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Les Frégates de la Royale


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ce serait logique pour deux raisons

-prévues pour durer 30 ans elles arriveront gentiment à mi-vie vers 2015

_a force de se faire éreinter sur AD le CEMM a dut dire à ses chaouches de travailler le sujet pour faire plaisir à Bruno P4 et Pollux

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ce serait logique pour deux raisons

-prévues pour durer 30 ans elles arriveront gentiment à mi-vie vers 2015

_a force de se faire éreinter sur AD le CEMM a dut dire à ses chaouches de travailler le sujet pour faire plaisir à Bruno P4 et Pollux

Tu accordes trop d'importance à ce forum,  :lol: il l'est ce qu'il est ! Pas une chambre de résonnance et encore moins une fiche d'objectif.Même si tu disais ça avec humour mon cher Pascal.Où trouver plus de 500M€ dans ce rétrofit, sur quoi va-t-on rogner.Sur la vente du magnifique Hôtel de la Marine, sur des P400 d'occasion à placer, sur une FASM...à un pays sud-américain.Sur des renoncements ailleurs dans certains programmes.  

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sur le portail xarm on peut lire un appel à candidature pour une etude technico -opérationnelle pour "le maintien des capacités opérationnelles des frégates lafayette jusqu'à leur retrait du service" alias FLF obso (sic)

se sont-ils décidé à faire enfin qqchose ?

Y a tout un tas de rafistolage discret, veille optiques IR, capacité MM40block3, emport panther et missile ANL ... peut etre un upgrade du controle de tir du crotale avec l'ajout du SACLOS IIR ... a par ca y a pas grand chose a attendre, ca restera de bon petit navire de lutte de surface, on leur en demande pas plus.

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et cela apport quoi le SACLOS IIR?

A tirer sur les missile anti-navire qui marque a l'IR plus qu'au radar de veille, ou a la conduite de tir Crotale... accessoirement ca permet de guider un missile de plus en meme temps. En pratique y meme deux camera dessus une TV et une IR qui sont donné a 19km en portée "utile", je crois bien que les remorque Carol en sont équipées d'ailleurs...

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Image du premier tir d'Exocet MM40 Block3 depuis le Chevalier Paul

Image IPB

Apparemment ils se sont servis de la capacité du missile à suivre des points de passage pour réaliser en même temps un exercice d'entrainement avec les moyens de détection de la frégate..

En ce mois de mars a eu lieu pour la première fois un tir de missile Mer Mer 40 Block III depuis un bâtiment à la mer. Cet évènement majeur s’est déroulé à bord du Chevalier Paul , tout récemment pris en charge par la Marine Nationale.

Ce missile est une évolution du MM40 Block II présent sur la plupart des frégates françaises. La portée est accrue à 180 km et il est possible de tirer tout horizon. Le Block III intègre en outre un GPS, une capacité de frappe contre la terre ainsi que la possibilité de définir des points de passage horizontaux et verticaux.

Ces capacités nouvelles ont permis un thème de tir original : le missile a ainsi parfaitement poursuivi sa trajectoire autour de la frégate, permettant à celle-ci d’éprouver ses capacités de détection. Industriels, personnel DGA et marins ont collaboré efficacement pendant près de 2 ans pour la préparation de ce véritable tournant de l’histoire de l’Exocet.

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/breves/premier_tir_mer_mer_block_iii
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La MN va recevoir l'exocet MM40 Block III pour ses frégates et l'AM39 block 2 quelque chose pour les SEM/Rafale F3.

Exocet AM39 Block2 Mod2

Il conserve la cellule classique et le moteur a poudre, mais récupére l'électronique numérique du Block 3

C'est des petit malin a la DGA, valider le tir et la trajectoire du missile, puis lui faire faire demi tour et valider la défense antimissile électronique :)

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@zx

deux cas de figure

le 40 block 3 utilisé contre des cibles fixes au port (navires, le nouvel auto directeur de missile est particulièrement étudié pour trouver sa cible dans le fouilli de la côte)

utilisé en mer mer classique contre un navire

Dans le premier cas tir avec guidage inertiel et éventuellement autodirecteur radar fin de parcours. Même pour un tir à 180 kms pas besoin d'une détection de la cible au delà de l'horizon car celle-ci ne bouge pas ne se déplace pas et donc ses coordonnées ne changent pas.

