet de loi de défense pour l'exercice 2019 qui mettrait fin au transfert des avions de combat interarmées F-35 (JSF) à la Turquie, jusqu'à ce que le secrétaire d'État certifie que la Turquie n'acceptera pas les livraisons des systèmes de défense aérienne russes S-400 Triumf. Elle ouvre la voie à l'expulsion d'Ankara du programme si elle ne cède pas à cette pression. Le soutien à la mesure (85-10) est trop fort pour être annulé. La Turquie est l'un des six principaux pays partenaires du projet JSF depuis 2002. Elle est responsable de la production de certains composants et de la fourniture de services de maintenance en Europe à d'autres exploitants d'aéronefs. Une douzaine d'entreprises turques sont impliquées dans la fabrication, conformément à l'accord conclu il y a 16 ans (2002). Ankara a passé une commande pour acheter plus de 100 F-35A Lightning II. Elle a déjà versé 800 millions de dollars, de sorte que toute restriction imposée aujourd'hui constituera un manquement illégal aux obligations des États-Unis. Le 21 juin, la Commission sénatoriale des crédits a ajouté un amendement au projet de loi sur l'aide à l'étranger qui mettrait un terme aux livraisons futures, si Ankara n'annule pas l'accord S-400 déjà conclu avec Moscou. L'un des arguments en faveur du blocage du transfert des F-35 est la crainte que la Russie ait accès au JSF, ce qui permettrait à Moscou de détecter et d'exploiter ses vulnérabilités. Il apprendrait comment le S-400 pourrait détruire un F-35. La version de l'Assemblée contient encore plus de limites sur les transferts d'armes vers la Turquie. En mai, le projet de loi a été adopté à la Chambre avec une disposition imposant une suspension temporaire de toutes les ventes importantes de matériel de défense à la Turquie, y compris les F-35, en partie à cause de l'achat imminent du S-400. Almaz-Antey, la société qui fabrique le Triumf, figure sur la liste des entités interdites par le département d'État. Toute entente avec cette entreprise pourrait donner lieu à des sanctions. Le représentant John Sarbanes (D-Md.) a présenté un amendement au projet de loi de crédits de défense pour l'exercice 2019 (H.R. 6157) qui interdirait le transfert prévu de l'avion en Turquie. Il se peut donc qu'il y ait des changements au libellé, mais cela ne modifiera pas de façon significative le résultat final - le transfert des F-35 restera bloqué après le processus de rapprochement. Le projet de loi devrait entrer en vigueur cet été. L'administration n'aura d'autre choix que d'exclure la Turquie du programme F-35, de retirer toute partie de l'avion produit dans ce pays et d'interdire aux F-35 turcs de quitter le territoire des États-Unis. Malgré les procédures au Capitole, des représentants du gouvernement et Lockheed Martin ont tenu une cérémonie le 21 juin à Fort Worth, au Texas, pour marquer le "déploiement" du premier avion à réaction F-35A Lightning II dans le cadre de son programme turc. C'était une cérémonie imposante, mais cela déguisait un tour de passe-passe. Le gouvernement américain conservera la garde de l'avion pendant que les pilotes et techniciens de service turcs suivent leur formation à la base aérienne de Luke Air Force en Arizona. C'est un long processus qui prendra plusieurs années, mais le projet de loi deviendra bientôt une loi. La Turquie peut se voir refuser l'accès au réseau informatique du système d'information logistique autonome (ALIS), ce qui la prive de mises à jour logicielles et d'autres données. Les Etats-Unis pourraient insérer du code malveillant pour désactiver les avions même s'ils sont transférés et basés en Turquie en 2020 comme prévu. Les responsables américains n'hésitent pas à faire des déclarations ouvertes sur leurs intentions d'exercer des pressions et d'empêcher d'autres pays d'acheter des armes russes. "Je travaillerais avec nos alliés pour les dissuader, ou les encourager, afin d'éviter des achats militaires qui pourraient être sanctionnés ", a déclaré David Schenker, le candidat au poste de secrétaire d'État adjoint aux affaires du Proche-Orient, lors de son audience de confirmation au Sénat le 14 juin. "En d'autres termes, je dirais à l'Arabie saoudite de ne pas le faire ", a-t-il expliqué. L'Arabie Saoudite et le Qatar sont en pourparlers avec Moscou pour acheter le S-400. Selon UAWire, l'Office of Cooperative Threat Reduction