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Le 18 Septembre 1931, le Japon impérial a provoqué l'Incident de Mukden, l'invasion japonaise en Chine a commencé.

84 ans après jour pour jour, le secteur aéronautique chinois a envoyé aujourd'hui un signal, un signal fort même, avec 3 événements majeurs :

1) L'appareil immatriculé #2016 devient le 7ème avion J-20 qui a volé. Son vol inaugural a commencé à 15h35 heure locale.

QFWLtle.jpg

2) Le même jour, un J-10B de série, équipé d'un moteur chinois WS-10B, a effectué son vol également.

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3) L'information la plus importante du jour : D'après le journal officiel "China Aviation News", un avion hypersonique a effectué son vol d'essai depuis le CFTE (China Flight Test Establishment). Il n'y a aucune photo publiée à ce jour mais l'article a donné beaucoup de détails intéressants :

* L'engin hypersonique a décollé comme un avion, puisque l'article parle de "l'avion effectue son taxiing, décolle, et disparaît à l'horizon..."

* L'article parle d'un avion "de profil de mission très spécial, le mode vol unique, la vitesse de vol et la hauteur sont bien supérieures que tous les autres engins depuis la fondation du centre d'essais en vol".

* "Il s'agit d'un engin volant trans-génération"

* "Quelques heures après le décollage, la mission de vol est terminée. L'avion de couleur foncée s'est posé au sol en approchant la piste avec un angle élevé..."

* Cette phrase de l'article a suscité beaucoup interrogation, puisqu'elle parle de "avec l'envoi de l'instruction 'l'avion est à l'arrêt', cette mission est terminée avec succès...". Ceci laisse penser qu'il s'agit d'un drone.

* L'article s'est terminé par la phrase suivante, qui confirme le type de l'engin : "Cet essai en vol est le tout premier vol hypersonique du centre d'essai en vol...[....] Pour les jeunes du centre d'essai en vol, ici est d'un nouveau point de départ, ici est là où un rêve commence..."

Une nouvelle ère de l'aéronautique chinois a commencé. Après 60 ans d'effort et de douleur, les Chinois viennent de nous montrer qu'ils ont commencé à tracer leur propre route. Et comme ce qu'ils disent, ce n'est qu'un début...

Et, sans avoir suivi toutes ces nouvelles dans la journée, et comme par hasard, c'est aussi aujourd'hui que j'ai déposé ma demande de mutation définitive en Chine. Soit à Tianjin, soit à Hong Kong, et on m'a donné le premier avis favorable...

Henri K.

Modifié par Henri K.
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Le monde commence à tourner à l'envers... L'USAF qui cherche à disposer d'un missile Air-Air longue portée pour surpasser le missile chinois PL-15.

Les missiles Air-Air à statoréacteur, c'est déjà "outdated". D'ailleurs les Chinois comme les Américains ont tous arrêtés de développer les missiles avec ce type de propulsion et se tourner vers du dual pulse.

USAF seeks ‘interim’ CHAMP, longer-range air-to-air missiles

16 SEPTEMBER, 2015 BY: JAMES DREW WASHINGTON DC

The US Air Force plans to introduce Boeing and Raytheon’s “CHAMP” high-power-microwave emitting cruise missile into the combat force on board the 1990s conventional air-launched cruise missile as an “interim capability” while the technology transitions to Lockheed Martin’s JASSM-ER.

Air Combat Command chief Gen Hawk Carlisle says the computer-killing capability, which knocks out electronic equipment with bursts of high-frequency electromagnetic energy, is a “great capability” that will be fielded in small numbers initially with US Global Strike Command – the air force’s nuclear combat force.

“We’ve talked about the transition of that capability for Global Strike Command, but that will probably be small numbers because what we really want to do is get CHAMP into next-generation missiles, so JASSM-ER,” Carlisle said at an Air Force Association event in Washington.

“[Global Strike commander Gen Robin Rand] and I are talking about how to transition some number, an interim capability that’s on the current [CALCM] system and then how do we move to even an improved capability into the next generation air-to-surface cruise missiles we’re producing today.”

The weapon has been in development with the Air Force Research Laboratory since 2009 and was successfully demonstrated at a test range in Utah in 2012. The technology has been deemed ready for development and fielding, and is already being improved and adapted to new platforms such as the JASSM-ER and possibly even reusable unmanned aircraft.

AFRL has been pursuing the Counter-electronics High Power Microwave Advanced Missile Project (CHAMP) as a niche capability that is difficult and expensive to harden against.

In terms of air superiority weapons, Carlisle says the development of next-generation air-to-air missiles is also “an exceptionally high priority”.

Raytheon’s AMRAAM is the current go-to Western weapon for beyond-visual-range air combat, but new long-range missiles being fielded by Russia and China are a significant concern to the Pentagon.

