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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy


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Bon, ca se confirme, on a un Alain Richard de droite.

On peut tous commencer à se lamenter à en juger cet article :

L'armée devra se serrer le ceinturon

Le ministre de la Défense a annoncé une baisse drastique des dépenses militaires.

Par Jean-Dominique MERCHET

LIBERATION.FR QUOTIDIEN : vendredi 22 juin 2007

Vaches maigres à l'horizon.

Le ministre de la Défense a commencé cette semaine à préparer les esprits à la baisse drastique des dépenses militaires. Lors d'un déjeuner avec les industriels de l'aéronautique, hier au Salon du Bourget, Hervé Morin a ainsi expliqué que l'effort actuel de défense «semble extrêmement difficile à réaliser».

Evoquant les grands programmes d'armement, le ministre a indiqué que «la seule projection sur les années 2009, 2010, 2011 de ce qui a été engagé nous imposerait un accroissement sur trois ans de 43 % de l'investissement», soit environ quatre milliards d'euros supplémentaires. Un constat que partage la quasi-totalité des observateurs dans les états-majors ou les groupes industriels. «Je suis obligé de vous dire que nous aurons un certain nombre de choix et de décisions difficiles à prendre», a prévenu Hervé Morin.

Coûts élevés.

Lors de sa visite sur les stands du Bourget, hier matin, le ministre s'en était déjà pris, sur le ton de la plaisanterie, au coût d'utilisation, [move]trop élevé selon lui, des avions Rafale ou du futur A400M de transport, ce qui a provoqué la consternation des industriels présents. [/move]

Durant le déjeuner et devant un auditoire visiblement pris de court par cette sortie improvisée, le ministre a toutefois jugé utile de rappeler l'engagement, pris par Nicolas Sarkozy durant la campagne présidentielle, de maintenir l'effort de défense à 2 % du produit intérieur brut. Quant à ses réflexions sur le budget, elles valent «sauf si le président de la République en décide autrement», a-t-il prudemment ajouté.

Le chef de l'Etat doit se rendre demain au Salon du Bourget, une visite au cours de laquelle il devrait parler de défense pour la première fois depuis son élection.

Mercredi, lors d'une visite à bord du Charles-de-Gaulle, Hervé Morin avait déjà prévenu ses troupes de «perspectives extrêmement contraignantes». Au sujet d'un éventuel second porte-avions, le ministre de la Défense a confirmé que la décision de le construire n'était pas «définitivement» prise, puisque le président de la République devra d'abord examiner «la totalité des problématiques budgétaires». Or «la situation budgétaire du pays est extrêmement difficile», a-t-il ajouté sur la même lancée. Selon Hervé Morin, Nicolas Sarkozy s'était, au cours de la campagne, déclaré «plutôt favorable» à la construction d'un second porte-avions.

Opération vérité.

En réalité, la position du candidat Sarkozy avait évolué : très réservé sur ce programme en janvier, il le qualifiait d' «évidence opérationnelle» en mars. Le ministère de la Défense doit rapidement publier un état des lieux qui sera une «opération vérité», promet Hervé Morin. De quoi charger la barque de Jacques Chirac et de Michèle Alliot-Marie pour l'équipe Sarkozy qui hérite de la fonction. Celle-ci devrait rapidement ouvrir le chantier d'un livre blanc sur la défense, qui servira de base aux choix «difficiles» qui s'annoncent.

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Cela signifie quoi? On va se retrouver avec 50 rafales un seul PAN, 6 fégattes....je pense quand meme que s'il y a des coupes au niveau des programmes le budget sera maintenu (voire legerement augmenté) des infos concretes circulent elles?

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Philippe si j'ai bien compris il va manquer environ 4 milliards d'euros pour boucler les differents programmes ?

Ne me dites pas qu'un pays comme la France ne peux pas trouver 4 milliards quand il s'agit de sa défense ?

Par contre quand ce sont des "personalités étrangeres" qui viennent se faire soigner, qui viennent grailler a l'oeil, etc ... la on trouve les quelques millions pour faire la fête.

Je vous jure que si ils ne font pas ce qu'il faut pour que tout nos programmes survivent, je débarque a l'Elysée et ca va chier des bulles.  :mad:

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Philippe si j'ai bien compris il va manquer environ 4 milliards d'euros pour boucler les differents programmes ?

De cette LPM 2003/2008 ou pour respecter le modèle armées 2015 capacitaire ? Parce là ,ils manquent plusieurs giga €€ pour obtenir 50 A400M/14MRTT/6SNA/PA2/TIGRE/160 NH90/9 FREMM/FELIN/EB2X/VBCI.....

