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Philippe Top-Force

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Dans la rubrique militaire, ils insistent plus sur l'instruction et l'entrainement. C'est vrai qu'un tel appareil a le mérite d'avoir un cockpit en tandem ce qui est pratique lorsqu'on a un vrai hélicoptère de combat dans son inventaire... Pour la reconnaisance, je suis plus dubitatif vu le faible poids de l'appareil (1450kg), le blindage doit être quasi inexistant...

Les russes ont crée l'ANSAT-2RT d'après leur nouvel hélicoptère ANSAT. Mais ce petit hélicoptère de combat est deux fois plus lourd que l'oisillon argentin et plus à même de mener des missions de reconnaissance...

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  • 1 month later...

Pour la reconnaisance, je suis plus dubitatif vu le faible poids de l'appareil (1450kg), le blindage doit être quasi inexistant...

L'OH-58  ou l'OH-6 n'étaient pas forcément plus blindés, et pourtant il suffis de voir ce qu'ils ont pu accomplir ;)

Même une rafale d'AK-47 doit en faire de la charpie.

Comme je le disais, il faut plutôt le comparer à un Cayuse OH-6 qu'à un ANSAT ou un AH-1. Il ne s'agit pas tant d'en faire un appareil de combat (qui nécessite blindage, puissance te capacité d'emport) mais un appareil d'observation et de reconnaissance.

Pour le coup, sa survivabilité reposera dans ses formes (discretion accrue du biplace tandem) et sans doute la disposition des équipements.

On a vu des OH-6 Cayuse revenir du combat (au Vietnam ou en Somalie par exemple) aussi criblés de trous qu'une rape à parmesan! Certains appareils mis en ligne à Mogadiscio revenaient se ravitailler avec plusieurs centaines d'impacts, y compris dans des zones critiques (moteur, rotor de queue etc..), et repartaient immédiatement au combat pour se refaire plumer et revenir tout de même!

L'appareil Argentin a un avantage qui repose dans sa discretion et la faible cible qu'il offre vu de face. Et j'imagine qu'il doit pouvoir supporter à peu près tout sans broncher, au moins jusq'au 12,7. (Pour le reste, il est censé se protéger par sa maniabilité et sa capacité à se planquer) Sans compter qu'il doit y avoir de quoi lui mettre deux mitrailleuses sous les ailes.

Par contre, j'aurais toujous tendance à préférer un Cayuse ou un vrai Ecureuil ne serait-ce que pour leur cabine, qui leur assure une fonction plus polyvalente.

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En dirais plus un hélico radio-commander qu'un hélico de l'armée.

Vous êtes sur qu'il va entré dans le service cette appareil ?

Car je le vois mal sur le terrain...

Les US testent des kiowa ou des little birds télécommandés par des apaches.

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Bah en restant à l'arrière justement!

En fait, la théorie est assez simple: un Apache vole poursa mission avec un ou deux drone hélico armés colés à ses basques. Lorsque l'équipage de l'Apache le souhaite, il envoie un des drones armés en avant pour effectuer une reconnaissance ou une mission d'attaque. Le tireur de l'Apache recoit en temps direct sur ses écrans la visualisation obtenue par les capteurs du drone et il peut le commander à distance, en temps réel également.

En gros, il a le même affichage que s'il se trouvait lui-même dans l'appareil en question.

Dit comme ça, ça peut sembler inutile et, tu as raison, trop complexe à mettre en oeuvre pour un équipage de deux devant déjà gérer une mission et un environnement complexe. Mais il ne faut pas voir ça à petite échelle mais à grande échelle. Lorsqu'auparavant on envoyait une douzaine d'Apache faire le ménage, il fallait nécessairement que certains d'entre-eux fassent de la reconnaissance, à moins que l'on envoie des Kiowa. Dans tous les cas, on risquait la vie d'hommes puor ça.

Dans l'avenir, parmis les 10 ou 12 Apache, un ou deux controleront une paire ou deux de drones qu'ils pourront déployer en avant pour la phase de reconnaissance armée. Et lorsque l'attaque doit arriver, on repli les drones et on fonce dans le tat.