Carlisle says outmatching the Chinese PL-15 air-to-air missile in particular is an “exceedingly high priority”.

“The PL-15 and the range of that missile, we’ve got to be able to out-stick that missile,” he says.

The air force is currently exploring a range of next-generation weapon concepts as it also pursues a sixth-generation fighter aircraft.

Henri K.

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Merci ! ☺

Et bien oui, ça fait beaucoup d'un seul "jet", et pour une seule et même journée ...

Finalement on est obligé de constater le peu d'inertie dans leurs programmes en général  et l'énergie déployée ...

Concernant l'efficience de tout ça, il semble donc que les US n'en doute pas trop, eux ...

Félicitations pour la mut !

 

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En croissant ma propre analyse et celles des autres amateurs chinois, il semblerait que l'avion hypersonique chinois qui a volé récemment et qui a été dévoilé par le China Aviation News soit un drone.

Quelques questions que j'essaie de répondre avec le raisonnement suivant :

1) Drone ? Ou avion ?

L'auteur de l'article s'appelle Shengjun QI (祁圣君), j'ai fait une petite recherche sur lui et il s'avère que c'est un chercheur de CFTE. Les documents R&D qu'il a publié dans ces dernières années se focalisent quasi-exclusivement sur le contrôle des drones militaires.

Il est donc fort probable que ce soit un drone, et ce qui explique pourquoi l'article mentionne la phrase "avec l'envoi de l'instruction 'l'avion est à l'arrêt', cette mission est terminée avec succès..."

2) Où a eu lieu le vol d'essai ?

L'article du China Aviation News ne donne pas trop d'indice, on sait seulement que c'est dans l'un des centres d'essai. J'avais marqué le CFTE à Xi'an mais après réflexion, il y a peu de chances vu le risque que représente le vol d'un tel engin, et aussi par le fait que l'article parle de "livraison au centre d'essai", qui suggère donc que le centre d'essai ne fait pas parti du groupe AVIC, donc probablement un centre d'essai de l'armée.

A partir de cette hypothèse, il n'y a pas beaucoup de choix, il est fort probable que ce soit la base d'essai de Dingxin de l'armée de l'air chinoise. Mais il faut d'autres éléments pour confirmer.

Tf3ZwmM.jpg

3) Quand a eu lieu le vol ?

L'article parle de "Récemment", "le vol a duré plusieurs heures", et n'a pas donné d'autres indications exploitables. Je pars donc de 2 hypothèses : le décollage a eu lieu à la base d'essai de Dingxin, et comme il s'agit d'un vol hypersonique, l'altitude de vol est au dessus de 10 000 m. 

J'ai donc cherché dans l’archive de FAA sur les NOTAM qui correspondent aux 3 critères :  Effectives en mois de Septembre, effectives aux alentours de 10 000 m et au dessus, et effectives pendant au moins 3 heures (en langue chinoise le mot "quelque" signifie que c'est supérieur ou égal à 3).

Et bingo, le NOTAM A2538/15 du 9 Septembre 2015 correspond à toutes ces critères :

A2538/15 NOTAMN

Q) ZLHW/QARLT/IV/NBO/E/311/999/
A) ZLHW B) 1509090500 C) 1509090945 
E) THE FLW SEGMENTS OF ATS RTE CLSD AT 9500M AND ABOVE:
1.B330: YABRAI VOR 'YBL' - GOBIN .
2.A596: YABRAI VOR 'YBL'- DENGKOU VOR 'DKO'.
F) FL311 G) FL999

Ce NOTAM ferme 2 segments de vol au dessus de 9 500 m à l'Est de la base d'essai Dingxin le 9 Septembre pendant 4h, de 05h00 à 09h45 UTC, ce qui écarte la possibilité que ce soit l'essai d'un missile balistique.

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Le vol de l'engin aurait donc lieu dans un rayon de 590 km autour de la base de Dingxin. Dans la définition de l'hypersonique en Chine, cela représente une vitesse supérieure ou égale à Mach 5. A une altitude > 9 500 m, sa vitesse est donc < 5 382 km/h en supposant que sa vitesse ne dépasse pas le Mach 5 vu qu'il s'agit d'un premier vol d'essai. Cela montre que l'essai pourrait s'orienter vers le fonctionnement du réacteur et du système de contrôle.

Le périmètre de vol relativement restreinte pourrait indiquer que le drone n'a pas volé pendant plusieurs heures tout seul mais largué depuis un porteur.

4) Quel réacteur ?

Pour atteindre la vitesse de Mach 5 de manière ré-utilisable et d'une durée de quelques heures, on peut d’ores et déjà écarter la piste du réacteur à fusée. 

