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Marine canadienne


jeanmi

Messages recommandés

Il faut aussi de la place pour ce qui ressemble a un petit ascenseur sur la plage arriere (cadre jaune).

La place laissé a l'élévateur a tribord certes mais a babord pourquoi reculer le hangar ... ils aurait tres bin pu tout aligner sur tribord. Il y a bien la logique de faire ressortir la passerelle avia pour élargir le champ de vision, mais c'est bien compliqué juste piur cela, d'autant qu'aérodynamique ca doit avoir un effet sur le décollage de l'hélico cette dissymétrie.

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  • 4 weeks later...

Des nouvelles de la sous-marinade canadienne :

Une mauvaise : http://www.corlobe.tk/article28519.html

Une bonne : http://www.corlobe.tk/article28518.html

Dans la bonne je lis : "Depuis l’entrée en service en 2003, du 1er des 4 sous-marins achetés à la Grande-Bretagne en 1998, ils n’ont effectué au total que 900 jours de mer (en moyenne, 25 jours de mer par sous-marin et par an)." Ce n'est pas très encourageant.

En France nos sous-marins doivent faire plus de 900 jours de mer (et même sous la mer ce qui n'est pas forcement le cas des SSK canadiens) par ans.

Ce n'est vraiment pas donnée à tout le monde d'avoir une sous-marinade crédible.

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OTTAWA - Le gouvernement conservateur a accepté d'être plus conciliant par rapport au constructeur d'un nouvel hélicoptère pour les Forces canadiennes après que l'entreprise eut fait une série de concessions économiques, révèlent de nouveaux documents.

La saga des Cyclone CH-148 constitue un avertissement pour les contribuables dans le débat qui fait présentement rage sur l'achat des avions furtifs F-35, croit Philippe Lagassé, professeur adjoint d'affaires publiques et internationales à l'Université d'Ottawa.

Afin de compenser l'incapacité de Sikorsky Aircraft Corp. à livrer des appareils fonctionnels à temps en 2010, les ministères des Travaux publics et de la Défense ont réussi à lui arracher 110 millions $ grâce à diverses concessions, selon une note d'information préparée pour le ministre de la Défense, Peter MacKay.

Le manufacturier a également cédé sur le coût de fonctionnement des hélicoptères et prolongé le contrat d'entretien à long terme, en plus de promettre vaguement de «restructurer les dommages-intérêts liquidés» résultant du retard de livraison.

Les documents, datés de juin 2010, ont récemment été obtenus par La Presse Canadienne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.

Tout comme l'achat des F-35, celui des Cyclone, dont le prix total s'élève à 5,7 milliards $, a été vivement critiqué par le vérificateur général en raison de ses nombreux délais et dépassements de coûts.

Au départ, Sikorsky, une entreprise basée au Connecticut, devait livrer les premiers hélicoptères en 2008 conformément à l'entente signée avec le gouvernement libéral de Paul Martin. La flotte de 28 appareils devait être en service à la fin de 2011.

Or, l'Aviation royale canadienne n'a reçu jusqu'ici qu'un seul prototype de l'hélicoptère, qui se trouve présentement à la base militaire de Shearwater, en Nouvelle-Écosse. Cinq autres devraient être livrés cette année.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2012/04/16/f-35-exemple-helicoptres-cyclone_n_1429879.html?ref=politique

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OTTAWA - Le gouvernement conservateur a accepté d'être plus conciliant par rapport au constructeur d'un nouvel hélicoptère pour les Forces canadiennes après que l'entreprise eut fait une série de concessions économiques, révèlent de nouveaux documents.

La saga des Cyclone CH-148 constitue un avertissement pour les contribuables dans le débat qui fait présentement rage sur l'achat des avions furtifs F-35, croit Philippe Lagassé, professeur adjoint d'affaires publiques et internationales à l'Université d'Ottawa.

Afin de compenser l'incapacité de Sikorsky Aircraft Corp. à livrer des appareils fonctionnels à temps en 2010, les ministères des Travaux publics et de la Défense ont réussi à lui arracher 110 millions $ grâce à diverses concessions, selon une note d'information préparée pour le ministre de la Défense, Peter MacKay.

