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Marine brésilienne


Invité grinch

Messages recommandés

Bah oui nous on possede la techno et les outils mais eux pas tout a fait donc le souhait d'acquérir des frégate ASM derniers cri a moyen terme est tout a fait logique... du moins vu l'ambition de se construire une flotte sous marine océanique, et peut etre une dissuasion.

Le projet est cohérent, mais je doute qu'ils se donnent les moyens de le financer dans les 5 ans qui viennent, tant les priorités sont nombreuses et importantes pour ce pays, à comparer avec des ressources financières qui restent modestes ...

Alors je les imagine bien financer les soum, mais sans la protection ASM de surface qui va avec, tout comme la France qui s'est depuis 10 ans payée 3 BPC + 1 PA et ne s'est commandé jusqu'ici que 2 frégates AA dignes de ce nom pour assurer leur protection anti-missile ...

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2 milliards la coque vide d'un futur SNA brésilien alors qu'un Barracuda complet (coque, réacteur, système de combat, armement et communication) est facturé 1.9 milliards d'euros...

Y a pas à dire le matos français va gardé sa réputation de bon mais très cher.  (oui je sais y a transfert de technos mais bon on sait ce qu'il devient souvent des transfert de technologies....)

Edit: ah ben non même pas comprsi dans le prix

"Le gouvernement brésilien paiera à DCNS 3,66 milliards € pour les 5 sous-marins qu’il achète à la France. Le chiffre correspond au cout de construction de la coque du premier sous-marin nucléaire brésilien (près de 2 milliards €) et de 4 sous-marins Scorpène classiques (415 millions € chacun), a annoncé la marine brésilienne."

"Les dépenses totales du Programme de Développement des Sous-marins (Prosub) seront cependant bien plus importantes — 6.790.862.142 € — , en tenant compte des transferts de technologie et des achats de pièces détachées,"

"Le reste du montant du contrat sera réparti de la façon suivante :

- 1.868.200.000 € pour la construction de la nouvelle base navale et du chantier naval ;

- 900 millions € pour le transfert de technologie de conception de sous-marin classique et nucléaire ;

- 100 millions € pour l’achat de torpilles ;

- 240 millions € pour le soutien logistique intégré (principalement pour les sous-marins)."

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C'est le prix de l'indépendance

il y a le matériel les infrastructures la formation et s ce sur des années voir plus

dans les années 50/60 l'acquisition de l'indépendance nucléaire et la création de la force de frappe (volet sous marins et réacteur) nous ont couté des sommes impensables aujourd'hui

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c'est ce qui fait sa valeur ...

sans présager bien sûr des débats sur la validité du concept de dissuasion

pour en revenir aux brésiliens ils savent bien que l'importa,t pour eux c'est l'indépendance sur les technologies de pointe ... cela coûte cher et çà prend du temps mais en tout cas c'est le seul moyen à terme d' échapper au bon vouloir des fournisseurs...

C'est pour çà qu'à priori je jouerais plus le Rafale que le Hornet même super mais bon ...

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http://www.corlobe.tk/article15725.html

Le Sénat Brésilien approuve le prêt destiné à financer l’achat des sous-marins

La commission des affaires économiques du Sénat du Brésil a autorisé le 1er septembre la signature d’un prêt de 4,3 milliards € auprès de banques françaises pour construire le premier sous-marin nucléaire du pays. La construction du sous-marin fait partie de l’accord de coopération dans le domaine de la défense signé en décembre dernier par les présidents Lula et Nicolas Sarkozy, lors de la visite officielle que ce dernier a effectué au Brésil.

Selon l’agence DPA, le prêt a été approuvé à l’unanimité par les membres de la commission. Il ne manque plus désormais que le feu vert du Sénat lui-même.

Le ministre brésilien de la défense, Nelson Jobim, a considéré que le programme de développement de sous-marins (Prosub) était "vital" pour la défense du pays, grâce au transfert de technologies françaises compris dans la série d’accords signés entre Lula et Sarkozy.

L’accord comprend la construction de 4 sous-marins classiques et d’un supplémentaire à propulsion nucléaire, dans un contrat dont le montant est estimé à 9 milliards $.

Le président Sarkozy reviendra la semaine prochaine à Brasilia, pour participer avec son homologue brésilien aux festivités marquant le 187è anniversaire de l’indépendance du Brésil, le 7 septembre. Il profitera de l’occasion pour s’entretenir avec son homologue brésilien.

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...