Dans un article publié le 25 Août 2015 dans le China Aviation News, on mentionne le développement d'un réacteur TBCC (Turbine-based combined cycle) destiné à "un certain engin volant". Ce type de réacteur fonctionne de 0 à Mach 5 environ. Il est donc probable que ce soit le TBCC. A confirmer.

http://www.cannews.com.cn/epaper/zghkb/2015/08/25/A03/story/611675.shtml

5) Il ressemble à quoi ce drone ?

L'article du China Aviation News ne donne aucune information. Ceci étant, on sait depuis longtemps que l'Institut 611 de Chengdu, le même qui conçoit le J-10, J-20, les drones Wing Loong et Soar Dragon...etc, est mandaté pour développer des drones hypersoniques et de l'avion aérospatial.

Le Google Earth montre qu'un engin qui fait environ 9 m de long et 6 m d'envergure était sur le tarmac de l'Usine 132 à Chengdu, le jour du 19 Juillet 2015, à côté d'une dizaine de J-10B, d'un J-20 et de 2 drones. Pour avoir suivi le secteur aéronautique chinois depuis plusieurs années, je n'ai pas pu identifié cet engin.

JBJ6auD.jpg

3N2dhS4.jpg

Est-ce bien lui ? Le temps nous dira...

Henri K.

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En croissant ma propre analyse et celles des autres amateurs chinois, il semblerait que l'avion hypersonique chinois qui a volé récemment et qui a été dévoilé par le China Aviation News soit un drone.

Quelques questions que j'essaie de répondre avec le raisonnement suivant :

1) Drone ? Ou avion ?

L'auteur de l'article s'appelle Shengjun QI (祁圣君), j'ai fait une petite recherche sur lui et il s'avère que c'est un chercheur de CFTE. Les documents R&D qu'il a publié dans ces dernières années se focalisent quasi-exclusivement sur le contrôle des drones militaires.

Il est donc fort probable que ce soit un drone, et ce qui explique pourquoi l'article mentionne la phrase "avec l'envoi de l'instruction 'l'avion est à l'arrêt', cette mission est terminée avec succès..."

2) Où a eu lieu le vol d'essai ?

L'article du China Aviation News ne donne pas trop d'indice, on sait seulement que c'est dans l'un des centres d'essai. J'avais marqué le CFTE à Xi'an mais après réflexion, il y a peu de chances vu le risque que représente le vol d'un tel engin, et aussi par le fait que l'article parle de "livraison au centre d'essai", qui suggère donc que le centre d'essai ne fait pas parti du groupe AVIC, donc probablement un centre d'essai de l'armée.

A partir de cette hypothèse, il n'y a pas beaucoup de choix, il est fort probable que ce soit la base d'essai de Dingxin de l'armée de l'air chinoise. Mais il faut d'autres éléments pour confirmer.

Tf3ZwmM.jpg

3) Quand a eu lieu le vol ?

L'article parle de "Récemment", "le vol a duré plusieurs heures", et n'a pas donné d'autres indications exploitables. Je pars donc de 2 hypothèses : le décollage a eu lieu à la base d'essai de Dingxin, et comme il s'agit d'un vol hypersonique, l'altitude de vol est au dessus de 10 000 m. 

J'ai donc cherché dans l’archive de FAA sur les NOTAM qui correspondent aux 3 critères :  Effectives en mois de Septembre, effectives aux alentours de 10 000 m et au dessus, et effectives pendant au moins 3 heures (en langue chinoise le mot "quelque" signifie que c'est supérieur ou égal à 3).

Et bingo, le NOTAM A2538/15 du 9 Septembre 2015 correspond à toutes ces critères :

 

Ce NOTAM ferme 2 segments de vol au dessus de 9 500 m à l'Est de la base d'essai Dingxin le 9 Septembre pendant 4h, de 05h00 à 09h45 UTC, ce qui écarte la possibilité que ce soit l'essai d'un missile balistique.

ppAH1ne.jpg

Le vol de l'engin aurait donc lieu dans un rayon de 590 km autour de la base de Dingxin. Dans la définition de l'hypersonique en Chine, cela représente une vitesse supérieure ou égale à Mach 5. A une altitude > 9 500 m, sa vitesse est donc < 5 382 km/h en supposant que sa vitesse ne dépasse pas le Mach 5 vu qu'il s'agit d'un premier vol d'essai. Cela montre que l'essai pourrait s'orienter vers le fonctionnement du réacteur et du système de contrôle.

Le périmètre de vol relativement restreinte pourrait indiquer que le drone n'a pas volé pendant plusieurs heures tout seul mais largué depuis un porteur.

4) Quel réacteur ?

Pour atteindre la vitesse de Mach 5 de manière ré-utilisable et d'une durée de quelques heures, on peut d’ores et déjà écarter la piste du réacteur à fusée. 