Le manufacturier a également cédé sur le coût de fonctionnement des hélicoptères et prolongé le contrat d'entretien à long terme, en plus de promettre vaguement de «restructurer les dommages-intérêts liquidés» résultant du retard de livraison.

Les documents, datés de juin 2010, ont récemment été obtenus par La Presse Canadienne en vertu de la Loi sur l'accès à l'information.

Tout comme l'achat des F-35, celui des Cyclone, dont le prix total s'élève à 5,7 milliards $, a été vivement critiqué par le vérificateur général en raison de ses nombreux délais et dépassements de coûts.

Au départ, Sikorsky, une entreprise basée au Connecticut, devait livrer les premiers hélicoptères en 2008 conformément à l'entente signée avec le gouvernement libéral de Paul Martin. La flotte de 28 appareils devait être en service à la fin de 2011.

Or, l'Aviation royale canadienne n'a reçu jusqu'ici qu'un seul prototype de l'hélicoptère, qui se trouve présentement à la base militaire de Shearwater, en Nouvelle-Écosse. Cinq autres devraient être livrés cette année.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2012/04/16/f-35-exemple-helicoptres-cyclone_n_1429879.html?ref=politique

Finalement cette saga rejoint celle du NH90, à la différence que cette fois le fournisseur n'a pas l'excuse de pouvoir dire qu'il s'agit d'un programme complexe nécessitant la coordination parfaite de 4 gros partenaires ayant chacun leurs plans de charge et leurs projets propres à développer en parallèle 
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  • 3 weeks later...
  • 4 weeks later...

Surprenant un peut de voir que DCNS mette en avant la FREMM au Canada et non pas le BPC

DCNS at CANSEC, Ottawa Canada, 30-31 May 2012 Booth 226

At CANSEC on May 30 and 31, DCNS Canada is offering visitors an opportunity to learn more about the company’s tradition of innovation at the service of naval forces, including today’s full range of modern naval capabilities developed for partners around the world.

The DCNS CANSEC booth showcases the FREMM multi-mission frigate that combines the latest technologies developed by the DCNS Group. FREMM frigates are among the most technologically advanced and competitively priced on the world market. These heavily armed warships are being built under DCNS prime contractorship to carry state-of-the-art weapons and systems including a multifunction radar, Deep Strike missiles, Aster anti-air missiles, Exocet MM40 anti-ship missiles and MU90 torpedoes. These innovative multirole frigates are designed to respond to all types of threats with unparalleled flexibility and availability. France’s is currently building and delivering over 11 vessels currently under construction, targeted for delivery between 2012 to 2022.

http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=465
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La Royal Canadian Navy est en cours de retrait de ses destroyers, peut etre que DCNS pense qu'elle est un client potentiel pour l'achat de quelques nouveau destoyer pour dissuader des casse couille aux approche du passage du nord ouest. Ca se trouve le projet SCSCP bat un peu de l'aile ...

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La modernisation des Halifax a été annulée ?? Elles devaient être modernisée entre 2010 et 2017. Thalès avait vendu des SMART-S

OTTAWA: Thales announced today(2009) an agreement with Lockheed Martin for the delivery of 13 Smart-S Mk2 surveillance radars. These radars will be installed on the Canadian Patrol Frigates of the Department of National Defence as part of the Halifax Class Modernization Program. Delivery will begin in Summer 2010 and be complete in 2015. All radars are scheduled to be at sea and fully operational in 2017 when the Halifax Modernization Program will be completed.

http://www.defencetalk.com/smart-s-mk2-radar-for-canadian-frigates-20322/#ixzz1wXRHliNy

edit: après vérif, la modernisation est en cours, prévues en service actif jusque 2025 environ.