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Le président Nicolas Sarkozy a demandé une "remise à plat" des programmes militaires français, y compris ceux déjà engagés, avant la prochaine loi de programmation militaire, samedi au salon aéronautique du Bourget

A propos de la "remise à plat" des programmes militaires français, le chef de l'Etat, qui est aussi chef des armées, a déclaré: "A l'évidence, notre effort d'équipement, malgré le salutaire redressement opéré par Jacques Chirac, continue de souffrir d'un déficit de maîtrise et d'adéquation avec les missions et les besoins".

Il a souhaité "que la préparation de la prochaine loi de programmation militaire soit l'occasion d'une remise à plat des modalités de définition et de pilotage des programmes engagés". Cette remise à plat doit s'étendre à "la conception et la présentation de la loi de programmation militaire elle-même", a-t-il ajouté, des propos qui apparaissent comme une remise en cause du processus d'élaboration de cette loi pluriannuelle.

"On n'est pas obligés de reprendre un processus qui n'a pas produit que des réussites", a insisté M. Sarkozy, qui a souhaité qu'"on réfléchisse à partir d'une expression hiérarchisée des besoins capacitaires, plutôt que de se lancer bille en tête dans un catalogue d'équipements".

Nicolas Sarkozy a prôné une rationalisation des programmes d'armements européens, jugeant notamment que l'Europe ne peut pas "se payer le luxe" de les dupliquer comme c'est le cas actuellement.

"L'Europe ne peut plus se payer le luxe, avec des budgets de défense dont l'addition demeure nettement inférieure au budget américain, d'avoir cinq programmes de missiles sol-air, trois programmes d'avions de combat, six programmes de sous-marins d'attaque et plus d'une vingtaine de programmes de blindés", a fait valoir M. Sarkozy.

on va peut etre arreter le programme vbci contre l'achat de CV90  =D ca serait pas mal  :rolleyes:

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Mais si j'ai bien compris le budget ne serais pas réduit c'est déja pas mal (avant le budget était en plus decoupé a la tronçonneuse: Jospin) Comment peut s'articuler cette nouvelle façon d'aprehender le budget de défense: pression sur les fournisseurs, réduction de commandes etc...?

Par exemple le parc rafale pourrait il etre réduit (180 exemplaires?) et celui de l'aeronavale augmenté?

Un budget "mieux gérer" peut il ameliorer nos capacitées globale à dépense égales ?quels est votre avis?

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Un budget "mieux gérer" peut il ameliorer nos capacitées globale à dépense égales ?quels est votre avis?

Oui peut être en suppriment des programmes? et acheter européenne.

Acheté moins de rafale et remplacer par des GRIPEN?

Réduire des coûts de fonctionnements, mais dans ce dernier cas l'armée français optimise déjà cela.

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C'est très compliqué de repondre à ta question Aspartan, car en fait fait plusieurs logiques sont possibles. Je m'explique, apparamente c'est très rationnel de dire que 3 programmes d'avion c'est trop (ou trois chars, etc...) Neanmoins l'expérience montre que tant que un matériel n'est pas confronté au réel, le combat, on ne sait pas s'il va être adapté... Surtout que les conflits ressemblent rarement aux prévisions et que les utilisateurs n'utilisent pas forcement les matériels tels que les manuels le prévoient.... Ainsi, avoir tous ces oeufs dans le même panier (1 seul type d'appareil par eexemple) peut être très rationnel du point de vue industriel et budgetaire mais apparaitre comme une aberration en cas de guerre.....

Dans la conception des matériels ces mêmes logiques s'affrontent. Aujourd'hui on a tendance à choisir des matériels "sur roues"  par ce que le cout de maintenance sur la durée (en temps de paix) est meilleur (semble-t-il) que celui d'un vehicule à chenilles. Autrement dit on choisi des véhicles non pas pour faire la guerre mas pour qu'ils coutent le moins possible en tant de paix. Je grosis le trait volontairement pour les besoins de la demostration car il y a d'autres variables comme aéromobilité. Mais ce dernier point, aéromobilité, est-il vraiment utile pour toutes les unités?

En resumé : en matière militaire une "rationnalité" economique (tout comme la rationalité purement technique)  ne se traduit pas forcement par une "rationalité" militaire.....

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C'est très compliqué de repondre à ta question Aspartan, car en fait fait plusieurs logiques sont possibles. Je m'explique, apparamente c'est très rationnel de dire que 3 programmes d'avion c'est trop (ou trois chars, etc...) Neanmoins l'expérience montre que tant que un matériel n'est pas confronté au réel, le combat, on ne sait pas s'il va être adapté... Surtout que les conflits ressemblent rarement aux prévisions et que les utilisateurs n'utilisent pas forcement les matériels tels que les manuels le prévoient.... Ainsi, avoir tous ces oeufs dans le même panier (1 seul type d'appareil par eexemple) peut être très rationnel du point de vue industriel et budgetaire mais apparaitre comme une aberration en cas de guerre.....

