ksimodo Posté(e) le 13 février Share Posté(e) le 13 février Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Moi je cherche des vraies solutions pas des solutions punitives et qui en plus ne protègent pas la planète Ca n'existe pas et ça n'existera pas. Sauf pour le 1% de sommet de pyramide qui pourra se le payer. La conso d'énergie, c'est comme le système hiérarCHIque. D'ailleurs en 2024 ou 25, la mobilité que tu défends ( et que que tous les membres du fofo ont connu ), ça écarte déjà 90 % des personnes de la planète. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 13 février Auteur Share Posté(e) le 13 février Zut! tu es tellement bas que je n'arrive pas à te voir 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 13 février Share Posté(e) le 13 février Il y a 10 heures, g4lly a dit : Oublie l'ISO liberté de mouvement. L'idée partagé dans toutes les instances européennes c'est la fin des voitures individuelles. Alors si on en est à ce genre d'idées, je leur proposerais bien également d'interdire le foot, la télé, l'alcool, et les relations sexuelles entre 22h et minuit. ...Le souci en fait c'est que le reste des gens lambda risque bien d'interdire les instances Européennes avant ça... Et comme la commission c'est de toutes façons pas trop le type "assemblée des chefs de guerre barbares musclés avec des gros flingues"... Je vois pas ce qu'ils vont finir. C'est plutôt eux qui vont se faire finir en fait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 13 février Share Posté(e) le 13 février il y a 32 minutes, Patrick a dit : Alors si on en est à ce genre d'idées, je leur proposerais bien également d'interdire le foot, la télé, l'alcool, et les relations sexuelles entre 22h et minuit. ...Le souci en fait c'est que le reste des gens lambda risque bien d'interdire les instances Européennes avant ça... Et comme la commission c'est de toutes façons pas trop le type "assemblée des chefs de guerre barbares musclés avec des gros flingues"... Je vois pas ce qu'ils vont finir. C'est plutôt eux qui vont se faire finir en fait. Note que le parlement européen ne s'y oppose en rien ... pourtant ce sont des élus bien de chez nous, et les ZFEm et autre ZTL n'ont suscité des inquiétudes que très tardivement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) dimanche à 20:54 Share Posté(e) dimanche à 20:54 5 février 2025. Jean-Baptiste Fressoz 1:01:31 Je ne pense pas qu'il y ait une solution, en fait. Même avec une palette de solutions, je ne crois pas que nous allons décarboner l'économie à temps. Et dans la conclusion du livre, je suis vraiment avare de solutions. Il y a tellement de travaux qui disent « lisez ce livre, et vous aurez la solution » et je ne voulais pas écrire ça. Je voulais juste avoir une sorte de regard empirique sur le problème. Ce n'est pas orienté vers une solution. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) lundi à 07:28 Auteur Share Posté(e) lundi à 07:28 Le combat prioritaire au niveau mondial devrait être la décarbonation de l'électricité, car elle permet d’éviter directement l’émission de CO₂ en remplaçant les centrales à charbon et à gaz. Mais la France est dans une situation particulière : elle a déjà un mix électrique très bas carbone grâce au nucléaire, et se retrouve pourtant pénalisée par les règles européennes qui favorisent les énergies renouvelables intermittentes au détriment d’une production stable et pilotable. Pourquoi le carburant de synthèse reste pertinent malgré tout ? Une solution adaptée aux besoins français et européens Puisque notre production d’électricité est déjà bas carbone, nous devons nous battre pour qu’elle soit utilisée intelligemment, et non pour subventionner une transition énergétique biaisée par des contraintes politiques européennes. Le carburant de synthèse permettrait d’exploiter au mieux l’électricité excédentaire française, sans se soumettre aux logiques d’interconnexion qui nous obligent à exporter notre électricité au lieu d’en tirer parti localement. Un levier stratégique pour contrer la Russie L’Europe continue d’acheter indirectement du pétrole russe via l’Inde et la Chine. Tant qu’il n’existe pas d’alternative viable, ce circuit restera en place et continuera de financer la guerre en Ukraine. Produire des hydrocarbures synthétiques en Europe permettrait de réduire notre dépendance aux importations, et donc de casser cette source de revenus russes. Il ne faut pas oublier que la Russie vend son pétrole à prix cassé aux pays asiatiques, ce qui leur donne un avantage compétitif contre l’Europe. Développer une alternative locale réduirait cet écart. Un facteur de stabilité économique et industrielle L’Allemagne a besoin d’une alternative au gaz russe, et le carburant synthétique pourrait faire partie de la solution, notamment en remplaçant certains usages du gaz dans l’industrie. L’argument de la "STEP chimique" devient encore plus fort dans ce contexte : en transformant l’électricité en hydrocarbures stockables, on peut gérer les surplus de production intermittente tout en renforçant l’indépendance énergétique européenne. Le problème du cadre européen et de l’influence des lobbies La politique énergétique européenne a été conçue pour favoriser les renouvelables sans prendre en compte les spécificités des pays comme la France. Les obligations d’investissement dans le réseau pour intégrer des énergies intermittentes renchérissent artificiellement l’électricité française, ce qui est une absurdité économique. Derrière ces choix, il y a aussi une bataille d’intérêts entre les industriels du renouvelable, les compagnies pétrolières et gazières, et les acteurs du nucléaire. Conclusion La production d’hydrocarbures synthétiques n’est pas la solution la plus immédiate pour réduire les émissions mondiales de CO₂, mais elle est la meilleure option pour la France et l’Europe dans un contexte de guerre économique et géopolitique. Il ne s'agit pas seulement d'écologie, mais de stratégie industrielle, d’indépendance énergétique et de souveraineté. Si l’Europe n’investit pas intelligemment dans des alternatives comme celle-ci, elle restera dépendante des importations d’énergie fossile et continuera à affaiblir sa compétitivité au profit de puissances comme la Russie et la Chine. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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