herciv Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) Twitter vient de bannir Reuter, Globaltimenews et trt en Inde. Ca commence à moins rigoler là. Modi a décidé de sortir la sulfateuse et de ne pas se laisser marcher sur les pieds. Modifié le 6 juillet par herciv 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 38 minutes, herciv a dit : Twitter vient de bannir Reuter, Globaltimenews et trt en Inde. Ca commence à moins rigoler là. Modi a décidé de sortir la sulfateuse et de ne pas se laisser marcher sur les pieds. https://fr.wikipedia.org/wiki/Schadenfreude Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 6 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) Renseignement français : la Chine a utilisé ses ambassades pour nuire aux ventes du Rafale, fleuron de l’aviation française https://apnews.com/article/france-china-pakistan-india-defense-rafale-64eec86b6e89718d6a49d8fdedf565f4 PARIS (AP) — La Chine a mobilisé ses ambassades pour semer le doute sur les performances des avions Rafale de fabrication française, après leur engagement dans les affrontements entre l’Inde et le Pakistan en mai, ont conclu des responsables militaires et des services de renseignement français. Pékin serait ainsi impliqué dans une tentative de saper la réputation et les ventes de ce chasseur emblématique français. D’après un rapport d’un service de renseignement français consulté par l’Associated Press, les attachés de défense dans les ambassades chinoises ont pris la tête d’une campagne visant à discréditer le Rafale, en tentant de convaincre les pays ayant déjà commandé l’appareil — notamment l’Indonésie — de ne pas en acheter davantage, et d’inciter les autres clients potentiels à privilégier des avions de fabrication chinoise. Ces informations ont été transmises à l’AP par un responsable militaire français, à condition que ni lui ni le service de renseignement concerné ne soient nommés. Les affrontements qui ont duré quatre jours entre l’Inde et le Pakistan en mai ont constitué la confrontation la plus sérieuse depuis des années entre les deux puissances nucléaires, impliquant des dizaines d’appareils de part et d’autre. Des responsables militaires et des chercheurs s’efforcent depuis d’analyser comment les équipements militaires chinois utilisés par le Pakistan — en particulier les avions de combat et les missiles air-air — se sont comportés face à l’arsenal déployé par l’Inde lors de ses frappes aériennes, notamment les Rafale français. Les ventes de Rafale et d’autres armements représentent un secteur stratégique pour l’industrie de défense française, et soutiennent les efforts du gouvernement à Paris pour renforcer ses partenariats à l’étranger, y compris en Asie où la Chine s’impose comme la puissance régionale dominante. La France mène un combat contre ce qu’elle considère comme une campagne de désinformation visant le Rafale Le Pakistan a affirmé que son armée de l’air avait abattu cinq avions indiens au cours des combats, dont trois Rafale. Ces affirmations ont suscité des interrogations sur les performances de l’appareil chez plusieurs pays clients de Dassault Aviation. L’Inde a reconnu des pertes, sans préciser le nombre exact. Le général Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’air française, a déclaré qu’il existait des éléments attestant de la perte de trois appareils indiens : un Rafale, un Sukhoï d’origine russe et un Mirage 2000, un chasseur français de génération précédente. Il s’agit de la première perte confirmée d’un Rafale en combat, appareil que la France a exporté vers huit pays. « Évidemment, tous ceux, les pays qui ont acheté des Rafale, se sont posé des questions », a reconnu le général Bellanger. Les responsables français s’efforcent de préserver la réputation de l’appareil, en réagissant à ce qu’ils décrivent comme une campagne organisée de dénigrement et de désinformation en ligne, venue du Pakistan et de son allié chinois. Selon eux, cette campagne s’appuie sur des publications virales sur les réseaux sociaux, des images truquées montrant des débris présumés de Rafale, du contenu généré par intelligence artificielle, ainsi que des simulations de combat issues de jeux vidéo. Plus de 1 000 comptes nouvellement créés au moment des affrontements ont relayé un discours valorisant la supériorité technologique chinoise, selon des chercheurs français spécialisés dans la désinformation en ligne. Les responsables militaires français indiquent ne pas avoir pu établir de lien direct entre ces attaques numériques contre le Rafale et le gouvernement chinois. Les services de renseignement estiment que des officiels chinois ont fait pression sur des acheteurs potentiels pour écarter les avions français