Dans le second cas la cible évolue et pour la toucher il faut rafraîchir le missile en cours de vol grâce à un radar déporté (souvent c'est l'hélico) car à la différence du air air la courbure de la terre limite la portée des radars de la FDA...

Pareil pour un tir depuis le Rafale pour détecter à 180 kms il faut une grosse émission radar peu discrète qui dévoile le porteur. Or les tactiques françaises en la matière sont plutôt basée sur la discrétion d'approche et la frappe très rapide avec des temps d'exposition courts et intervenant au dernier moment.

On peut donc imaginer que pour le premier type de cible le Rafale utilisera AASM ou MDC

Pour le second type de cible ET BIEN QUE LE BLOCK 3 SOIT PLUS LEGER QUE LE 2 on peut estimer que 189 kms de portée c'est un peu trop et que pour l'AM 39 70 kms seront jugés suffisants avec néanmoins un nouvel auto directeur....

Voir question de tactiques et de budgets

En tout cas faire évoluer le missile autour de la frégate pour tester à la fois les capacités inertielles de l'engin et les capacités de détection de la frégate ... PAS MAL D'Y AVOIR PENSE

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  • 4 weeks later...

De toute manière, il suffit de voir l'emplacement des entrées d'air des réacteurs du Block III pour comprendre qu'il ne sera jamais aérolargué.

Après, la question tactique est effectivement intéressante.

Pour tirer un missile anti-navire depuis un vecteur aérien à 180km, il faut un guidage terminal, et donc un vecteur (aérien ou autre) à quelques dizaines de kiilomètres la plupart du temps.

Si ce vecteur est un Rafale, autant que ce soit lui qui balance les missiles directement. Idem si c'est un navire de combat.

Si c'est un hélicoptère, et bien le futur missile anti-navire léger devrait être là pour ça.

Le seul cas de figure dans lequel ça pourrait être utile serait avec une cible désignée par un avion de veille lointaine type AWACS ou Hawkeye.

Sinon, il ne faut pas oublier les AASM qui devraient être des vecteurs anti-navires légers intéressant également.

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De toute manière, il suffit de voir l'emplacement des entrées d'air des réacteurs du Block III pour comprendre qu'il ne sera jamais aérolargué.

Après, la question tactique est effectivement intéressante.

Pour tirer un missile anti-navire depuis un vecteur aérien à 180km, il faut un guidage terminal, et donc un vecteur (aérien ou autre) à quelques dizaines de kiilomètres la plupart du temps.

Si ce vecteur est un Rafale, autant que ce soit lui qui balance les missiles directement. Idem si c'est un navire de combat.

Si c'est un hélicoptère, et bien le futur missile anti-navire léger devrait être là pour ça.

Le seul cas de figure dans lequel ça pourrait être utile serait avec une cible désignée par un avion de veille lointaine type AWACS ou Hawkeye.

Sinon, il ne faut pas oublier les AASM qui devraient être des vecteurs anti-navires légers intéressant également.

Accessoirement a l'heure actuelle seule la frégate tireuse peut mettre a jour le missile ... y a pas de liaison de donnée prévue helo/jet/patmar/sousmarin vers missile.

Dans le cas d'un tir désigné par un tiers ... que le Rafale fasse 50nm de plus ou de moins ca change pas grand chose, il peut tres bien se permettre de les faire sous l'horizon radar. Effectivement ça peut poser probleme si on veut taper dans la profondeur du dispositif ennemi, sans exposer le porteur au premier rideau ... m'enfin si on fait ca c'est probablement pour taper des objectif de haute valeur, qui le SNA désignateur peut engager lui même avec un bon rapport bénéfice/risque.

Pour ce qui est de l'AASM si les specs sous entendues deci dela du modele 125kg sont vérifié, les portée lointaine pourrait en faire une arme anti navire tres convenable contre un navire n'ayant qu'une défense de point. Normalement au niveau des cout on devrait etre 6 a 8 fois moins cher qu'un Exocet avec l'AASM ca permettrait de les lacher par gros paquet sans regrets.

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