Dans la conception des matériels ces mêmes logiques s'affrontent. Aujourd'hui on a tendance à choisir des matériels "sur roues"  par ce que le cout de maintenance sur la durée (en temps de paix) est meilleur (semble-t-il) que celui d'un vehicule à chenilles. Autrement dit on choisi des véhicles non pas pour faire la guerre mas pour qu'ils coutent le moins possible en tant de paix. Je grosis le trait volontairement pour les besoins de la demostration car il y a d'autres variables comme aéromobilité. Mais ce dernier point, aéromobilité, est-il vraiment utile pour toutes les unités?

En resumé : en matière militaire une "rationnalité" economique (tout comme la rationalité purement technique)  ne se traduit pas forcement par une "rationalité" militaire.....

A si on pouvait t'entendre en haut lieu :rolleyes:

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C'est très compliqué de repondre à ta question Aspartan, car en fait fait plusieurs logiques sont possibles. Je m'explique, apparamente c'est très rationnel de dire que 3 programmes d'avion c'est trop (ou trois chars, etc...) Neanmoins l'expérience montre que tant que un matériel n'est pas confronté au réel, le combat, on ne sait pas s'il va être adapté... Surtout que les conflits ressemblent rarement aux prévisions et que les utilisateurs n'utilisent pas forcement les matériels tels que les manuels le prévoient.... Ainsi, avoir tous ces oeufs dans le même panier (1 seul type d'appareil par eexemple) peut être très rationnel du point de vue industriel et budgetaire mais apparaitre comme une aberration en cas de guerre.....

Dans la conception des matériels ces mêmes logiques s'affrontent. Aujourd'hui on a tendance à choisir des matériels "sur roues"  par ce que le cout de maintenance sur la durée (en temps de paix) est meilleur (semble-t-il) que celui d'un vehicule à chenilles. Autrement dit on choisi des véhicles non pas pour faire la guerre mas pour qu'ils coutent le moins possible en tant de paix. Je grosis le trait volontairement pour les besoins de la demostration car il y a d'autres variables comme aéromobilité. Mais ce dernier point, aéromobilité, est-il vraiment utile pour toutes les unités?

En resumé : en matière militaire une "rationnalité" economique (tout comme la rationalité purement technique)  ne se traduit pas forcement par une "rationalité" militaire...

Statistiquement ont passe plus de temps beaucoup plus de temps a faire la paix qu'a faire la guerre. D'autant que les guerre qu'on fait ces dernier temps ne sont pas absolument indispensable. Donc le calcul d'une armée pour pas faire la guerre tout en affirmant qu'on est pres pour a sa logique...

Quel sont les menaces militaires serieuses pour la france(ou les autres pays d'Europe) aujourd'hui qui justifierai un armement nettement plus guerrier que celui que l'on a/va avoir? Tout le probleme est la, y en a pas... au plutot pas qui resiste de maniere durable au modele dissuasion nucleaire.

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Statistiquement ont passe plus de temps beaucoup plus de temps a faire la paix qu'a faire la guerre. D'autant que les guerre qu'on fait ces dernier temps ne sont pas absolument indispensable. Donc le calcul d'une armée pour pas faire la guerre tout en affirmant qu'on est pres pour a sa logique...

Quel sont les menaces militaires serieuses pour la france(ou les autres pays d'Europe) aujourd'hui qui justifierai un armement nettement plus guerrier que celui que l'on a/va avoir? Tout le probleme est la, y en a pas... au plutot pas qui resiste de maniere durable au modele dissuasion nucleaire.

Tout à fait, et c'est pour cette raison que je souligne le fait qu'il y a plusieurs rationalités possibles.....  Mais autant je peux admettre que l'on donne la priorité aux moyens deployables (aéromobilité, etc..) tout comme le fait de "sous-armer les bâtiments (d'ailleurs sous-armés par rapport à quoi?) par ce que cela correspond aux besoins de la période court / moyen terme. Autant, quand j'entends des raisonnements/choix fondés sur "l'économies de maintenance" en temps de paix......

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Une concentration de nos moyens sur le Tchad, Gabon et Djibouti permettrait de faire combien d'économie (en partant du kosovo et bosnie)?

Combien de base aériennes en France, pourquoi ne pas les regrouper au max (en maintenant quand meme une couverture complete du territoire), à combien on pourrait les réduire?

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La réduction des commandes VBCI, RAfales, Fremm peuvent elle dégager des économies suffisantes pour investir dans d'autres équipements (nh90, PA2, A400m etc) correspondant à la volonté de "projection et frappe dans la profondeur" de NS? Le tout cumulé avec une reduction des OPEX?

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esque se projet né pas trop fous ?  =D commen faire assoire a la méme table les israeliens et les arabes  ;/ la plus part des pays arabes ne reconnaisse pas israel ...commen sarkozy compte dépassé se probléme?