C'est le même principe qui pourrait être appliqué à des drones de combat à voilure fixe, téléopérés depuis la place arrière d'un Rafale, d'un Suepr Hornet ou d'un Gripen par exemple.

Bon, bien sur, tout cela n'est que de la théorie! Le principal attout par rapport aux systèmes de drones actuels seraient de raccourcir au minimum humainement possible la boucle décisionnelle! Plus besoin pour le pilote de l'hélico de demander à l'opérateur au sol d'envoyer undrone à tel endroit et d'attendre le compte rendu ou la retransmission des images: tout se fera en temps réel par ceux qui seront effectivement sur place!

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Bah en restant à l'arrière justement!

En fait, la théorie est assez simple: un Apache vole poursa mission avec un ou deux drone hélico armés colés à ses basques. Lorsque l'équipage de l'Apache le souhaite, il envoie un des drones armés en avant pour effectuer une reconnaissance ou une mission d'attaque. Le tireur de l'Apache reçoit en temps direct sur ses écrans la visualisation obtenue par les capteurs du drone et il peut le commander à distance, en temps réel également.

En gros, il a le même affichage que s'il se trouvait lui-même dans l'appareil en question.

Dit comme ça, ça peut sembler inutile et, tu as raison, trop complexe à mettre en oeuvre pour un équipage de deux devant déjà gérer une mission et un environnement complexe. Mais il ne faut pas voir ça à petite échelle mais à grande échelle. Auparavant on envoyait une douzaine d'Apache faire le ménage, il fallait nécessairement que certains d'entre-eux fassent de la reconnaissance, à moins que l'on envoie des Kiowa. Dans tous les cas, on risquait la vie d'hommes puor ça.

Dans l'avenir, parmi les 10 ou 12 Apache, un ou deux contrôleront une paire ou deux de drones qu'ils pourront déployer en avant pour la phase de reconnaissance armée. Et lorsque l'attaque doit arriver, on repli les drones et on fonce dans le tat.

C'est le même principe qui pourrait être appliqué à des drones de combat à voilure fixe, télé opérés depuis la place arrière d'un Rafale, d'un Suepr Hornet ou d'un Gripen par exemple.

Bon, bien sur, tout cela n'est que de la théorie! Le principal attout par rapport aux systèmes de drones actuels seraient de raccourcir au minimum humainement possible la boucle décisionnelle! Plus besoin pour le pilote de l'hélico de demander à l'opérateur au sol d'envoyer un drone à tel endroit et d'attendre le compte rendu ou la retransmission des images: tout se fera en temps réel par ceux qui seront effectivement sur place!

Le plus simple ne serait pas d'envoyer un prédator ? :P

Ou encore de piloté les kiowa à partir d'une station mobile derrière les lignes ennemis ?

Car c'est déjà un système appliquer avec les drones prédator !

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c'est sur, en plus je trouve que cela ressemble trop au drone au sol, le soldat qui reste en arrière pour le guidé et connaitre les positions ennemis, sauf que dans les air, un hélico d'assaut comme le AH-64, mieux vaut l'avoir OP pour intervention que en stand bye...

Bref, je trouve ce système débile et inutile...

En plus étonnant, les USA ne sont pas dans la finesse, si il ce doute qu'un ennemi rode dans un bâtiment, il largue une charge et voila le travail...

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L'avantage du système, c'est qu'il ne change rien à se qui se faisait avant: les Apache ont TOUJOURS fait du stand-bye (que l'on trouve ça débile ou pas) en attendant que les Kiowa leur donne le feu vert pour se découvrir et attaquer. Ce n'était pas systèmatique mais ça s'est fait (et après les mauvaises surprises de 2003, ça va redevenir à la mode, promis!).

L'avantage maintenant, c'est qu'au lieu d'avoir 2 gars dans le Kiowa qui risquent leur peau tandis que les gunners des Apaches planqués derrière se tournent les pouces, et bah ce seront ses gunners là (pas tous d'ailleurs, un ou deux dans la meute suffiront largement) qui enverront les Kiowa (mais ça marche aussi avec des Predator ou autre drone hein!) et pourront recevoir directement les donner afin de se faire une opinion tactique de première main (on évite de passer par les stations sol, qui ralentissent le travail et posent parfois de très gros problèmes de transmissions).

