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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy


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:lol:

Oui mais quand même, même les US nont pas réussi à faire ça.

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Egypte et Israel en conivence, c'est déja très bien.

Par contre, Olmert va-t-il rester encore longtemps ?

J'espère que l'on a aussi préparer le terrain avec d'autres en Israel.

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Egypte et Israel en conivence, c'est déja très bien.

Par contre, Olmert va-t-il rester encore longtemps ?

J'espère que l'on a aussi préparer le terrain avec d'autres en Israel.

L'Egypte et Israël s'entendent bien maintenant.

Pour Olmert ça dépend des primaires de septembre.

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Invité barbaros pacha

Oui c'est clairement un grand succès de notre politique étrangère, cette UPM.  =)

Faut dire que c'est bien grace a un autre pays de la région qu'Assad est venu a Paris.. ;) et que les Israeliens et les Syriens peuvent parlé aujourd'hui...

vous devez savoir le pays qui a fait tous se travail...

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Le plafond pour 2009: trouvé sur le blog de JDM

En présentant, mardi, le budget pluriannuel 2009-2011, le ministre du budget Eric Woerth a parlé de "quasi priorité" concernant les crédits de la Défense. Ceux-ci ne s'en sortent en effet pas trop mal, puisqu'ils continueront à augmenter au cours des trois prochaines années, alors que certains ministères vont voir leurs crédits baisser, comme la Ville et le Logement ou le Travail et l'Emploi.

Ce budget pluriannuel fixe toutefois des plafonds.  Rien de garantit donc que les sommes promises seront effectivement au rendez-vous des prochaines Lois de finances, votées chaque année. Une chose est sûre : ce ne sera pas plus, mais cela pourra être moins. Pour la Défense (36,87 mds en 2008), les chiffres sont les suivants : 37,21 mds en 2009, 37,89 en 2010 et  38,55 en 2010. Soit une augmentation de 4,55%.

Les crédits de la Défense augmenteront moins vite que l'ensemble des dépenses publiques ( + 5,7%), en particulier celles consacrées à l'enseignement scolaire (+ 7,09 %) et surtout au remboursement de la dette (+14,31 %).  La part de la Défense dans les dépenses de l'Etat diminuera donc légèrement, passant de 13,59 % en 2008 à 13,44% en 2010.

Les effectifs civils et militaires du ministère de la Défense baisseront de 8250 postes en 2009, a annoncé mardi le ministre du Budget Eric Woerth. Soit une réduction de 1,93%.  Au total, les effectifs de la fonction publique d'Etat baisseront de 30.627 postes, soit une réduction de 1,39%.

L'effort de la Défense sera donc légèrement supérieur à celui de l'ensemble des ministères.  Deuxième employeur de l'Etat, la Défense fournit à elle seule 27 % des réductions, alors qu'elle compte pour 19,4 % des effectifs.

Non remplacement des départ en retraite ou RGPP?

Compte tenu de deux éléments incontournables, la compensation liée au coût des restructurations de garnisons entraînant des mutations pour les personnels civils et militaires et la hausse importante du budget carburant, on peut déjà affirmer que le budget est en baisse.

S’ajoute une inflation de 4% qui entraînera des coûts induits sur le budget de fonctionnement des unités. Malheureusement, ce sont encore les investissements dans le matériel qui vont pâtir de ces annonces.

Valere

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  • 2 weeks later...

Etat des relations franco-américaines

Après l'Allemagne, où il aura passé plus d'une journée et délivré un discours sur les relations transatlantiques devant plusieurs dizaines de milliers de personnes, Barack Obama poursuit aujourd'hui le volet européen de sa tournée internationale avec un court crochet par la France. Signe de la différence de place entre l'Allemagne et la France dans son projet diplomatique, il ne passera en effet que quelques heures à Paris, le temps notamment d'être reçu par Nicolas Sarkozy à l'Elysée à 17h.