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AMHA, pas la peine de les titiller sur les SSK, apres les moulons d'emmerdes qu'ils ont eut sur les Victoria...  et pour ce qu'ils en font :lol:

D'ailleurs en theorie ils devraient en faire quoi de leur soums? La doctrine consiste encore a chercher les russkovs qui passent par la mer du labrador pour remonter ensuite le Saint Laurent?  :lol:

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La modernisation des Halifax a été annulée ?? Elles devaient être modernisée entre 2010 et 2017. Thalès avait vendu des SMART-S

edit: après vérif, la modernisation est en cours, prévues en service actif jusque 2025 environ.

Les canadien semble vouloir remplacer leur Iroquois ert Ahlifax par une seul classe, le programme va s'étaler sur une moment, les premiers a remplacer ce sont les Iroquois, si l'acquisition s'étale sur 10 ans partant de 2016 on arrive grosso modo a la fin de vie des Halifax.

Des variant des FREMM a mi chemin en masse entre les Iroquois et les Halifax pourrait etre une bonne cliente, d'autant que la logique modulaire des FREMM colle assez bien a l'intention canadienne.

Accessoirement on peut leur faire une lot avec des SMX-25 s'ils doivent entamer une thérapie, ils pourront affronter leur phobie sous-marine en douceur.

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Attention parce qu'il y a une histoire de patriotisme industriel le Canada d'abord.Donc signer des accords et des partenariats pour accorder des ToT, et là ce n'est pas donné à tout le monde.Ils ne veulent pas des frégates mais des destroyers bien remplis.

Avec des systèmes américains et des missiles US.

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La Stratégie nationale d'approvisionnement en matière de construction navale (SNACN) et la Marine royale canadienne (MRC)

par Martin Shadwick, ancien rédacteur en chef de la Revue canadienne de défense, Martin Shadwick donne des cours sur la politique de défense canadienne à l’Université York.

Le 3 juin 2010, le gouvernement Harper, prenant acte d’une part du besoin de renouveler la flotte de la Marine et de la Garde côtière du Canada, et d’autre part de la nécessité d’éviter l’approche en dents de scie qui caractérise habituellement l’acquisition de navires, a fait l’annonce de la Stratégie nationale d’approvisionnement en matière de construction navale (SNACN). Son but est de « modifier la construction navale en passant d’une approche projet par projet à une approche stratégique efficace à long terme pour remplacer les navires du Canada. Elle générera des retombées régionales et industrielles et mobilisera l’expertise industrielle canadienne reconnue mondialement. » La SNACN comporte trois volets : « deux lots de 33 milliards de dollars au total pour la construction de grands navires, un pour des navires de combat, et l’autre pour des navires non destinés au combat; un projet de construction de petits navires d’une valeur de 2 milliards de dollars pour les chantiers navals qui n’ont pas été retenus pour la construction de grands navires; des contrats de travaux évalués à 500 millions de dollars par an pour le carénage et la réparation des navires, qui seront ouverts à tous les chantiers navals au moyen de processus réguliers d’approvisionnement. » La nouvelle approche consiste à prendre des mesures pour éviter le favoritisme personnel et l’influence politique, pour faire preuve de transparence et pour promouvoir un double engagement : avec l’industrie et avec les experts indépendants. En raison des vastes consultations menées avec les chantiers navals, « les proposants eux-mêmes ont participé à la création du processus de sélection, en définissant les critères de sélection et la pondération connexe ». Le processus a finalement abouti à cinq propositions provenant de trois soumissionnaires (deux pour des navires de combat, trois pour des navires non destinés au combat).

Moins d’un an et demi plus tard, ce qui est en soi remarquable, le Secrétariat de la SNACN a annoncé que les Chantiers maritimes Irving Inc. avaient été choisis pour construire le lot de navires de combat de 28 milliards de dollars, soit 6 à 8 navires de patrouille extracôtiers pour l’Arctique (NPEA) et 15 navires de combat de surface canadiens (NCSC) pour la Marine. Par ailleurs, l’entreprise Vancouver Shipyards Co. Ltd. a été engagée pour construire le lot de 5 milliards de dollars de navires non destinés au combat, soit deux ou trois navires de soutien interarmées (NSI) pour la Marine, ainsi qu’un brise-glaces polaire, un navire hauturier de sciences océanographiques et trois navires hauturiers de sciences halieutiques pour la Garde côtière canadienne. L’entreprise Davie Canada Inc. qui, sous une forme sociale ou sous une autre, a construit un grand nombre de navires de la Marine et de la Garde côtière canadienne, n’a pas réussi à décrocher le contrat pour le lot de navires non destinés au combat, mais demeure en lice pour d’autres volets de la SNACN.

