g4lly Posté(e) le 16 juin 2008 Share Posté(e) le 16 juin 2008 D'accord, mais comment génère t-on cette déflagration ? faisceau laser sur explosif ... boom, l'explosif doit ressembler a du blindage reactif epais comme les tank russe, ca explose partiellement/localement, cablé avec de la fibre optique un coup de laser doit faire exploser une partie de la "goulotte" qui se situe face a la menace. La goulotte se retrouve partiellement explosé mais il en reste pour la suite. Je suppute la avec ce que j'ai pu lire comprendre du systeme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 16 juin 2008 Share Posté(e) le 16 juin 2008 Ouais, en fait le plus du SHarK c'est sa capacité anti APFSDS qui sont supersoniques en général ne peuvent être stoppés par les systèmes Hard kill déjà existants. Par contre ils feront de la viande sur l'infanterie comme tous les autres en faisant sauter le vecteur avec une charge d'interception... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 17 juin 2008 Share Posté(e) le 17 juin 2008 We're Gonna Need A Bigger RPG Berkut, t'aura pas assez de viande pour faire un kebab, enfin à ce qu'il dise. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alskandre Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 Site DGA, 18/06/08"L’initiation opto-pyrotechnique, une rupture technologique dans la protection active des véhicules blindés Le délégué général pour l’armement, Francois Lureau, a remis le 16 juin le 35e prix « ingénieur général Chanson » décerné par l’Association de l’Armement Terrestre (AAT). Il récompense cinq ingénieurs de la société TDA Armements SAS (filiale de Thales) et de l’Institut franco-allemand de recherches de Saint-Louis (ISL) pour leurs travaux sur l’initiation opto-pyrotechnique. Une rupture technologique Les travaux relatifs à ce prix concernent la mise au point d’une chaîne d’initiation opto-pyrotechnique fiable et ultra-rapide, seule capable de répondre à toutes les spécifications opérationnelles parmi tous les dispositifs mécaniques ou électroniques connus. Cette chaîne est constituée d’un DOP (détonateur opto-pyrotechnique) - conçu et développé à l’origine pour des applications spatiales - associé à une source laser (Nd:YAG) miniaturisée et à une fibre optique. Elle s’intègre facilement sur tout véhicule blindé et est insensible aux rayonnements électromagnétiques et aux perturbations électrostatiques. Le cœur du dispositif de protection active Shark Shark (système hard kill) est un démonstrateur de protection active pour véhicules blindés, réalisé par les industriels Thales (France) et IBD (Allemagne) dans le cadre d’un plan d’étude amont de la délégation générale pour l’armement (DGA). Ce nouveau type de blindage, appelé hard kill, est l’ultime ligne de défense d’un blindé face aux menaces - proliférantes sur les théâtres d’opérations - que représentent les missiles et les roquettes antichars ou encore les obus flèches. Grâce à cette nouvelle technologie, il est possible de déclencher, avec un délai d’armement extrêmement faible, les nombreux modules de riposte du système Shark. Ce système permet ainsi d’aller intercepter une munition assaillante – désintégration de sa charge explosive ou démantèlement en morceaux inoffensifs dans le cas d’un obus flèche – avant qu’elle n’atteigne le véhicule, avec un temps de réaction inférieur à 0,1 seconde. Capable de détecter et d’intercepter une munition tirée à 15 mètres du blindé, ce dispositif est particulièrement bien adapté aux attaques à courte distance caractéristiques des affrontements en milieu urbain. " Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alskandre Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 A noter, le VBCI sera équipé du système SHARK. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manu Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 A noter, le VBCI sera équipé du système SHARK. Source ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alskandre Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 DGA. Pour les délais, je ne sais pas ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tiger Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 Tu fais surement référence à ça : qui a été posté sur le post du VBCI : Il offre également une haute protection contre les mines et dispose de leurres infrarouges. Ce dispositif sera bientôt renforcé par une protection active contre les roquettes (de type RPG), les charges creuses et les missiles antichars. La DGA avait indiqué qu'il y avait des tests, dont des tests sur VBCI, mais cela ne signifie en rien qu'ils seront installés de série ou même installés tout court sur quelques VBCI livré à l'armée de terre. D'ailleurs, le candidat le plus probable à recevoir le Shark, selon moi, est le VAB. Le VBCI peut recevoir un RPG dans la tronche sans compdamner d'office son équipage. Le VAB : non. Priorité donc au VAB, si shark pour l'armée française il y a. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alskandre Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 Ok, mais bon, c'est tout de même dans les cartons ... Défense ouverte, 18/06/08, "Le véhicule blindé de combat d'infanterie opérationnel en septembre Par Jean Guisnel Imprimez Réagissez Classez La DGA (Délégation générale pour l'armement), organisme dépendant du ministère de la Défense, chargé de la gestion des programmes d'armement français, a signé le 30 mai 2008, mais n'a annoncé que le 17 juin dans le cadre du salon de l'armement terrestre Eurosatory, la "qualification" du véhicule blindé de combat d'infanterie VBCI , importante étape avant son entrée en service. Le VBCI est un véhicule à huit roues motrices, doté des blindages les plus modernes. Il doit progressivement remplacer les transports de troupe chenillés AMX-10 P , qui arrivent en fin de vie. Le gouvernement français a choisi de très longue date de privilégier une solution nationale pour cet engin de combat, afin d'assurer le plan de charge de Nexter , anciennement GIAT-Industrie. L'engin est coproduit par cette firme et par Renault Trucks Défense . Le programme est prévu au total pour 700 véhicules en deux versions : combat d'infanterie et commandement. À ce jour, 182 VBCI, à 4 millions d'euros l'unité, ont été commandés. Trois ont été livrés en mai dernier, trois autres le seront d'ici la fin du mois, et 14 autres fin juillet 2008. La production atteindra rapidement une centaine par an. Les premiers engins livrés sont pour l'instant consacrés à la formation des équipages, et l'Armée de terre commencera à les faire entrer en dotation dans ses régiments en septembre. L'engin pèse 25 tonnes avec ses munitions, son carburant et ses personnels équipés (trois membres d'équipage et huit fantassins), et peut atteindre une vitesse de pointe de 100 km/h. "La grosse difficulté, la laborieuse exportation du VCBI sur les marchés étrangers" Il pourra être transporté par le futur Airbus militaire, l' A400M , dont la présentation officielle aura lieu de 26 juin prochain à Séville. La DGA affirme que le VBCI sera "bientôt renforcé par une protection active contre les roquettes, les missiles à charges creuses et les missiles antichars". Le problème, c'est le bientôt , car ces technologies, sur lesquelles travaillent tous les industriels de l'armement du monde, se trouvent encore assez loin du stade opérationnel, malgré les crédits qu'elles engloutissent. Un prix scientifique a été remis par la DGA le 16 juin à TDA Armements SAS (filiale de Thales) et à l'Institut franco-allemand de recherches de Saint-Louis (ISL) pour leurs travaux sur l'initiation opto-pyrotechnique, technologie clé de ces systèmes dynamiques. Pour de nombreux armements de pointe français, la grosse difficulté actuelle n'est autre que leur laborieuse exportation sur les marchés étrangers. Jusqu'à plus ample informé, le VBCI ne sera pas l'exception qui confirme la règle, et n'équipera pas l'armée britannique. Celle-ci a indiqué le 8 mai dernier qu'elle retenait le modèle concurrent 8 x 8 Piranha 5, développé par Mowag , une entreprise suisse devenue en 2003 filiale de filiale de l'Américain General Dynamics. La première compétition pour la fourniture de 2.000 véhicules dans le cadre du programme FRES ( Future rapid effect system ) concernait donc trois blindés européens : le vainqueur helvético-américain, aujourd'hui standard mondial dans le secteur, le VBCI et le Boxer d'Artec, consortium associant les entreprises allemandes Krauss-Maffei Wegmann et Rheinmetall Landsysteme , ainsi que la Néerlandaise Stork . La défaite française est d'autant plus malvenue que plusieurs contrats de remplacement de véhicules blindés vieillissants s'annoncent, notamment en Australie dans le cadre du projet Land 400 . Lors de son discours du 17 juin à la porte de Versailles, Nicolas Sarkozy a de nouveau fustigé la multiplicité des programmes d'armements en Europe" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 juin 2008 Share Posté(e) le 18 juin 2008 D'ailleurs, le candidat le plus probable à recevoir le Shark, selon moi, est le VAB. Le VBCI peut recevoir un RPG dans la tronche sans compdamner d'office son équipage. Le VAB : non. Priorité donc au VAB, si shark pour l'armée française il y a. C'est l'inverse, pour encaisser le systeme de protection actif aussi proche, il faut un blindage suffisant pour encaisser les reste