Mais le service de renseignement affirme que les attachés de défense chinois ont repris les mêmes éléments de langage lors de réunions avec des responsables de la sécurité et de la défense d’autres pays, en affirmant que les Rafale de l’armée indienne s’étaient mal comportés, tout en faisant la promotion de l’armement chinois. Les attachés de défense ont concentré leur lobbying sur les pays ayant déjà commandé des Rafale, ainsi que sur des États susceptibles d’en acheter, précise le service. Les autorités françaises ont été informées de ces réunions par les pays sollicités. Interrogé par l’AP sur ces accusations visant à affaiblir l’attrait du Rafale, le ministère chinois de la Défense nationale a répondu : « Les affirmations en question relèvent de la pure rumeur infondée et de la calomnie. La Chine a toujours adopté une approche prudente et responsable en matière d’exportations militaires, jouant un rôle constructif pour la paix et la stabilité régionales et mondiales. » Ces dernières années, la Chine a intensifié ses campagnes de désinformation sur les plateformes sociales mondiales comme X, Instagram ou Facebook, utilisant des réseaux d’influenceurs sponsorisés par l’État, des sites se faisant passer pour des organes de presse, et de faux comptes pour diffuser les récits émanant de Pékin. Le ministère français des Armées a déclaré que le Rafale avait été visé par « une vaste campagne de désinformation » qui « visait à promouvoir la supériorité d’équipements alternatifs, notamment d’origine chinoise ». La France considère le Rafale comme une “offre stratégique” « Le Rafale n’a pas été ciblé au hasard. C’est un avion de chasse extrêmement performant, exporté à l’étranger et engagé dans un théâtre très visible », a souligné le ministère sur son site internet. « Le Rafale a également été ciblé car il représente une offre stratégique française. En attaquant l’avion, certains acteurs ont cherché à remettre en cause la crédibilité de la France ainsi que sa base industrielle et technologique de défense. La campagne de désinformation visait donc non seulement un appareil, mais plus largement l’image nationale d’autonomie stratégique, de fiabilité industrielle et de partenariats solides. » Dassault Aviation a vendu 533 Rafale, dont 323 à l’export vers l’Égypte, l’Inde, le Qatar, la Grèce, la Croatie, les Émirats arabes unis, la Serbie et l’Indonésie. Cette dernière a commandé 42 appareils et envisage d’en acheter d’autres. Selon Justin Bronk, spécialiste de la puissance aérienne au Royal United Services Institute, un think tank de défense basé à Londres, la Chine chercherait ainsi à fragiliser les partenariats sécuritaires que la France tisse en Asie, en suscitant la méfiance vis-à-vis des équipements qu’elle fournit. « Dans l’optique de limiter l’influence des pays occidentaux dans l’Indo-Pacifique, il est logique que la Chine utilise les performances des systèmes pakistanais — ou du moins leurs performances supposées — dans l’abattage d’un Rafale comme levier pour en affaiblir l’attractivité à l’export », analyse-t-il. « Ils ont clairement vu une opportunité de nuire aux perspectives commerciales françaises dans la région. » Modifié le 6 juillet par Titus K 2 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/indus-treaty-verdict-when-water-outlasts-war (4 juillet 2025) Pendant plus de 60 ans, le traité sur les eaux de l'Indus entre l'Inde et le Pakistan a été l'un des rares triomphes durables de la diplomatie postcoloniale, survivant aux guerres, aux ruptures diplomatiques et aux escarmouches transfrontalières. Le traité, négocié par la Banque mondiale en 1960, a établi un compromis délicat mais durable : l'Inde contrôlerait les trois fleuves orientaux (Ravi, Beas, Sutlej), tandis que le Pakistan dépendrait des trois fleuves occidentaux (Indus, Jhelum, Chenab), l'Inde étant autorisée à en faire un usage limité à des fins autres que la consommation. Ce fragile équilibre s'est rompu en avril dernier, lorsque l'Inde a unilatéralement déclaré le traité « en suspens ». En réponse, le Pakistan s'est tourné vers la Cour permanente d'arbitrage de La Haye, un organisme habilité par le traité à statuer sur les différends lorsque les mécanismes bilatéraux échouent. Dans une décision de compétence supplémentaire rendue le mois dernier, la CPA a statué à l'unanimité que « l'Inde n'avait pas la possibilité de suspendre la procédure de manière unilatérale ». 