Les deux hommes se connaissent déjà puisqu'ils se sont rencontrés le 12 septembre 2006 à Washington -à l'époque, Nicolas Sarkozy, candidat officieux à la présidentielle française, avait également eu un entretien avec George W. Bush. Il avait demandé le rendez-vous à celui qui, inconnu en France, était alors la star montante du parti démocrate.  "Obama ? C'est mon copain. Je suis le seul Français à le connaître", lance le chef de l'Etat dans Le Figaro. "Contrairement à mes conseillers de la cellule diplomatique, je n'ai jamais cru dans les chances d'Hillary Clinton. J'ai toujours dit qu'Obama serait désigné" affirme-t-il. 

Nicolas Sarkozy et Barack Obama devraient notamment aborder les questions internationales, notamment le plan du sénateur de l'Illinois pour un retrait américain d'Irak pour 2010 et l'envoi de renforts en Afghanistan. Barack Obama, qui considère le frontière afghano-pakistanaise comme le "vrai front de la guerre contre le terrorisme", devrait sur ce sujet trouver une oreille attentive puisque Nicolas Sarkozy a décidé de renforcer le contingent français d'environ  800 hommes, malgré les critiques de l'opposition.

A l'issue de leur rencontre, le représentant du parti de l'âne et le chef de l'Etat tiendront une conférence de presse commune où les médias français, souvent taxés d'"Obamaniaque" sont attendus en force.  Avec cette conférence de presse, Nicolas Sarkozy ne traite pas de la même manière les deux prétendants à la Maison-Blanche. En mars dernier, John McCain, qui venait juste d'obtenir l'investiture républicaine, avait été reçu au palais présidentiel. Mais il n'avait pas eu droit à la conférence de presse.

Barack Obama quittera Paris dès ce soir pour Londres, dernière étape de sa tournée internationale. Demain, il y rencontrera le Premier ministre travailliste Gordon Brown et son prédécesseur Tony Blair. Il a également accordé un rendez-vous au chef de l'opposition conservatrice David Cameron, ce que n'a pas obtenu François Hollande pour le parti socialiste en France.

Est-ce une bonne idée que de recevoir l'un avec révérence l'autre avec dénie, les candidats à l'élection américaine.

Même si Obama fait une tournée en Europe (Allemangne, France et Grande-Bretagne), il n'en demeure pas moins que la tournée Francaise est la plus fugace.Est-ce du au French-Bashing ou tout simplement à l'importance donnée par Obama à l'Allemangne et au Royaume-uni

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@debonneguerre

de TF1, et toi de quel canard est tiré l'article dont tu fais référence

Si je cite le Figaro

Un entretien en tête à tête d'une heure suivi d'une conférence de presse. Le tout accompagné d'un protocole minimum. L'Élysée a choisi de ne pas trop en faire pour la visite de Barack Obama à Paris.

Les conseillers de Nicolas Sarkozy n'ont reçu qu'une demande de la part de l'équipe du candidat démocrate : pas de drapeau américain pour la conférence de presse [sachant que McCain n'a pu a droit à tant d'égard] car c'est le candidat qui est reçu, pas le président des États-Unis. Ce sera donc très court puisque le candidat démocrate a réservé son dîner au premier ministre britannique Gordon Brown.

Cela n'empêche pas Nicolas Sarkozy de se réjouir de cette visite. Après avoir reçu John McCain au printemps, c'est au tour de Barack Obama. «Je suis le seul Français à le connaître», rappelle Nicolas Sarkozy qui l'a rencontré une première fois en 2006, au Congrès, à Washington. À l'époque, l'événement est passé inaperçu, éclipsé par la photo de celui qui n'était encore que ministre de l'Intérieur avec George Bush. Nicolas Sarkozy a gardé un «très bon souvenir» de cette rencontre. «Obama ? C'est mon copain», confie le président au Figaro. «Contrairement à mes conseillers de la cellule diplomatique, je n'ai jamais cru dans les chances d'Hillary Clinton. J'ai toujours dit qu'Obama serait désigné», assure-t-il.