Dans un article publié le 25 Août 2015 dans le China Aviation News, on mentionne le développement d'un réacteur TBCC (Turbine-based combined cycle) destiné à "un certain engin volant". Ce type de réacteur fonctionne de 0 à Mach 5 environ. Il est donc probable que ce soit le TBCC. A confirmer.

http://www.cannews.com.cn/epaper/zghkb/2015/08/25/A03/story/611675.shtml

5) Il ressemble à quoi ce drone ?

L'article du China Aviation News ne donne aucune information. Ceci étant, on sait depuis longtemps que l'Institut 611 de Chengdu, le même qui conçoit le J-10, J-20, les drones Wing Loong et Soar Dragon...etc, est mandaté pour développer des drones hypersoniques et de l'avion aérospatial.

Le Google Earth montre qu'un engin qui fait environ 9 m de long et 6 m d'envergure était sur le tarmac de l'Usine 132 à Chengdu, le jour du 19 Juillet 2015, à côté d'une dizaine de J-10B, d'un J-20 et de 2 drones. Pour avoir suivi le secteur aéronautique chinois depuis plusieurs années, je n'ai pas pu identifié cet engin.

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Est-ce bien lui ? Le temps nous dira...

Henri K.

merci pour ce très gros travail de recherche et d'analyse :)

 

un petit commentaire et une question :

- concernant l'assertion d'un largage par porteur, tu avais dans ton précédent post indiqué "L'engin hypersonique a décollé comme un avion, puisque l'article parle de "l'avion effectue son taxiing, décolle, et disparaît à l'horizon..." "

- en ce qui concerne la photo satellite du tarmac de l'usine, quel est l'objectif pour les chinois d'étaler ainsi tous leurs appareils, sachant qu'ils seront nécessairement photographiés ?

Modifié par TarpTent
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En tout ca c'est un sacré scoop, si la Chine arrive a produire un TBCC c'est une sacré news, ça fait plaisir de voir un pays se donner les moyens de ses ambitions , un J-20 somme toute très beau et un drone hypersonique décollant comme un avion whoua :bloblaugh: impatient d'en voir plus. Ne serait çe pas le Dark Sword qui a disparu depuis qq temps ??

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CHINESE AIR-TO-AIR MISSILE HITS TARGETS, SPOOKS USAF GENERAL

PL-15 IS CHINA'S BEST AND BADDEST AERIAL WEAPON YET


By Jeffrey Lin and P.W. Singer  Posted September 22, 2015

Beyond visual range air-to-air missiles (BVRAAM) are long-range missiles used by fighters to knock out enemy fighters, bombers, tankers, drones and other aircraft from ranges beyond 30km. On September 15, 2015, China successfully test fired its latest iteration, the PL-15, firing from a fighter to destroy a target drone.

The PL-15 is developed by the 607 Institute. It is the replacement for China's current BVRAAM, the radar guided, PL-12, which reportedly has a range of approximately 100km. Compared to the PL-12, the PL-15 has an improved active radar seeker and jam-resistant datalinks, along with a dual pulse rocket motor to extend its range.

Even in the prototype stage, the PL-15 is already an international star. Speaking at the 2015 Air Force Association conference the same week as the test, USAF Air Combatant Commander General Hawk Carlisle cited the PL-15 as the reason for Congress to fund a new missile to replace the American AMRAAM. His reasons for concern is the PL-15's range. By incorporating a ramjet engine, its range could reach 150-200km, was well as its terminal maneuverability. That would out-range existing American air-to-air missiles, making the PL-15 not just a threat to fighters like the F-35, but also to US bombers and aerial tankers critical to American air operations across the vast Pacific. General Carlisle called "out-sticking" the PL-15 a high priority for the USAF.

As the PL-15 moves to deployment stage, it will equip Chinese stealth fighter jets, such as the J-20 and J-31, as well as the older J-10, J-11, J-15 and J-16 fighters. This makes keeping up with the PL-15 an important part of American efforts to out-do an innovative and improving Chinese military system.

Henri K.

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Elle ne vient pas de moi, d'ailleurs je ne suis pas du tout infographiste.

Ce drone hypersonique me fait penser au programme Prompt Global Strike (PGS) des Américains qui cherche à livrer des frappes de précision à n'importe quel point du globe en 1h. Action, réaction...

Henri K.

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Elle ne vient pas de moi, d'ailleurs je ne suis pas du tout infographiste.

Ce drone hypersonique me fait penser au programme Prompt Global Strike (PGS) des Américains qui cherche à livrer des frappes de précision à n'importe quel point du globe en 1h. Action, réaction...

Henri K.

je parlé de l'ensemble de ton travail.

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Le risque est de plus en plus élevé pour les forces aériennes des Etats Unis d'intervenir près de la Chine, au Taïwan et dans la mer de Chine méridionale notamment, estime le think tank RAND Corporation dans son nouveau rapport.