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. herciv Posté(e) le 7 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 juillet Le RETEX public de l'IAF. Clairement une nouvelle dimension s'ouvre à l'Inde L'opération Sindoor est la plus grande victoire de l'Inde depuis 1971 https://sundayguardianlive.com/opinion/operation-sindoor-is-indias-greatest-victory-since-1971 Par Lieutenant. Général. Raj Shukla (à la retraite) - John Spencer 6 juillet 2025 Op Sindoor ne voulait pas s'emparer du sol. Il s'agissait de façonner l'équilibre futur des pouvoirs. Dans la longue et fière histoire militaire de l’Inde, la guerre de 1971 a été la référence du triomphe stratégique. L'Inde a libéré le Bangladesh, vaincu de manière décisive les forces pakistanaises dans l'est du pays et capturé plus de 90 000 prisonniers de guerre. C'était un tremblement de terre politique et militaire. Mais il y avait une chose que l'Inde n'a pas fait en 1971. Il n'a pas traversé le front occidental. Il n’a pas pénétré dans le cœur du Pakistan ni ébranlé la confiance de Rawalpindi dans sa domination militaire. Cela n'a pas été touché. L'opération Sindoor a changé cette équation. En seulement quatre jours, l'Inde a non seulement réagi à une attaque terroriste transfrontalière, mais elle a lancé une campagne militaire qui a frappé profondément le cœur militaire du Pakistan. Les avions de chasse indiens n'opéraient qu'à trois kilomètres du quartier général du Pakistan à Rawalpindi. Les missiles indiens ont touché les principales installations du Pendjab. Les attaques ont révélé des angles morts critiques dans les défenses du Pakistan. Et l'armée de l'air pakistanaise n'a pas réussi à disputer les cieux. L'Inde a établi une domination aérienne totale. Le 10 mai, le Pakistan a été nu et exposé, ayant perdu le contrôle total de son ciel. L'armée indienne a démontré une transition réussie vers une capacité de frappe de précision à long terme. Ce qui s'est déroulé n'était pas seulement une domination tactique, mais une validation des investissements à long terme dans la préparation, l'innovation et la doctrine adaptée à la guerre moderne. Il ne s'agissait pas d'une escalade. C'était un message. Contrairement à 1971, l'Inde ne fonctionnait pas dans le cadre d'objectifs limités axés sur l'est. Il a frappé l'ouest, au centre même de l'infrastructure militaire pakistanaise. Et il l'a fait sans déclencher une guerre à grande échelle ou en violation des normes internationales. Il s'agissait d'une guerre de précision moderne, exécutée avec des plates-formes indiennes, de la doctrine indienne et de la détermination de l'Inde. Pendant des années, le Pakistan s'est appuyé sur sa doctrine nucléaire pour créer un bouclier contre les représailles profondes de l'Inde. Ce bouclier a échoué. L'opération Sindoor a souligné l'utilité stratégique de la force et a exposé le caractère creux des insinuations nucléaires imprudentes du Pakistan. Les frappes de l'Inde sont restées en dessous du seuil nucléaire, mais ont été encore plus durement touchées que n'importe quel engagement précédent. L'idée selon laquelle le Pakistan pourrait s'intensifier à sa volonté sans conséquence a été démantelée. Le succès de l'opération Sindoor a également été le produit de la transformation de la défense de l'Inde. C'était une guerre menée avec des systèmes indigènes. Les batteries Akash, les missiles BrahMos, les plates-formes ISR indiennes, les munitions de vagauchage et les réseaux de communication de force conjointe, tout cela s'est avéré décisif. La capacité de l'Inde à projet et de mener des opérations complexes de triservice sans dépendre étrangère les fournisseurs étaient clairs. En revanche, l’armée pakistanaise s’appuyait fortement sur la technologie et la doctrine chinoises. Des drones à la défense aérienne, les systèmes chinois fournis n’ont pas réussi à détecter, dissuader ou contrer le rythme de l’Inde. Ce n'était pas seulement une victoire sur le Pakistan. C'était un verdict de bataille sur les armes chinoises. Ils étaient surpassés, dépassés et submergés. L'exécution de Sindoor a également révélé un niveau de synergie civil rarement observée dans les conflits modernes. Les dirigeants politiques ont donné une direction claire. Les commandants militaires l'ont traduit en action rapide et calibrée. L'escalade a été évitée non pas par prudence, mais par le contrôle. L'Inde a montré la maturité d'un pouvoir qui comprend à la fois la retenue et la détermination. Et les effets se sont ondulés au-delà du champ de bataille. La crédibilité dissuasive du Pakistan a été compromise. La Chine, qui suit de près, voit maintenant une Inde différente, capable d'opérations rapides, punitives et multi-domaines, et une entreprise peu disposée à être l'otage de la fausse logique de domination de l'escalade. Le message était indubitable. La guerre de 1971 reste un moment décisif. Elle a créé une nouvelle réalité stratégique. Mais il s'agissait d'une guerre de territoire et d'une nécessité