Prudent, le président se garde bien de faire un pronostic sur l'issue de la présidentielle américaine. Mais il ne cache pas qu'une victoire d'Obama «validerait» sa stratégie de réconciliation avec l'Amérique.

La visite d'Obama à Paris a failli créer un nouvel accès de fièvre au PS. Après avoir demandé à le rencontrer, les dirigeants socialistes ont essuyé un échec. À la fureur de Pierre Moscovici, chargé des questions internationales au PS, qui n'avait pas été prévenu de l'initiative.

L'ambiance de kermesse était réelle, mais elle était un peu trompeuse. Barack Obama, fêté à Berlin comme une réincarnation de John Fitzgerald Kennedy, a demandé des choses sérieuses aux Européens dans le discours qu'il a prononcé jeudi soir. Le candidat démocrate s'est montré plus à l'écoute des alliés des États-Unis que ne l'est le président en exercice, George W. Bush. Mais, sur le fond, il leur demande, lui aussi, d'assumer une part plus grande du fardeau. En Afghanistan notamment, qu'Obama a désigné comme le nouveau front de la guerre contre le terrorisme. «L'Amérique ne peut pas le faire seule. Le peuple afghan a besoin de nos troupes et des vôtres», a-t-il déclaré sans détour, dans une intervention qui sonnait plus comme le discours d'un chef d'État que comme celui d'un candidat en campagne pour la Maison-Blanche.

L'intervention a attiré une foule de plus de 200 000 Berlinois, Américains expatriés et touristes venus l'acclamer au cri de «Yes, we can» (Oui, nous pouvons), le slogan de campagne de Barack Obama. Le sénateur de l'Illinois a profité de cette tribune pour appeler «une nouvelle génération» d'Européens et d'Américains à s'unir pour combattre les menaces mondiales que sont la prolifération nucléaire et le réchauffement climatique. Il a rappelé que Washington n'avait pas de meilleur allié que l'Europe et que cette relation particulière devait durer.

Sa tournée européenne jeudi à Berlin, vendredi à Paris et samedi à Londres , est pour lui une «formidable opportunité de retrouver une convergence d'intérêts» entre les deux rives de l'Atlantique. Les sept années et demie de George W. Bush ont effectivement conduit à une certaine aliénation, et l'Europe est soucieuse d'un renouveau. Ce n'est pas pour autant, avait à l'avance averti Wolfgang Ischinger, ancien ambassadeur d'Allemagne à Washington, qu'il faut s'attendre à un nouveau «paradis transatlantique». En Afghanistan en particulier. Susan Rice, sa conseillère diplomatique, a déploré les «restrictions» imposées aux forces de certains pays de l'Otan, allusion au refus des Allemands de se déployer dans le Sud dangereux.

Angela Merkel a expliqué à son interlocuteur les limites de l'engagement allemand en Afghanistan, comme elle l'a «toujours fait» face au président en exercice. Avec une bonne nouvelle : Berlin compte faire passer cet automne de 3 500 à 4 500 hommes son contingent, mais toujours dans le Nord.

Pour les Berlinois cependant, c'est «Superstar» qui est passé chez eux, selon la formule du Spiegel. L'Allemagne est flattée d'avoir accueilli le seul discours public du sénateur de l'Illinois pendant sa tournée européenne. Obama avait dans un premier temps envisagé la Porte de Brandebourg, un symbole fort de la division désormais dépassée de l'Europe. Les réticences de la chancelière l'en ont empêché. Prête à admettre qu'elle pouvait «paraître vieux jeu», Angela Merkel jugeait qu'un lieu aussi emblématique convenait davantage à une prestation de président élu qu'à un meeting électoral à distance.

Le discours s'est tenu à quelques encablures, au pied de la colonne de la Victoire érigée au XIXe siècle pour célébrer les succès guerriers de la Prusse contre le Danemark, l'Autriche et la France. Par égard pour l'Administration Bush agacée par l'«Obamania», aucune conférence de presse n'a eu lieu à Berlin. Des porte-parole ont simplement fait état de conversations «très ouvertes, dans une très bonne atmosphère, allant au fond des choses». Le même traitement discret avait été réservé par Angela Merkel l'an dernier à deux autres candidats : Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal.

