Rochambeau Posté(e) le 1 septembre 2016 Share Posté(e) le 1 septembre 2016 Moi j'ai plus l'impression que l'équipe de production essaie surtout de combler le vide de l'émission sur une actualité trop chaude ... ils admettent eux même qu'ils ne savent pas vraiment quels sont les soutiens de Macron. Du coup on sait plus contenter de parler de son image et sa "stratégie" de communication plus autre chose, son bilan politique est limite écarté du débat.(cela me fait rappeler quelqu'un ... ) 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 Le 19 août 2016 à 17:14, g4lly a dit : Il faut se méfier des apparences. En pratique on a un capitalisme d'état. Beaucoup de dirigeant sont en fait des émanation du parti communiste Beaucoup d'entreprise sont en fait indirectement dirigé par le parti communiste Lorsque quelqu'un sort du chemin ... il est châtié durement - couic la tete - meme le plus riche de Chine. En gros l'ancien marxisme n'a pas changer il s'est juste déguisé ... auparavant la richesse n'allait pas non plus au peuple d'ailleurs ... la gestion de la corruption dans un si grand pays avec autant de strates la rendant presque organique. La Chine n'est plus marxiste depuis la fin de Mao. Le marxisme se défini : En économie par la relation : p=0 ; En droit par l'inexistence de la propriété privée. En chine : P =/= 0 ; en droit la propriété privée existe. Ainsi, un propriétaire terrien est propriétaire du sol et du sous-sol. Pas en France. En revanche : économie : planisme ; droit : l'abus de pouvoir n'existe pas. Ce n'est pas un état de droit. En politique, comme le marxisme, c'est un pouvoir non libéral. Il est autoritaire mais à un degré moindre que le marxisme. Dernière différence, il n'est pas totalitaire. Le 19 août 2016 à 17:10, Boule75 a dit : Je partage ton constat sur la valeurs profondément relative de la notion de propriété dans la Chine contemporaine, mais pas au point de conclure que ce système est "maxiste" : pas de plan, pas de soviets, lourde appropriation des bénéfices par des intérêts particuliers. Qu'ils soient hybrides entre le parti et des individus constitués en société ou pas, qu'ils soient révocables ou transférés au grés de jeux de pouvoir n'y change rien : le peuple est privé des bénefices. L'économie chinoise est intrinsèquement planifiée. Et il n'y a pas d'appropriation particulière par des intérêts privées. Il y a du capitalisme de connivence mais pas autant qu'une situation autoritaire peut le laisser présager. Le 19 août 2016 à 17:51, Tancrède a dit : Surtout qu'ils ont un moyen bien simple de privatiser de droit et surtout de fait l'argent qu'ils pompent du système: ils le sortent du pays, et si possible eux (et la famille) avec. Ce qui se fait à rythme accéléré et soutenu depuis maintenant 2 ans. Les sorties massives sont liées au risque permanent de d'évaluation que la Chine connaît. C'est un processus de mise en sécurité des capitaux pour éviter le risque de dépréciation massif. Il y a aussi une autre raison qui est la recherche de montée en gamme mais c'est moindre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 (modifié) Le 23 août 2016 à 20:22, alpacks a dit : Je doute que les chinois achètent en France pour ré-exporter chez eux du navet ou que sais je pour leur marché intérieur ... S'ils investissent sur les terres françaises je pense c'est pour participer au filon de l'industrie agro-alim française qui joue de + en + la carte des produits "français" (et cultivés en France) avec un marché en forte hausse ces dernières années notamment sur les fruits & légumes ... Il y va y avoir de l'argent a se faire dans les années qui arrivent si on a une belle échelle de production Par contre ce qui est vraiment risqué c'est que cela ne fasse aucun emploi agricole qui emploi des locaux mais uniquement des ouvriers a très bas couts en provenance d'on ne sais ou prêts a camper au taf ... Le vrai problème est la Pour la première partie, Ok Pour la seconde, non. Si tu recrutes une telle mains d'œuvre, les rendements baissent. Modifié le 2 septembre 2016 par Serge Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 Il me semble que en Chine ce sont des baux pas des propriétés privées. il y a 9 minutes, Serge a dit : Pour la seconde, non. Si tu recrutes une telle mains d'œuvre, les rendements baissent. Je dis ça sans aucune méchanceté : tu n'y