Nicolas Sarkozy veut réactiver le dialogue entre les deux rives de la Méditerranée.

« LE TEMPS est venu de bâtir ensemble une union méditerranéenne qui sera un trait d'union entre l'Europe et l'Afrique. » Victorieux, Nicolas Sarkozy a placé le projet au rang de ses priorités diplomatiques et l'a à nouveau évoqué hier lors d'une conversation téléphonique avec le président du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero.

À Rabat, en mars 2005, le président de l'UMP avait tiré les leçons des échecs du processus de Barcelone (lancé en 1995 entre l'UE et dix pays riverains de la Méditerranée) et parlé d'un « marché commun de la Méditerranée ». Il avait vanté le statut de « partenariat privilégié » pour souder l'UE à ses parages méridionaux. L'idée allait faire son chemin. En février dernier à Toulon, le candidat a précisé les contours de cette union méditerranéenne ayant « vocation à travailler étroitement avec l'UE et à avoir un jour avec elle des institutions communes ». Selon Nicolas Sarkozy, c'est à la France « européenne et méditerranéenne à la fois » de prendre l'initiative, au côté de pays comme le Portugal, l'Espagne, l'Italie, la Grèce et Chypre. « Ce qui a été fait pour l'union de l'Europe il y a soixante ans, nous allons le faire aujourd'hui pour l'union de la Méditerranée », a-t-il lancé dimanche. À Toulon, Nicolas Sarkozy a proposé des sommets périodiques, type G8, ainsi qu'un conseil de la Méditerranée, à l'image du Conseil de l'Europe.

Engager le codéveloppement

Aux yeux du président élu, le projet offre une perspective de sortie par le haut à la crise ouverte par les perspectives d'adhésion de la Turquie à l'UE. « La Turquie est un grand pays méditerranéen avec lequel l'Europe méditerranéenne peut faire avancer l'unité de la Méditerranée », lançait-il en février. Reste à faire accepter le principe et les modalités de cette initiative à Ankara, ce qui, à ce stade, relève du pari. Tout comme seront ardus à surmonter les écueils sur lesquels a déjà buté le processus de Barcelone, notamment les divisions des pays méditerranéens. Israël, la Syrie, la Libye et consorts constituent une « entité » bien improbable.

Pourtant, Nicolas Sarkozy a fait de cette initiative le point focal de l'engagement français vis-à-vis de cette région. « C'est dans la perspective de cette union méditerranéenne qu'il nous faut repenser ce qu'on appelait jadis la politique arabe de la France », indiquait-il en février. Autres volets, le codéveloppement, « pilier d'une union méditerranéenne », mais aussi des partenariats dans le domaine médical et technologique ainsi que la création d'une banque méditerranéenne d'investissement, sur le modèle de la BEI. « Pourquoi ce que le Japon réussit à faire avec la Chine, l'Europe ne pourrait-elle pas le faire aussi bien avec l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient ? »

Image IPB

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Hervé Morin assure que le budget de la Défense sera d»'environ 2% du PIB»

PARIS (AP) -- Le ministre de la Défense Hervé Morin a annoncé mercredi que le budget de la Défense, conformément aux engagements de Nicolas Sarkozy, serait d»'environ 2% du PIB», soulignant toutefois que pour que les armées fonctionnent convenablement, il «faut faire un effort budgétaire considérable, entre 30 et 40% supplémentaires sur l'équipement».

«Quand on regarde les choses à partir de 2009, on passe de la période de l'étude et du développement sur toute une série de programmes à des périodes de fabrication et de livraison et donc les chèques sont plus importants», a expliqué le ministre lors de l'émission «Questions d'info» pour LCP-Le Monde-France Info. «Dans une programmation volontariste où l'on met tous les programmes en cours (...) pour que nos armées fonctionnent convenablement, il nous faut faire un effort budgétaire qui est considérable -entre 30 et 40% supplémentaires- sur l'équipement».

Hervé Morin a précisé que le budget de la Défense dépendait «du niveau de croissance» mais que «le président de la République a confirmé que nous consacrerions environ 2% du PIB à la Défense. Plus la croissance sera importante plus nous aurons de crédits pour nos armées».

Le ministre a rappelé avoir créé une commission afin de regarder «là où il y a des redondances, là où il y a des doublons, et qu'on puisse organiser et faire en sorte que l'on fasse des économies: soit pour améliorer la condition militaire, soit pour financer un certain nombre d'équipement».

Interrogé sur le second porte-avions, M. Morin a assuré qu'il travaillait sur le dossier et que la décision serait prise «entre le fin de l'année et le début de l'année prochaine», précisant que cette «perspective dépendait aussi de la volonté des Britanniques». Il rencontrera à cette occasion son homologue britannique Desmond Browne samedi à Paris. AP

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