Par exemple, il a fallu seulement 2 Air Wings (brigade aérienne) pour assurer la supériorité aérienne au dessus du Taïwan en 1996, il en faudrait 30 en 2017, soit 2/3 de toutes les forces aériennes des Etats Unis actuellement.

U.S. and Chinese Air Superiority Capabilities

An Assessment of Relative Advantage, 1996–2017

by Eric Heginbotham, Michael Nixon, Forrest E. Morgan, Jacob Heim, Jeff Hagen, Sheng Li, Jeffrey Engstrom, Martin C. Libicki, Paul DeLuca, David A. Shlapak, David R. Frelinger, Burgess Laird, Kyle Brady, Lyle J. Morris

Over the past two decades, China's People's Liberation Army (PLA) has transformed itself from a large but antiquated force into a capable, modern military. A RAND Project AIR FORCE report assesses trends in the relative capabilities of U.S. and Chinese forces in diverse operational areas, and at varying distances from the Chinese mainland, between 1996 and 2017. The overall conclusion is that although China continues to lag behind the United States in terms of aggregate military hardware and operational skills, it has improved its capabilities relative to those of the United States in many critical areas. Moreover, the report finds that China does not need to catch up fully to the United States to challenge the U.S. ability to conduct effective military operations near the Chinese mainland. To be clear, the goal is to avoid war, which the authors do not anticipate and which would be disastrous for both countries. Rather, this research provides an open-source assessment of trends that could affect U.S. defense and deterrence efforts and establishes a baseline for future analysis.

Focus on Air Superiority

This brief focuses on one area in which China has made rapid relative improvements: the ability to contest U.S. air superiority in an Asian conflict. Historically, PLA air forces have not posed much threat to neighboring countries. In the past two decades, however, China has rapidly modernized its airpower. Whereas in 1996 China had just taken delivery of its first batch of 24 fourth-generation fighters, it now operates more than 700. The United States, in the meantime, has added fifth-generation fighters to its inventory, and its fleet remains both more advanced and larger than China's. Balanced against the aggregate U.S. advantage, however, are geographic and situational factors: China would enjoy the advantages of proximity in most Asian conflict scenarios. It would be able to operate from far more bases, allowing it to bring more aircraft to bear in a conflict, and its vital assets would be both dispersed over much greater areas and hardened against attack. Moreover, the few U.S. air bases within close proximity would likely face Chinese missile attack, degrading their ability to support operations.

How would the evolution of Chinese and U.S. forces interact with other situational factors to affect the air superiority battle? To assess this question, the researchers modeled air combat in four snapshot years between 1996 and 2017, in two scenarios at different distances from the Chinese coast: a Chinese invasion of Taiwan and a campaign over the Spratly Islands. For each scenario, they calculated the size of the U.S. force (in 72-aircraft wings) required in theater to achieve two possible U.S. objectives. The first and more demanding objective would be to maintain a continuous presence in allied airspace sufficient to defeat a surge of attacking Chinese aircraft. The second would be to destroy, over time, enough Chinese aircraft to convince PLA leaders to abandon the air campaign — a threshold set for analytical purposes at 50 percent of the Chinese air forces involved in the campaign. In the latter case, the researchers examined the requirements associated with gaining air superiority within seven days and 21 days.

Model inputs included publicly available performance parameters for different types of aircraft; the total number and type of aircraft involved; the effectiveness of the air-to-air weapons employed; the number, types, and locations of bases; estimated aircraft and crew availability rates; and flight times to and from combat areas. Some allowance was also made for U.S. advantages in pilot training. The results are not intended to predict the precise outcomes of a conflict. Rather, they offer a picture of the evolving balance of airpower, indicating the general scale of effort that would have been required in each of the snapshot years, as well as the direction and speed of change.

Assessing Sufficiency in Taiwan Scenario

China's geographic advantages would be most pronounced in a Taiwan scenario, in which Chinese basing options are plentiful and close to the likely combat areas and U.S. forces must operate over long distances from a more limited set of locations. This disparity would have been less relevant in 1996, when China operated a small force of antiquated aircraft, but it has become more important as China improves its air and missile forces.

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Figure 1 illustrates the impact of the evolving balance of airpower. As shown in the light-shaded bars, only two U.S. wings would have been required in theater to maintain 24/7 air dominance from the outset of a conflict over Taiwan in 1996. By 2010, improvements in Chinese air forces and missile capabilities increase this requirement to between nine and 20 wings (depending on how far away U.S. forces must be based). The higher requirement exceeds the total number of U.S. fighter wings, and basing within range of operational areas would almost certainly have been insufficient to support even the smaller number (especially given the significant requirements for tanker basing). By 2010, achieving 24/7 air dominance at the outset of a conflict was, and remains, unsustainable.