Le succès majeur remporté par l'industrie navale française au Brésil est, en lui-même, déjà historique. Mais on espère, à Paris, qu'il se prolongera, au sein d'un partenariat à long terme, par des contrats dans le domaine des navires de surface. Ainsi, la marine brésilienne songe au remplacement de ses 8 frégates de premier rang (classe Niteroi et type 22), mises en service entre 1976 et 1982. Dans cette optique, DCNS compte bien placer la frégate multi-missions (FREMM), déjà retenue par la France, l'Italie et le Maroc. Le Brésil, qui semble aujourd'hui vouloir développer sa puissance navale, aurait également besoin de capacités amphibies. Il ne dispose, en effet, que de deux vieux transports de chalands de débarquement du type Thomaston américain (construits en 1956) et d'un bâtiment de débarquement de chars du type Newport (1970). Pour renouveler cette flotte, la France peut proposer les nouveaux bâtiments de projection et de commandement (BPC), mais aussi, éventuellement, négocier un transfert des TCD Foudre et Siroco.

Enfin, à plus longue échéance, l'avenir de l'aéronautique navale brésilienne est toujours en question. L'ex-porte-avions Foch, mis en service en 1963, rebaptisé Sao Paulo et transféré en 2001, met en oeuvre de vieux avions américains du type Sky Hawk. L'industrie française a sans doute une carte à jouer dans ce domaine. D'abord au niveau des avions, avec un potentiel rachat des Super Etendard Modernisés de la Marine nationale, remplacés au cours de la prochaine décennie par des Rafale, mais aussi avec le nouvel appareil de Dassault Aviation. Ce dernier, qui est en compétition pour le renouvellement des forces aériennes brésiliennes, peut, en effet, également être embarqué sur le Sao Paulo. Puis, au cours de la prochaine décennie, le Brésil pourrait décider de construire un nouveau porte-avions, projet potentiel pour lequel les Français seraient alors très bien placés.

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chez Corlobé

...

Il y en a qui ne doutent de rien

Navantia négocie avec DCNS pour participer à la construction des 5 Scorpène brésiliens

Par Rédacteur en chef.

Publié le 8 septembre 2009, dernière mise à jour le 8 septembre 2009.

Le chantier naval espagnol Navantia négocie actuellement avec DCNS un accord de collaboration pour le transfert de technologie de 5 sous-marins de la classe Scorpene pour le Brésil, a annoncé mardi un porte-parole de l’entreprise publique espagnole à Carthagène (Espagne).

Les relations entre le chantier naval de Carthagène et celui de Cherbourg ne sont pas au beau fixe après la demande de dissolution de l’association présentée par les Français, qui veulent participer au programme de construction des sous-marins S-80 destinés à la marine espagnole.

Navantia soutient qu’il s’agit d’une conception différente et essaie de maintenir le consortium pour lequel ont été construit des sous-marins de la classe Scorpène pour le Chili et la Malaisie, en plus du contrat de transfert de technologie pour l’Inde.

L’accord avec le Brésil, signé lundi par les présidents Da Silva et Sarkozy, comprend un programme de 5 sous-marins Scorpène, auquel veut participer le chantier espagnol Navantia.

Les responsables des 2 entreprises de construction navale négocient actuellement les détails d’une collaboration qui n’est toujours pas conclue, selon ce qu’a confirmé mardi un porte-parole de Navantia.

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Le succès majeur remporté par l'industrie navale française au Brésil est, en lui-même, déjà historique. Mais on espère, à Paris, qu'il se prolongera, au sein d'un partenariat à long terme, par des contrats dans le domaine des navires de surface. Ainsi, la marine brésilienne songe au remplacement de ses 8 frégates de premier rang (classe Niteroi et type 22), mises en service entre 1976 et 1982. Dans cette optique, DCNS compte bien placer la frégate multi-missions (FREMM), déjà retenue par la France, l'Italie et le Maroc. Le Brésil, qui semble aujourd'hui vouloir développer sa puissance navale, aurait également besoin de capacités amphibies. Il ne dispose, en effet, que de deux vieux transports de chalands de débarquement du type Thomaston américain (construits en 1956) et d'un bâtiment de débarquement de chars du type Newport (1970). Pour renouveler cette flotte, la France peut proposer les nouveaux bâtiments de projection et de commandement (BPC), mais aussi, éventuellement, négocier un transfert des TCD Foudre et Siroco.

Enfin, à plus longue échéance, l'avenir de l'aéronautique navale brésilienne est toujours en question. L'ex-porte-avions Foch, mis en service en 1963, rebaptisé Sao Paulo et transféré en 2001, met en oeuvre de vieux avions américains du type Sky Hawk. L'industrie française a sans doute une carte à jouer dans ce domaine. D'abord au niveau des avions, avec un potentiel rachat des Super Etendard Modernisés de la Marine nationale, remplacés au cours de la prochaine décennie par des Rafale, mais aussi avec le nouvel appareil de Dassault Aviation. Ce dernier, qui est en compétition pour le renouvellement des forces aériennes brésiliennes, peut, en effet, également être embarqué sur le Sao Paulo. Puis, au cours de la prochaine décennie, le Brésil pourrait décider de construire un nouveau porte-avions, projet potentiel pour lequel les Français seraient alors très bien placés.