du Département d'Etat américain a annoncé un appel d'offres pour la surveillance des informations de source ouverte sur les transactions d'armes impliquant la Fédération de Russie et les pays de la CEI. Ces données seront recueillies en russe, en anglais, en arabe, en chinois, en farsi, en urdu et dans plusieurs autres langues. L'information sera utilisée pour la prise de décision et la planification des sanctions contre les États étrangers. Jusqu'à présent, la politique des bras tordus a échoué. La demande d'armes russes est en plein essor au Moyen-Orient et en Afrique. Il y a quelques jours à peine, l'une des brigades blindées irakiennes a échangé ses chars M1 Abrams de fabrication américaine contre de nouveaux T-90 russes. L'année dernière, la Russie et l'Irak ont signé un énorme contrat d'armement. Infatigable par la position du législateur américain, Ankara est toujours prête à acheter le S-400 de Moscou. Si l'accord est bloqué, il trouvera une alternative, comme le jet Su-57 de la Russie, ou la Turquie pourrait produire son propre avion, dans le cadre de son programme de chasseurs furtifs TFX. L'Inde a récemment été mise en garde contre l'achat du S-400 russe. Si tel est le cas, il sera interdit de partager la technologie militaire américaine sensible avec Delhi, qui refuse de reculer sous la pression. Un accord n'est pas toujours ce que l'on peut penser qu'il est. Un accord signé avec les États-Unis est un cas particulier parce qu'il est assorti de conditions qui ne figurent pas dans le texte et ne sont pas mentionnées pendant les négociations. Tout à coup, un partenaire découvre qu'il y a une mise en garde qui va sans dire. On peut signer un accord et être assez naïf pour le prendre au pied de la lettre, pour découvrir plus tard qu'il ne sera pas valide si certaines conditions non écrites ne sont pas remplies. Si vous coopérez avec un autre pays sans l'approbation des États-Unis, comme la Turquie, vous n'obtenez pas ce à quoi vous avez droit en vertu de cet accord. Acheter américain, disent-ils, mais si vous concluez un accord avec la Russie, comme l'Inde veut le faire, l'accès à la meilleure technologie dont disposent les États-Unis sera coupé. Le Congrès a offert une leçon à ceux qui coopèrent avec l'Amérique. Ils devraient se rappeler que tout ce qu'ils signent avec Washington ne peut être tenu pour acquis. Les législateurs américains peuvent tout changer à leur guise et à tout moment. Il n'y a rien de pire qu'un partenaire peu fiable. Et c'est ce qu'est l'Amérique. Traduit avec www.DeepL.com/Translator https://www.strategic-culture.org/news/2018/06/25/us-senate-bans-f-35-sale-to-turkey-dealing-with-unreliable-partner.html 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 (modifié) il y a 20 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : Au pire ils upgradent le S400 en conséquence ... edit : pas l'air d'inquiéter outres mesures les futurs (ou potentiels) acquéreurs du F35 ... Je me demande bien pourquoi ? Ben, le f35 passera pour finir les restes après que les quelques centaines de tomahawk aient fait le boulot de gros nettoyage. et le f22 veillera sur son petit cousin Modifié le 25 juin 2018 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 il y a 9 minutes, zx a dit : Ben, le f35 passera pour finir les restes après que les quelques centaines de tomahawk aient fait le boulot de gros nettoyage. et le f22 veillera sur son petit cousin Parce qu'il y aura assez de F22 (dispo de plus) pour tout ce petit monde ?? 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 Gràce à herciv, j'ai vu cet article intéressant sur ALIS Lockheed’s ALIS Implies New Threats to National Sovereignty http://www.defense-aerospace.com/articles-view/feature/5/194133/lockheed’s-alis-implies-new-threats-to-national-sovereignty.html 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 25 juin 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 juin 2018 il y a 30 minutes, zx a dit : Gràce à herciv, j'ai vu cet article intéressant sur ALIS Lockheed’s ALIS Implies New Threats to National Sovereignty http://www.defense-aerospace.com/articles-view/feature/5/194133/lockheed’s-alis-implies-new-threats-to-national-sovereignty.html ALIS de Lockheed fait peser de nouvelles menaces sur la souveraineté nationale (Source : Defense-Aerospace.com ; posté le 22 juin 2018) Par Giovanni