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Je vois pas le problème ... moi je trouve que Sarkozy n'a pas fait d'erreur (pour une fois :P)

Maintenant, pour le fait que le candidat américain ne fasse pas son show en France ... c'est que tout simplement la France n'a plus de valeur diplomatique.

Sinon, Obama qui fait un discours au pied de la colonne de la Victoire , cela me fait sourire ^-^

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Le surnom d'Obama est "Mr Yes-Card".

Comme la carte bancaire falsifiée qui dit oui à chaque distributeur.

Obama dit à chaque interlocuteur ce qu'il veut entendre.

C'est un candidat et en tant que tel il fait un discours lèche-cul dans chaque pays qu'il traverse.

Personne ne sait ce qu'il pense vraiment.

C'est une machine à gravir les échelons bien huilée mais fondamentalement rien de transcendant dans sa personnalité.

De l'autre coté on a "Papy La Frite" Mc Cain qui est tellement vieux qu'à chaque fois qu'il parle avec ses mains qui tremblotent, on se demande s'il ne va pas nous claquer dans les doigts avant les élections.

Pas folichon comme choix.

Dans leurs programmes, silence total sur le protocole de Kyoto, politique commerciale agressive à l'égard de tous les autres pays et y compris l'Europe, aucun progrès à venir dans le conflit israélo-palestinien et surtout pas au niveau de l'Irak et de l'Afghanistan. Irak dont Mc Cain nous expliquait il y a quelques mois ceci :

"En Jordanie, il (Mc Cain) s'est inquiété du soutien de l'Iran aux hommes d'Al-Qaida en Irak. L'un de ses compagnons de voyage, le sénateur Joe Lieberman, a dû le reprendre à voix basse. Le gouvernement iranien est en effet soupçonné d'aider les militants chiites en Irak, mais non les agents d'Al-Qaida, qui sont sunnites."

Il paraît que les Français sont arrogants... Je ne sais pas s'ils sont arrogants mais en tout cas ils savent se rendre compte quand les Américains les prennent pour plus cons qu'eux.

Moins on en fait avec les candidats, mieux on se porte. On dealera avec le vainqueur en temps voulu.

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J'ai pas retrouver l'article du monde lis il y a une heure.  :'(

M'enfin, il y a l'édition anglaise de spiegel. :lol:

Si Obama a insisté en Allemagne, il y a délivré un message clair.

According to Obama's advisors, the candidate is expected to call on Europeans to increase their role in the war on terror. Obama is expected to ratchet up its efforts in that campaign, an advisor told Reuters. Obama has already announced that he plans to send more US troops to Afghanistan. He is also expecting greater contributions from America's NATO allies in Europe.

In an interview published earlier this week in SPIEGEL, Obama foreign policy advisor Susan Rice called on NATO to increase its troops and "to the greatest extent possible" to "lift operational restrictions." Though Rice did not mention Germany specifically, Berlin has drawn criticism in the US and Canada for refusing to send troops into the hotly contested southern part of the country where the Taliban insurgency has grown in strength. Instead Germany's armed forces, the Bundeswehr, are restricted to peacekeeping and rebuilding in the relatively safe northern part of the country.

Merkel and Steinmeier have both pointed out that Germany is already doing a considerable amount in Afghanistan and other crisis regions. They have reminded Obama that Germany plans to increase its mandate in Afghanistan by an additional 1,000 soldiers this autumn, bringing the total figure to about 4,500. Recently, Germany also took command of a Quick Reaction Force, which is expected to deploy in crisis situations.

Obama Calls for Greater European Role in War on Terror

L'échéance éléctorale s'approche, sans se calquer sur Bush Obama reste grosso modo sur la ligne générale US.

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L'échéance éléctorale s'approche, sans se calquer sur Bush Obama reste grosso modo sur la ligne générale US.