connais rien en agriculture. Le rendement dépend de beaucoup de choses que l'on regroupe aujourd'hui sous le nom "d'agro-ingénierie", mais pas de la mains d'œuvre... il est sûr et certain que la main d'œuvre de ces exploitations sera à 100% chinoise, c'est déjà le cas ailleurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 (modifié) Le 26 août 2016 à 11:39, Kiriyama a dit : Salut ! Dans un C'dans l'air consacré au chômage en France, une intervenante explique que l'entrée sur le marché de l'emploi se fait souvent par l'emploi précaire. En gros on commencerait par un petit contrat dans un petit job qui se transforme "parfois en CDI" (selon les termes de l'intervenante). Mais est-ce que c'est vrai ? J'ai plutôt l'impression que les "petits jobs" (peu d'heures dans un métier peu ou pas qualifié et sous-payé) est plutôt déterministe. Une fois que l'on commence comme ça, on y reste. Vous confirmez ou pas ? Oui. C'est ça. La population jeune connait deux particularités sur le marché de l'emploi : un jeune n'a pas de compétence hors de celle de son parcours scolaire ; un employeur n'a pas d'éléments d'appréciation pour embaucher au long terme un jeune. Aussi, le processus consiste pour l'employeur à tester le jeune et évaluer sa capacité réelle à travailler. Pour le jeune, le but est de démontrer ses aptitudes et de gagner en compétences. Les compétences forment les prétentions à salaires. Dans ce cadre, il est naturel de commencer avec des formes précaires de contrat d'embauche et des salaires bas. L'employeur ne veut pas prendre le risque de se tromper. Ce risque se traduit par un double coût ; celui du licenciement et de la perte de l'investissement en formation dans la nouvelle recrue. Donc, plus la procédure de licenciement devient complexe, plus le marché du travail considéré aura tendance à retarder la proposition de contrats à durée indéterminée aux jeunes. C'est ce qui explique que l'on affirme que plus le droit du travail est protecteur, plus le chômage des jeunes sera élevé. Sur ce dernier point, il y a une autre population qui est concernée : les personnes sans qualification. L'expression consacrée pour l'économie française est "la préférence pour le chômage." il y a 44 minutes, Conan le Barbare a dit : Il me semble que en Chine ce sont des baux pas des propriétés privées. Le droit du sol chinois a changé depuis deux ans. Il est anglo-saxon de structure. Modifié le 2 septembre 2016 par Serge Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 Le 26 août 2016 à 12:10, Kiriyama a dit : Oui mais dans l'ensemble la période de chômage est restée brève (7 mois). Je pensais surtout aux gens qui enchaînent les petits boulots pendant des années. Ce n'est pas une période de chômage. Il a des emplois. Ils sont peu rémunérateurs, nombreux, de très très courtes durées. Mais il n'est pas au chômage. 7 mois est le temps qu'il lui a fallu pour trouver un emploi correspondant à ses prétentions (type de travail et niveau de rémunération). Pour les petits boulots, il faut aller voir de qui il s'agit. Tu as ou à faire à une position transitoire, ou à une personne sans qualification (et là, la solution passe par la formation professionnelle.), ou enfin à des profils sortant d'un accident de vie majeur. On ne reste pas en petit boulot comme ça. Il y a toujours des causes dont certaines connaissent des solutions. Le 1 septembre 2016 à 11:54, Rochambeau a dit : Moi j'ai plus l'impression que l'équipe de production essaie surtout de combler le vide de l'émission sur une actualité trop chaude ... ils admettent eux même qu'ils ne savent pas vraiment quels sont les soutiens de Macron. Du coup on sait plus contenter de parler de son image et sa "stratégie" de communication plus autre chose, son bilan politique est limite écarté du débat.