de Briganti PARIS --- Les observateurs soulignent depuis longtemps les menaces potentielles à la souveraineté nationale inhérentes à l'architecture de soutien logistique du F-35, et notamment la façon dont le Système de soutien logistique autonome (ALIS), détenu et exploité par Lockheed Martin, surveille l'état et les opérations de chaque avion F-35, avec la possibilité de l'immobiliser au sol en éteignant simplement ses systèmes ou en retirant son statut de " prêt pour le vol ". Mais un article récent dans Defense News révèle maintenant une autre menace potentielle : le fait qu'ALIS peut "voir le nombre et les types de pièces disponibles sur l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement", puis "reprioriser les pièces. Cela signifie que, connaissant l'emplacement et la disponibilité de toutes les pièces de rechange, ALIS peut contrôler quelle pièce est expédiée où, et ainsi empêcher tout avion de voler jusqu'à ce qu'il décide d'autoriser l'expédition d'une nouvelle pièce vers une base donnée. Ceci permet à ALIS de contrôler l'état et la disponibilité de tous les F-35 dans le monde, et de les empêcher de voler en programmant simplement un défaut ou un "hold" dans le système. Cela ne veut pas dire que le gouvernement des États-Unis utiliserait une telle capacité à des fins néfastes - bien que la dispute actuelle avec la Turquie sur le F-35 suggère que les choses pourraient dégénérer rapidement, surtout si le Congrès était impliqué - mais toute puissance étrangère prenant le contrôle du centre de données central ALIS pourrait, par exemple, "éteindre" tous les F-35 exploités par une unité, un pays ou dans une région du monde, si ce n'est pas tous. La Chine a déjà piraté les ordinateurs de Lockheed pour voler des quantités de données sur le F-35 et d'autres programmes, de sorte que la possibilité qu'ALIS soit piraté ne devrait pas être écartée. Un autre risque, cette fois-ci commercial, me vient à l'esprit. Lockheed Martin détient les droits de propriété intellectuelle du F-35 et de l'ALIS, et elle facturera aux exploitants de F-35 du monde entier un flux permanent d'actions de soutien et de mise à niveau de leurs avions. Lockheed dispose également de pouvoirs étendus pour manipuler les opérateurs, s'il le souhaite. Prenons, par exemple, le changement de fournisseur du Système d'Ouverture Distribuée, que l'entreprise a annoncé le 13 juin. A partir de 2023, tous les avions sortant de la ligne de production seront équipés d'un DAS Raytheon au lieu du DAS original fourni par Northrop Grumman. Que feront les pays avec leurs F-35 déjà en service ? Ils pourraient les équiper du nouveau DAS, à un coût que Lockheed déterminera seul, ou ils pourraient conserver le DAS d'origine. Et si, dans quelques années, Lockheed décide de ne plus soutenir l'ancien DAS ? Quelles seraient les options pour les pays qui ont conservé la DAS originale ? Soit rétrofit le nouveau, à n'importe quel prix que Lockheed facturera ensuite, soit demander à Northrop de supporter l'ancien, à n'importe quel prix que Northrop demande. Ni l'un ni l'autre n'est satisfaisant, et les deux mettent le client à la merci du fournisseur car, puisque Lockheed possède les droits de propriété intellectuelle et conserve les codes sources du logiciel, toute concurrence pour le matériel ou le maintien est impossible. Litiges commerciaux et ALIS Imaginez, maintenant, un conflit contractuel entre un opérateur de F-35 et Lockheed : l'entreprise pourrait, à tout moment, immobiliser les F-35 d'un pays en tournant simplement un commutateur ALIS. Cela lui donne un levier de négociation imbattable, d'autant plus que tout recours du client impliquerait des tribunaux internationaux et des années de litiges. En fait, InsideDefense a rapporté le 21 juin 2018 que le Pentagone envisage d'acheter les droits sur les données nécessaires à l'entretien du logiciel F-35 parce que, " Bien qu'il y ait un coût initial important lié à l'acquisition des droits sur les données.....cet investissement pourrait réduire considérablement le coût du cycle de vie du programme ", a déclaré le Lt. général Lee Levy, chef du Air Force Sustainment Center. "En moyenne, le maintien des logiciels biologiques est 40 % moins cher que ce que l'industrie nous facture ", a-t-il dit. "Et quand vous regardez le cycle de vie de cette plate-forme.... il y a un