Alors on leur fait un pack

les 10 Rafale F1 les 2 TCD

et en plus en construit en coopération 3 PA

1 PA pour eux et 2 PAN pour nous !!!

pour Navantia bande de crapule !!!

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D'autant qu'ils parlent de 5 Scorpènes >:(. Si ils croient qu'on va les laisser mettre le pied dans la conception de sous-marins nucléaires. Surtout que le SSN va faire dans les 6000 tonnes apparamment alors tu parles d'un Scorpène (1850t)... =D

  David.

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J'avais lu que le SNA serait un scorprène un poil plus gros de 2-3000t mais pas plus ?

La chaudiere des Scorpenes Mesma et celle des SNA sont concu pareil ... en gros c'est la meme taille le blindage nuke et les équipements spécifiques en moins.

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J'ai lu hier dans un article qu'ils comparaient le projet brésilien en terme de taille disant qu'avec ses environ 6000t, il serait intermédiaire entre les nouveaux Barracuda français de 5300t et les Los Angeles US de 6450t, ainsi que d'une taille similaire au projet indien.

Je voulais poster le lien de l'article mais... je n'arrive pas à le retrouver :'(.

Alors, après ce ne serait pas la première fois qu'un journaleux pondrait une co**erie.

    David.

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Donc 6000t ça parait un poil beaucoup, non ?

Mon avis est qu'on sera plutot a 3000t ... meme avec le blindage nuke et de l'armement en plus etc.

6000t sur base scorpene ca ferait un putain de cigare :)

Apres si le truc n'a pas pour base le scorpene on peut tout imaginer, 6000t étant un bon compromis entre le volume dispo et le type d'architecture. Les rubis par exemple montrent les limites de construire petit et de se priver de certain équipement de découplage ...

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Petit hors sujet : Corrigé moi si je me trompe, le projet de SNLE indien ne prévoit de pouvoir d'emporter que trois missiles. Et dans ce cas là, on pourrait presque dire qu'il s'agisse d'un gros SNA que l'on aurait adapté pour emporter quelques missiles. Je ne pense pas que les brésiliens ont prévu d'embarquer ce type d'arme (j'entend missile Nucléaire, comme le prévoient le projet indien). :-[

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Je ne pense pas que les brésiliens ont prévu d'embarquer ce type d'arme (j'entend missile Nucléaire, comme le prévoient le projet indien). :-[

Officiellement c'est non, le Brésil estime inutile d'ouvrir une course à l'armement en Amérique du Sud et a signé tous les traités de non prolifération nucléaire. Mais si officieusement c'est le cas, je ne pense pas que ceux qui connaissent la réponse oseront te répondre.

Dans un monde ou le Brésil n'aurait à affronter que ces voisins, moins peuplé, moins riches, moins armé, moins développé que lui et ou d’autres puissances mondiales nettement plus armés et plus peuplé n'auraient aucun intérêt à l'envahir pour récupérer d’énormes réserves pétrolières et la plus grande forêt du monde je pense que la question d’une dissuasion nucléaire ne se poserait pas.

Après si on considère que le Brésil dispose de la technologie et de l’outil industriel permettant de faire des sous-marins, des fusées, des réacteurs nucléaires et qu’il vient de lancer un programme, dont les détails sont secret, de grande ampleur visant à la construction du plus gros sous-marins brésilien, j’avoue que j’ai des doutes sur la nature exacte de la missions du futur sous-marin nucléaire brésilien.

A mon avis le Brésil va développer un SNA capable d’embarquer des missiles balistiques ou de croisières embarquant une charge conventionnelle d’une taille et d’une masse comparable à une petite bombe nucléaire. Le jour ou la situation politique l’exigera, le Brésil lancera un programme nucléaire militaire qui lui permettra d’avoir en quelques mois les têtes nucléaires manquantes pour disposer d’une dissuasion nucléaire.

Ensuite la question du nombre de tête nucléaire embarqué par SNLE, dépend de la mission fixé à ce SNLE. Les SNLE américains ou russes doivent être capable de détruire un continent, les SNLE français doivent occasionné plus de dégât que ce que rapporterait la destruction ou l’annexion de la France. Si la mission d'un SNLE est juste de protéger des installations pétrolières une unique tête nucléaire devrait suffire.

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