du projectile et pas une tete qui depasse... en gros si tu shoot un APFSDS avec SHARK sur un VAB les morceau vont qd mm faire des trou trou ... contre un ATGM pareil probablement. Le VBCI est lui suffisamment blindé pour encaisser les restes du projectile sans dommage. Si le modele est installé sur un VAB c'est probalement qu'ils n'avaient pas de VBCI pour les essais/demos. Dans les article de la DGA, il est précisé que le blidange du VAB encaisse le blast de SHARK... mais pas qu'il encaisse le reste de la menace. Contre un RPG ... sa charge creuse "désamorcé" par SHARK ca devrait passer ... contre plus épais je doute de l'interet. Reste a voir le cout de la solution. Le package complet 16 modules doit vouter bonbon :) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tiger Posté(e) le 21 juin 2008 Share Posté(e) le 21 juin 2008 ça coute combien un shark ou un trophy par exemple ? Quelqu'un à une idée du prix ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rescator Posté(e) le 21 juin 2008 Share Posté(e) le 21 juin 2008 pour trophy les israéliens annoncent un prix objectif de 400 000 dollars l'unité pour une série de cent destinée aux merkava 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tiger Posté(e) le 21 juin 2008 Share Posté(e) le 21 juin 2008 Ah oui quand même... :O Je pense que Shark doit aussi être dans ces eux là. C'est sur qu'à ce prix, en équiper 600 ou 700 VBCI, ça commence faire très chère ! Surtout que ça ne protège que des RPG et pas des IED. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jeanmi Posté(e) le 24 juin 2008 Share Posté(e) le 24 juin 2008 Des travaux menés sur cette technologie par TDA, filiale de Thales, et l'institut franco-allemand de Saint-Louis viennent d'être récompensés par l'Association de l'Armement Terrestre. Remis dans le cadre du salon EuroSatory, à Villepinte, le prix de l'Ingénieur Général Chausson consacre un élément clé du prochain système de protection active des véhicules blindés.Le système Shark, conçu pour équiper les chars Leclerc et le nouveau Véhicule Blindé de Combat d'Infanterie (VBCI), pourrait être décrit comme une sorte de bouclier intelligent capable de détruire une roquette ou un missile en plein vol. Au cœur du système, un déclencheur : l'initiateur opto-pyrotechnique présenté par ses concepteurs comme « une rupture technologique ».Le dispositif est composé de trois éléments. En début de chaîne, un laser activé par un système de détection de menaces. En bout de chaîne, le déclencheur pyrotechnique qui va provoquer une contre-explosion pour détruire la munition ennemie. Entre les deux, la fibre optique à travers laquelle va transiter l'impulsion du laser pour activer le déclencheur.« La grande nouveauté est que nous proposons un ensemble de contrôle totalement intègre pour éviter des interférences avec d'autres matériels », souligne Philippe Allard-Jacquin en charge chez TDA des systèmes de protection. Autrement dit, c'est l'utilisation de la fibre optique qui garantit une étanchéité aux signaux extérieurs. Ce mode de transmission de commande est en effet insensible aux rayonnements électromagnétiques et aux perturbations électrostatiques environnantes. Il pallie là une faiblesse de l'autre méthode d'initiation déjà utilisée dans l'aérospatiale et la défense, le mode électro-pyrotechnique qui fonctionne - comme son nom l'indique - via un circuit électrique. Et il protège du même coup de tout déclenchement intempestif.Un calendrier soumis au Livre BlancLa mise au point de l'allumage opto-pyrotechnique, et son intégration au système de protection active Shark, correspond à une demande spécifique de la Direction Générale de l'Armement (DGA). Il s'agissait en particulier de trouver un moyen d'accroître la sécurité des engins blindés, sans pour autant augmenter leur blindage, et donc leur poids. « Il fallait privilégier l'intégration d'un nouveau système, précise Fabrice Vilain, responsable du projet Shark au de la DGA. On y est parvenus au bout de 4 ans de recherche. La prochaine étape maintenant, c'est une série d'essais programmée pour juillet prochain pour voir si les performances répondent aux spécifications ».Les tests menés seront l'occasion par exemple de contrôler la bonne maîtrise du souffle de la contre-explosion, pour éviter ce que les militaires appellent pudiquement les effets collatéraux. Traduisez par dommages éventuels sur le véhicule et les fantassins alentours.Ensuite, selon que l'on s'adresse au vendeur ou à l'acheteur, le calendrier varie. Chez TDA, on espère une mise en service en 2009-2010. A la DGA, on table plutôt sur 2011. Une centaine de véhicules serait concernée. Mais d'ici-là, les prévisions seront peut-être revues à la baisse. Chacun restant suspendu à la prochaine loi de programmation militaire plutôt placée sous le signe de la rigueur budgétaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rescator Posté(e) le 25 juin 2008 Share Posté(e) le 25 juin 2008 vivement fin juillet que l'on sache enfin si les capteurs electro-optiques du shark fonctionnent encore en étant recouverts de boue, de sable ou de poussière, et si ils ne se déclenchent pas intempestivement quand un objet "trop" lent s'approche du véhicule. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 26 juin 2008 Share Posté(e) le 26 juin 2008 La détection est aussi optique? Je croyais que c'était juste la mise à feu et qu'un radar se chargeait de détecter la menace. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manu Posté(e) le 27 juin 2008 Share Posté(e) le 27 juin 2008 La première campagne d’essais du système Shark s'est achevée au centre ETBS de la DGA à Bourges. Ce système de protection active pour véhicules blindés, développé par TDA (filiale de Thales) en tant que maitre d'oeuvre, en partenariat avec l’entreprise allemande IBD, est constitué d’un module d’une quinzaine de kilos, comprenant la partie détection et le mécanisme explosif. Le principal senseur est constitué d’un laser de détection de mouvement (vitesse, direction), qui doit repérer l’arrivée de la menace (roquette, RPG, obus...). Se déclenche alors le mécanisme de contre-mesures de protection active, qui projette une explosion, dont l’effet de souffle doit venir désintégrer la tête militaire d’un missile ou briser un obus flèche. Des tests sur ce dernier l'ont cassé en 4 parties devenues inoffensives sur le blindage de série. Chaque module est indépendant et peut être fixé sur chaque côté d’un véhicule à protéger. Un des succès de la solution française tient à son système de mise à feu par illumination laser, extrêment rapide, permettant de contrer des projectiles lancés à seulement quelques mètres du véhicule. En avance sur le Trophy israélien Alors qu’un tel système existe déjà au sein des forces israéliennes (système Trophy), il n’est efficace que contre une menace située à une distance supérieure à 100 mètres, et donc peu utile en milieu urbain. L’avantage de la solution française réside dans l’indépendance de chaque module, qui permet de faire face à des menaces engagées à moins de 15 mètres, tandis que le Trophy israélien dispose d’un système de senseurs central (à 360 degrés) situé sur le toit du véhicule, qui nécessite donc plus de temps pour la phase de détection de la menace. Pour couvrir les menaces à 360 degrés avec le système Shark, il faut donc installer plusieurs modules sur un véhicule. Les premières réactions des ingénieurs de la DGA sont positives, et certains avouent même en avoir été surpris. La deuxième série de tests, qui débutera cette année, verra le système Shark testé intégré sur un véhicule, en l’espèce un VAB. Il s’agira de déterminer le comportement du véhicule à encaisser l’effet explosif du système de protection. Autre élément à tenir en considération, l'effet explosif sur son environement, qui peut s'avérer dangereux en milieu urbain. A noter que ce système devrait être réservé aux véhicules militaires intermédiaires. Le manque de protection et le faible poids des véhicules les plus légers les excluent tandis que, pour les plus lourds, en général munis de blindage réactif, l’effet explosif du Shark devrait, lui, être incompatible. Dès 2009, des études d’intégration débuteront pour les véhicules VBCI et AMX10RC. Avec un besoin urgent pour ce genre de systèmes, les premières livraisons débuteront en 2011. Source : http://www.ttu.fr/francais/Articles/shark.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GABY Posté(e) le 27 juin 2008 Share Posté(e) le 27 juin 2008 Une question bête me titille.Je me demande si le SHARK prend en compte la vitesse et la hauteur de l'objet à lesquelles il se meut. En ce sens si il s'est différencié une menace de ce qui n'en est pas une. (Je pense notamment aux animaux genre volatiles, certains peuvent être assez gros et rapide, ainsi que les canidés pouvant parfois évoluer dans des zones de combats).J'imagine cependant qu'il doit être possible de déconnecter le système à volonté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 29 juin 2008 Share Posté(e) le 29 juin 2008 Je pense qu'il y a des capteurs justement pour prendre en compte ces facteurs, en deçà d'une certaine vitesse le système ne se déclenche pas, il y a quand même un monde entre étourneau et sa centaine de km/h et une roquette PG-7V qui va plus de cinq fois plus vite.On peut noter que contrairement à l'Arena ou le Drozd le SHarK ne peut être monté sur un MBT ou tout engin disposant d'un blindage réactif. En clair, nos Leclercs feront toujours de belles cibles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 29 juin 2008 Share Posté(e) le 29 juin 2008 étourneau et sa centaine de km/h :lol: dopé à quoi ton étourneau ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 29 juin 2008 Share Posté(e) le 29 juin 2008 S'est fait pisser dessus par les joueurs de l'équipe d'Espagne avant le match contre la Russie... :lol:Y a des piafs qui peuvent atteindre et dépasser cette vitesse sans parler des piqués du faucon pèlerin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