argument puissant pour que nous puissions acquérir les droits sur les données et la propriété intellectuelle maintenant parce qu'avec le temps, je pense qu'avec le temps, cela générera des économies importantes pour la Défense. D'ailleurs, c'est particulièrement riche, car le Pentagone et d'autres gouvernements occidentaux affirment depuis des décennies que l'impartition à des entrepreneurs privés réduit les coûts et améliore l'efficacité. Aujourd'hui, le Pentagone affirme qu'il réduira ses coûts de 40 % en reprenant le travail, ce qui contredit son principal argument en faveur de l'externalisation. "D'abord, nous payons des milliards exorbitants de R&D Lockheed-Martin pour développer des logiciels de mission, C3 et ALIS (qui ne fonctionne pas), et maintenant nous allons négocier pour leur payer plus de milliards pour racheter les droits de données que nous avons payés pour développer ", a déclaré un critique renommé de l'entreprise F-35. Aujourd'hui, en tant que principal client de Lockheed, le Pentagone a le pouvoir commercial et juridique d'obtenir ces droits de propriété intellectuelle, même s'il doit les payer par le nez. Ce n'est pas le cas des gouvernements étrangers, qui pourraient se voir imposer des majorations encore plus élevées par Lockheed sans aucun recours - et avec la menace d'une mise à la terre générée par l'ALIS pour les aider à décider s'ils doivent payer ou ester en justice. Aujourd'hui, il est plausible d'imaginer qu'une entreprise mondiale comme Lockheed ait recours à des tactiques aussi musclées pour se livrer à la fixation des prix des gouvernements étrangers, même si la façon dont elle a structuré les droits de propriété intellectuelle et le processus de maintien de l'entreprise F-35 est clairement destinée à faire croître les bénéfices des entreprises. Mais Lockheed est une société ouverte dont la loyauté première est envers ses actionnaires, et il n'y a aucune garantie que les futurs gestionnaires ne profiteront pas, à un moment donné au cours des 70 années de service estimées du F-35, de cette situation. Les événements des 20 dernières années ont montré à maintes reprises que la seule loyauté des dirigeants d'entreprise est envers leurs résultats financiers et leurs salaires, de sorte que l'histoire et la nature humaine suggèrent que ce qui est impensable aujourd'hui peut se produire demain, laissant les forces aériennes étrangères - et la sécurité des nations étrangères - à la merci de l'avidité des entreprises. Il y a vingt ans, personne n'aurait pu imaginer la crise des subprimes qui a presque détruit l'économie mondiale, mais elle s'est produite, et elle a été créée à partir de rien par la cupidité des entreprises. Ainsi, personne ne peut dire qu'un différend commercial lié à l'ALIS ne peut jamais se produire. Ce qui est surprenant, c'est que tant de gouvernements, hypnotisés par le mantra magique de la "cinquième génération", n'ont pas pris les précautions les plus élémentaires pour protéger leurs investissements - et leur souveraineté. 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 Oserais-je vous rappeler dans cette affaire que ce "premier F-35 livré à la Turquie" est toujours aux USA? Et qu'il y restera pendant près d'un an? Les américains ont le temps de voir venir, de se blinder, et de préparer l'après. Le F-35 à la Turquie je n'y crois pas pour la simple raison que le souvenir des F-14 iraniens (qui a partiellement condamné la carrière de cet avion) est encore vivace dans toutes les mémoires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 25 juin 2018 Share Posté(e) le 25 juin 2018 (modifié) a la différence du f14, grace à ALIS, un F35 s'autodétruira si vous faites mumuse à toucher ce qu'il faut pas ou si pas de permission de oncle sam. Ca me fait penser à un épisode stargate, les toris avaient bricolés un avion de capacité stellaire type F302 avec deux planeurs de la mort voler à Apophis, mais lors des essais, l'avion est parti direct vers l'espace a cause d'un système piégé en route vers sa base d'origine a quelques milliers d'années lumière de la terre, avec la voix d'Apophis chantant du sholva à toutes les sauces dans les hauts parleurs. O'Neill et Teal'c ont appréciés la délicate attention. Modifié le 25 juin 2018 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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