(cela me fait rappeler quelqu'un ... ) Yep. Sinon, il y a ceci de beaucoup plus court : 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 Macron m'a l'air plus dangereux pour la droite que pour la gauche non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 Oui. L'opposition droit gauche n'existe plus. C'est conservateurs/réformateurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 2 septembre 2016 Share Posté(e) le 2 septembre 2016 Il y a 3 heures, Serge a dit : L'opposition droit gauche n'existe plus. C'est conservateurs/réformateurs. On en a beaucoup des réformateurs ? Je vois surtout des conservateurs qui cherchent à se donner des images de réformateurs. Ce n'est pas parce que l'on propose une réforme que celle-ci cache un profond changement. Il ne faudrait pas non plus faire peur aux électeurs, hein ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 3 septembre 2016 Share Posté(e) le 3 septembre 2016 (modifié) En effet, il n'y a que peu d'offre. Sous certains aspects, on pourrait dire qu'il n'y a que Macron. On peut évoquer Mariton mais c'est un inconnu et il n'a pas d'appareil derrière (Macron non plus d'ailleur.). Dire que le distinguo droite/gauche n'existe plus ne détermine pas le poids des vrais autres oppositions. Modifié le 3 septembre 2016 par Serge Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 5 septembre 2016 Share Posté(e) le 5 septembre 2016 Le 01/09/2016 à 11:54, Rochambeau a dit : Moi j'ai plus l'impression que l'équipe de production essaie surtout de combler le vide de l'émission sur une actualité trop chaude ... ils admettent eux même qu'ils ne savent pas vraiment quels sont les soutiens de Macron. Du coup on sait plus contenter de parler de son image et sa "stratégie" de communication plus autre chose, son bilan politique est limite écarté du débat.(cela me fait rappeler quelqu'un ... ) A mon sens, la qualité de l'émission souffre de la profusion des émissions dédiées à la politique : autant les émissions scientifiques ou dédiées à des problématiques internationales restent d'un bon niveau général, autant la qualité des émissions politiques souffre de leur nombre et d'intervenants ( Barbier, Ney, Thréard etc ) qui ne font que commenter la politique politicienne : des vrais débats sur la fiscalité ( par exemple ) sont absents ou réduits à pas grand chose Autre problème, les intervenants sont trop peu souvent issus des groupes souverainistes et de la gauche radicale ce qui contribue à réduire le débat entre personnes qui sont essentiellement d'accord entre elles Sinon pour changer de sujet et revenir à l'économie française on s'aperçoit que les prélèvements obligatoires sur les entreprises sont essentiellement stables depuis 15 ans ( ça fluctue entre 16% et 17,3% du PIB ) : http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/09/01/impots-l-optimisme-exagere-de-michel-sapin_4991118_4355770.html http://www.ofce.sciences-po.fr/blog/baisse-de-la-fiscalite-sur-les-entreprises-mais-hausse-sur-celle-des-menages/ Ce qui a augmenté ce sont les prélèvements sur les ménages ( passés de 25,5% à plus de 28% ) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kurssad Posté(e) le 14 septembre 2016 Share Posté(e) le 14 septembre 2016 Selon HSBC, les puissances économiaues en 2050. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 14 septembre 2016 Share Posté(e) le 14 septembre 2016 (modifié) Cette étude date de 2011, il me semble. 5 ans plus tard, certaines des prévisions émises ont déjà un peu de plomb dans l'aile. Edit : Sur de telles périodes, on a généralement abandonné l'idée de faire des prévisions qui se veulent réalistes. On a constaté que celles-ci avaient la mauvaise habitude d'être complètement à côté de la plaque. On fait plutôt des études prospectives visant à déceler des grandes tendances d'un point de vue plus qualitatif que quantitatif. M'enfin, HSBC est heureuse. Elle a fait sa comm' Modifié le 14 septembre 2016 par Skw 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 4 octobre 2016 Share Posté(e) le 4 octobre 2016 La situation d'Ecopla, dans l'Isère. Une petite PME dans la tourmente qui ne doit son salut qu'à la campagne présidentielle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 5 octobre 2016 Share Posté(e) le 5 octobre 2016 Travai obligatoire contre RSA : c'est illégal. A lire ici. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 3 novembre 2016 Share Posté(e) le 3 novembre 2016 Ce n'est pas le fil idéal pour poster cette nouvelle, mais c'est peut-être le plus approprié de ceux qui existent. Il s'agit d'éducation, et plus précisément des meilleures institutions d'éducation supérieure, mesurées par le critère de leur "densité de prix Nobel", c'est-à-dire leur production de lauréats du fameux prix en chimie, médecine, physique ou économie (*) rapportée au nombre de leurs anciens étudiants. Parmi les 10 meilleures institutions au monde mesurées selon ce critère, la France prend la 6ème... et la 1ère place, respectivement avec l'Ecole Polytechnique et l'Ecole Normale Supérieure, classée meilleure institution d'enseignement supérieure au monde, donc. Citation 1 École Normale Supérieure, France 2 California Institute of Technology, US 3 Harvard University, US 4 Swarthmore College, US 5 Cambridge University, UK 6 École Polytechnique, France 7 Massachusetts Institute of Technology, US 8 Columbia University, US 9 Amherst College, US 10 University of Chicago, US Comme tout critère, celui-là est discutable. Il a quand même un peu plus de sens que le fameux classement de Shanghai. Plus important, il donne la mesure de ce que notre pays est capable d'accomplir. En ces temps déprimants pour la France à plus d'un titre, c'est quelque chose à garder à l'esprit ... (*) oui ce dernier cas n'est appelé "Nobel" que par abus de langage mais ce n'est pas important pour cette comparaison 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 4 novembre 2016 Share Posté(e) le 4 novembre 2016 Franchement ces classements universitaires je pense que ça ne vaut pas grand chose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 4 novembre 2016 Share Posté(e) le 4 novembre 2016 (modifié) Justement, le critère qu'a choisi de mettre en avant Alexis est un unique - et incontestable - critère d'excellence, contrairement aux classements universitaires habituels qui mélangent tout et n'importe quoi. Ce n'est pas totalement objectif, surtout que les prix Nobel français pris en compte sont ceux aussi gagnés depuis que le prix existe pratiquement, soit un peu plus d'un siècle ; mais ça relativise grandement le déclinisme ambiant et rappel que la France a été un grand pays scientifique et le demeure toujours vue que ses scientifiques sont régulièrement primés. On pourrait dire la même chose de la médaille Fields et de la surreprésentation de l'école mathématique Française avec des lauréats presque tous issues de l'ENS. Modifié le 4 novembre 2016 par Shorr kan 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 5 novembre 2016 Share Posté(e) le 5 novembre 2016 (modifié) C'est e-penser qui sera content ! (d'autant plus qu'il aime charrier l'X) Il y a 19 heures, Shorr kan a dit : mais ça relativise grandement le déclinisme ambiant et rappel que la France a été un grand pays scientifique et le demeure toujours vue que ses scientifiques sont régulièrement primés. Totalement d'accord ! Cependant les chercheurs qui sont à l'origine du classement, précisent aussi que la présence de français se réduit depuis une cinquantaine d'année ... il faudrait trouver l'origine de cela, je ne pense pas que seul l'émergence de chercheurs de pays en développement explique cette réduction de la présence française aux Nobel.(Encore qu'il faut voir aussi les nominations) Modifié le 5 novembre 2016 par Rochambeau Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 5 novembre 2016 Share Posté(e) le 5 novembre 2016 Il y a 8 heures, Shorr kan a dit : On pourrait dire la même chose de la médaille Fields et de la surreprésentation de l'école mathématique Française avec des lauréats presque tous issues de l'ENS. Oui, s'il existait un Nobel pour les maths - c'est-à-dire, suivant la rumeur dont je n'ai aucune idée si elle a un fondement, si la femme de Nobel ne l'avait pas cocufié avec un matheux - l'ENS ferait encore meilleure figure. Il serait aussi judicieux de laisser tomber les "prix Nobel" en économie (en réalité des prix rajoutés après coup par la Banque de Suède) pour la bonne et simple raison que l'économie n'est pas une science... Enfin la leçon principale que j'en tire personnellement c'est que le déclin de la France a beau être trop réel - voir l'évolution de notre tissu industriel et celle du niveau de l'éducation, tous deux depuis quinze à vingt ans - le déclinisme c'est-à-dire non pas la constatation du déclin qui est hélas objectif mais l'idée qu'il serait irrémédiable doit être rejeté. Non : la France est capable du meilleur, et une vingtaine d'années n'est qu'une période assez courte dans la vie d'une nation. Rien de vraiment fondamental n'a été irrémédiablement abîmé, ni la démographie (qui se tient plutôt bien), ni l'unité nationale (le mouvement islamiste voire djihadiste existe mais son impact est limité), ni l'indépendance (les principales technologies sont toujours