Démocrate ou républicain, la différence de politique sera fera au niveau intérieur (politique sociale, immigration...etc..), en se qui concerne l'international ça ne devrai pas varier tant que ça , à savoir, l'intérêt des USA passe avant tout(se qui parait logique, je vois mal un président faire passer l'intérêt des Irakien/Européens/....etc...avant celui de son propre pays), et là ceux qui espèrent un changement a 180° de la politiques extérieur US risquent d'être déçus.

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Maintenant, pour le fait que le candidat américain ne fasse pas son show en France ... c'est que tout simplement la France n'a plus de valeur diplomatique.

Dans un sens, Obama n'a rien à gagner à faire "un show" en France, de par le fait que nous ne sommes pas réceptif à ce genre de chose venans d'outre-atlantique et qu'il n'a rien à y gangner.

En Allemagne, il y a beaucoup d'américains, et les allemands apprécient globalement les américains et leur façon d'être.

Dans l'autre sens, le pouvoir français ne doit pas donner l'impression de soutenir un candidat plutôt qu'un autre, l'élection américaine n'est pas un problème français, c'est sa conclusion qui nous impacte. Il est par ailleurs normal de respecter les candidats qui prétendent à prendre en main la 1ère puissance mondiale et à les acueillir comme il se doit mais sans en faire trop.

La fin de votre remarque n'a pas lieu d'être, en tout cas pas par rapport à cette venue ou à son déroulement.

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Pourquoi Obama reste si peu à Paris et à Londres

http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2008/07/25/pourquoi-obama-reste-si-peu-a-paris-et-a-londres_1077369_829254.html#ens_id=904503&xtor=RSS-3208

Un jour entier à Berlin, la bise à Angela Merkel et à son ministre de la défense, un discours impressionnant devant des centaines de milliers de personnes : Barack Obama a tout donné pour l'étape allemande de sa tournée internationale, jeudi 24 juillet. Mais le style s'annonce bien différent pour la fin de sa tournée européenne. Il ne passe que vendredi après-midi en France pour un entretien et une conférence de presse à l'Elysée, avant de gagner la Grande-Bretagne pour dîner avec Gordon Brown.

Autant dire qu'à Paris comme à Londres, l'"Obamania" des gouvernements et des oppositions s'est teintée d'agacement. Mais Barack Obama n'est pas là pour ménager les susceptibilités de ceux dont il n'est pas sûr de devenir l'homologue. Il cherche avant tout, en une unique tournée internationale d'à peine six jours, à prouver à ses électeurs potentiels américains qu'il a la stature d'un commandant en chef. Or le 25 juin, 55 % des Américains l'en estimaient capable, contre 80 % pour John McCain, selon un sondage Gallup.

ÉTAPE STRATÉGIQUE

Alors pourquoi Berlin ? Les Etats-Unis y ont participé à des moments historiques forts, à l'issue de la seconde guerre mondiale : ils ont mis en place un pont aérien au moment du blocus soviétique et lancé le plan Marshall. John Kennedy s'y est écrié "Ich bin ein Berliner !", alors que la ville était coupée en deux, puis Ronald Reagan y a demandé à Mikhaïl Gorbatchev de faire "tomber le Mur". Des symboles d'une Amérique forte, puissante, et aimée, pour un candidat qui promet à ses électeurs de redorer l'image de leur pays dans le monde.

Par ailleurs, alors que Nicolas Sarkozy est au pouvoir depuis un an seulement, et Gordon Brown confronté à une crise, Angela Merkel fait clairement figure de chef d'Etat européen qui pèse le plus en ce moment, explique le Spiegel allemand.

Le sénateur démocrate sait aussi qu'il a intérêt à s'exposer le moins possible en France pour ne pas revivre l'échec du précédent candidat démocrate, John Kerry, jugé beaucoup trop "français" par ses rivaux. Pas de bain de foule, pas de discours, Barack Obama est là pour "écouter le président Sarkozy et tirer profit de son expérience", a expliqué au Figaro l'un de ses conseillers, et "consulter [le] président sur le dossier iranien", un des dossiers internationaux qu'Obama compte privilégier.