The United States would have better prospects of prevailing in an attrition campaign designed to defeat a Chinese air offensive over time. Nevertheless, PLA Air Force modernization has made such a campaign more challenging. The number of wings required is shown as medium-shaded bars (seven days) and dark-shaded bars (21 days) in Figure 1. Even in the attrition case, the United States would face increasing difficulty meeting its objectives in 2017, as more aircraft would be required, and there would be fewer bases to offer safety from Chinese missiles.

The results should be understood in context. China cannot achieve air superiority in any of these cases, and U.S. fighters achieve high kill ratios throughout. Relaxing the 21-day time requirement would reduce U.S. in-theater force requirements to levels that might be supported more easily by the available basing infrastructure. However, until U.S. forces achieve air superiority, the PLA air forces would largely have a free hand in attacking targets in Taiwan. A ground campaign in Taiwan would likely be decided relatively quickly, and the inability of U.S. air forces to achieve air superiority during that time would deprive U.S. and friendly forces of much-needed air support.

Assessing Sufficiency in the Spratly Islands Scenario

The challenge to U.S. air superiority is less pronounced in the Spratly Islands scenario. While the modernization of China's air capability has progressively increased the U.S. forces required to prevail in such a contest, the islands are considerably farther from China than Taiwan. Geography would, therefore, largely work against China. Few Chinese fighters would have the range to conduct operations over the Spratly Islands without refueling in the 1996 and 2003 snapshot years.[1] By 2017, China could field a more substantial force of fighters and strike aircraft (including Su-27s, Su-30MKKs, and JH-7s, as well as H-6 bombers) against targets in this area, though most of these aircraft would still be operating near the limit of their range, and the total number would be restricted by the small (but growing) number of bases in the Guangzhou Military Region capable of supporting such operations.

ESfOusJ.png

The modeling results, shown in Figure 2, suggest that, as in the Taiwan case, it would have been virtually impossible for the United States to maintain a decisive 24/7 presence from the outset of a conflict after 2010. However, the results also suggest that the United States would be able to achieve attrition-based air superiority in a relevant time frame even in the 2017 case, though the required in-theater force structure grows over time.

Conclusions

The United States continues to maintain unparalleled air-to-air capabilities. Even in the most challenging cases examined, the United States does not "lose" the war in the air. However, continuous improvements to Chinese air capabilities make it increasingly difficult for the United States to achieve air superiority within a politically and operationally effective time frame, especially in a scenario close to the Chinese mainland. These developments also raise the probable cost of a war in terms of lives and equipment. In both scenarios examined, the United States could improve its results and reduce force requirements by attacking Chinese air bases, thereby reducing the number of adversary aircraft that can reach the fight. However, the decision to launch such attacks would require executive approval and, depending on circumstances, permission might not be forthcoming. Certainly, such attacks would be potentially escalatory. Regardless of U.S. action, China may also pursue a similar strategy against U.S. air bases, employing its large and sophisticated force of conventionally armed ballistic and cruise missiles. Overall, the results indicate that, in the face of PLA Air Force modernization, achieving air superiority early in a conflict is becoming increasingly difficult. Consequently, U.S. and partner ground and naval forces may have to operate with only limited air support for some period after the commencement of hostilities, should a conflict occur.

Henri K.

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Le risque est de plus en plus élevé pour les forces aériennes des Etats Unis d'intervenir près de la Chine, au Taïwan et dans la mer de Chine méridionale notamment, estime le think tank RAND Corporation dans son nouveau rapport.

Par exemple, il a fallu seulement 2 Air Wings (brigade aérienne) pour assurer la supériorité aérienne au dessus du Taïwan en 1996, il en faudrait 30 en 2017, soit 2/3 de toutes les forces aériennes des Etats Unis actuellement.

U.S. and Chinese Air Superiority Capabilities

 

Henri K.

Donc Taïwan a besoin de 400 Rafale pour compléter l'effort US.

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Après 4 mois de sélection, le 3ème prix d'élite "Feng Ru" des technologies d'aviation est décerné aux 9 scientifiques et ingénieurs parmi 27 nominations.

http://www.csaa.org.cn/a/biaozhangjiangli/2015/fengru2015/fengrujiang.htm

La cérémonie de remise de prix a eu lieu le 16 Septembre 2015.

Le profil des 9 vainqueurs dans l'ordre du nombre de vote reçu :

1) Yong Qing WANG

L'ingénieur en chef de l'Institut 601 de Shenyang, et spécialisé dans l'aérodynamique et la structure d'avion, il a participé au développement de nombreux programmes dont J-15 et FC-31.

2) Wei Na HUANG

La directrice adjointe et également chercheuse de l'Institut 624 du groupe AVIC (entité de conception des turbines), elle dirige les travaux de plusieurs moteurs pour drones et avions pilotés. Il me semble qu'elle participe également au programme RBCC mais à confirmer.