Bien sur, techniquement, rien n'empêche qu'un drone puisse être piloté d'un H-60 ou même d'un C-130 ou EP-3 à la place.

En gros, pur les avantages:

-Pas de changement dans les profils de vol des missions

-Moins de vies humaines en danger

-Plus de réactivité et une information plus rapide et plus fiable qu'avec l'usage de drones ou de Kiowa traditionnels

-Des groupes d'intervention autonomes, ne dépendant pas des syncro sat, d'un contrôleur aérien ou de la dispo des drones d'autres unités

En bonus: les Kiowa transformés en drones restent pilotables pour des missions plus complexes, contrairement aux drones pures. Il ne s'agit donc pas de bouleverser toutes les règles d'engagement, mais d'offrir des solutions tatciques aditionnelles et optionnelles.

De plus The Dead, tu juge se système "débile et inutile" en te basant sur l'exeple des combat urbains, vu tes propos. Il ne faut pas se méprendre!! Un tel système n'est pas conçu pour améliorer les capacités tactiques des Apaches tels qu'ils opèrent en Irak aujourd'hui, dans un combat urbain (pour cette amélioration, on a déjà trouvé la solution: le Cobra de l'USMC!  :lol:), mais bel et bien d'améliorer l'efficacité et la sécurité des opérations de pénétration et de lutte anti-char sur le odèle de ce qui s'est fait au début de l'invasion de l'Irak!

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  • 1 year later...

je trouve pas mal le kawasaki il a une belle allure on dirait un jouet :lol: lol

Jouet ? Ah non, je reserve ce qualificatif à cet hélico argentin, il fait franchement "toc"

Le Kawa, sont petit air de Dauphin, j'adore  ;)

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Ces possibilités de "télécommande" du little bird de Boeing ne sont pas sans intérêt quand on sait que c'est le drone proposé par le tandem Thalès-Boeing comme drone tactique naval.

On pourra ainsi envisager une désignation d'objectif par un little Bird et un tir à distance de sécurité d'un Tigre voire d'un NH-90 porteur d'un Missile ANL (puisque la version apte au tir vers la terre de l'exocet ne concerne pas clairement l'ASM-39 block2 Mod2)

Bref un élément contribuant à diminuer la vulnérabilité de la plateforme hélo (vu sa lenteur notamment).

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Ces possibilités de "télécommande" du little bird de Boeing ne sont pas sans intérêt quand on sait que c'est le drone proposé par le tandem Thalès-Boeing comme drone tactique naval.

On pourra ainsi envisager une désignation d'objectif par un little Bird et un tir à distance de sécurité d'un Tigre voire d'un NH-90 porteur d'un Missile ANL (puisque la version apte au tir vers la terre de l'exocet ne concerne pas clairement l'ASM-39 block2 Mod2)

Bref un élément contribuant à diminuer la vulnérabilité de la plateforme hélo (vu sa lenteur notamment).

En gros, tu voudrais un Orka ou un H Grimbal désignateur pour un NHC90 délivrant un ANL ou Marte Mk2.

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Une petite vidéo du Cabri G2

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=rqFYExaPw7w

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En fait j'extrapole sur le programme de drone naval avec le "little bird" AH-6 de Boeing comme drone naval tactique (et qui a l'air mieux placé que l'Orca d'EADS ou malheureusement que le TR-916 Eagle Eyes de Bell) et la possibilité de tir en stand off qu'offrira l'ANL et sa déclinaison ALAT.

Par contre si je "voulais" qq chose ce serait que les choses aillent plus vite et que les programmes ne soient pas toujours en devenir...

De sorte que si "je voulais", je choisirais dans un premier temps une utilisation du SDTI ( dans un second temps upgradé en version Sperwer B avec son autonomie de 12 h) via un "partage" avec l'AdT : catapultage du BPC et appontage en douceur sur les airbags avec le parachute et l'hélice comme un parapente :lol:

comme pour ce drone israélien (voire après 1min 30 sur le film) :

Pas de soucis de piste oblique ni de brins d'arrêt au moins O0

Diantre de la coopération multiarme !

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