Quant au Royaume-Uni, où Barack Obama avait initialement prévu de commencer sa visite en Europe, elle s'est vexée du peu d'égard qui lui est donné, vu les liens qui unissent traditionnellement Londres et Washington, et son investissement dans la guerre en Irak.

Cécile Dehesdin

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Le Dalai Lama sera reçu en France au Sénat pendant les Jeux Olympiques

Le Dalai Lama sera reçu le 13 aout prochain au Palais du Luxembourg par les parlementaires membres des groupes sur le Tibet.

Ces groupes regroupent 189 députés et 63 sénateurs.

C'est Louis de Broissia, président du groupe d'information sur le Tibet du Sénat qui avait lancé l'invitation, invitation acceptée donc par le leader tibétain. Elle aura lieu le 13 aout, pendant les Jeux Olympiques de Pékin.

On ignore toujours si Nicolas Sarkozy rencontrera le Dalai Lama pendant son séjour en France.

Source :

http://www.aujourdhuilachine.com/informations-chine-le-dalai-lama-sera-recu-en-france-au-senat-pendant-les-jeux-olympiques-8303.asp?1=1

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Ceci dit, les Chinois jouent à un drôle de jeu en continuant sans cesse à pratiquer des tracasseries sur nos industriels, et je sens monter un certain agacement au sommet du pouvoir en France et une certaine tentation de riposte... Par exemple NS ne va passer que quelques heures en Chine pour l'ouverture des jeux. Cela ressemble fort à un minimum syndical. Il y a d'autres petits signes que j'avais noté mais j'ai oublié. ;)

A confirmer.

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D'après ce que j'ai appris Sarkozy va faire que acte de présence en Chine, juste le temps de la cérémonie d'ouverture des JO, ensuite retour à la maison. Mais il n'y pas encore de confirmation (d'ailleurs c'est cela qui enerve le plus les chinois et la communauté française en Chine)...

Par contre ce qui semble être sûr, c'est que Carla elle ne va pas accompagner son "tendre époux"  en Chine. Donc on peut supposer que le séjour sera effectivement court pour le président français ...

Alors que je signale tout de même que Bush lui a rallongé son séjour labas

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Ceci dit, les Chinois jouent à un drôle de jeu en continuant sans cesse à pratiquer des tracasseries sur nos industriels, et je sens monter un certain agacement au sommet du pouvoir en France et une certaine tentation de riposte... Par exemple NS ne va passer que quelques heures en Chine pour l'ouverture des jeux. Cela ressemble fort à un minimum syndical. Il y a d'autres petits signes que j'avais noté mais j'ai oublié. ;)

A confirmer.

La Chine est tres peu dépendante de la France autant commercialement que technologiquement.

Donc la France est un candidat tout choisi pour servir d'exemple. Le mal est fait y a plus qu'a laisser passer la tempête.

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Ceci dit, les Chinois jouent à un drôle de jeu en continuant sans cesse à pratiquer des tracasseries sur nos industriels, et je sens monter un certain agacement au sommet du pouvoir en France et une certaine tentation de riposte... Par exemple NS ne va passer que quelques heures en Chine pour l'ouverture des jeux. Cela ressemble fort à un minimum syndical. Il y a d'autres petits signes que j'avais noté mais j'ai oublié. ;)

A confirmer.

J'espère que t'as raison Jojo.

Ca fais je ne sais combiens de temps que je milite pour qu'on vende des Rafales, sous-marins, frégates à Taïwan et je pense que la probabilité est faible mais non nulle loin de là.

Les brouilles actuelles ne doivent pas faire illusions, c'est souvent dans des moment de rapports de forces qu'on fait les meilleurs affaires.

Ca s'appel "sortir par le haut" d'un problème et c'est très courant.

Les choses peuvent se débloquer soudainement et c'est ce que j'espère.

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