QuebecOne Posté(e) le 30 juin 2008 Share Posté(e) le 30 juin 2008 Ah oui quand même... :O Je pense que Shark doit aussi être dans ces eaux là. C'est sur qu'à ce prix, en équiper 600 ou 700 VBCI, ça commence faire très chère ! Surtout que ça ne protège que des RPG et pas des IED. Les prix vont descendre si d'autres pays l'achète, ce n'est qu'un module à fixer sur un porteur pas un système limités à la commercialisation d'un véhicule... Bien ficeler sur le toit c'est le succès garantie... Avec sa dégaine le système, il va partir plus vite que la France à l'Euro... ;) Faut que j'arrête le Ricard... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
leclercs Posté(e) le 2 juillet 2008 Share Posté(e) le 2 juillet 2008 On peut noter que contrairement à l'Arena ou le Drozd le SHarK ne peut être monté sur un MBT ou tout engin disposant d'un blindage réactif. En clair, nos Leclercs feront toujours de belles cibles. Premièrement je ne vois pas ou il est écrit que le LECLERC porte des blindages réactifs extérieurs..., de plus, le système shark est censé intervenir sur des charges en focalisant son effet (blast et/ou éclats) vers l'extérieur, il est donc peut probable que la détonation d'une charge "shark" déclenche une réaction d'un blindage actif extérieur (gardez en mémoire que des blindages réactifs type KAKTUS ou KONTAK 5 sont étudiés pour ne pas se déchencher face à un obus de 20 30mm). Enfin les besoins exprimés sont pour le VAB, l'AMX 10 RC, le VBCI et le LECLERC, ce serait le comble s'il se révélait incompatible avec le LECLERC, n'oublions pas que celui-ci est la cible privilégiée des obus flèches (on ne tire pas sur un VAB avec des munitions flèches ce serait du gaspillage), et qu'avec le SHARK on dispose, peut-être du premier système efficace de défense active contre les flèches. A propos si ces systèmes étaient efficaces à 100% (impossible évidement mais imaginez une efficacité à 70 ou 80%) on les détruit avec quoi les chars? Un tel système nécessiterait des projectiles beaucoup plus rapide qu'aujourd'hui... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 2 juillet 2008 Share Posté(e) le 2 juillet 2008 A propos si ces systèmes étaient efficaces à 100% (impossible évidement mais imaginez une efficacité à 70 ou 80%) on les détruit avec quoi les chars? Un tel système nécessiterait des projectiles beaucoup plus rapide qu'aujourd'hui... Par saturation ... c'était un peu mon idée pour les HCFV chassis leclerc tourelle double 40CTA + nacelle ATGM ... normalement la rafale a 600cp/minute d'obus fleches 40mm met KO le systeme actif qui carbonise ses "munition", la rafale suivante fracasse ce qui dépasse optique etc. et un coup d'ATGM donne le coup de grace s'il faut. Sur les systeme centralisé genre trophy je pense que c'est imparable. Sur les systemes distribué genre SHARK ... y a peut être moyen de s'en sortir en ripostant et en tournant le véhicule. Mais si l'HCFV est équipé de SHARK aussi ... la riposte va tomber a l'eau. Normalement le VAB n'est pas censé accueillir ce genre de systeme ... pas assez blindé et pas assez cher. Les MBT ont dispo des blindage réactif lourd qui doivent faire le même effet que SHARK donc pas indispensable non plus. A condition qu'on équipe les MBT de reactif lourd a la Russe. C'est les modele intermédiaire qui ne peuvent embarquer du reatif lourd qui sont la cible du dispositif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 2 juillet 2008 Share Posté(e) le 2 juillet 2008 Le Leclerc est doté d'un NxRA Armure réactive par définition. Après est ce qu'elle réagira au SharK, de ce qu'ils en disent c'est possible. Après je ne suis pas dans le secret des dieux.Pour neutraliser un SharK de simples fumigènes, le capteur laser est out, une roquette et pouf... C'est le souci des systèmes optiques un barrage visuel les neutralise. Le mieux serait un système redondant laser/radar. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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