3) Xiao Geng LIANG

L'adjoint ingénieur en chef de l'Institut de recherche des missiles Air-Air du groupe AVIC, il dirige notamment le développement du programme PL-10 qui a réalisé un score de 100% dans les 11 tirs de validation. On apprend notamment que les technologies de guidage d'imagerie IR matricielle en très grande vitesse, le GNC en très grand AoA...etc ont été développées dans ce programme.

4) Jun FENG

FENG est le directeur adjoint de l'Institut 603 du groupe AVIC, il est l'ingénieur en chef de la cellule du programme Y-20 ainsi que les projets de recherche en matériaux avancés.

5) Zhao Xu YANG

Le directeur adjoint de l'Institut 611 à Chengdu du groupe AVIC est également le 1er spécialiste du groupe en commande de vol.

6) Zhang Qiang HUANG

Le professeur de l'académie d'ingénierie aéronautique et aérospatiale de l'Université d'ingénierie de l'armée de l'air chinoise est spécialisé dans les armements embarqués et le combat des drones. Il a notamment développé des technologies autour des drones en matière de contrôle aérodynamique et de furtivité / anti-furtivité.

7) Zhen Guo WANG

Professeur de l'université militaire NUDT (National University of Defense Technology) et spécialiste en domaine hypersonique, il a été décoré pour ses nombreuses réalisations en réacteur scramjet et les moyens d'essai associés. On apprend notamment que l'engin hypersonique en scramjet sous la direction de WANG a réalisé les vols autonomes avec succès.

8) Hai Song ANG

Le professeur de l'Université d'aéronautique et d'astronautique de Nankin oriente ses recherches dans la conception des mini-engin volant et l'intelligence artificielle associée. Il a aussi établi un modèle qui permet de retro-calculer les caractéristiques de furtivité EM et IR à partir d'une forme 3D.

9) Xiao Tang LI

Le directeur adjoint de l'Institut 606 du groupe AVIC est spécialisé dans le développement des turbines, notamment dans le domaine naval.

Donc Taïwan a besoin de 400 Rafale pour compléter l'effort US.

Pourquoi pas 4000 ?

Si la France ne peut pas se permettre 400 Rafale, j'image pour le Taïwan.

Et, ce n'est pas un simple vecteur qui "sauvera" un pays, aussi capable qu'il soit.

Henri K.

Modifié par Henri K.
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Reportages CCTV du crash d'un J-10A il y a quelques jours :

Le moteur AL-31FN est arrêté alors que l'appareil est en entrainement nocturne à 3 500 m d'altitude. Le pilote a tenté en vain de rallumer plusieurs fois le moteur et s'est éjecté 198 seconds après l'incident à 351 m d'altitude, après avoir piloté l'avion d'éviter 2 zones résidentielles.

Bien que les reportages ne précisent pas l'unité à laquelle appartient le J-10A, il s'agit du 2ème régiment de la 1ère division de chasse basé à Chifeng, dans le Nord Est du pays.

On remarque également que le mouvement de l'avion est suivi en temps réel dans le système ECATS de l'armée de l'air chinoise.

On voit également dans l'écran au sol l'HUD et les 3 MFTs du cockpit du J-10A. On entend aussi la voie féminine synthétique de l'ordinateur de bord qui répète : "Descendre le train, descendre le train, descendre le train...". L'appareil devrait avoir passé en dessous de 500 m d'altitude.

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Henri K.

Modifié par Henri K.
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Le groupe AVIC a vendu 18 jets d'entrainement avancé L-15 en Afrique dont 6 à la Zambie et 12 à un autre pays, probablement la Tanzanie.

Le drone MALE Wing Loong est aussi vendu à l'Egypte, au Nigéria et aux Émirats arabes unis.

Chinese Company Builds Growing African Presence

By Oscar Nkala 4:53 p.m. EDT October 10, 2015

GABORONE, Botswana — A Chinese aviation company reported progress in its ambitious African expansion plans to set up an aviation training center, two regional marketing offices, two maintenance and support centers, and three spare-parts warehouses to promote sales and maintenance for Chinese-made aircraft.

Speaking at the Aviation Expo China 2015 held in Beijing last month, Zhang Guangjian, general manager of International Aero Development Corp. (IADC), a subsidiary of Aviation Industry Corporation of China (AVIC), said the strategy includes the construction of a civilian aviation training center in South Africa, and two maintenance and product support offices in Tanzania and the Republic of Congo.  Three  warehouses for spare parts also are planned for Kenya, Zimbabwe and the Congo.

The IADC was set up under AVIC to promote global exports of Chinese-made civilian aircraft. The new centers will also promote sales and maintenance services to a large fleet of Chinese-made African military aircraft, including fighter jets, trainers, helicopters and UAVs.