Le 12 janvier 2012, le premier ministre Harper a annoncé que des accords de principe devant mener à la mise au point définitive d’ententes d’approvisionnement stratégique (ententes-cadres) ont été conclus avec les Chantiers maritimes Irving et Vancouver Shipyards. Ils visent à définir les relations entre le gouvernement du Canada et les constructeurs sélectionnés ainsi qu’à « établir les paramètres en fonction desquels le gouvernement négociera des contrats justes et équitables » avec les chantiers navals. Une fois que les ententes-cadres seront conclues, « les négociations pourront commencer pour le premier projet de chaque lot de travaux », soit celui des navires de patrouille extracôtiers pour l’Arctique (lot des navires de combat) et celui des navires scientifiques hauturiers pour la Garde côtière canadienne (lot des navires non destinés au combat).

La façon dont le gouvernement Harper a géré cet important programme de construction de navires lui a valu un grand nombre de commentaires, en majorité élogieux, de la part d’un vaste éventail d’observateurs. Par exemple, le 26 octobre 2011, Jeffrey Simpson écrivait dans le Globe and Mail que le gouvernement Harper avait rompu de façon exemplaire avec la tradition canadienne en matière de construction navale : 50 pour cent d’ingénierie et 50 pour cent de politique. Le gouvernement a tenu sa parole : il a pris la décision politique globale de reconstituer la flotte de la Marine et de la Garde côtière canadienne. Il a choisi le type de navires dont il avait besoin et a décidé du montant qui leur serait alloué. Il a demandé à un groupe de fonctionnaires d’évaluer les soumissions des chantiers navals, puis a engagé une entreprise internationale pour vérifier les évaluations. Les résultats ont été publiés et le gouvernement s’est basé sur eux, sans se préoccuper des conséquences politiques. Une telle approche a permis au gouvernement de prendre une décision rationnelle, fondée sur des faits, le mettant à l’abri de toute suspicion d’influence politique et offrant au Canada la possibilité de se doter d’une industrie plus rationalisée et efficiente.

Il serait bien difficile de critiquer le classement des chantiers navals établi par le Secrétariat de la SNACN tout comme l’approche générale du gouvernement en matière de construction navale, surtout si on la compare à l’habituelle approche désorganisée et politisée. Étant donné le profil actuel des trois soumissionnaires, que ce soit au chapitre de la structure organisationnelle, comme de la stabilité financière, de la main-d’œuvre ou des installations physiques, entre autres, aucun autre résultat n’est envisageable. L’approche du gouvernement concernant l’approvisionnement maritime a été raisonnable et pragmatique à bien des égards, et elle pourrait se révéler très utile lors de prochains achats. Par ailleurs, et ce n’est pas un hasard, elle a évité au gouvernement Harper de revivre, peut être à plus grande échelle, la tristement célèbre affaire du contrat de maintenance des CF18, qui a tellement nui au gouvernement Mulroney dans les années 1980. Dans un contexte plus large, la décision du gouvernement de lancer un programme de modernisation de la flotte navale qui soit holistique, complet, à long terme, et qui concerne à la fois la MRC et la Garde côtière canadienne, pourrait finalement permettre de sortir du cycle de prospérité et de débâcle qui a engendré tant de gaspillage et d’inefficience, qui a longtemps nui aux chantiers navals, à leurs employés et aux acteurs de la base industrielle de la défense canadienne et qui a longtemps condamné la MRC et la Garde côtière canadienne à vivre un inexorable vieillissement général. [...]

Suite de l'article, très complet, sur Revue militaire canadienne

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