maîtrisées, l'indépendance législative serait facile à rétablir), ni l'éducation (c'est le plus inquiétant, car la baisse semble se poursuivre et son impact est encore largement invisible car ce sont les plus jeunes évidemment qui sont touchés, cependant la chaîne éducative n'est pas rompue un rétablissement reste possible, du moins pour l'instant) La possibilité d'un renouveau reste bien ouverte. La question est "seulement" celle de la politique qui le favoriserait, question difficile bien sûr, question qui n'est hélas qu'effleurée par les débats actuels de trop de partis politiques. Mais question que tout le monde a à l'esprit je crois, et nous finirons bien par trouver une voie, et les dirigeants pour y conduire le pays. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 5 novembre 2016 Share Posté(e) le 5 novembre 2016 il y a 7 minutes, Alexis a dit : ni l'éducation (c'est le plus inquiétant, car la baisse semble se poursuivre et son impact est encore largement invisible car ce sont les plus jeunes évidemment qui sont touchés, cependant la chaîne éducative n'est pas rompue un rétablissement reste possible, du moins pour l'instant) Attendez il n'y a pas de baisse dans l'Education Nationale en France au contraire ... je vais me répéter mais ce que PISA met en avant dans son classement est l'écart entre bon et mauvais élèves dans un seul système éducatif. Ce que PISA veut mettre en avant est le caractère démocratique de l'enseignement, non le niveau par pays ! Ajoutons que c'est impossible de classer le niveau des élèves par pays, car tous non pas le même programmes selon les classes notamment les asiatiques qui ont un programme mathématique plus bourratif qu'en Europe.(même chose aux Amériques) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 5 novembre 2016 Share Posté(e) le 5 novembre 2016 (modifié) PISA met d'une part en avant l'écart entre les élèves "forts" et les "faibles", mais d'autres études montrent une dégradation générale de la qualité de l'enseignement en France, notamment en français. Ce n'est pas un secret. Modifié le 5 novembre 2016 par Kiriyama Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 5 novembre 2016 Share Posté(e) le 5 novembre 2016 Il y a 5 heures, Kiriyama a dit : PISA met d'une part en avant l'écart entre les élèves "forts" et les "faibles", mais d'autres études montrent une dégradation générale de la qualité de l'enseignement en France, notamment en français. Ce n'est pas un secret. Je vois très bien à quels rapports vous faites mention (c'est celui du Depp ? Ou celui de Iredu ?), sauf qu'ils soulignent très bien que ce niveau baisse chez les élèves déjà les plus faible, le pire étant même qu'ils ne corrigent pas leur lacune les années passant.( et on revient sur l'analyse PISA ... ) Sans parler cette habitude qu'a les différent gouvernement de chambouler le programme scolaire et réduit les heures de cours. Sinon aucunes études n'a démontré une baisse de niveau par rapport aux précédentes génération, c'est juste que maintenant les problèmes déjà existant depuis longtemps dans le système éducatif ne peuvent plus être caché. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 6 novembre 2016 Share Posté(e) le 6 novembre 2016 Citation Sinon aucunes études n'a démontré une baisse de niveau par rapport aux précédentes génération En français si, notamment une baisse du nombre de mots de vocabulaire connus et de l'orthographe. Il faut que je retrouve ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rochambeau Posté(e) le 6 novembre 2016 Share Posté(e) le 6 novembre 2016 il y a 11 minutes, Kiriyama a dit : En français si, notamment une baisse du nombre de mots de vocabulaire connus et de l'orthographe. Il faut que je retrouve ça. Donc vous faites bien mention du rapport du Depp, on revient toujours à la même chose que PISA ... ajoutons que le rapport précise aussi que dans les domaines scientifique les chiffres ont progressé, sauf les mathématiques. Le rapport affirme que cette faiblesse vise en particulier les élèves déjà en difficulté, et sous entend que la réduction des heures scolaire n'ont fait qu'augmenté le problème. Pour les articles vous les trouvez sur le site de sciences humaines : http://www.scienceshumaines.com 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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