humanitaire. L'opération Sindoor, en revanche, était une guerre de dissuasion, de profondeur stratégique et de domination technologique. Il a frappé le centre de gravité géopolitique du Pakistan. Il a atteint des lieux de 1971 n'a jamais pu, non seulement en géographie, mais en conséquence stratégique. C’est pourquoi l’opération Sindoor doit être reconnue comme la victoire militaire la plus complète de l’Inde depuis 1971. Cela a brisé l’imprection de l’impunité au Pakistan. Il a validé des décennies de réforme de la défense indienne. Il a mis en évidence l'innovation et la communité indiennes. Et il a réécrit les règles stratégiques d'engagement en Asie du Sud. En seulement quatre jours, l'Inde a démontré qu'elle pouvait réagir avec rapidité, précision et force écrasante. L'opération Sindoor ne visait pas à s'emparer du terrain. Il s'agissait de façonner l'équilibre futur des pouvoirs. Il ne s'agissait pas seulement d'une opération militaire. Il s'agissait d'une déclaration de capacité et de volonté nationales. Et cette déclaration pourrait définir les cinquante prochaines années de dissuasion plus que jamais depuis 1971. Lieutenant. Général. Raj Shukla (à la retraite) est un ancien commandant du Commandement de l'armée, de l'armée indienne. John Spencer est le directeur exécutif de l'Urban Warfare Institute et de renommée mondiale. Opérations militaires 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet il y a une heure, herciv a dit : Le succès de l'opération Sindoor a également été le produit de la transformation de la défense de l'Inde. C'était une guerre menée avec des systèmes indigènes. Les batteries Akash, les missiles BrahMos, les plates-formes ISR indiennes, les munitions de vagauchage et les réseaux de communication de force conjointe, tout cela s'est avéré décisif. La capacité de l'Inde à projet et de mener des opérations complexes de triservice sans dépendre étrangère A part la dernière phrase qui n'est pas vérifiable, le nationalisme sent bon la grosse enfumade dans cette Inde sans armement (et capacités) autres qu' "indigènes" 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet (modifié) il y a 14 minutes, rendbo a dit : A part la dernière phrase qui n'est pas vérifiable, le nationalisme sent bon la grosse enfumade dans cette Inde sans armement (et capacités) autres qu' "indigènes" Oui mais le nationalisme n'explique pas tout. L'Inde prend son envol et vient de s'affirmer au moins par rapport au chinois mais je pense également par rapport aux US. Modifié le 7 juillet par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet (modifié) Il y a 5 heures, rendbo a dit : A part la dernière phrase qui n'est pas vérifiable, le nationalisme sent bon la grosse enfumade dans cette Inde sans armement (et capacités) autres qu' "indigènes" N'oublis pas que nous tenons aussi ce genre de discours en France. Même si la distinction n'est pas évidente, je dirais que c'est un discours souverainiste plus que nationaliste. Mistral AI : Nationalisme Définition : Le nationalisme est une idéologie qui met l'accent sur l'identité nationale, souvent basée sur des critères culturels, ethniques, linguistiques ou historiques. Objectifs : Il vise à promouvoir et à protéger les intérêts d'une nation, souvent en mettant l'accent sur l'unité et la cohésion nationale. Approche : Le nationalisme peut être inclusif ou exclusif. Il peut chercher à unifier les personnes sous une identité commune ou, dans certains cas, exclure ceux qui ne correspondent pas à cette identité. Contexte : Il peut se manifester par des mouvements visant à l'indépendance, à la préservation de la culture nationale, ou à la promotion de la supériorité nationale. Souverainisme Définition : Le souverainisme est une idéologie qui met l'accent sur la souveraineté de l'État-nation. Il insiste sur l'importance de l'indépendance et de l'autonomie de l'État dans la prise de décision politique. Objectifs : Il vise à protéger et à renforcer la souveraineté de l'État, souvent en résistance à des influences ou des contrôles externes, comme ceux des organisations internationales ou supranationales. Approche : Le souverainisme est souvent associé à une méfiance envers les institutions internationales et à un désir de retrouver ou de maintenir le contrôle total sur les affaires internes de l'État. Contexte : Il peut se manifester par des mouvements visant à quitter des unions ou des organisations internationales, ou à résister à des traités et des accords qui limitent la souveraineté Modifié le 7 juillet par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Veuillez vous connecter pour commenter
Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.
Connectez-vous maintenant