"We plan to use these installations to help our civil aircraft industry expand its presence in Africa's central and northwestern regions. Compared with Western counterparts, our aircraft have proven more suitable for operations in Africa because they are more adaptable to tough use and bad infrastructure. They have enabled our African friends to operate good aircraft at an affordable cost," Zhang said.

AVIC says at least 80 percent of the trainer aircraft fleet operated by African air forces are Chinese-made. These include 24 variants of the Y-12 turbo-prop trainer aircraft, which are operated by several African air forces including Kenya, Ethiopia, Mauritania, Zambia, Uganda, Sudan, Namibia, Tanzania and Eritrea.

The aircraft is produced by China Harbin Aircraft Manufacturing Corp. AVIC's regional field service center in Nairobi will include a training center and spare parts warehouse meant to provide technical support and after-sale for African customers of the Y-12 military aircraft.

AVIC subsidiary Hongdu Aviation Industry Corp. also established itself on the continent with the 2012 sale of six L-15 trainer jets to Zambia, followed by an  order of 12 more L-15s by an unnamed African country during the 2013 Paris Air Show. The customer is widely believed to be Tanzania.

The China National Aero-Technology Import and Export Corp., another AVIC subsidiary, has sold 35 variants of its Karakorum K-8 light attack and trainer aircraft to the air forces of Zimbabwe (12), Zambia (16), Ghana (five) and an unspecified number to Sudan.

Other Chinese military aircraft models operated by African air forces include the Chengdu JF-7,  the MA-60 and Y-12 turbo-props and Harbin Z-9 helicopters, spread across numerous countries including Zimbabwe, Zambia, Namibia, Tanzania, Ghana, Nigeria, Mauritania and Djibouti.

At the Aviation Expo China, AVIC exhibited newer versions of the FC-1 Xiaolong and JF -17 Thunder multirole aircraft for export to global markets.

The company also unveiled a multirole combat UAV called the Wing Loong II. The UAV is a medium-altitude, long-endurance multirole drone capable of performing surveillance and reconnaissance as well as air-to-ground strike. It is manufactured by AVIC subsidiary Chengdu Aircraft Design and Research Institute. Its predecessor, the Wing Loong I, has been sold to African and Middle Eastern countries which include Nigeria, Egypt and the United Arab Emirates.

Chinese defense and aerospace writer and analyst Wang Yanan said the Wing Loon II will help China to claim a substantial stake of the international UAV market, especially among African and Middle Eastern countries that already operate Chinese aircraft and air defense systems.

“The advanced drone will help China obtain a bigger share in the international market because it will be one of the most capable military drones in the market. The Wing Loong II is equipped with a satellite data link system, so it can operate in an environment with bad ground signals, which means it can be of great use to nations that have vast mountainous areas or plateaus. In addition, the drone will be very attractive to countries that operate the Wing Loong I as they have realized the capabilities and reliability of Chinese-made drones," he said.

Email: onkala@defensenews.com

Henri K.

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Selon une annonce officielle, le plan de fusion et de restructuration des 3 entités de motorisation du groupe AVIC est en cours d'élaboration. La cotation en bourse de ces 3 entités a été suspendue depuis le 30 Septembre.

http://finance.china.com.cn/stock/20151014/3379871.shtml

Il est donc possible qu'après la fusion un géant de motorisation soit formé.

Henri K.

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Le 13 Octobre, un nouvel aérostat stratosphérique appelé "Yuan Meng" (圆梦号 = Rêve) a effectué son vol inaugural avec succès à Xilinhot. Il est conçu par la société Nanjiang Space, l'université BUAA (Université d'aéronautique et d'astronautique de Pékin) et la ligue de Xilin Gol (une ligue est une administration d'une région autonome).

http://news.xinhuanet.com/tech/2015-10/13/c_1116810002.htm

On peut voir à quoi ressemble cet aérostat dans la récente exposition à Pékin. Il est couvert de panneaux solaires sur le dessus et un moteur électrique à hélice à l'arrière.

http://www.njaerospace.com/h-nd-17-119_340.html

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En mois de Mars, la société a signé un accord avec la ville de Xilinhot pour investir un total de 800 millions de Yuan pour construire progressivement un site d'assemblage d'aérostat, une base d'essai en vol, une base de données en cloud, et une zone industrielle high tech pour les développements associés.

http://tech.gmw.cn/newspaper/2015-03/19/content_105264334.htm

D'après le site de Nanjiang Space, 6 use cases sont identifiés pour cet aérostat : la surveillance de la pollution d'eau, la planification de SmartCity, la couverture de communication 4G le long des côtes, la transmission des signaux de télévision dans les zones difficiles d'accès, la prévision météorologique de haute altitude, et la prévention 

http://www.njaerospace.com/h-col-122.html

Henri K.

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